☆ Chapitre - 34 ☆
Zackary
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Zoé a un corps de rêve. Elle a tout ce qu'il faut, là où il faut et même plus encore, enfin selon mes critères et préférences bien sûr, mais pas que. Le regard, qu'ont posé les hommes qu'on a croisés, en venant au chalet ne trompe pas.
Ma Zoé est un véritablement ange.
Des lignes douces de son visage à celles plus arrondies de ses fesses, en passant par de longues jambes fuselées en continuant par sa taille si bien marquée, en remontant sur le galbe de sa poitrine ferme, et en terminant par son regard dans lequel je me perds régulièrement, tout me plaît.
Je suis un homme comblé.
Mon ange a vraiment tout pour me faire perdre la tête, pour que je la désire, pour que je la possède, pour que je la...
Non ! Stop !
Je ne veux plus être ce genre de mec, ni avoir ce genre de pensées, et encore moins avec elle. Je me suis fait une promesse au soir du jugement : plus d'alcool, plus de baise compulsive, et je veux m'y tenir.
Même si c'est dur, même si je dois prendre sur moi et redoubler d'efforts face à mes démons.
Pour ça, je peux compter sur mes entraînements de boxe qui m'ont toujours aidé. Je ne la pratique pas pour faire des combats. Non, moi ce que j'aime, c'est de me défouler et de transpirer en tapant, encore et encore dans un sac de frappe, c'est de monter sur un ring juste pour boxer, pour le fun ou de sculpter les muscles de mon corps en faisant des tractions.
Le dépassement de soi, voilà ce que je recherche dans ce sport, afin de me canaliser et d'oublier toute cette merde. Je vais devoir me trouver une salle de boxe rapidement, parce que depuis mon arrivée, je ne me suis pas entraîné, et devant son corps si parfait et offert, mes résolutions sont mises à mal, et sont en train de voler en éclats.
Je dois prendre sur moi pour lui accorder le temps nécessaire pour la découvrir, pour vénérer chaque partie de son corps, de sa peau, et ça tout en douceur...
Mais Zoé ne fait rien pour m'aider.
Au contraire, elle attise le feu et souffle sur les braises du volcan, qu'est devenu mon corps. Et comme si ce n'était pas assez, ma queue se joint à Zoé et est d'accord avec elle. Cette espèce de traîtresse s'agite dans mon caleçon, ne demandant qu'à sortir, et à passer à l'action.
Faut dire aussi, qu'en dehors de ma main qui la branle, ma queue n'a eu droit à rien d'autre depuis trois mois.
Depuis le jugement...
— Zackary, me sort-elle de ma réflexion d'une voix de velours.
Ses yeux brûlants de désir me fixent, après que je lui ai sucé avidement cette langue qui me tentait trop, et que je me devais de libérer de ses dents, je...
Mais que fait-elle ?
Mon ange veut ma mort, là c'est sûr !
Je serre mes poings comme si ça pouvait m'aider à affronter cette nouvelle tentation. Elle se tient toujours à genoux face à moi, mais la voilà qui écarte légèrement ses jambes, et dans un mouvement lent et maîtrisé, elle se cambre en arrière, assurant sa descente en plaçant ses mains sur ses chevilles.
Zoé s'offre à moi, sans aucunes retenues.
Le spectacle de son corps tendu par cette courbure arrière est tout simplement fascinant. Son cou ainsi exposé révèle ses clavicules saillantes. Mon regard continu sa progression quand il se stoppe net sur cette nouvelle fascination.
J'en reste bouche bée.
Ses seins ont pris du volume dû à cette position et me défient en sortant de leur cage de dentelle. Celle-ci dissimulant à peine ses tétons tendus qui affleurent la bordure, m'invitant ainsi à la dégustation.
Sa chevelure de lionne libérée de sa natte ajoute le détail charnel à ce tableau d'une telle sensualité, qu'il aurait pu être peint sous les coups de pinceaux d'un artiste inspiré par ses mèches rousses courant le long de son dos, alors que quelques boucles rebelles encadrent son visage, ses épaules et dont les pointes se terminent à la naissance de sa poitrine.
