Origine 1 - La genèse
Naissance à Cotonou
Cotonou, capitale économique du Bénin, s’éveille lentement en ce 12 octobre. L’air est frais, chargé de l’humidité des pluies récentes. Le quartier populaire de Fidjrossè est encore plongé dans le silence, à peine troublé par les premiers chants des coqs.
Dans une modeste maison de briques, l’agitation est à son comble. Oweda Clo, épouse Okoda, se tord de douleur, soutenue par son mari et une sage-femme. À 4 heures du matin, après des heures de travail acharné, elle met au monde son deuxième fils, Okoda Wilfried Pascal.
Un cri puissant retentit, presque démesuré pour un nourrisson. La sage-femme esquisse un sourire, mais il est vite remplacé par une moue d’étonnement.
"Ce garçon est... particulier," murmure-t-elle.
Oweda, exténuée mais heureuse, accueille son fils contre elle. Elle ne prête pas attention aux mots énigmatiques de la sage-femme. Pour l’instant, tout ce qui compte, c’est que Wilfried est là, sain et sauf.
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Une famille modeste mais unie
Les Okoda forment une famille modeste, typique de leur quartier. Le père, Clément Okoda, est un chef tapissier et ébéniste respecté. Ses meubles, sculptés avec minutie, sont prisés par les habitants. La mère, Oweda, est une commerçante réputée pour son sens des affaires et sa rigueur. Ensemble, ils ont déjà un fils aîné, Thierry Ignacus, âgé de cinq ans.
Dès les premiers jours, Thierry se montre protecteur envers son petit frère. Il est fasciné par le nouveau-né, passant des heures à l’observer, comme s’il comprenait déjà que Wilfried était destiné à un avenir hors du commun.
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Les premières années de Wilfried
Les trois premières années de Wilfried se déroulent sans heurts. C’est un enfant calme, observateur, mais doté d’une curiosité insatiable. Contrairement aux autres enfants, il semble apprendre et comprendre à une vitesse impressionnante. À l’âge de 18 mois, il commence déjà à assembler des phrases complètes, et à 2 ans, il sait compter jusqu’à cent.
Les voisins, intrigués, commencent à murmurer.
"Ce garçon n’est pas comme les autres," disent-ils. "C’est un génie... ou peut-être autre chose."
Dans une société béninoise où la tradition et les croyances spirituelles occupent une place centrale, les talents précoces de Wilfried suscitent autant d’admiration que de méfiance.
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Les premières inquiétudes des parents
Clément et Oweda, bien que fiers de leur fils, ne peuvent s’empêcher de ressentir une certaine inquiétude. Ils savent que dans un pays où la sorcellerie et les superstitions imprègnent la vie quotidienne, un enfant "différent" peut devenir une cible.
Une nuit, alors que Wilfried joue silencieusement avec des morceaux de bois dans l’atelier de son père, Clément exprime ses doutes à sa femme :
"Clo, je ne sais pas quoi penser. Wilfried... il est brillant, mais je crains que cela ne lui attire des ennuis. Les gens parlent déjà."
Oweda acquiesce, le regard perdu. "C’est notre fils. Nous devons le protéger, Clément. Peu importe ce que les autres disent."
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Thierry, un grand frère confiant
Thierry, lui, ne partage pas les inquiétudes de ses parents. À 8 ans, il est déjà mature pour son âge et incroyablement lucide. Il voit en Wilfried un potentiel immense, un éclat que les autres ne comprennent pas encore.
"Papa, maman, vous n’avez rien à craindre," dit-il un soir, alors que la famille est réunie autour d’un dîner simple mais chaleureux. "Wilfried est spécial, oui. Mais c’est une bonne chose. Il fera de grandes choses un jour, j’en suis sûr."
Les paroles de Thierry réconfortent quelque peu ses parents, mais elles ne suffisent pas à dissiper leurs craintes.
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Les premiers signes de "différence"
Vers l’âge de 3 ans, les capacités de Wilfried deviennent impossibles à ignorer.
