Poème #2 : Les Femmes
Les hommes sont infâmes,
Comparés aux femmes.
Une femme, qu'y a-t-il de plus beau ?
Les femmes sont passionnantes,
Incroyables, vraiment fascinantes,
Séduisantes, tellement, beaucoup trop...
Ce qui fait qu'elles sont toutes autant charmantes,
C'est peut-être ce fait qu'elles soient toutes autant différentes,
Certaines aiment dominer,
D'autres aiment obéir,
Certaines veulent aimer,
D'autres encore veulent mourir,
Mais elles ont chacune un rôle à jouer,
Dans ce monde, elles ont du charme à rajouter,
Une douceur qui n'est pas proprement féminine,
Mais qui est pourtant bien supérieure à la masculine,
Au fond, chacune d'elle a le cœur pur,
À sa propre manière, bien sûr,
Je les vois comme un idéal, une perfection,
Non pas quelque-chose que je pourrais moi-même obtenir,
Mais plutôt comme quelque-chose qui pourrait me faire frémir,
Pour moi, le sexe féminin est comme une addiction,
Au plus profond de moi, depuis toujours, cette attirance a émergé,
Ces femmes, je ne veux pas leur ressembler, je veux juste les aimer,
Les aimer d'amour fou,
Les couvrir de bisous,
Protéger les plus vulnérables,
M'incliner devant les plus respectables.
Je veux les aimer de passion,
Les découvrir jusqu'au plus profond,
Je veux les aimer de désir,
Parvenir à les faire jouir.
Je veux les aimer sincèrement,
D'amour véritable, ne pas faire semblant,
Je veux les aimer comme je veux,
On ne m'imposera rien du tout,
Je veux les aimer comme je peux,
Au mieux de cet amour fou.
Les femmes sont belles, c'est une réalité,
Mais elles le sont tellement, pour moi, c'est un rêve éveillé,
Pour moi, elles sont bien plus que simplement belles,
Elles sont addictives, authentiques, quelques fois rebelles,
Elles ont un petit quelque-chose en plus qui les différencient des mâles,
Au fond, même les plus sévères possèdent comme un charme, une douceur,
Comme un petit bonbon, une petit confiserie, s'en faire plaisir n'a jamais fait de mal,
Je veux leur apporter moi-même douceur, amour, tendresse, épreuves, rire, bonheur.
Elles doivent être si douces au toucher,
Si tendres à goûter,
Tant appétissantes qu'on a envie de les dévorer,
Tant délicieuses qu'on a envie d'en remanger,
Et je n'en ai rien à faire de ce qu'en pensent les gens,
Je veux les croquer à pleines dents,
Je veux tomber amoureuse de l'une d'elles,
Je veux lui procurer le bonheur éternel,
Je veux en être complètement folle et ne plus pouvoir en dormir de la nuit,
Ou alors si je dors, qu'elle vienne dans mes rêves, qu'elle vienne hanter mon esprit,
Les jaloux n'ont qu'à bien se tenir, je ne les laisserai pas m'empêcher d'aller de l'avant,
Et quand aux jalouses... Pourquoi le seraient-elles, puisque je suis apte à toutes les aimer autant ?
On le sait de nature,
Que chacun a ses préférences,
Et pour en être sûr(e)s,
Pas forcément besoin d'avoir fait d'expériences,
Aux autres je le cache encore un peu, mais plus à mon for intérieur,
Ça ne sert à rien de se mentir, de plus la pensée d'un homme m'écœure,
Même mes proches, j'aurais peur qu'ils pensent que ce n'est pas la vérité,
Tout ça parce que je n'ai jamais expérimenté,
Mais au fond de moi je sais déjà que c'est aux filles que je suis vouée,
Et si il faut attendre qu'une véritable relation commence pour leur avouer,
Et bien mes proches, ils attendront, et moi aussi, le temps qu'il faudra,
Laissons le temps faire les choses, pas besoin d'autant se presser,
Même si je ressens quelque-chose comme un manque, un vide qu'il me faudra un jour combler,
J'attendrai de trouver la bonne, la vraie. Amour, joie, désir, réciprocité, tout sera là,
Et même si je ne resterai pas forcément avec la même toute ma vie,
Je compterai bien profiter du moment, oh que oui,
Je n'en connais pas qui, à mon âge, sont déjà sûres de leur orientation,
Mais je suis prête, prête à aimer de folie, de sincérité, de désir et de passion.
Même si je sais que ce n'est pas grave d'être seule et que le temps va s'en charger,
Ça me rend souvent triste, j'ai de l'amour à donner et de l'appétit à combler,
Même si le temps s'en occupera, même si être de mes préoccupations cela n'est pas censé,
Je n'y peux rien, je ne tiens plus en place, je fantasme, j'y pense toute la journée,
Et même toute la nuit, une fois que le soleil s'est couché,
J'espère toujours en voir une dans mes rêves une fois que le sommeil est tombé,
Une fois, j'ai vu un mariage en rêve, sur une plage, au pied d'un arc-en-ciel,
En ce moment, s'offrent à moi beaucoup de sous-entendus homosexuels.
-Langelo$h, 2002-20XX, rajouté à L'amour coûte que coûte, 4 janvier 2017.
Hé oui ! Ce poème, je l'ai écrit il y a un moment, mais j'avais quand-même besoin de le partager.
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