Chapitre 1
Aujourd'hui aurait pu être un jour totalement banal à Las Vegas... malheureusement pour Valentino, il avait passé la pire journée de sa vie. Contrôle de la douane et de la brigade anti-drogue. Ayant été mit en garde à vue, il a pu payer sa caution de sortie, ainsi que soudoyer quelques personnes pour étouffer l'affaire. Mais certaines boîtes de journalisme privée avaient gardés des traces de l'affaire faisant fureur dans la ville, et rager Valentino au plus haut point : la fermeture définitive de son studio. Valentino avait été obligé de se reclure dans les recoins les plus sombres de la ville pour échapper à la population. La première personne qui oserait l'ennuyer passerait un sale moment...
une jeune femme au {l/c} {c/c} marcha dans les rue semblant chercher qu'elle que chose et semblait un peut perdu Valentino était caché derrière ses lunettes et avait le menton enfouit dans la fourrure de son manteau. Il ne voulait pas se faire remarquer, bien que, malheureusement, il ne passait pas inaperçu, même pour les rares personnes qu'il croisaient. la jeune femme s'avença timide vers cette grand homme et demanda d'une petite voix
- Excusé moi...?
Valentino se retourna vers toi et te toisa d'un œil mauvais
- Qu'est-ce que tu me veux ?
- J-je me suis légèrement perdu m'aider pouver vous m'aider ?
Valentino grogna légèrement
- Qu'est-ce que tu cherches ?
- J-je suis journaliste et je chercher un certain Valentino ! Je suis nouvelle dans le métier...héhé
for t'elle avent de rire nerveusement
Valentino soupira, complètement désespéré
- C'est pas vrai ! Pourquoi est-ce qu'il faut que la seule personne que je croise soit une putain de journaliste ?
Valentino tourna les talons et commença à partir
- Tu peux aller voir ailleurs si j'y suis !
- S'il vous plaît je aussi désoler de vous avoir offensé !
Valentino répliqua avant de tourner à un coin de rue
- T'as vraiment pas l'air d'être taillée pour le métier, alors un conseil : Va te trouver quelqu'un d'autre à emmerder !
- Pardon ?!
dit t'elle d'une voix colérique
- Éscusé moi mais moi si je fait pas mon boulot je vais pas pouvoir manger alors s'il vous plaît laissait moi vous poser seulement UNE PUTQIN DE QUESTION MERDE !
Valentino se retourna vivement vers toi
- Alors vas-y, qu'on en finisse !
Elle soufla de soulagement et commença à poser sa question avec hésitation
- C-Comment avais vous pris la fermeture de votre studio ?
Valentino te fixa, dubitatif. Il te lança sans délicatesse, avec un air sarcastique
- Disons que je peux plus faire mon boulot, donc je n'aurait plus d'argent pour manger ! Ca va, t'es contente maintenant ?
Elle réfléchisa a une solution et dit
- Et si vous éssaie de vous trouvais une nouvelle pations et de la pratiqué ?
Valentino grogna
- T'es journaliste ou psy ?
- Hahaha les deux on peut dire !
dit t'elle un sourire fière au lévre Valentino leva les yeux au ciel
- Génial... Bon, je peux partir maintenant que t'as eu ta réponse ?
- Et bien juste une dernière s'il vous plaît ! Enfin si vous mi autorisé ?
dit t'elle en finissant d'écrire
Valentino baissa la tête, résigné
- Je t'écoutes...
Valentino éclata de rire
- A ton avis, pourquoi un studio faisant l'apologie de la pornographie et de la drogue a fermé d'après toi ?
- J'avoue...question bête !
- T'as pas l'air d'être vraiment la norme des journaliste ! Du genre chiant à en mourir ! Enfin... fais tout de même en sorte qu'on se recroise pas.
Valentino partit jusqu'à être hors de ta vue. la jeune femme étais assé dessus...de ne pas l'avoir aidés Valentino s'enferma dans son petit appartement. Il pu enfin souffler. Plus personne ne viendrait l'emmerder pour le moment, enfin en tout cas, il espérait. la jeune femme déposa un mot dans sa boit au lettre ! Et reparti Cettais tous simplement un numéro de téléphone Agacé, Valentino laissa le papier sur la table et partit se coucher. Le lendemain matin, il revit ce mystérieux numéro. Devenant de plus en plus intriguée, il rentra le numéro dans son téléphone, et appela cet étrange numéro
- {Val} : A qui ai-je affaire ?
une voix fatigué raipondis une voix d'une jeune femme
- Bonjour.