Un jour, Clément le surprend en train de sculpter une figure complexe dans un morceau de bois, une tâche qu’il n’a jamais enseignée à son fils. La précision des traits est telle que Clément reste bouche bée.
"Où as-tu appris ça ?" demande-t-il, la voix tremblante.
Wilfried hausse simplement les épaules. "Je l’ai vu dans ma tête."
Une autre fois, lors d’un marché avec sa mère, Wilfried impressionne les commerçants en calculant mentalement des conversions monétaires complexes.
"Cet enfant... c’est un prodige," murmure un marchand.
Mais pour d’autres, ces talents sont perçus comme "non naturels". Certains voisins commencent à éviter la famille, murmurant des accusations de sorcellerie ou de pactes avec des forces obscures.
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Un isolement progressif
Les rumeurs finissent par isoler la famille Okoda. Les parents de Wilfried, bien qu’ils l’aiment profondément, commencent à limiter ses interactions avec les autres. Ils lui interdisent de montrer ses talents en public, espérant ainsi calmer les murmures.
Mais Wilfried, à son jeune âge, ne comprend pas pourquoi il doit se cacher.
"Pourquoi je ne peux pas montrer ce que je sais faire ?" demande-t-il un soir, les larmes aux yeux.
Thierry, assis à ses côtés, pose une main réconfortante sur son épaule. "Parce que les gens ont peur de ce qu’ils ne comprennent pas. Mais ne t’inquiète pas, petit frère. Moi, je comprends. Et un jour, tout le monde comprendra aussi."
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Un destin hors du commun
Malgré les défis, la famille Okoda reste soudée. Clément et Oweda font tout pour offrir une vie normale à leurs deux fils, tandis que Thierry joue le rôle de mentor et de protecteur pour Wilfried.
Mais dans l’ombre, le destin de Wilfried se dessine déjà. Ses capacités, bien que perçues comme un fardeau par certains, sont en réalité une bénédiction. Il est destiné à accomplir de grandes choses, à transcender les limites imposées par les traditions et les superstitions de son environnement.
Et tandis que le soleil se lève sur Cotonou, une chose est claire : ce garçon, né dans une modeste famille béninoise, est appelé à changer le cours des choses.
Le monde ne le sait pas encore, mais Okoda Wilfried Pascal est sur le point de commencer un voyage extraordinaire.
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Un prodige précoce à l'école primaire
Okoda Wilfried Pascal , à seulement 5 ans, fait déjà son entrée au primaire. Ses parents, convaincus que la maternelle ne pouvait pas répondre à ses besoins intellectuels, prennent la décision de l'inscrire directement en primaire.
Dès les premières semaines, les enseignants sont stupéfaits par ses capacités. Wilfried maîtrise les matières avec une facilité déconcertante, souvent surpassant des élèves bien plus âgés. Il semble mémoriser tout ce qu'il lit ou entend, répondant aux questions avec une précision qui laisse les adultes sans voix.
Cependant, son intelligence hors norme, qui aurait dû être une bénédiction, devient rapidement une source de conflit.
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L'isolement et la jalousie
Dans la cour de l'école, Wilfried n'est pas accueilli à bras ouverts. Les autres élèves, plus jeunes ou plus âgés, voient en lui un "étranger". Son vocabulaire sophistiqué et sa manière calme d'observer le monde autour de lui renforcent cette distance.
"Tu te crois meilleur que tout le monde, c’est ça ?" lui lance un garçon de son âge un jour, en guise de provocation.
Wilfried, perplexe, ne répond pas. Mais le silence qu’il adopte est perçu comme une arrogance. Rapidement, il devient une cible.
Les élèves plus âgés l’intimident dans les couloirs, l'empêchant parfois d'accéder à la bibliothèque où il aime passer du temps. Les plus jeunes le moquent ouvertement, inventant des surnoms méprisants pour souligner sa "différence".
L'administration, quant à elle, ne fait rien pour calmer les tensions. Au contraire, certains enseignants et même le directeur semblent agacés par cet enfant qui, sans effort apparent, expose parfois leurs propres limites intellectuelles.
