4. PDV Saky Miyu

Je suis assise. Attachée à une chaise. Avec un bandeau sur les yeux. Alors que je rentrais chez moi, quelqu'un est arrivé par derrière et m'a kadnipé. Non on dit kidnappée . C'est sûr que comme j'écoute pas en cours... Je pense que je suis dans une cave, un basement. Pourquoi suis je ici ? Pourquoi ?

- C'est bon ?tu es calmée, me demande une voix froide.

-Que... que me voulez vous ? Je panique. Je n'ai pas d'argent sur moi. Mais vous pouvez prendre celui qu'il y a chez moi, vous pouvez tout prendre mais liberez moi svp...

- Ce n'est pas ton argent qui m'intéresse la biatch. Tu tournes autour de MON Taro désormais. Cela fait de toi ma PROIE. La vie est quelque chose de si fragile... sussure mon ravisseur à mon oreille.

- Comment savez vous que ...

- Je t'en prie, réfléchis un peu.

Je ne l'ai dit qu'à Kokona. Mais, non pas elle.

- Ko ... Kokona.
Mon agresseur ne répond pas. Il m'enlève mon bandeau. Uniforme de l'école, jupe bleu marine donc c'est une fille, des mains diaphane, une poitrine de bonnet E, des drealls violets...

- Pour...pourquoi Koko' ?

- Taro est à moi, dit-elle comme si c'était un fait établi. Si tu l'aime, il y a une chance qu'il tombe amoureux e toi car tu me ressembles beaucoup... Je ne veux pas prendre le risque de le perdre...

- Tu m'as promis !!! hurlai-je. Tu as promis de ...

- De ne pas te faire d'ombre. C'est vrai, mais d'ici je ne te fais pas d'ombre. Au sens propre du terme, bien sûr, ricana-t-elle.

Elle partit, me laissant seule avec mon ébahissement, mes pensées, mes tourments.

~ ~ ~

Voilà des heures, peut-être des jours que je suis enfermée ici. Mon - ancienne - meilleure amie m'a précisé que rien ne sert de crier, elle habite seule et cette pièce est très bien insonorisée.

Je me souviens de ce dont nous discutions il y a encore deux semaines. Trois filles et un garçon avaient soudainement disparu. Koharu, elle, avait été retrouvé pendu dans sa chambre. Nous étions effrayées, mais est-ce que c'était vrai dans le cas de mon amie ? Ne jouait-elle pas la comédie durant tout ce temps...

Il fallait que je trouve un moyen de me sortir d'ici. Une fois par jour, au moment où elle rentre, elle me libère de mes liens et me laisse manger un plateau qu'elle m'apporte. Biensûr, elle ne reste pas dans la cave. Elle sort et en verrouille l'entré.

Aujourd'hui, j'ai repéré un cutter sous un carton. Preuve qu'elle n'est pas méticuleuse, je pense.

J'ai fini mon plateau, je me suis armée. J'attends qu'elle revienne. La voilà !! Elle s'approche, inconsciente du danger qui la guette. Au moment où elle va me contourner pour m'attacher les poignets, je me jette sur elle, la lame déchaînée. Je la plaque à terre et lui plante le cutter dans la gorge. Le sang gicle. Inhabituée, je recule. Mon uniforme devient rouge. Je monte l'escalier à la vitesse du son et cours m'enfermer chez moi.

Je claque la porte dans mon dos. Je m'y adosse et reprends progressivement mon souffle. Une puissante émotions m'a submergée quand j'ai planté mon arme. Un plaisir sadique, une joie morbide, une envie de la transpercer de toutes parts.

J'ai aimé la blesser. Peut-être la tuer. J'aime ça. Désormais, plus personne ne pourra se mettre entre Taro et moi !! 😈😈😈😈😈😈

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Voilà. Le sang est là.
Que dites vous d'une petite scène d'eviscerage vers un prochain chap ?

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