- {Val} : Et merde... Je rêve. Tu sais que c'est du harcèlement ce que tu fais ?
- Nope je suis juste déterminer à aider
- ...Fait gaffe c'est le matin et je suis de mauvais poile le matin ! Enfin bref reprenons le sujet de base.
- {Val} : Je t'écoutes... de toute façon, j'ai pas vraiment le choix...
- Bien ! Donc à tu d'autre parions hier tu ne m'a pas raipondu.
- {Val} : Non.
- A tu éssaie dans trouvais au moin ?
- {Val} : Pourquoi je ferais ça ?
- Tu va quand même pas rester dans ton coin a penser à ton studio qui a fermer quand même ?
- {Val} : Je pense pas à mon studio qui a fermé, je pense à celui que je vais essayer d'ouvrir crétine !
- ....Tu sais oh moin que du coup la police sera deux foix plus sur toi du coup sa sera impossible d'en recouvrir un !
- {Val} : Je penses pas avoir besoin des conseils d'une journaliste !
- C'est pas des conseils mais logique !
- {Val} : Alors que me proposerais-tu, toi et ta grande maîtrise de la situation ?
- Je te le dit de puis le début.
Elle soupire
- Et bien je...
Valentino réfléchit un instant. Cela ne lui était jamais arrivé que quelqu'un veuilles l'aider... Et puis, te voir galérer à trouver une solution qui n'existe pas, ça pourrait être drôle. Il décréta
- {Val} : Retrouves-moi au "Café de bonne espérance", je serai à une table discrète.
Sans un mot de plus, il raccrocha et se prépara à partir.
Elle sourit avec espoire et sorti un papillé
- Il y a une exposition sur les différent métis ainsi que parions il y an plus de 6000 !
Valentino le prit et le regarda sans grand intérêt. Te voyant toute souriant et enjouée, il soupira, désespéré
- Après ça, est-ce que tu te décideras enfin à me foutre la paix ?
- On verra bien et se Tu comme tu le dit s'appelle {t/p}.
Il rétorqua
- Très bien. Dans ce cas, allons-y, qu'on en finisse.
- suit moi alors !
dit t'elle en se levant et lui fi signe de la suivre. Valentino te suivit avec un air ennuyé, le visage enfouie dans la fourrure de son manteau. après une 30 minute de marche vous retenez de sautillé de joie comme une enfant Valentino regarda le lieu d'exposition. Te voyant toute excitée, il râla
- Ca a l'air d'être ton kiff "d'aider" les gens toi...
- C'est vrais Mais pour la raison de mon bonheur c'est que on va avoir une guide !
Valentino haussa un sourcil
- Et alors ?
- Elle connais TOUS les métier ! Donc sa sera plus facile dans trouvais un pour toi avec elle !
Valentino rentra à l'intérieur en râlant
- Franchement, ton enthousiasme me donne la gerbe...
- Et quand tu râle on dirait un vielle homme de 56 ans
dit t'elle en marchent devant lui avec un sourire innocent faux
- Disons que j'ai l'expérience et le vécu d'un homme de cet âge. Mais ne va pas croire que j'ai 56 ans, c'est clair ?!
- Ah ta 78 ans alors ?
Valentino grogna
- J'ai 28 ans, je te signale !
- Je te taquine ne t'inquiète pas ! Tu fait même plus jeune a vrais dire.
Valentino fut surpris de ton compliment. Il se contenta donc de s'enfouir dans son manteau en pestant. une fois rentré une plus grande que {t/p} se presipita vers et la câlina enfin la soulève et lui tapota la tête se qui ne plus pas à la jeune femme
- Arrête sa tu sais bien que j'aime pas quand tu fait sa !