"Tu crois tout savoir, Wilfried, mais dans la vie, ce n’est pas que la tête qui compte," lui dit un enseignant après qu'il ait corrigé une erreur dans un exercice au tableau.
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Une cible pour l'administration
Wilfried se rend vite compte que les adultes de l'école ne sont pas de son côté. Il est fréquemment accusé à tort de fautes qu’il n’a pas commises. Lorsqu’un élève casse un matériel scolaire ou triche, c’est souvent Wilfried qui est blâmé.
Le directeur, un homme autoritaire et jaloux, semble prendre un plaisir particulier à rabaisser le jeune garçon.
"Tu es peut-être intelligent, mais ça ne te rend pas supérieur. Ici, tu es juste un élève comme les autres," lui dit-il un jour, après l’avoir convoqué pour une plainte injustifiée.
Wilfried, malgré son jeune âge, comprend rapidement que ce harcèlement de la part des adultes découle de leur jalousie. Leur comportement n’est pas lié à son comportement, mais à leurs propres insécurités face à son potentiel.
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La solitude à la maison
Lorsqu'il rentre chez lui, Wilfried espère trouver du réconfort auprès de ses parents. Mais à chaque fois qu'il essaie d’expliquer ce qu’il vit à l’école, il est confronté à l’incrédulité de Clément et Oweda.
"Arrête d’inventer des histoires, Wilfried," lui dit souvent son père. "Les enseignants ne feraient jamais ça."
Sa mère, bien qu’un peu plus douce, n'est pas plus réceptive. "Peut-être que tu te comportes mal et que tu ne t'en rends pas compte," dit-elle.
Pour ses parents, l'administration de l'école représente une autorité incontestable. Ils préfèrent croire les enseignants et le directeur plutôt que leur propre fils.
Cette absence de soutien de la part de ses parents crée une cassure profonde chez Wilfried. À seulement 6 ans, il commence à se détacher émotionnellement d’eux.
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Thierry, le mentor
Seul Thierry prend les plaintes de son frère au sérieux. À 11 ans, il est déjà conscient de la complexité du monde des adultes.
Un soir, alors que Wilfried pleure dans leur chambre partagée, Thierry s’assoit à ses côtés.
"Petit frère, écoute-moi bien," commence-t-il, le regard sérieux. "Ce que tu vis, c’est dur, mais tu dois apprendre à survivre. Personne ne viendra te sauver, alors tu dois être plus fort qu’eux."
C’est cette nuit-là que Thierry introduit Wilfried à son concept des "Sept Modes", des états d'esprit qu'il a développés pour faire face aux épreuves de la vie.
"Il y a sept modes que tu dois comprendre et utiliser selon les situations :
1. Mode Curiosité : Pour apprendre et comprendre.
2. Mode Calme : Pour garder ton sang-froid.
3. Mode Défi : Pour t’affirmer.
4. Mode Survie : Pour tenir bon contre vents et marées.
5. Mode Stratégie : Pour planifier et anticiper.
6. Mode Combat : Pour riposter quand il le faut.
7. Mode Abandon : Quand il est sage de lâcher prise."
Thierry ajoute : "Le mode Survie, c’est celui qui te convient le mieux. Il est dans ton sang. Tu ne plies pas, tu ne cèdes pas, tu avances. Et le chiffre 4, celui de ce mode, te collera toujours à la peau."
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La transformation de Wilfried
Inspiré par les conseils de Thierry, Wilfried commence à changer sa manière d’aborder les défis. Il adopte le mode Survie comme une seconde nature, utilisant son intelligence non plus pour briller, mais pour naviguer dans un environnement hostile.
À 7 ans, il devient plus observateur, analysant les comportements des élèves et des adultes autour de lui. Il apprend à anticiper les attaques, à éviter les pièges, et à se protéger émotionnellement.
Lorsqu’un élève tente de l’intimider, Wilfried reste calme et répond par une phrase courte mais déstabilisante : "Je te connais mieux que tu ne te connais toi-même."
Ces mots, bien qu’énigmatiques, suffisent souvent à décourager ses agresseurs.
