Précédemment

?: C'est quoi cette réaction? Hier soir t'étais pas comme ca, pourtant.

On continue :

[T/p]: Dit pas n'importe quoi.

Je detestais entendre ma voix trembler comme ça. Je commençais à chercher mes affaires en vain, sous son regard amusé.

Aomine: Besoin d'aide?
[T/p]: Et tu vas faire quoi?
Aomine: Te regarder chercher.

Je trouvais mes chaussures que j'enfilais sans un mot. Je rajustais les draps autour de moi avant d'ouvrir la porte et me diriger vers la chambre. Le destin semblait être avec moi, puisque je ne croisais personne.

Je pris une douche, pour remettre mes idées en place. Je n'arrivais pas a savoir si quelque chose avait pu se produire entre nous. Certes il était incroyablement beau, doué, et drôle, mais c'était aussi l'un des plus gros connard mysogine que je connaisse. J'espérais que non et, de tout façon, c'était trop tard pour y réfléchir.
Je finis par sortir et enfilé un pyjama et retourner dormir.

Les jours passèrent tandis que je faisais tout pour éviter le bleu. Ce qui ne fut pas trop dur jusqu'à ce qu'on arrive sur le circuit suivant.

J'avais décidé de faire d'une pause a mi-chemin dans ma course a pied. Je déambulais dans le jardin avant de m'accouder et observer le soleil levant lorsqu'il fit de même.

Aomine: Tu m'évites.
[T/p]: Tu te fais des films.
Aomine: Vraiment ? T as trouvé une excuse a chaque invitation ou tu refusais de m'accorder rien qu'un regard. A croire que j'suis moche.

Je levais au ciel devant cette ego surdimensionné.

[T/p]: A l'occas' j'aimerais récupérer mes affaires.
Aomine: T'auras qu à venir les chercher.
[T/p]: Bah brûles les alors.
Aomine: je te dégoûte à ce point ?

Je le regardais un instant avant de reculer.

[T/p]: C'est pas toi qui me dégoutes.

Je tournais ensuite les talons et rentrer à l'hôtel.

Je passais le reste de la journée a m'entrainer sous la supervision de Kotaro.

Kotaro: Ça suffit pour aujourd'hui.

Je sortis du simulateur et entamais ma énième bouteille d'eau de la journée, puis j'attaquais les étirements.

Kotaro : T'es prête pour le weekend ?
[T/p]: Bien sur. Pourquoi ?
Kotaro : Tu as un comportement un peu étrange depuis quelques temps.
[T/p]: Mes résultats sont impactés?
Kotaro : Euh non?
[T/p]: Alors ça vaut pas le coup que je t en parles pour l'instant.
Kotaro : Bien.

Je sentis a sa voix qu'il était vexé c'est pour ça que je précipitais pour lui faire un câlin pleiiiin de transpiration.

Kotaro: [T/PPPPPPPPPP]!!!

Je reculais en rigolant.

[T/p]: je vais me doucher. On mange se retrouve après pour la reu'!

Et je filais sans lui laisser le temps de parler, un sourire au lèvre.

Akashi: Tu viens manger [T/p]?

La voix de mon co-équipier me tira de mes pensées
[T/p]: J'arrive!

Je me levais et le rejoignis.

Akashi: Il s'est passé quoi entre Daiki et toi?
[T/p]: Euh ..., je pris une inspiration : autant être honnête avec lui, Je sais pas.. J'en ai aucun souvenir.. Mais cela n'impactera pas ma course ou quoi que ce soit, je te le promets.
Akashi: Sure?
[T/p] : Peu importe ce que je pourrais ressentir, je ne vais pas gâcher mon rêve pour un homme.

Il sourit.

Akashi: Ça me va. Et sinon comment vont tes parents ?

On partit sur des discussions sans vraiment d'intérêt jusqu'à l'arrivée des autres coureurs. Je saluais tout le monde, mon habituel sourire aux lèvres. Je me fis la réflexion qu'une telle proximité entre les coureurs étaient plutôt rare. A vrai dire, dans toutes les autres catégories, il y a avait parfois deux ou trois amis mais pas comme ça. Après ça Haizaki, m attira contre lui pour m emmerder et me greffais a la conversation en cours.

Les week-end de course s'enchainèrent jusqu'à ce que vienne le Castellet. J'ai impatiente de revoir cette piste sur laquelle j'avais fait mes débuts. Après tout on était a la maison ici, je ne laisserais la victoire a personne d autre. Je fus rejointe par Haizaki qui marchait d'un pas lent. Je saisis sa main et entrepris de le tirer dans la gare. Nos écuries nous avez autorisés a venir plutôt pour saluer nos familles. D'ailleurs j'appercevaus nos pères en train de se disputer pour une raison futile.

[T/p]: Grand père!!!

