☆ Chapitre - 27 ☆


Zackary

⤟⥈⤠

Je la regarde se déplacer dans la pièce de jour et sa joie me fait du bien.

J'avais peur que ce chalet (*) ne lui plaise pas ou que la décoration soit trop kitch à son goût avec toutes ces poutres en bois et son confort somme toute rudimentaire. (*modification : la cabane devient un petit chalet pour les besoins de la suite de l'histoire.) 

Zoé se retourne enfin vers moi et son sourire vaut toutes les réponses du monde. L'endroit est bien choisi et lui plaît. En sera-t-il ainsi pour la suite de la soirée ? Je l'espère car notre câlin poussé de ce matin m'a encore plus donné envie d'elle et de son corps... 

Comme si c'était possible !

Il me suffit de repenser à ses seins pour que je me retrouve à l'étroit dans mon caleçon. Alors quand Zoé se jette sur moi pour m'embrasser, elle ne fait qu'attiser ce feu qui brûle en moi, contrairement à mon ange, qui est gelée. Je lui indique la chambre, pour trouver tout ce qu'il lui faut pour qu'elle se change, et se mette à l'aise ensuite devant le poêle à bois, du temps que je prépare un bon chocolat chaud. Je reviens au salon avec mes deux mugs, quand elle entre dans mon champ de vision, je m'arrête net.

Oh mon Dieu, je vais faire comment pour tenir bon pendant tout le repas, alors que Zoé sera face à moi dans cette tenue. Elle est juste habillée de mon pull en laine beige, ainsi que de ces jambières dans la même matière.

Elle est tellement sexy avec ses cheveux tressés en une longue natte et ses quelques mèches rebelles qui s'en échappent.

Zoé a senti ma présence et le regard enjôleur qu'elle me lance est comme de l'essence projetée sur des braises. Elle m'enflamme et m'achève, quand elle se lève et vient à ma rencontre d'une démarche féline.

Les mugs toujours dans les mains, je suis vulnérable et à la merci de son attaque tant elle est déterminée.

Zoé se place face à moi et se grandissant sur la pointe des pieds, me dépose un baiser sur mes lèvres sèches. Sa langue entreprend un ballet sur chacune d'elles, afin de les lécher et de me les mordiller.

Cette chipie se sert, et fait ce qu'elle veut de moi. Je vais pour déposer les mugs, quand elle s'attaque à mon cou et le butine en alternant baisers, morsures, et coups de langue.

Je pense que le message est clair.

— Laisse-moi au moins déposer les chocolats, ricané-je.

— Tu étais pourtant si mignon sans défenses.

— Tu vas voir ce que le mignon va te faire, lui susurré-je.

Je souffle sur sa peau juste en dessous de son lobe avant de le lui mordre. Ses oreilles sont à son image, si petites et tentantes, que je ne résiste pas au plaisir de les lui suçoter, quand je la sens frémir et réagir.

Zoé incline la tête pour me laisser libre accès à son cou demandeur de plus de considération. Je la soulève du sol en passant mes mains sous ses fesses et je découvre, qu'elles ne sont pas recouvertes par du tissu. C'est la première fois que je sens cette partie de son corps nue et je ne peux m'empêcher de les empoigner à pleines mains.

Zoé a décidé de me tuer en portant juste un string.

Avait-elle anticipé ce que j'avais prévu pour ce soir ?

Lorsque, je la vois sourire toute contente de son effet, j'ai ma réponse.

— Nous avons toute la nuit, tu sais !

— Je sais, mais c'est mon anniversaire.

— Alors, tu veux décider ? C'est ça ?

— Je voudrais reprendre là où l'on s'est arrêté ce matin, me lance-t-elle les yeux brûlants de désir.

Je vais pour la déposer sur le canapé, quand je m'aperçois que tous les plaids sont au sol devant le feu de bois avec les coussins.

— Tu as tout préparé à ce que je vois, constaté-je un brin contrarié.

— Ça t'embête ?

— C'est juste, que je n'y avais pas pensé, ne sachant pas si...

— Arrête de te poser mille questions. Tout ce que tu as fait et préparé est parfait.

Mon sourire revient, et je suis content de pouvoir balayer mes doutes d'un revers de main. Tout ce qui m'importe, c'est que Zoé soit heureuse après tout.

