CHAPITRE 25 : Oh ! silence !... rougis de pleurer sur toi-même,
Pdv Eren
Livai se remet enfin de ce qui lui est arrivé. Il a passé cinq jours à l'hopital, en observation, pour voir si son état allait se dégrader ou non. Il n'a pas refais de crise depuis. Cela fait maintenant un peu plus d'une semaine qu'il est rentré à la maison. Petit à petit, on sort de la maison pour qu'il continue de se remettre tranquillement.
On se contente de marcher dans les rues. Livai a recommencé à refuser de prendre sa béquille. Je ne lui ai pas laissé le choix. C'était ça où je l'interdisait de bouger du canapé même pour aller aux chiottes. Oui, je suis sadique, mais c'est pour le bien de mon Livaïounet.
Les médecins ont donné un traitement que Livaï doit suivre. Des destressant pour la journée et des somnifères pour la nuit car il s'est avéré que Livaï dormait très mal et avait un important manque de sommeil. Je m'assure donc qu'il prenne correctement ses médicaments. Concernant ses repas, je dois toujours le surveiller. Mais il mange plus que lorsque je suis arrivée.
Je crois qu'il a eut vraiment peur et qu'il est décidé à remonter la pente. Et je serais là pour l'aider.
Depuis son accident, Livaï et moi nous nous sommes beaucoup rapprochés. On a plus de contact. Il cherche plus souvent à se faire câliner, comme pour être sûr que je suis là pour lui.
Nous n'avons pas reparlé des entraînements. Pas tant qu'il ne s'est pas entièrement remis de ses convultions, soit environ deux semaines supplémentaires. La plupart du temps, Livaï regarde par la fenêtre du salon, assis sur son canapé, m'écoutant parler pendant des heures incessantes.
Hanji passe souvent nous voir. C'est à ses moments là que je vois que Livaï à vraiment besoin de moi. Il refuse que la folle s'approche de lui. Une fois même, il est allé dans sa chambre pour ne pas la voir. Hanji a perdu sa confiance. Mais j'espère qu'elle la retrouvera rapidement. Ça me fait de la peine de les voir ainsi.
-Eren ? M'interpella Livaï alors que j'étais perdu dans mes pensées.
-Qu'est-ce qu'il y a ?
-Tu veux bien... Dormir... Avec moi...?...
Je fixe Livaï interloqué. Est-ce que j'ai bien entendu ce que je viens d'entendre ? Livaï veut que je dorme avec lui ? Je le regarde sans répondre. Il est géné. Livaï baisse la tête, honteux de sa question.
-Oubli ce que je viens de dire...
Il se relève et s'apprête à quitter le salon pour se rendre dans sa chambre. Au dernier moment, je l'attrape par le bras et il me regarde sans comprendre.
-Je veux bien, répondis-je enfin. Je veux bien dormir avec toi.
Une lueure semble s'allumer dans le regard de mon entraîneur. Une lueure de joie ? Je suis Livaï jusque dans sa chambre, et maintenant, je vois où il voulait en venir.
Livaï referme la porte derrière moi. Je me retourne vers lui, surpris. Il me fixe avec attention, ça me met limite mal à l'aise. Livaï se rapproche de moi, il passe ses bras autour de mon cou et se penche vers moi. Je le fixe dans les yeux. Il fixe les miens. Et je vois une lueure de désir s'allumer dans son regard.
Ses lèvres touchent délicatement les miennes. Livaï commence à jouer avec ma bouche, me demandant accès à la mienne. Je le laisse franchir la barrière et nos langues commencent à jouer ensemble, se caressant mutuellement. Livaï me pousse vers le lit jusqu'à ce que mes jambes but contre le rebord.
À ce moment, mon instinct reprend le dessus. Je me retourne afin que ce soit lui qui se retrouve couché sous moi. Notre baisé deviens de plus en plus intensif, il n'est plus délicat et devient bestial. Ma main descend alors vers l'entre-jambe de Livaï, que je commence à malaxer.
Il gémit.
Ça me donne encore plus envi de le mal mener.
Mais la réalité revient me frapper de plein fouet.
-Livaï, il ne faut pas. Tes jambes...
-Ça va aller. Je t'en pri Eren. J'en ai besoin. Je... Je t'aime Eren...
Il n'a fallut que ces deux mots pour venir à bout de ma raison. Je commence a déboutonner sa chemise. Il me laisse faire. Petit à petit, je dévoile son torse pâle et finement musclé. Je m'arrête un instant, surpris. Son torse et balafré d'une cicatrice qui part du bas de sa poitrine droite pour aller jusqu'à sa hanche gauche.
Je suppose que cela doit venir de son accident...
Je ne mis attarde pas plus, de peur de crisper Livaï en fixant cette marque indélébile de son passé.
Je me penche vers lui et je commence à lui lécher le cou avec délicatesse. Il gémit. J'aime ça. J'ai encore plus envie de jouer avec lui, de le titiller. Je ne retire pas sa chemise car je sais qu'il ne veut pas que je vois ses cicatrices sur ses poignets.
Je descend légèrement pour jouer avec ses petits bouts de chaires roses. Il se cambre. Si juste ça lui fait un tel effet, je vais l'envoyer au septième ciel très rapidement. Je me redresse et le regarde avec envie. Je retire mon T-shirt et me jette sur ses lèvres pour les scéller avec les miennes. Livaï se laisse faire et me donne rapidement l'accés à sa bouche.