- Guide: C'est pas de ma faute si tes petite
la petite femme boullona de colère intérieurement
Valentino ricana
- Et toi, à te regarder, tu as à peine 10 ans on dirait !
automatiquement Elle donna un coup de poing entre les jambes au deux
- La petite peux s'énerver aussi et J'AI 30 ANS MERDE !
Valentino réprimanda un gémissement de douleur et se redressa en ricanant
- Et dire que tu es plus âgée que moi... c'est triste !
- Je prefere sa uwu
- Bon, on reste là à prendre racine ? Parce que si c'est le cas, je rentre chez moi !
- Nope
elle lui pris la main et le tira vers les différents stands et la guide expliqua donc chaque stands Valentino se laissa traîner à contrecœur, avant de s'arrêter devant un stand de photographie.
- Tu as trouvais ton bonheur ?
Valentino sursauta légèrement en t'entendant. Il s'avèrerait que ce n'était pas le stand de photographie qu'il regardait, mais un jeune chien, caché sous le bureau du stand. Il c'était sans doute échapper d'un des stands animalier. la jeune femme remarquant le chance mis à genoux et attira le chien vers elle qui marcha du premier coup
- Salut toi !
Valentino détourna le regard, se demandant quand cette scène d'une mignonnerie à le rendre aveugle allait se finir... sans vouloir avouer, ni à toi ni à lui-même, qu'il adorait les animaux. Elle pris le chien dans c'est bras et le câlina
-Tes trop mignon !
- Mais il est trop chouuuuu
- Mais oui, mais oui, il est mignon... on y va maintenant ?
- Bon ok.
elle posa le chien et marcha avec Valentino mais le chien les suiva donc elle décide de la gardé Valentino regardait le chien du coin de l'œil. Il se surprit à avoir un léger sourire.
les heures passe et on continua avec notre guide tout les stands
Devant les stands animaliers, Valentino passa un certain temps à regarder les chiens et les chats dans leur cage respective, quand la patronne vit le chien qui vous suivait
- Tiens, le voila celui-là !
Elle s'apprêtait à le reprendre. Voyant le regard du jeune chien et ta tristesse à le laisser repartir, Valentino hésita un instant. Les prix des chiens en animalerie étaient exorbitant, il savait très bien que tu ne pourrais pas y mettre le prix. Valentino soupira, résigné. Il donna une somme assez conséquente à la patronne
- Je voudrais ce chien.
La patronne resta un peu surprise avant d'accepter l'argent sans négociation, sans doute plus que suffisant et rendit le chien à Valentino. Il poussa un peu le chien au derrière pour qu'il retourne avec toi. Valentino grogna
- Ne va pas m'imaginer tout gentil et mignon, vu
les yeux de la jeune femme silumina
- Merci !
Malgré lui, Valentino siffla entre ses dents, de manière à peine audible
- De rien...
Elle lui sourit et caressa le chien avec joie
- Bon, maintenant qu'on en a finit avec ça, je vais enfin pouvoir retourner chez moi, et tu vas pouvoir faire de même de ton côté.
- Je te préviens Je lâche pas l'affaire aussi facilement !
Valentino se posta devant toi
- Sérieusement, qu'est-ce que t'attends de moi ?
- Que tu réussi ta vie corcteument !
Valentino te fixa, dubitatif. Il ne sut pas quoi répondre.
- Je suis qu'elle qu'un de très têtu !
- Ca, je crois que j'avais remarqué...
- Il faudra que tu ti fait alors ! Mais je te propose un truc ! Si j'arrive pas t'aider tu pourra fair bon te semble !
Valentino soupira
- D'accord, t'as gagné... mais si tu y arrives pas, je veux plus jamais te voir.
- D'accord !
Valentino te suivit donc, sans vraiment savoir dans quoi il s'engageait.
Elle l'amena donc vers un grand immeuble
- Où est-ce qu'on va exactement ?
- Cette immeuble c'est la ou il y a d'autre métié qui sont peux connue comme d'autre si ! Et c'est ici que je travail mais je te rassuré on ne va pas allé dans les bureaux du journal ! De plus c'est mon jour de repos
Valentino te suivit donc à travers les couloirs. Il avait la tête légèrement baissée, quand il osa te demander
- Pourquoi est-ce que tu cherches à m'aider... Je veux dire... pourquoi moi ?