Je m'agenouille et la dépose sur les plaids, avant de m'installer à ses côtés. Appuyé contre les gros coussins, je passe mon bras sur ses épaules et l'attire à moi, pour qu'on apprécie le bonheur d'être ensemble face à ce feu, qui brûle tout autant que nous.

Nos regards se croisent au même moment et le désir que je lis dans le sien répond largement au mien.

Ma main se pose sur sa joue, avant que mon pouce caresse sa pommette, descende le long de son nez, avant de dessiner le contour de ses lèvres.

Son regard ne me quitte pas, et quand j'y lis cette pointe d'espièglerie, il est déjà trop tard.

Zoé a capturé mon pouce entre ses dents. 

Son sourire vainqueur me fait rire, mais il se transforme vite en surprise, quand elle se met à le sucer, lentement d'abord puis sa succion s'intensifie, et je n'arrive plus à garder le contrôle. C'en est trop...

Je reprends mon pouce et le remplace par mes lèvres qui la dévorent.

Je la désire tant que c'en est même douloureux.

Mes mains s'activent et lui retirent ce gros pull, qui dissimule son corps, que j'ai tant envie de toucher, de lécher, de recouvrir de baiser.

Zoé est juste sublime.

En fait le cadeau d'anniversaire, c'est elle qui me l'offre en se donnant à moi. Zoé ne porte qu'un soutien-gorge en dentelle noire assorti à son string.

Tête baissée, son attitude contraste avec celle de tout à l'heure et je peux comprendre que de se retrouver avec si peu de tissus sur soi doit la déstabiliser quelque peu.

Alors je retire mon pull et mon tee-shirt en même temps, pour que nos corps soient à égalité.

Je m'attaque aux boutons de mon jeans, quand ces mains délicates me stoppent. Ses yeux plongent dans les miens et Zoé se lance :

— Je peux ?

Je retire mes mains, et les lève en signe de reddition. Je baisse mon regard pour ne rien manquer de ses mouvements.

Je déglutis fortement.

Putain, ce n'est pourtant pas la première nana que je vais sauter. Cependant avec Zoé, je redécouvre cet acte de fusion entre deux corps qui se désirent, qui se touchent, qui se donnent du plaisir et le partage.

Serait-ce l'amour qui fait toute la différence dans mon ressenti ?

Je sens sa main appuyée sur mon torse pour m'inviter à m'allonger sur le dos pendant qu'elle détache un à un les rivets de ma braguette.

Zoé prend son temps entre chaque bouton en prenant sa mission très au sérieux. Sa lente descente intensifie son sourire ainsi que sa satisfaction, au contraire de mon désir qui lui n'arrête de monter.

— Nous voilà à égalité, lui soufflé-je.

— Heu... Oui...

Je profite de son moment d'égarement à me reluquer pour reprendre les choses en mains. Pas que je n'aime pas ses initiatives, mais je ne suis pas habitué, et je préfère être aux commandes.

Je me poste dans la même position que Zoé, à genoux et face à elle. Ma main crochète sa nuque pour prendre possession de sa bouche avec intensité. Ce baiser reflète notre désir enflammé, possessif et demandeur de plus de caresses, de plus de sensations...

De mon autre main, je dégrafe son soutien-gorge et le lui retire sans cacher mon plaisir de retrouver ses magnifiques seins gonflés, tout en rondeurs, et pointant de désir. Mon attirance pour eux est satisfaite, quand ma bouche reprend contact avec son mamelon durci, que je taquine du bout de ma langue, avant de le prendre à pleine bouche pour le lui sucer avec avidité.

Son corps se cambre et sa tête part en arrière sous mes assauts. 

Une posture qui m'incite à l'allonger, à placer un de mes genoux entre ses cuisses pour les lui garder entrouvertes. Ma bouche s'active, alors que mon autre paume rejoint son sein libre, que j'empaume à pleine main. Tout en le cajolant, mon pouce et mon index titillent et pince son téton. Une combinaison qui lui arrache des gémissements, qui enchante mes oreilles et ma queue.

Je dois pourtant attendre avant de la prendre, je dois vérifier que son excitation est à son comble, pour m'accueillir sans que la douleur soit trop importante.

Ma main délaisse son sein afin de lui caresser le ventre qui se contracte, quand mes doigts effleurent le bord de son string.