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Un esprit en éveil
Entre 6 et 9 ans, Wilfried dévore tout ce qu’il peut trouver sur l’histoire, la culture et les traditions de son pays. Il se plonge dans les livres d’histoire béninoise, mémorise les récits des grandes figures de la lutte pour l’indépendance, et s’intéresse aux complexités de la géopolitique africaine.
À l’école, il écoute les conversations des adultes, prenant mentalement note de leurs failles. Il ne cherche plus à les confronter, mais à comprendre leurs motivations.
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Un plan pour l’avenir
À 9 ans, Wilfried a déjà développé une vision claire de son avenir. Il sait que pour sortir de cet environnement toxique, il devra exceller dans tout ce qu’il entreprend. Mais il comprend aussi qu'il ne pourra compter que sur lui-même et sur Thierry.
Un jour, après une autre journée difficile à l'école, il regarde son frère et déclare :
"Un jour, je vais changer tout ça. Pas seulement pour moi, mais pour les autres comme moi."
Thierry, fier, pose une main sur son épaule. "Je n’en doute pas, petit frère. Mais souviens-toi : le chemin sera long. Reste en mode Survie, toujours."
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Une cassure définitive
Malgré tout, la relation entre Wilfried et ses parents continue de se détériorer. Leur incapacité à le comprendre ou à le soutenir laisse une cicatrice indélébile.
Wilfried ne leur en veut pas directement, mais il cesse peu à peu de chercher leur approbation. Il trouve son refuge dans la lecture, dans ses réflexions, et dans les leçons de Thierry.
Cette cassure, bien que douloureuse, forge le caractère de Wilfried. Elle lui apprend à compter sur ses propres forces, à se protéger, et à transformer la douleur en détermination.
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À l’aube de ses 10 ans, Wilfried n’est plus le même enfant. Il est toujours brillant, mais il est désormais résilient, stratégique et déterminé. Il sait que les défis à venir seront encore plus grands, mais il est prêt. Le mode Survie est devenu sa nouvelle boussole.
L'enfant prodige de Cotonou est en train de devenir bien plus qu’un simple génie. Il est en train de devenir une force que personne ne pourra arrêter.
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Le début des expériences
À partir du CE1, Wilfried, déjà transformé par les enseignements de Thierry et sa propre résilience, décide de prendre le contrôle de sa situation. Ce contrôle, il ne l’obtiendra pas en cherchant la confrontation directe, mais en exploitant les failles humaines qu’il a longuement observées.
Sa stratégie se construit autour de trois piliers : ses camarades, l’administration, et le système éducatif dans son ensemble.
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Camarades : ridiculiser pour mieux dominer
Wilfried sait que les garçons qui l’intimident cherchent à asseoir leur supériorité en public. Il décide alors de tourner leur propre orgueil contre eux.
Lorsqu’un élève plus âgé tente de le ridiculiser devant la classe en lui posant une question difficile, Wilfried feint d’être confus, puis donne une réponse si complexe que l’enseignant lui-même est forcé de valider sa justesse. La classe rit, non de Wilfried, mais de l’élève qui a essayé de l'humilier.
Petit à petit, il pousse ses agresseurs à s'exposer, provoquant des situations où leur manque de réflexion ou d'intelligence devient évident.
Pour les filles, il adopte une tactique différente. Ayant compris qu'elles cherchent souvent à le rabaisser pour attirer l’attention des autres ou pour compenser leur propre insécurité, il leur adresse des compliments ambigus, jouant sur leurs émotions.
"Tu es vraiment intelligente, mais tu ne devrais pas essayer de me copier. Sois toi-même."
Ces phrases, bien que gentilles en apparence, créent de la confusion et une profonde remise en question chez ses interlocutrices.
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Destruction de l’ego et du cœur
Pour les garçons, Wilfried cible leur ego. Il les confronte à leurs échecs de manière subtile mais efficace, révélant leurs faiblesses devant leurs pairs. Certains finissent par abandonner leurs tentatives de harcèlement, préférant éviter l’humiliation publique.
Pour les filles, il s’attaque à leur cœur. Il sème le doute en leur faisant croire qu’il pourrait être un allié ou un confident, avant de se retirer brusquement. Lorsqu’elles essaient de l’approcher ou de le confronter, il reste distant, renforçant leur frustration.