- Perssone ne mérite d'être dans la merde ! La p,us pard des perssone g'aider que rarement les perssone alors j'aide les perssones qui en on besoin mais qui ne l'avoué pas et l'inverse !
Valentino marmonna
- Certaines personnes ne peuvent pas être sortit de leur merdier... elles sont trop encrée dedans...
- alors quand tes au fond il y a qu'une sorti et c'est de remonter et il faut juste prendre la main qui tes offert car les chance que une autre main te soit donne sont casi nul
- Tu es bien la première à vouloir t'y coller...
- T'es sûr que le métier de journaliste te convient ? J'ai l'impression d'avoir une psy en face de moi... enfin... quelle "aide" me proposes-tu ? Tu vas encore me parler de "passions" ?
- Dit moi à tu déjà éssaie le Théâtre ?
Valentino réfléchit un instant
- Oui, un peu... mais j'ai vite arrêté. Pourquoi ? Il y en a ici ?
Il semblait légèrement intrigué.
Elle sourit et se dirigea vers une porte et l'ouvri une salle plonger dans le noir mais la lumière se fit allumé pard la jeune femme une grande salle de théâtre y étais orné d'or et de rouge
- Bien sûr !
Valentino regarda les alentours, de plus en plus curieux. Il avança entre les sièges jusqu'à la scène.la scène étais si grande
Valentino se retourna vers toi
- Personne n'occupe cette pièce ?
- Non cette pièce et en vente de puis des années ! Elle risque d'être détruite pour a grandir nos bureau
Valentino n'hésita pas une seconde à te demander
- Combien coûte-t-elle ?
- Je ne sais pas il faut que je demande a ma patronne c'est elle qui gère sa !
Valentino se retourna de nouveau vers la scène et la regarda d'un air songeur
- La prochaine fois que tu la verras, dit lui que quelqu'un est intéressé par l'achat de cette pièce.
Elle sourit et le regarda avec émerveillement
- Vraiment ?!?
- Oui, vraiment.
- Je peux le fair matenant si tu veux ! Même si de base c'est mon jours de congés.
- Dans ce cas allons-y, avant que j'achète un endroit que l'on fera tomber en poussière.
Elle sourit elle l'amena vers les bureaux du journal local elle dit bonjour au peux de perssone qui étais la et alla tiquer à la porte de la patronne elle rentra avec Valentino
- Bonjour madame !
- Bonjour {t/p} alors tu a ses que tu a fini d'écrire l'article ?
- Euh...non m-
- Alors tu sort me le finir.
Valentino regarda la scène se dérouler sous son nez. Il eu un élan de mépris pour ta patronne. Il se surpris à vouloir te défendre, mais ce n'était sans doute pas une bonne idée pour son image... ni pour la tienne. Mais voyant l'air condescendant de ta patronne, il finit par se dire que lui clouer le bec pourrait être très drôle. Il se planta donc devant ta patronne et siffla de rage entre ses dents
- Je crois qu'elle vous a apporté un peu mieux qu'un simple article.
la femme se tenant derrière son bureau leva la tête vers Cette grand homme
- Je voix et bien pour ta première foix sur le terrain tu fait fort ! Haha que puis-je pour vous ?
Valentino garda son calme du mieux qu'il put. Il se contenta donc de dire
- Je souhaites acheter la pièce de théâtre. On m'a dit que c'est vous qui détenez les prix.
- C'est bien vrais
elle chercha dans son tiroirs avent de sortir un paquet de feuille
- Le prix de cette endroi et de 18 000 $
Valentino lui fit un sourire effrayant, lui faisant comprendre qu'il avait la maitrise totale de la situation
- Dans ce cas, je vous achète l'endroit. Inutile de s'encombrer de paperasses, je payerais cash.
- C'est d'accord alors je vous pris de signe les papiers
di t'elle en lui donnant un stylo et plusieurs papiers Valentino signa sans hésitation, puis la paya.
