homme en tant qu espece disparut
C’est une histoire banale, d’un homme banal, qui tombe amoureuse, rien de plus banal, on attend un « mais » qui sera banal ou qui bouleversera cette banalité. Mais l’amour est banal entre deux hommes banals à qui on dit qu’ils ne sont pas banals mais qui se sentent comme cela.
On pourrait parler d'une histoire extraordinairement banale, de deux femmes et deux hommes ou bien de trois personnes qui s’aiment dans une harmonie banale et à qui ont dit qu’ils, elles, eux ne le sont pas.
On pourrait parler des tentatives des médias de banalisé le mal en le répétant provoquant une lassitude qui nous fait attrister au lieu de nous lever contre, ces femmes banales, ces hommes banals, ces personnes banales, qui sont tombées sur des amants, des amantes, des gens cruels. Mais qui reste soit par amours soit le plus souvent parce que ces gens cruels ont bien fait leur job de personne monstrueuse ou de personne qui ne sait pas aimer
Alors oui je vais parler de cette banalité qui n’aurait ou qui aurait de l’être. De ces morts banals qui n’auraient pas dû l’être, de ces personnes de couleur qui sont humaines, qui sont de la même espèce mais qui sont de variété différente car après tous les blancs, les noirs, les asiatiques, et les autres qu’on entend plus. Ces Hommes sont des animaux.
Ne déformé par mes propos les humains. Les Humains sont une espèce mais dans cette espèce il y a des croisements dus à la sélection naturelle (comme avec toutes les espèces) que je compare cruellement aux variétés de chiens dans une espèce. bien que je plaigne les chiens dans cette comparaison car eux soient loyaux, beaux, humains ; tandis ce que nous humain nous sommes laids, horribles, des bêtes.
J’ai honte de ce que l’humain est devenu.
Et pourtant on s’y attache à ses humains ses choses qui rigolent dans leur malheur, qui vivent tant bien que mal leur vie malgré les malheurs qui les englobent. L’être humain peut être magnifique.
Pourtant chez l’homme on a le bien et le mal, le soldat et le civil, le martyr et la victime, le menteur et l’honnête, on a le leader et le paria, on a l’espoir et le désespoir. On a toutes ces personnes qu’on aurait voulu garder près de soi et on a ces personnes qu’on déteste mais qu’on a gardées. Les Hommes sont la seule espèce qui se croit si supérieur aux autres et qui pourtant perd du temps à se chamailler pour du pétrole ou qui sais-je encore.
Il y a des combats qui se doivent d’être porté et ne pas engluer dans une levé puis oublié. Des fois il faut sourire ce qu’on a, sinon nous resterons éternellement insatisfaits.
Mon combat ces limites au désir de voir mes amis heureux, de pouvoir regarder un jour tous ses gens et de leur dire « je vous emmerde vous et votre psychophobie, vous et votre anthropophobie » parce qu'à vouloir éteindre les minorités vous cet entrain de faire crever la beauté de l’humain.
L’humain brille par cette personne spéciale, belle, courageuse, parfois de sacré salaud mais mérite d'être regardé comme des miracles, regarder un enfant autiste asexuel, une personne atteinte de vitiligo ou ses personnes ayant une carte de leur malheur gravé sur la peau.
REGARDEZ LES SOURIRES, AIMER COMME SI LE MONDE ALLAIT LES ENGLOUTIR, REGARDER SES GENS QUI S’AIMENT ET OSEZ ME LE DIRE QU’ILS SONT ANORMAUX !
C’est l’histoire d’Homme banal qui s’aiment
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