Chapitre 48


Je vais chercher mon père qui attend après avoir été interrogé, je remarque quelque chose, il n'a plus l'air de voir de plus qu'un œil. Le pauvre, j'ai pitié pour mon père. Je vois bien qu'il a sur le corps beaucoup plus de cicatrices qu'avant.

Ce foutu Arès, il est devenu quoi ?

-Victor : Tanya ça va....

Mon père me fait un câlin. Il a l'air de vouloir me réconforter.

-Tanya : Oui, ça va...

Son étreinte m'avait manqué.

-Tanya : Dit papa, tu penses te trouver quelqu'un un jour....

-Victor : On ne sait jamais ce que l'avenir nous réserve donc ce n'est pas impossible...

Personne ne me vole mon papa. Je vais encore mieux le cacher que la lampe du génie, tu vas voir. Ou alors je lui trouve une tour à la Raiponce. Bon par contre il risque de me faire la gueule.

-Victor : Ça va, mon petit poussin....

-Tanya : J'ai plus quatre ans, tu sais.

Il m'ébouriffe la tête, pour me faire je ne sais pas trop quoi, mais la conséquence c'est tout simplement que mes cheveux ne ressemblent plus à rien. Quand je vois les soins que je dois prendre pour mes cheveux, je me dis qu'avoir la coupe de Saitama, cela aurait du bon.

-Victor : Non, je ne vais pas raser ta tête, je t'ai déjà dit que je voulais bien tu faire des tresses ou des couettes, mais tu n'en as jamais voulu.

Des tresses comme Soi Fon, très peu pour moi, j'ai envie d'autre chose qu'avoir à supporter cela. Subir des couettes tout comme Léonilde Gratin, non merci, pas envie de me retrouver à côté de quelqu'un qui s'appellerait Ducobu.

Pas trop envie...

Je le ramène à la base, je me mets à remarquer d'autres choses, il a l'air d'avoir salement vieilli... Il a aussi l'air d'avoir perdu beaucoup de poids.

Il s'endort pendant le trajet, il a l'air épuisé de tout....

Je le réveille doucement, c'est-à-dire en lui donnant un bon coup d'épaule...

Je ne dose pas suffisamment ma force et il tombe d'un coup sur la portière qui est fermé.

-Victor : Aïe....

Il se fait une petite blessure à la tête.

On rentre vite pour le soigner.

-Ozalius : Il aura une cicatrice.

Je me mets à me marrer comme une folle, merde on dirait que je suis comme Harley Quinn complètement ravagé du ciboulot.

-Tanya : Tu as des cicatrices faites à la guerre, d'autres par des ennemis puissants, un dieu, et tu vas maintenant avoir une bête cicatrice comme ça. Cela me fume.

Je me prends un coup de poing sur le sommet de mon crâne....

Je l'ai un peu mérité. Il ne faut jamais se moquer de la virilité d'un homme.

Jamais.

Note de l'auteur : J'aimerais vous proposer de me proposer des idées d'arc pour l'histoire. Bien sûr vous connaissez la chanson, vous serez crédité. Merci de votre compréhension

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