Faisant fis de mes parents , je lachais Shogo, et courru dans les bras de mon grand père. Il me serra dans ses bras en murmurant que j'étais une championne. Ces mots m'implirent de bonheur. Je saluais affectueusement mes parents puis la famille Haizaki.

[P/m]: Bon allez tout le monde a la maison.
[T/p]: Je peux-
[P/m]: Le circuit ce sera après le repas! Sinon on te reverra pas avant ce soir. Et puis [p/c] a hâte de te revoir je suis sûre. Quand arrivent vos amis?
[T/p]: Euh ... Je crois qu'ils ont dû arriver a la gare en même temps que nous?
Haizaki: C'est ça.
[P/m]: C'est une blague? [T/p]! Va les chercher ! Je croyais t avoir mieux éduqué !
[T/p]: Mais...
[P/m]: Pas de mais, je les invite! Allez ouste!

Je partis d'un pas traînant espérant qu'ils soit déjà parti. Malheureusement, ils etaient encore tous la, attendant les taxis.

[T/p]: Salut les gars!

Ils se tournerent et me regardèrent, surpris. Quand vous avez l'habitude de voir quelqu'un habillé d'une manière et que vous retrouvez en short et débardeur, les cheveux lâchés, il y avait de quoi être perturbé. En même temps, l'été français je connaissais, pas question d'etouffer avec un jean a la con!

Akashi : [T/p]? Tu devrais pas être avec ta famille ?
[T/p]: J'y étais jusqu'à ce que ma mère me virenpiur que je vienne vous voir. Elle vous invite a manger ce midi si vous le souhaitez.
Kagami : Vraiment ?
[T/p]: Svp dites oui. Elle va me faire la peau la vieille sor- ,je me repris de justesse, disons que je vais pas pouvoir faire ce que je veux sinon. Et je crois qu'elle a parlé d'un barbecue.

Je vis des étoiles s'allumaient dans les yeux de certains garçons. Mon co-équipier soupira avant d'accepter. Entendant ça, ils hurlèrent de joie. Les autres voyageurs se tournèrent vers nous et nous jugèrent. Je tappais un sms rapide a ma mère pour la prévenir.

Les taxis arrivèrent pour emmener les joueurs. Je donnais l'adresse de mes parents avant de monter la où il restait une place libre, doit coincé entre Kise et Aomine. A peine la voiture démarré, ils commencèrent a s'embrouiller. Je m'avancer un peu est passé dans ma langue maternelle pour parler avec le pilote. ( Au sein des équipes la langue officielle est l'anglais).

Kise finit par m'attirer en arrière en disant je cite "Aomine-chii est méchant", avec des larmes de crocodiles. Je me tournais en soupirant vers Aomine est fut stoppé par ce que je vis dans ses yeux. Une faim dévorante. J'avalais la salive avant de me mettre à parler comme si de rien été. J'avais arrêté de l'éviter et même pris le temps d'apprendre a le connaitre. Mais pas une seule fois, nous n'avions fait allusion a cette fameuse nuit.

Arrivés devant chez moi, Haizaki attendait déjà.

Haizaki: C'est pas trop tôt!
[T/p]: J'aurais bien voulu t y voir tiens!!

Nos amis sortirent des taxis avant de payer. Je pris une inspiration.

[T/p]: Bon ben... Bienvenue chez moi? Bref on rentre? J'ai la dalle!!

Ils acquiescèrent. Mais j'avais a peine passé le portail qu'une boule de poil en furie me sauta dessus. Je me retrouvais les fesses par terre, tandis que [p/c] me léchait le visage. Haizaki recula prudemment en se bouchant les oreilles. Ceux qui le virent l'imitèrent au cas où. Pour ma part, une fois revenue de ma surprise je me mis a hurler en français.

[T/p]: MON BEBEEEEEEE TU M AS MANQUEEEEEEE!!!!!!

Je la pris ensuite dans mes bras pour lui faire pleins de papouilles. J'adorais mon chien et je crois que se voyait.

Kagami : Je crois que j'ai plus de tympans les gars..
Aomine: T'AS DIT QUOI?

Je finis par lever la tête et les regarder.

[T/p]: Bah quoi? Bon on va manger?

Je me levais, et frotter rapidement mon short pour enlever la poussière. J'emmenais mes invités derrière la maison pour les présenter a tout le monde. Je l'éclipsais ensuite pour aller me laver le visage. En revenant je vis qu'ils avaient déjà attaqué ces goinffres. Je me dépêchais de les rattraper et de faire en concours de bouffe avec murasakibara. Je dus ma victoire a [p/c] qui m'aida, plus ou moins discrètement. Après avoir aider a débarrasser, je m'étirais.

[T/p]: Je promis de passer voir tout le monde. Tu m'accompagnes?
Haizaki : La flemme.
[T/p]: [P/ma] sera la.

Je le vis me regarder avec intérêt tandis que nos amis nous regardait sans comprendre.

Haizaki: Vraiment ?
[T/p]: Et elle hâte de te revoir~

Je le vis rougir.