Je ferme les yeux pour graver à jamais cette image sur mes rétines. Je ne veux surtout pas oublier ce corps de déesse, cet abandon de soi et cette tentation faite femme.
Je la désire tant que si je me laisse emporter, j'ai peur de l'emporter, avec moi, vers les ténèbres. Alors qu'au contraire, je veux nous envelopper de douceur, de tendresse et d'amour.
De ma main tendue, j'enroule mes doigts autour de ses mèches sauvages, les porte à mon nez et les hume. Ce parfum si personnel, qui ne ressemble qu'à mon ange devenu démon m'envoûte, et tout en les replaçant, je capture sa nuque et redresse sa tête tandis que de l'autre, je caresse sa joue, suivant, trait par trait les sillons que dessinent ses lèvres entrouvertes, prêtent à accueillir les miennes.
Dans un souffle, je m'approche d'elles, et parsème ses joues de petits baisers, je flirte avec ses lèvres sans jamais les toucher, seulement les effleurer pour mieux les déguster. Pour en capturer leur goût, leur fragrance, leur impatience et leur désir.
— Embrasse-moi, où je ne réponds plus de rien, m'ordonne-t-elle d'une voix dominée par son désir.
Ses mains ont libéré ses chevilles pour s'accrocher à mes épaules et m'attirer à elle. J'accueille son souffle libérateur quand mes lèvres entrent en contact avec les siennes. Quand elles s'apprivoisent, se reconnaissent et s'unissent enfin dans un baiser tendre et langoureux, tandis que nos mains elles s'agitent, contrastant avec la lenteur de notre baiser où nos langues se savourent.
Nos mains adoptent leurs propres rythmes, et se déplacent à la vitesse du tempo de nos cœurs. Mes doigts suivent la bordure en dentelle afin de capturer ses tétons en partie dissimulés.
Je les caresse, les frôle, les fais tourner entre mes doigts et je suis captivé par l'effet que cela produit sur mon ange. Ses petits gémissements qui passent la barrière de ses lèvres pour s'échouer sur les miennes me rendent fou. Mais quand Zoé délaisse mes épaules pour migrer vers mes cheveux, mes doigts s'agrippent et les pincent, afin de ne pas perdre pied.
Mais c'est peine perdue quand elle tire dessus, m'obligeant à lâcher ses lèvres, et me guidant jusqu'à son sein droit m'indiquant ainsi ce qu'elle désire. Son râle est ma plus belle récompense quand je passe ma langue sur son téton dur et si sensible.
— Oh oui Zackary, encore...
Sa voix se perdant dans son souffle erratique, dans ses prises d'air incontrôlées, dans ses dents serrées sur sa lèvre inférieure m'encourage à lui donner tout le plaisir, qu'elle réclame et me transmet.
— Mon ange tu es si belle, si désirable, j'ai envie de...
— Viens, m'invite-t-elle entre deux halètements en attirant, mon corps contre le sien.
Je sonde ses yeux, mais cette fois-ci pas de tremblements, de doutes ou de peur, rien qu'un désir enflammé. Je décale mon bassin pour ne pas peser de tout mon poids sur elle, alors que je lui retire son string, que de sa main elle tente de baisser mon caleçon, que je finis par retirer moi-même, attrapant au passage un étui argenté, que je dépose à côté de nous.
Ma main remonte délicatement le long de sa jambe avant de frôler l'intérieur de sa cuisse. Zoé entrouvre gracieusement ses jambes et me laisse glisser ma main vers son intimité.
Mon majeur caresse sa fente humide, elle est déjà prête à me recevoir, mais je ne peux pas me passer du plaisir que mes doigts vont lui apporter. Enfin juste assez, pour lui faire perdre la tête, alors qu'ils vont et viennent en elle, et que j'embrasse son clitoris.
