prologue
Horrifié Gabens fixait Bernado Alvarez allongé par terre. Un rigole de sang se faufilait de son corps sans vie et faisait son chemin jusqu'à ses pieds. Il tremblait de tout ses membres. Jamais de toute sa vie il n'avait vécu un moment aussi horrible.
Il baissa les yeux de mes mains tremblants. Se rendant compte que l'arme du crime était encore dans ses mains il le jetta par terre brusquement prise de peur.
Comment avait-il pu garder ce couteau si longtemps dans sa mains!
Que faire maintenant? Se sauver avant que la police arrive? Soulever le corps et le transférer à un autre entre endroit pour l'occulter?
Il n'arrivait pas à réfléchir judicieusement car il était dans la merde jusqu'au coup.
Cet homme était certes désagréable avec lui mais il restait le père de sa petite amie, il ne méritait pas de mourir de cette manière.
Il aurait du être celui qui amenait Bellinda devant l'hotel. Il aurait du être en vie pour le voir jurer de protéger et de chérir sa fille jusqu'à ce que la mort leur sépare.
Non! Grogna t-il en plaçant ses mains sur la tête, désespéré.
Il savait que cette malheureuse incident allait anéantir la vie de Bellinda mais il ne pouvait plus rien faire,il était trop tard ! Tout allait changer à partir d'aujourd'hui , il en était sur.
Fuir avant que des spectateurs arrive c'était ce qu'il fallait faire immédiatement, pensa t'il.
Il fit un pas pour s'en aller mais plusieurs pas et une voix rauque le stoppa net.
___ Ne bougez pas sinon je tire!
Il sursauta et fixa l'entrée du jardin. Deux policiers se tenait en face de lui. Leurs armes étaient pointées vers lui. Ils le regardait comme s'il était un fou, un criminel dangereux. Il devait absolument leur dire que toute cette situation était un malentendu. Il était sur qu'il le comprendront.
____ ce n'est pas ce que vous croyez mesieurs. Lâcha t-il en faisant un pas vers eux.
___ Les mains sur la tête, ne bougez pas!
Il obéit sans protester car il voyaient dans leurs yeux qu'ils n'hésiteraient pas â l'abattre au moindre mouvement. Comment pouvait-il leur faire comprendre qu'il était innocent? Il fallait absolument qu'il sauve sa peau. Il ne pouvait pas se permettre d'aller passer le reste de sa vie en prison pour homicide volontaire.
Les policiers avancèrent vers lui prudemment , lui forçant à se mettre genoux contre terre et lui passa les menottes.
___ je suis innocent, murmura t-il impuissant lorsque ses poignets furent emprisonnés.
___ ouais, ils disent tous cela,réponds l'un des policiers amèrement.
Était-il con ou quoi?
Pourquoi se mettait-il toujours dans ce genre d'emmerde , pensa t-il intérieurement.
____ papa!!!! Hurla soudain une voix féminine dans un long sanglot.
Le coeur de Gabbens battit sans pouvoir s'arrêter. Il cru mourrir en entendant la voix de sa bien aimée.
Belinda venait de pénétrer dans la maison et se jeta par terre contre le corps sans vie de son père.
___ papa! Non! Tu ne peux pas me faire cela! Je n'ai personne d'autre! Réveille toi je t'en prie! Papaaaaaaaaaaaaa! Tu ne peux pas mourir.
Les policiers et Gabbens ne prononcèrent un mot. Ils regardaient la jeune fille avec tristesse.
Après quelques minutes de cri,de pleurs, Bellinda leva enfin la tête.
__ Gabbens! S'étonna t-elle .
Elle venait à peine de remarquer la présence de son petit ami. Elle ne comprenait pas ce qui ce passait.
___ Ne crois pas ce qu'ils vont te dire,tu me connais n'est-ce pas ma chérie?
___ Mademoiselle ne vous laisse pas duper , commença l'un des policiers, nous avons le présumé assassin de votre père.
___ non,détachez-le,vous vous trompez de personne, il est mon petit ami fit-elle en se levant pour aller Se mettre devant eux.
___ regardez ses mains! Fit l'autre policier.
Bellinda fixa les mains de Gabbens rougis de l'homme qu'elle aimait.
Elles étaient couvertes du sang de son père. Ces policiers disaient donc la vérité?
Non pas lui! Murmura t'elle en titubant. L'un des policier réussi à la redresser de justesse. Ses jambes n'arrivaient plus à supporter son corps.
Etait - elle en train de rêver ? Ce cauchemar dans lequel toute naviguait en ce moment lui paraissait irréelle.
____ j'ai pas tué ton père Bella! J'ai suis peut-être un amoureux fou, mais pas au point de tuer ton père.
Soudain les souvenirs de ses propos montèrent dans sa tête. Il procurait beaucoup de menace à cause du rejet de son père. Pourquoi n'a t-elle pas prit ses mots au sérieux? Elle aurait pu éviter la mort de son paternel.
___ Tu disais toujours que tu serais capable le tuer s'il n'accepte pas que nous nous voyons!
___ c'était pour blaguer Bella! Grogna t-il avec douleur en voyant qu'elle n'avait plus confiance en lui.
___ je te déteste Gabbens, maugréa t-elle.
___ Fais moi confiance parce que je t'aime et tu m'aimes aussi. Si tu ne crois plus en moi, crois en mon amour.
___ non! Je te hais !Assassin! Emmenez le je ne veux plus le voir ici! Gémit t-elle hystérique les larmes au yeux.
Les policiers attrapèrent Gabbens par le bras,l'entraînant vers la sortie, l'arme du crime dans un plastique.
____ je te prouverai que je suis innocent Bella,je le jure sur notre amour qui est ce que j'ai le plus cher sur cette terre...
Elle laissa échappé un cri de détresse sans savoir s'il était destiné à son père ou son petit ami!
Elle venait de perdre les deux hommes de sa vie en un clin d'oeil.
Les deux hommes qu'elle aimait....
Pourquoi Gabbens!!!!
Bellinda se laissa tomber par terre fixant le corps ensanglanté de son père. Une minute après des ambulanciers entrèrent dans le jardin munis d'un brancart. Elle le regardèrent soulever délicatement son père puis prendre son poux.
___ sauver le je vous en prie, je suis sur qu'il n'est pas mort.
____ Je suis vraiment désoler mademoiselle. Nous nous pouvons plus rien faire. Toutes nos condoléances...
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