Nous avons eu le fin mot de l’histoire sur tous les problèmes parcourus au sein de cette année scolaire, durant la soirée d’Halloween, deux élèves de premières et deux de deuxième années ont voulues faire de la planche de Ouija.

Aidés par Lana, ils ont pu, grâce à ses conseils parfaitement créer le pentagramme et faire le bon procédé pour faire venir un esprit, mais c’est elle, et uniquement cette démone, qui a appeler le Cerbère. Bien qu’ils soient également responsables de ce qui est arrivés, ce n’est pas a eux que l’on jette la pierre.

Je ne sais pas ce que compte faire les profs, mais j’espère juste qu’ils seront justes, surtout envers toutes les victimes qui sont décédées par leurs négligences.

Six cent cinquante-trois victimes. Plus Maria et les treize élèves morts cette nuit-là, nous arrivons à six cent soixante-six. Un chiffre qui me fait froid dans le dos.

Depuis que je connais cette nouvelle, ce chiffre, je ne peux m’empêcher de réfléchir à plein tube, et si ce n’était pas un hasard ? Et si c’était fait exprès qu’il y est exactement ce nombre de mort ? Qu’est-ce qu’il peut être pire ?

Pour Maria et les élèves, nous avons tenue, du moins Noémie, a voulu leurs rendre hommages, pour les amazones, le plus grand des honneurs est d’être enterrée comme tels. Ce qu’on fit sans hésitez une seconde.

Je n’ai pas tout compris de cette cérémonie, mais en tout cas, tout ceci c’est dérouler dans le plus grand des silences.

Juste après cela et une réunion auquel je n’ai pas tenue à participer, Justine annonce a tout le monde que la validation de l’année est reporter dans trois jours, qu’il fallait profiter de ce moment pour se reposer au maximum.

Et c’est ce qu’il s’est passer, durant ses trois jours, presque tout le monde s’est mis à dormir plus que de raisons, nous n’avons pas besoin de réviser en sachant qu’il ne s’agit que de tests physiques.

Mais ce matin, je me lève avant tout le monde et me dirige sur le toit de l’école, je ne sais pas pourquoi, mais je sens que j’en ai besoin.

Lorsque j’arrive sur place, je ne suis pas surpris d’y voir Marine, les jambes dans le vide, en train de regarder l’horizon.

Je m’approche en tenant à ne pas lui faire peur, puis je m’installe légèrement en retrait derrière elle, ne tenant pas à partir dans le vide.

Je ne sais pas combien de temps nous avons passer a être ainsi, à regarder dans le vide sans rien dire, mais elle finit par briser le silence.

- Pourquoi es-tu ici ?
- Je ne sais pas, j’ai ressentie le besoin de venir… et toi ?
- Je n’en reviens pas qu’elle soit morte… et encore moins les autres…

Etant donné que je ne sais pas quoi dire d’autre, je me tais. Nous laissant de nouveau dans la contemplation du paysage. Nous en profitons également pour parler de tout et de rien, je lui avoue ma peur de devoir refaire une première année, pas que j’ai réellement peur, mais surtout que je n’aimerais pas recommencer une année entière, j’ai besoin de partir tout de suite dans le cœur du danger.

Je veux me faire montrer à moi-même que j’en suis capable. Je lui dit également que bien qu’à la base nous étions quatre, dès l’année prochaine, sauf s’ils changent d’avis, deux de mes meilleurs amis essaieront d’être pris pour intégrer l’école.

Finalement, nous avons passer toute la journée ici, descendant uniquement pour manger et faire acte de présence, passer la journée au calme, loin de tout, m’a fait plus de bien que je le pensais. J’aurais aimer lui parler de ce chiffre qui m’obsède tant, mais je ne tiens pas à lui faire revivre cette scène, nous trouverons bien un moment pour en parler loin des oreilles indiscrètes.

Juste après les trois jours de repos, nous voilà donc dans le hall, tous vêtues de notre uniforme, Justine, qui est présente, nous fait part de ce qu’il se passera tout au long des deux jours prévues pour cette validation.

Pour commencer, notre classe ne sera pas diviser, nous ferons tout en même temps, agissant comme une équipe. Dans un premier temps, une partie de paintball se fera contre les troisièmes années, bien entendue, la seule règle est de ne pas blesser gravement l’adversaire.

Ensuite, il y aura un parcours de type militaire qui se déroulera, des pistes de plus en plus difficile et des pentes de plus en plus abrupte.

Et enfin, un championnat pour le corps à corps, organiser par Noémie, lorsque j’ai entendue ça, je pensais tout de suite à un Underground avec des créatures surnaturelles, mais il en est rien. Pour le coup, nous ne serons qu’entre nous, les premières années.

Comme on dit, c’est partie !

Après avoir vêtue les combinaisons de protection, nous êtres armés, prendre les recharges et avoir vue nos adversaires, nous partons dans la forêt, notre lieu de combat.

Nous avons passer plusieurs heures a faire cette partie, nous n’avons pas fait que de tirer, le but est aussi de nous montrer discret et de pouvoir suivre nos adversaires sans nous faire repérer.

Bien que ce soit juste, notre équipe est sortie vainqueur de ce défi.

L’après-midi même, ce fut une autre histoire, le parcours militaire s’est fait en plusieurs étapes, du plus simple, au plus compliquer. Pour chaque moment, un élève de troisième année est présent pour vérifier nos réflexes, notre dextérités et notre vitesse.

Le parcours est chronométré, pour commencer, nous avons une échelle à escalader, puis les poutres jumelles, pour rester dans le rythme il y a les sauts d’obstacles, suivit par le grillage dans lequel nous devons passer en dessous.

Ensuite nous devons passer sur des rondins de bois, légèrement en hauteur, parmi plein d’autres obstacles dont j’ignore le nom. En tout, il y a au moins vingt obstacles différents. De quoi bien nous occupés.

Le lendemain c’est dérouler toute la journée le championnat de combat à main nue. Le principe est simple, nous sommes appeler à chaque fois, une fois les deux adversaires sur le ring, nous tirons un papier pour le sport en lui-même puis c’est partie.

Les sports changent constamment si bien que nous n’avons jamais les même styles de combats à chaque fois, sur les quinze que l’on est, je suis arrivé en 5ème positions, Adrien lui est en 2ème place et pour Jon et Josh, disons qu’ils ont refuser de le dire.

En tout cas, pour nous les cours sont maintenant terminés, il nous reste plus qu’à attendre nos résultats qui seront dévoilés prochainement et il nous restera plus qu’à profiter de nos vacances qui sont plus que mérité.