Ses mains lâchent le plaid auquel elle s'était agrippée fortement pour canaliser les spasmes de plaisirs qui étaient en train de la gagner. Zoé s'empare de l'étui, le déchire d'un coup de dent volontaire, avant de me le tendre.
Zoé se redresse sur ses coudes et ne perd rien de mes gestes. Elle passe la langue sur sa lèvre, et la mord quand je fais quelques allers-retours sur ma queue afin de m'équiper. Ses yeux me dévorent et d'une voix éraillée m'avoue :
— C'est terriblement... Sexy...
— Tu aimes me voir me branler. Ça t'excite, hein ?
Elle hoche la tête, puis la baisse comme intimidée par mes mots crus, déglutie et se ravise.
— Je peux ? ose-t-elle me demander les joues écarlates.
J'aime ce mélange de timidité et de témérité dont elle fait preuve, ne se cachant pas derrière son manque d'expérience. J'attrape sa main et la guide. Ses longs doigts fins se resserrent sur ma queue, et sans me quitter des yeux, Zoé entame de longs va-et-vient qui m'arrachent un juron.
— Putain de...
— Tu aimes ? m'interroge-t-elle plus pour se rassurer, que pour vraiment connaître mon ressenti, tant il est perceptible.
Si Zoé savait le plaisir qu'elle m'offre. Elle est la première, de qui j'accepte ce geste, si intime pour moi. J'ai l'impression d'être mis à nu, et de ne plus rien contrôler. Car aucune main, autre que la mienne, ne m'a jamais branlé.
Je serre les dents afin de contrôler mon plaisir, sinon je vais me répandre dans sa main, avant d'avoir pu m'enfoncer en elle. Merde, ça fait trois mois que je n'ai pas... Et là, de la voir me donner du plaisir, de savoir que je vais pouvoir en prendre, et surtout lui en offrir en lui faisant l'amour, ça ajoute une dose de sensations inconnues et nouvelles, qui surpassent largement toutes mes expériences...
Je pose mes doigts sur les siens, et lui avoue :
— C'est trop bon ! Mais... Arrête...
Je suis à bout de souffle et peine à le reprendre, mais je fonds devant Zoé qui se mord la lèvre ne pouvant empêcher son sourire de tendre ses lèvres. Oh oui, elle peut être satisfaite d'elle.
Je tire sur sa lèvre pour la délivrer, avant de l'embrasser passionnément, avant d'empaumer son sein, avant de descendre et de cajoler son intimité.
Zoé se cambre sous mes caresses toujours plus précises, ses muscles commencent à être pris de spasmes, son souffle se bloque, et je sais que c'est le bon moment.
Tout en l'embrassant, je fais rouler la capote sur ma queue tendue et dure. Je me déplace entre ses jambes, qu'elle écarte un peu plus afin de m'accueillir et de me donner l'accès...
Nous y sommes presque. Putain, qu'est-ce que je l'ai rêvé ce moment !
Plus que quelques centimètres, et je serais enfin en elle.
Sans un mot nos regards se capturent, se dévorent, se donnent à l'autre, je la pénètre un peu sans jamais lâcher ses yeux, et m'arrête pour qu'elle s'habitue à ma queue. J'attends qu'elle l'accepte, qu'elle se dilate assez pour que je puisse progresser doucement.
Dans un mouvement de tendresse absolue, j'enlace nos mains de chaque côté de sa tête. Mon corps l'englobe de tout mon amour, mon regard la rassure, alors que d'un coup de reins rapide et sec, ma queue la pénètre, avant que je ne me stoppe.
Je sais qu'elle doit avoir mal, d'ailleurs ses yeux ne mentent pas, ils se sont plissés sous mon assaut qui n'avait rien de doux, mais de nécessaire pour faire céder sa virginité. Une larme solitaire roule sur sa joue, je la recueille du bout de ma langue, alors que ses lèvres me quémandent un long baiser passionné et fiévreux.
Un baiser qui lui permet petit à petit de se détendre, et qui m'incite à me mouvoir, et à enchaîner des va-et-vient doux et lents.