- Merci bien passé une bonne journée quand a toi demain dans mon bureau a 8 heure
la jeune femme ocha la tête s'avent que cettais pas bon signe Valentino s'assit dans un siège du premier rang et t'invita à faire de même avant de déclarer
- Je vais t'offrir une interview. Pose moi les questions que tu veux. Je déciderais d'y répondre ou pas, mais je ferai en sorte d'éclairer un maximum de tes propos. Profites-en, on te tendra pas une main pour te remonter à chaque fois.
elle étais tellement surprise mais sourit et sorti son bloc-note habituelle et commença à lui posé les question que on pose à n'importe qu'elle célibirté Valentino répondit à une grande partie de tes questions, en prenant le soin d'éviter les deux ou trois un peu trop personnelle à son goût.
- Merci beaucoup d'y avoir raipondu !
Valentino détourna le regard
- De rien...
Elle sourit avent de lui dire qu'elle que chose enfin si elle aurais pue avent que qu'elle qu'un cri sont Nom
- {T/P} !!!!
- Oh oh...
Valentino se releva de son siège calmement, bien qu'il soit un peu en rogne. Ce théâtre était maintenant sa propriété, et il n'avait pas envie qu'on y rentre comme dans un moulin. Il te suivit donc pour voir ce qui se tramait.
Cettais un homme qui visiblement travail lui aussi dans la presse
- j'ai besoin ton aide !
- Je peux fair pour toi ?
- J'arrive pas à finir mon article et si je le fini pas d'ici demain je serait viré
il s'emblerais que tout deux étais dans la même situations la différence ? Lui a assé d'argent pour vivre 1 ans sans travailler mais malgré sa
- D'accord je vais t'aider donne moi juste tes note et je le fairait !
- Tu me sauve la vie !
il lui donna do'y c'est noté la remerciant et parti Valentino regarda ce fiasco, complètement dégouté. Il referma la porte du théâtre pour pouvoir te parler à l'abri des oreilles indiscrètes
- Nan mais attend, tu te laisse tout le temps marcher sur les pieds comme ça ?
- J'aime juste aider les gens c'est tous !
- Tu aides les gens dans le besoins au dépit de tes besoins à toi ! Tu trouves ça normal ?
- Euh...oui ?
- Eh bien moi non ! Tu te montres faible face à tout le monde, et ils en profitent tous ! Tu crois que j'ai pas vu comment ta patronne te traitait ?
- Il y a bien pire que ma situation ! Et puis Elle comme sa avec tout le monde pas seulement avec moi enfin...Je crois ?
- Tu crois ? Avec une hésitation pareil, pas étonnant que tout le monde te mène par le bout du nez !
Valentino regarda l'heure sur son portable avant de déclarer
- Il est tard, tu devrais rentrer chez toi. Reviens me voir demain matin ici-même, après ton rendez-vous avec le tyran qui te sert de patronne.
Elle ocha la tête
- À demain Valentino !
dit t'elle en partent dans son petit appartement et allant directement sur son ordinateur Et commença son travail qui dura toute la nuit jusuqu'au petit matin Valentino, quant à lui, c'était levé très tôt pour aller donner un coup de balai au théâtre. En le voyant, on le prenait pour un tyran donnant le sale boulot à ses employés à son ancien studio, mais il s'avérait qu'il était très débrouillard et que faire les tâches ingrates ne lui faisait pas froid au yeux. Commençant à avoir chaud, il enleva son manteau pour dévoiler sa tenue habituelle qu'il portait au studio. C'était un ensemble de cuir noir assez moulant composé d'un haut noir lui couvrant seulement le torse et son short avec des bas résilles. Il avait même enlevé ses lunettes. Mais vu que tu n'étais pas supposé venir avant un petit moment, il se permit de travailler comme ça.
après avoir enfin fini les deux article et de les avoir imprimé elle fini pard se préparer et s'habillabt d'une jupe crayon grise ainsi que d'un chemisier blanc puis mis des chaussure noir à petit talon qui ne se voyais pas beaucoup puis ajusta votre coiffure elle hésiter a se maquillé mais cela n'allait pas arrangé de toute magnire les grande cerne sous c'est yeux fatigué elle pire c'est document puis alla au travail rendi le travail de son collègue que elle avait fait puis alla voir la patronne et lui rendis l'article la directrice accica mais cela ne va pas empêché une baise de sallère pour elle. Une foix cela fait elle alla voir Valentino et toca a la porte du Théâtre Entendant toquer, Valentino remit son manteau et alla t'ouvrir
- Entre, j'ai un truc à te proposer.