Sans lacher le contact, je glisse ma main jusqu'à son sexe que j'effleure délicatement. Je sens Livaï se tendre sous moi. J'ouvre avec délicatesse sa braguette et je glisse ma main dans son caleçon. Avec tendresse je malaxe ses bourses et je sens un début d'érection pointer chez mon amant. D'ailleur mon sexe commence à se durcir lui aussi.
Nous finissons par rompre notre baisé, à bout de souffle. Je m'empresse de retirer mon pantalon ainsi que celui de mon amant. On se regarde avec envie et Livaï s'aggripe à mon cou pour me tirer vers lui. Il me mordille l'oreille, et c'est alors à mon tour de gémir. Quand il me relache enfin, je lui retire son caleçon et le jette au pied du lit. Il fut vite rejoins par le mien.
Je bouge mon bassin de tel manière que nos deux sexes se frottent l'un contre l'autre. Livaï gemit de plus belle et me supplie.
-S'il te plait Eren... prend moi...
Je veux assouvir son besoin, mais en même temps, je veux le faire patienter encore un peu. Je veux attendre le dernier moment pour le délivrer. Alors, je reviens vers son torse et recommence à jouer dans son cou, lui laissant au passage un suçon bien marqué. Livaï s'aggripe à moi, me griffant le dos sans pour autant le mettre à sang.
À un moment, moi aussi je commence à ne plus pouvoir retenir mon érection. Je recommence à m'intéresser à nos sexes aussi gonflé l'un que l'autre.
-Tu es pret Livaï ?
Mon amant se contente de gémir de nouveau pour m'inciter à commencer.
Avec délicatesse, je rentre un premier doigt dans son orifice pour le préparer. Il ne réagis pas. Alors je commence à bouger mon doigt pour qu'il s'habitue à ma présence en lui. Rapidement, je m'apprête à entrer un deuxième doigt. Cette fois, il réagis. Je remonte alors jusqu'à lui pour de nouveau capturer ses lèvres et le faire penser à autre chose. Il entour mon cou de ses bras et me tire vers lui pour plus de contact.
Je fini par rentrer le troisième doigt. Cette fois, il se cambre en gémissant de douleur. Je m'arrête un instant, effrayé de lui avoir fait du mal.
-Ca va Livaï ?
-Oui... Continu... Eren...
J'ai peur de lui faire mal. Je n'arrête pas de penser à son handicap. À ses jambes. De penser que je pourrais provoquer involontairement une crise. Depuis que nous avons commencé, je ne cesse de penser à cela. Mais on ne peut plus s'arréter. Il en a envie. Et moi aussi.
Je commence à bouger mes trois doigts tandis que Livaï commence à onduler tout en gémissant de plus en plus fort.
Je retire mes doigts juste avant qu'il n'éjacule et il grogne de mécontentement.
Je me positionne face à lui et le regarde pour attendre son consentement qu'il me donne aussitôt. Avec lenteur, pour ne pas lui faire de mal, je le pénètre.
Une fois fait, j'attend un peu pour que Livaï soit habitué à ma présence en lui. Il gémit. Il en a envie. Moi aussi. Je ne tiens plus. Je commence à me mouvoir en lui et lui ondule son bassin pour plus de contact. Je donne des coups, d'abord faible, puis de plus en plus intenses.
Livaï gémit, et moi aussi. Je me penche vers lui pour capturer de nouveau ses lèvres. Je l'embrasse avec passion. Une passion qui devient sauvage. Plus rien n'est spirituel, tout est charnel...
On s'embrasse jusqu'à ce qu'on n'ai plus de souffle lui et moi. Je reprend mes coups de bassins avec plus de violence. Cette fois, Livaï crit de douleur et de plaisir.
Je touche sa prostate une fois. Deux fois. Et il jouit entre nos deux corps transpirant. Je ne tarde pas à le rejoindre au septième ciel et j'éjacule en lui.
Je me retire délicatement de Livaï pour éviter de lui faire mal et viens m'écrouler juste à coté de lui. Nous nous fixons un court moment. Puis, poussé par le désir, je viens me blottir contre Livaï et je capture de nouveau ses lèvres. Nous nous embrassons délicatement. Ses joues sont rouges. Les miennes doivent être pareils.
Nous nous séparons à contre coeur et à court d'aire. Livaï se blottit contre mon torse et s'endor rapidement.
Je suis soulagé. Il n'a pas eut de crise. Je le regarde un moment avec tendresse.
Je t'aime Livaï. Si seulement tu savais comme je t'aime. Je le serre contre moi comme pour le protéger. Puis, exténué, je fini par m'endormir moi aussi.
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Voilà les gens, le chapitre 25 vient de vous être offert !!!😁😁😁
J'espère qu'il vous a plus. C'était la première fois que j'écrivais ce genre de scène alors j'espère que vous avez été gâté et que ça ne vous ai pas trop déçu.
Il faut aussi que je vous dise que l'on est à peu près à la moitié de ma fic. Dans mon esprit il y a 50 chapitres. Donc je voulais juste vous prévenir qu'à ce stade là les choses vont aller crescendo. Aussi bien pour Eren dans son sport que pour la relation entre le p'tit noir et le grand brun... Vous voyez ce que je veux dire 😏😏😏
Autre nouvel, "L'amour de l'océan" vient d'être classé 446eme dans la catégorie fanfiction. Et ça c'est grâce à vous mes p'tits loups. Continuez comme ça vous êtes top.
Alors gros kissous et à bientôt 😙😙😙
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