Je me redresse et plante mes iris brûlants, dans ses pupilles dilatées pour y lire sa crainte ou son consentement, avant d'aller plus loin. Je me dois d'être vigilant.

— Tu veux...

— Continuer, termine-t-elle ma phrase avec empressement.

Ses mains se placent derrière ma nuque, puis plongent dans mes cheveux quand je prends possession de son autre téton, à qui je prodigue les mêmes faveurs qu'au premier.

Son corps se cabre sous mes caresses et mes doigts n'ont aucun mal à passer la barrière de son string.

Un son lui échappe au moment où mon majeur découvre son intimité déjà humide. J'attends que Zoé respire à nouveau avant de tourner lentement mon doigt autour de son bouton de plaisir qui est très réactif.

Ses yeux sont fermés, ses mains agrippent le plaid sous elle, son corps est tendu comme un arc et je ne peux m'empêcher de l'admirer, de ressentir chacune de ses sensations, que lui procure mon doigt. Je tiens à décrypter le moindre de ses mouvements, de ses signes qui me diront ce que Zoé aime, et apprécie dans mes caresses. Je veux surtout m'assurer que je ne lui fais pas mal ou que je ne suis pas trop pressant.

Mais quand je sens ses hanches se soulever, je sais que Zoé aime et apprécie. Son attitude m'incite à continuer et c'est avec délicatesse que je pousse mon index au creux de son intimité. Je progresse doucement et le plaisir que me procurent les va-et-vient de mon doigt dans son antre chaud et humide reflète le plaisir de Zoé. Elle est si belle avec ses joues rougies, ses mèches folles de cheveux qui se collent à sa peau fine.

Je n'ose anticiper le plaisir qu'elle va ressentir quand je serais en elle. Je ne dois pas y penser sous peine de me répandre dans mon caleçon, avant même de l'avoir pénétrée.

Je me penche sur sa bouche et l'embrasse amoureusement, pendant que mes va-et-vient s'intensifient et que mon pouce taquine son plaisir en sachant que cette combinaison va lui faire perdre la tête. Je veux avaler son plaisir, ses gémissements et ses râles au moment où mon ange jouit pour la première fois.

Sa jouissance est à son image sans superflus, sans gémissements inutiles, tout ce qu'elle ressent est vrai et non feint. Tout en l'admirant, je retire mon caleçon et recouvre ma queue tendue d'un préservatif. Je me positionne entre ses jambes, les lui écarte et les soulève pour que ma pénétration soit plus aisée et moins douloureuse pour elle. J'attends que son regard me donne son assentiment, mais je sens ses muscles se crisper sous mes mains. Je lâche ses jambes et place mes mains en coupe autour de son visage.

— Mon ange, on peut s'arrêter là. Tu n'es pas obligée de...

— Embrasse-moi.

Je m'exécute et notre baiser dissipe quelque peu ma déception de devoir m'arrêter. Mais il n'est pas question que je continue et lui prenne sa virginité si ma Zoé ne se sent pas prête. Nous avons tout le temps, et si ce n'est pas ce soir et bien cela se fera un autre jour. Je ne veux rien précipiter ou forcer, et encore moins qu'elle se sente obligée d'accepter juste pour me faire plaisir. Je la vois se tendre et baisser les yeux, et je ne veux pas qu'elle s'en veuille.

— Regarde-moi mon ange.

Zoé lève sa tête vers la mienne et hésite à me regarder franchement.

— Tu as été merveilleuse, et si tu savais le plaisir que tu m'as offert avec ton premier orgasme, tu ne ferais pas cette tête mon ange.

— Mais, je n'ai même pas...

— Tu n'as pas besoin d'en faire plus pour me combler. Ton plaisir est aussi le mien.

— Oh mon amoureux... dit-elle en m'embrassant. Je t'aime, je t'aime, je t'aime, tout en semant des bisous sur mon visage.

— Je t'aime tant mon ange.

⤟⥈⤠

💖Un moment très complice empreint de tendresse, d'envies, de doutes et de réticences... À se demander qui a le plus peur des deux ? 💖

📍 Dites-moi tout ! 📍

Ces passages sont-ils comme vous les aviez imaginés ? 

⛔ Trop ou pas assez détaillés ? 🔞

J'ai vraiment besoin de votre ressenti ! 

⤟⥈⤠

😘 Gros bisous mes Loulous 😍

📚 Kty. Auteure 📚

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top