Elle lui sourit et ocha la tête tout en rentrent à l'intérieur éssaient c'est yeux tout fatigué
- Tu vois, tu as aidé quelqu'un en dépit de ton sommeil. T'as l'air d'une déterrée. Bon, vient t'assoir.
- J'ai l'habitude de sa !
Dit t'elle ne s'asient
- que voulais tu me dire ?
- J'aimerai te donner un peu de travail. Tu seras payer pour ça, bien entendu. Selon tes heures et tes dispositions, tu pourras venir me voir. Avec les rénovations et le nettoyage, il y aura toujours du travail pour toi ici au moins pour quelques temps.
Elle reflichisa étend donne que elle étais assé petite elle pouvais elle un peut partout et puis vous aviez perdu la moitié de votre salere donc...
- C'est d'accord ! C'est toujour un plaisir d'aider !
Elle reflichisa étend donne que elle étais assé petite elle pouvais elle un peut partout et puis vous aviez perdu la moitié de votre salere donc...
- C'est d'accord ! C'est toujour un plaisir d'aider !
- Bien, dans ca cas, la première chose que tu peux aller faire, c'est dormir. Revient quand tu seras en forme. Il y a deux loges à l'arrière. Celle de droite et nettoyée. Vas te reposer.
Après cela, Valentino alla dans les coulisses de la scène finir ce qu'il avait commencé.
Elle étais quand même...asser surprise mais décida d'aller dormir une foix arrive dans les lieu elle s'étenda sur le canapé et s'endormi directement
Valentino était en train de finir de réparer un éclairage.
30 minute passa avent qu'elle ne se réveille et alla voir Valentino
- Tu t'en sort ?
dit t'elle avec sa voix qui étais beaucoup moin fatigué elle étais comme avent plein d'enthousiasme
- Ca va, merci.
Valentino pointa le panneau de commande, qu'il avait prit le soin d'étiqueter
- Sois gentille, va actionner les lumières pour voir si tout fonctionne.
Elle ocha la tête et regarde chaque étiqueter avent de trouvais la bonne et appuie dessus et tout fonctionne sauf une toute petite lampe qui illuminé les marches
- C'est bon, tu peux éteindre.
Valentino dévissa la lampe de l'escalier
- Pourrais-tu aller dans la réserve me chercher une nouvelle ampoule ? Il doit en rester en stock.
Elle éteingna et dit
- Par de soucis !
elle alla a la réserve et pris une petite ampoule mais la plus pard étais fissure sauf une donc vous le prenais et la donna à Valentino
- Les autres son fissuré
Valentino prit l'ampoule et la mit à sa place, puis il prit un calpin pour écrire quelque chose. Il releva le nez vers toi
- J'ai fait l'inventaire de ce qu'il faudrait acheter en cas de secours.
Il te tendit une petite liste et un peu d'argent
- Tu penses pouvoir t'en charger ?
- Oui bien sûr la réserve principal de tout les studio d'ici et en bas je pourrais te trouvais ton bonheur la bas et normalement l'argent ne sera pas utili ! Se faira des économies !
- Dans ce cas garde le. Ca sera un avancement.
Valentino retourna à ses occupations. Il se montrait un peu froid, mais il cherchait surtout à ne pas montrer qu'il commençait à t'apprécier...Elle étais assé surprise de son act mais étais vraiment heureuse une foix cela fait elle décendit à la réserve principal et pris se qu'il y avait sur la liste et le mis dans un sac en remontent elle croisa qu'elle colégue qui ne comprenais pas se qu'elle faisait mais une perssone étais sur son téléphone avec son café en main ne regardent pas devant elle le café se renversa sur sa chaise sur le coup sa brûlé...vraiment la jeune femme séscusa et parti se prendre un nouveaux café bien sûr elle la pardonne et heureusement sa n'avais pas touché le matériel mais votre chemise blanche oui la tâche étais vers le haut de la chemise (la ou vous savez très bien faite pas semblent de ne pas savoir où sais ! :3)
une foix vous étais remis de la douleur de la brûlure dur café vous allez voir donc Valentino
- J'ai tout trouvais !