Quel pied que de me perdre en elle, de la sentir m'accepter, et de lire dans ses yeux tout le plaisir qu'elle ressent maintenant. Nos mains toujours liées, nos regards perdus dans celui de l'autre, nous sommes à l'écoute de nos désirs, et je sais que je peux accélérer la cadence, quand je la sens se cambrer sous l'intensité de la passion qui nous lie, quand je vois les traits de son visage qui se détendent, quand elle me dit d'une voix suave :
— Je t'aime mon amoureux.
— Je t'aime tant mon ange.
Notre désir augmente au même rythme que mes va-et-vient qui deviennent plus profonds et intenses.
Je sens que Zoé est prête à exploser autant que moi je peux l'être. Alors je me retire presque entièrement avant de m'enfoncer entièrement en elle dans un dernier coup de reins, qui lui donne le coup de grâce et la propulse vers la jouissance, se contractant spasmodiquement autour de ma queue, ce massage est juste divin, et après deux allers-retours magiques, je me vide dans la capote en libérant un son guttural.
Je m'effondre quelques secondes sur elle tant le plaisir m'assaille.
C'était tellement bon, que je n'arrive plus à parler.
Je me redresse sur mes coudes.
Mes yeux la scrutent, et je peux lire sur son visage tout le bonheur que mon ange ressent. Elle me sourit, tendrement, et ses pupilles dilatées, et embrumées de plaisir, ne me quittent pas, j'adore ses pommettes rougies par la jouissance que je viens de lui donner, et je l'embrasse jusqu'à ce que l'on soit à bout de souffle.
Je suis toujours en elle, et je n'ose bouger de peur de réveiller sa douleur, mais plus je vais attendre, et plus elle aura mal. Pourtant, je ne veux pas me retirer, je voudrais tant rester elle, je voudrais ressentir, encore et encore ce bonheur infini qu'elle m'a donné en s'offrant en moi.
Alors même si je fais éclater notre bulle, je dois briser le silence. Et à contrecœur, je lui demande tout en bougeant tout doucement en elle :
— Tu es prête ?
Ses yeux s'agrandissent de stupeur face à ma question.
— Tu veux recommencer ? s'inquiète-t-elle.
— Ça ne me déplairait pas, avoué-je dans un demi-sourire pour la taquiner. Mais je sais que cela t'est impossible, et je dois moi aussi attendre un peu. C'est juste, que je voudrais te faire le moins de mal possible en me retirant. Essaye de détendre...
— Embrasse-moi alors ! me coupe-t-elle.
Un baiser enflammé qui la captive et l'enflamme, et qui me permet de sortir sans trop de résistances. Je retire ma capote, fait un nœud et...
Putain d'habitude.
Non, je ne veux pas replonger, je dois fermer les yeux, faire le vide, mais il me suffit de voir son corps alangui, sa peau perlée de sueurs, ses joues rougies, et ses cheveux en bataille, pour savoir que j'ai dépassé tout ça, et que j'ai franchi un cap avec elle.
Je viens de faire l'amour avec mon ange pour la première fois.
Notre première fois...
— Comment tu te sens ?
— Bien ! Terriblement bien même, avoue-t-elle en étirant son corps dans un sourire satisfait.
— Tu es magnifique mon ange, si belle, si tendre, si réceptive... Si tu savais comme je t'aime...
— J'en ai eu une petite idée, me taquine-t-elle avant d'ajouter dans un souffle au creux de mon oreille : « Merci d'avoir exaucé mon vœu, mon amoureux ».
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😁 Je vous entends d'ici souffler et dire 😂
"Enfin" ou "Ce n'est pas déjà !" ou encore "Yes, ils y sont arrivés" et j'en passe...
😉📍 Il me tarde de lire vos commentaires 📍😉
💕 En tout cas, ils ne sont pas près de l'oublier "leur première fois !" 💕
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Prochain chapitre : Zoé
😘 Gros bisous et bonne soirée 😘
🌸 Kty. Auteure 🌸
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