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L’administration : manipulation et revanche
Wilfried sait que l’administration est corrompue, mais il comprend aussi qu’elle est son point d’entrée pour des ambitions plus grandes. Il commence par observer attentivement les membres du personnel : leurs failles, leurs alliances, et leurs motivations.
En écoutant discrètement leurs conversations, il découvre que certains enseignants truquent les résultats des élèves pour des pots-de-vin, que le directeur favorise certains parents influents, et que d'autres membres du personnel profitent des ressources de l’école pour leurs propres intérêts.
Wilfried compile toutes ces informations, les transformant en un levier de pouvoir. Lorsqu’un enseignant tente de le punir sans raison, il murmure calmement :
"Vous devriez vérifier vos dossiers. Je crois qu’il manque quelque chose d’important."
Ces mots, innocents en apparence, créent une panique immédiate. L’enseignant, redoutant que Wilfried ait découvert ses actes, recule, le laissant tranquille.
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Une montée en puissance
En CE2, Wilfried commence à utiliser les failles du système éducatif pour contrôler les adultes autour de lui. Il forge des alliances discrètes avec les élèves qui se sentent également marginalisés, leur promettant une protection en échange de leur loyauté.
Avec le temps, il devient une figure incontournable dans l’école. Les élèves, même ceux qui le méprisaient autrefois, se tournent vers lui pour obtenir des conseils ou résoudre des conflits.
Pour l’administration, Wilfried devient un problème qu’ils ne peuvent ni ignorer ni confronter directement. Ses connaissances sur leurs activités malhonnêtes leur donnent l’impression d’être sous surveillance constante.
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Le ministre de l’Éducation : une cible inattendue
En CM1, Wilfried entend parler d’un programme national de réforme éducative dirigé par le ministre de l’Éducation. Il réalise rapidement que ce programme, bien qu’ambitieux en apparence, est entaché par des pratiques de corruption au plus haut niveau.
Utilisant les informations qu’il a collectées sur son école, il commence à rédiger des lettres anonymes détaillant les abus qu’il a observés, tout en y ajoutant des preuves convaincantes. Ces lettres, envoyées à des journalistes locaux, provoquent une série d’enquêtes qui exposent non seulement l’administration de son école, mais aussi des cadres plus élevés du ministère.
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La chute de l’administration
Face aux révélations, le directeur de l’école est contraint de démissionner. Plusieurs enseignants sont suspendus ou licenciés, et des réformes internes sont imposées.
Mais Wilfried ne s’arrête pas là. Il utilise le chaos pour solidifier son contrôle sur le reste de l’école. En CM2, il est non seulement respecté, mais aussi craint par ceux qui savent ce dont il est capable.
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Un sentiment de justice
Malgré son jeune âge, Wilfried ne ressent pas de culpabilité pour les vies qu’il a bouleversées. Pour lui, ces actions sont nécessaires pour rétablir une forme de justice dans un environnement où les adultes exploitent les enfants et les systèmes pour leurs propres bénéfices.
"Je ne fais que corriger leurs erreurs," pense-t-il souvent, convaincu que ses actions sont moralement justifiables.
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Un futur en construction
À la fin de l'école primaire, Wilfried a réussi non seulement à survivre dans un environnement hostile, mais aussi à le transformer selon ses propres termes.
Thierry, qui observe son frère avec admiration, lui dit un jour :
"Tu es allé bien au-delà du mode Survie, petit frère. Tu es devenu un stratège. Continue comme ça, et le monde entier te suivra un jour."
Wilfried, désormais plus déterminé que jamais, sait que son voyage ne fait que commencer. Les années à venir apporteront de nouveaux défis, mais il est prêt. Le mode Stratégie est désormais sa nouvelle boussole, et rien ni personne ne pourra l’arrêter.
Alors, vous le trouvez comment ? Voici ce qu'il a fait au primaire. J'attends désormais réflexion intelligence sans but de nuire sinon l'abstinence est meilleur conseillère.
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