Valentino prit le sac en te regardant, toute tâchée de café
- Qu'est-ce qui t'es arrivée ?
- Disont que j'ai percuter sans fair expert qu'elle qu'un qui tenais du café.
Voyant la tâche, Valentino détourna le regard, gêné. Il n'avait rien à te donner de propre à te mettre, et il avait bien trop honte de te prêter son manteau. Il soupira et te dit avant d'aller ranger le matériel
- Je n'ai pas d'habit de rechange. Fais attention la prochaine fois.
- Oh no t'inquiète pas j'ai prévus sa !
di t'elle en enlevant sqchamise en dessous il y avait un t-shirt blanc il y avait qu'elle que tâche mais elle étais petite le mais même à travers on pouvais voir une marque de brûlure
Une fois les affaires rangées, Valentino revint vers toi
- Tu n'as pas fais que te tâcher on dirait. Tu t'es pas louper.
Elle regarda et viré au rouge vif pourquoi ? Vous avez toujour pas comprit ? Vous étais innocent alors sur sa poitrine bien sûr !
- de puis quand tu regarde ma poitrine ?!
Valentino releva les yeux pour les poser sur ton regard. Il te sourit
- Je disais simplement que tu t'étais brûlée. Et puis des poitrines, j'en ai vu des tas dans ma vie, fais pas ta chochotte.
- B-Baka !
di t'elle avec sa voix mignonne étans donné qu'elle etais rouge elle détournant le regard
Valentino élargit son sourire
- Serais-tu gêné ?
- Mais oui, je te crois...
Valentino partit jusqu'au tableau de commande en rigolant. Il tira les manettes de sorte à ce que les rideaux soient grand ouvert et que l'éclairage de la salle et de la scène soit optimal
- C'est pas un opéra de luxe, mais c'est déjà bien. T'en penses quoi ?
- C'est juste....TOTALEMENT GÉNIAL !
Dit t'elle les étoiles dans les yeux
- Eh bien au moins, il y en a une qui est contente... bon, je vais manger un bout.
Valentino éteignit la salle et partit en direction de la sortie. Te voyant sur scène sans trop savoir quoi faire, il te lança
- Tu veux venir ?
- Avec plaisir !
dit t'elle en le suivant Valentino partit avec toi, jusqu'à un restaurant. Il n'était pas du genre à avoir la tête d'une personne amical, il le voyait bien dans le regard des passants. Il baissa le regard sur toi. Tu étais pleine de joie et d'enthousiasme. Pourquoi toi tu t'étais intéressée à une personne comme lui ? Mais surtout... comment lui faisait pour apprécier quelqu'un d'aussi optimiste que toi ? Elle pris sur un plateaux de quoi manger mais se qui étais surprenant c'est qu'elle ne prenais pratiquement rien
Valentino ne faisait que picorer, lui aussi... ce qui ne l'empêcha pas de faire son curieux une fois à table
- Tu ne manges pas grand chose. Pourquoi cela ?
- Si je te le dit tu me dit toi aussi
di t'elle en "mangent"
Valentino soupira
- Je suppose que c'est donnant-donnant... c'est d'accord.
- et bien disont que j'étais obése de naissence puis je suis passa d'anorexie et donc j'éssaie de mange juste se qu'il faut pour ne plus tomber dans l'une de c'est maladie
Valentino baissa légèrement le nez vers son assiette
- Ouais, je comprends...
- Je suis alors contente que tu comprenne !
dit t'elle en souriant
Valentino avait déjà fini de manger.
- Ca va de soit...
Il enfouie légèrement le visage dans sa fourrure de manteau
- Je ne me permettrais pas de te juger après tout...
Elle allait lui dire qu'elle que chose mais la même perssone que la dernière foix l'interpella
- Hey {t/p} !
- Oh Salut !
- Je voulais te remercier grâce à toi j'ai eu une promotion !
- Oh vraiment c'est génial ! Je suis contente que j'ai pus t'aider.
dit t'elle avec un grand sourire
- Oh Et je suis vraiment désoler pour la baise de ton salére !
- Se n'est rien tu nas pas a t'éscusée voyons !
