- Salut, moi c'est Nathan et toi ? me demanda le mec parfait...attend QUOI ! Mon nom aller Camille répond !
- Ca...Camille !
- Jolie, j'aime bien !
- Mer...merci !
- Bon quand est-ce que tu m'invite à dîner ? Au pardon, c'est vrai ce sont les garçons qui invite, bon bah tu vas devoir patienter ! me chuchota hypocritement Lesly
- La ferme ! lui criais-je
- Qu'est-ce que qui ce passe ici ? demanda sèchement une voix par dessus mon épaule
- Rien Corentin, j'ai juste embêter la nouvelle...répondit Lesly
Ok, vallait mieux éviter de s'attiré la colère de ce prétendu Corentin, il est grand, environ 1m90, des cheveux bruns bien soignés, un visage carré et une voix grave qui indiquait qu'il devait avoir seize/dix-sept ans, des yeux bleus perçant et regardant fixement Lesly.
- Et depuis quand amène tu amènes des gens ici sans m'en parler ? demanda-t-il
- J'allais justement le faire, mais...
- Mais quoi ? Je t'écoute.
- Mais Nathan c'est d'abord présenté j'allais le faire juste après mais à ce moment là que décidé de taquiner un peu notre invité. avoua-t-elle
- Et pourquoi as-tu décidé de faire ça ? demanda-t-il en la prenant de haut
- Je n'est pas de réponse à cette question.
- Bien, as-tu fait respecter le rituel à notre invité ? dit-il doucement
- Non.
- Et pourquoi ?
- J'allais justement le faire.
- Tu utilise beaucoup de "j'allais" et je ne veux pas de "j'allais" je veux des "c'est fait" compris ? dit-il légèrement de façon rétorique
- Oui.
- Oui, qui ?
- Oui, Corentin.
- Bien, maintenant mais en application le rituel sur...je ne connais pas votre nom. dit-il se tournant vers moi
- C'est Camille. répondis-je
- Camille, veuillez éteindre votre téléphone, s'il vous plaît.
- D'accord. dis-je
Je sors mon téléphone je l'allume et là...je vois LES DIZAINES DE MILLIERS MESSAGES DE MA MÈRE !!! Qu'est-ce que je fais (j'allais oublié les milliers d'appels râté !!!) je l'appelle ? Non. Je lui envoie un message pour la rassurer ? La connaissant, elle déjà appelé tout les commissariat aux alentours ! Bref disons que j'ai une dizaines de policiers au trousse mais à part ça tout va bien !
- Bon, qu'est-ce qu'il ce passe encore ? Vous avez un problème avec vos parents ?
- Oui, j'ai un demi million de messages de ma mère et je ne sais pas quoi dire pour la rassurer ! dis-je désespéré
- Eh bien vous aimeriez travailler dans quelle discipline ? demanda-t-il, je ne vois absolument pas le rapport mais bon.
- J'aimerai être une scientifique, pourquoi ?
- Vous dites à votre mère que vous faites un stage dans un laboratoire et que si elle veut plus d'informations une lettre à été envoyé, d'accord ?
- Reçu 5/5 ! dis-je, mais il y avait un seul petit problème...La lettre ! Mais comment allez vous faire pour la lettre ? demandais-je
- Je viens de demander à quelqu'un de la glissée dans votre boîte aux lettres. me répondit-il
- Mais vous ne savez pas où j'habite !
- Je sais tout ! dit-il fièrement avec une pointe d'ironie dans la voix
- Et...
- Et pour ton amie ne t'inquiètes pas je saurai m'occuper d'elle.
- Bien.
- Regarder pour tes autres appareils s'il te plaît ?
- Vous me tutoyer maintenant ?
- Oui et alors ? demanda-t-il
- Rien. répondis-je
- Ne t'écarte pas du sujet principal !
- Mais je n'ai rien d'autre, chef ! dis-je un peu ironiquement
Je me prépare à retirer mes objets de mes poches mais Corentin retint ma main.
- Non, tes objets vont aller dans mon bureau et toi également j'ai quelques questions très privée à te poser, chuchota-t-il
- D'accord, mes objets vont dans cette caisse ? demandais-je
- Oui.
Je vide mes poches je n'ai pas grand chose, un stylo, un paquet de mouchoirs, mes écouteurs, des élastiques, un stique à lèvres, mon portable et...Mon couteau suisse ! Je l'avais oublié celui-là, je le donne ou pas. Je ne le donne pas je peux en avoir besoin en cas de problème ! Je le met dans mon pantalon au niveau de la ceinture. Heureusement pour moi il n'avait pas de truc pour vérifier que j'avais bien tout donner. Puis Corentin me demande de le suivre, j'obéis (oui ce n'était pas vraiment une demande mais plutôt un ordre sous forme d'une demande), il m'emmène jusqu'à son bureau.
- Au faite, bienvenue dans La Communauté !