Valentino vous regardait, complètement blasé. Il attendit patiemment que tu reviennes vers lui. une fois qu'il dit c'est dernier il la salua et parti au fond sa vous faisait tellement mal mais vous ne voulait pas montré à Val que au fond vous étiez trisste
- Re !
- Félicitation, t'as donné ta place à quelqu'un d'autre. De plus, il a rendu un travail que TU as fais et il a eu une promotion ! Alors ne vas pas me dire que ta patronne a tout le monde dans le collimateur. C'est toi qu'elle n'aime pas.
- C'est juste son préféré tous simplement !
- Et elle en a combien des préférés exactement ?
- Juste lui
- Et tu te rends compte que si t'arrêtais de faire tout son boulot à sa place, et que tu faisais le tien comme si ne rien n'était, ce serait peut-être bien toi sa préféré ?
- Je fait Toujour mon travail c'est juste que ! Que...que Elle n'apprécie pas...
- Pourquoi ?
- Disont que...comparé à serrait je ne viole pas la vie précis des gens et vue que l'entreprise et connu on peux très bien payé les amande et il ne peuve pas fair fermer. Je suis l'une des seule à pas violé la vie privée même d'habitude je montre l'article a se qui son concerner je nais pas pu le fair avec toi malheureusement vue que j'étais à cours de temp !
- Ta patronne est une emmerdeuse publique à ce que je vois.
- Elle veut juste montre la vérité au gens mais elle se rend pas compte en faisent sa que elle mais des vie en danger.
- Toute vérité n'est pas bonne à dire.
- justement...il y a même qui sont allé en prison pour avoir dit la vérité ou même pire...
- Eh bien il ne savent pas à qui il se frotte sur ce coup là.
- Que veut tu dire ?
- Je pourrais très bien cracher un tas de merdes qu'ils font dans cet entreprise ! J'ai rien à perdre.
- Se qui fairait que l'entreprise fermerait et des centaine de perssone seront au chômage.
- Je préfèrerai être au chômage plutôt que travailler dans des conditions de merde.
- Tu va avoir de gros soucis si tu fait sa bien plus que tu ne le pense...même si aura plusieur état qui pourrais t'aider....
Valentino n'avait pas envie d'en entendre plus. Tout le monde était tellement accroché à son rang social, et tu ne faisais pas exception. Il se leva et commença à partir
- Tu me dégoutes.
-Je te dégoûté hein...?
Cettais la goute de trop pour elle s'avença vers lui avent de le gifler violament
- J'AI MI DES ANNÉES À ME SORTIR DE LA MERDE TOUT SEULE SANS QUE ON M'AIDE ALORS JE MÉRITE UN PEUX PLUS DE RESPCET SURTOUT DE QU'ELLE QU'UN QUI A FAIT FALLITE !
di t'elle en partent du bâtiment
Valentino te regarda partir, et fit de même pour retourner chez lui, fou de rage. Il s'allongea dans son lit. Petit-à-petit, sa colère s'estompa, et il commença à réfléchir à la situation. Au bout de quelques heures, il prit son portable pour t'envoyer un SMS
- {Val} : Ecoute, je suis désolé pour tout à l'heure... je me suis laissé emporter...
Il posa son téléphone sur sa table de chevet et attendit, les yeux fixant le plafond de sa chambre. Le message à bien étais vu mais elle ne raipondi pas. Le message à bien étais vu mais elle ne raipondi pas
Perdant patience, Valentino t'envoya un nouveau SMS
- {Val} : J'ignorai que tu avais été à ce point dans la merde, j'aurai pas dû te dire ça. Tu m'as fais confiance et j'ai merdé. Je dirais pas ça en temps normal, parce que je suis le genre de personne qui ce fout de tout, mais... j'ai envie qu'on continue à se voir. Ca fait longtemps que je m'étais pas sentit aussi bien, et j'ai envie de t'aider autant que tu le fais avec moi et mon attitude de merde.
Elle regarda à nouveaux et cette foix si raipndit avec hésitation
- D'accord.
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BONJOUR BONSOIR J'ESPÈRE QUE SA VOUS A PLUS MERCI À
GoldenFreddy514756 POUR LES TEXTES DE VALENTINO !
SUR SE BISOUS !
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