[T/p]: Je vais faire en tour au village puis au circuit. Vous voulez venir?
Kise: On a le droit?
[T/p]: On va pas s'entrainer. C'est histoire de saluer ce qui gère le site et je crois qu'il y a un groupe de junior qui a une course. J'ai dit a l'entraineuse que je passerais.

A l'unanimité, tout le monde accepta.

On les conduit aux villages où les gens se precipiterent pour saluer les deux enfants prodiges du village. Même Shogo réussit a sourire pour saluer ceux qui nous avaient vu grandir. Je finis par m eclipser et aller a la boulangerie récupérer ma commande. Une petite discussion plus tard avec le boulanger, et j'etais de retour.

Haizaki: Bon on y va?
[T/p]: C est bon pour moi.
Murasakibara : C est quoi ce grand sac, [T/p]-chin?
[T/p]: Le goûter!, voyant ses yeux briller je le dépêchais de continuais, mais c est pour tout a l heure.

Je l entendis bougonner pendant que Kise me décharger de mon lourd sac.

[T/p]: Merci t es un amour!

Sentant une présence derrière moi, je le retourner pour apercevoir Haizaki et Aomine, tout deux un air agacé sur le visage. Je les ignorais et guider le petit groupe pour arriver terrain clôturé qui délimité le terrain du Castellet.
Je répondis a toutes les questions sur l'histoire de cette course que purent me poser Akashi et Midorima avant de déverrouiller la porte pour le personnel.

[T/p]: Pour passer par la grande porte se sera plus tard. Après vous, messieurs.
Haizaki: Comment ça se fait que t es la clé ? J'ai du la rendre moi!
[T/p]: Parce que je suis plus polie et diplomate que toi, tout simplement.
Haizaki: Non mais quel blague!
[T/p]: T'as pas totalement tort mais aux yeux des autres si.

On continua de se chamailler en faisant visiter les padocks.

Aomine: C'est quoi ces bruits de moteur?
[T/p]: Les juniors qui sont au karting. Ensuite il doit y avoir quelques mecanos qui font des essaies sur des vieilles voitures pour tel radiateur ou tuyau. Ils sont un peu perchés mais gentils comme tout!
Haizaki: C'est pour ça que tu passais ton temps hors piste dans les ateliers.
[T/p]: En attendant je suis capable de mettre mes pneus neiges sans appeller a l'aide.

Et ce fut reparti pour une belle engueulade.

?: Je me demandais ce qui pouvait faire autant de bruit.
[T/p]: [p/ma]!!!!!

Je m'étais jetée dans les bras de ma meilleure amie pendant que, au dire de Kagami, Shogo rougissait. Je finis par m écarter pour qu'elle puisse le saluer. On la présenta ensuite a nos amis. Elle se mit alors a passer mille et une question aux autres sur les entraînements, courses et la vie au sein d'une écurie. En me dirigeant vers la piste discrètement je vis que sa main tenait toujours celle de Shogo.

Je passais les couloirs, pour arriver aux stands. Des gamins d'une douzaines d'années pour les plus jeunes, et 15 pour le plus vieux,Jules, étaient rassemblés et s'étiraient.

[T/p]: Allez on étire et mieux que ça!

Ils relevèrent la tête ensemble avant de se figeaient ne sachant pas trop se comporter.

[T/p]: Je suis toujours la même [T/p] qu'avant, je vous ferez remarquer!

Petit à petit un sourire s'imposa sur leurs visages puis ils se ruèrent dans mes bras.
Ils me posèrent des tonnes de questions avant que je ne leurs fassent faire quelques exercices, qu'ils firent avec application pour me montrer leurs progrès. Je les félicitais, épatée.

[T/p]: Vous voyez Kise Ryouta de chez Haas? C'est lui qui a le goûter, je suis sûre qu'il sera d accord de vous le donnez si vous êtes gentils.

Jules, celui qui a mon avis avait le plus de potentiel parmi ses jeunes prit la parole.

Jules: Tu.. tu veux dire que t es pas venue seule?
[T/p]: Et non y a Shogo, et d autres de nos amis, d ailleurs il me semblent que tu voulait un autographe d'Aomine?
Jules: Bah oui! C'est sûrement le meilleur pilote !!
[T/p]: C est même pas moi?
Jules: Bah non toi t es une championne t es forcément la meilleure! Je voulais dire après toi!!
[T/p]: Mouaiiis. Enfin tout ça pour te dire qu'il est vous observe depuis tout a l'heure.

Je leur désignais le bleu, que j'avais repérer il y a quelques minutes déjà. Il s'approcha voyant l'attention de tous fixaient sur lui et salua les juniors.
Je jouais les traductrices puisque sa maîtrise du français laissaient vraiment a désirer. Puis une fois les petits calmé, je leurs indiquais où trouver [P/ma], Haizaki, et toutes leurs idoles.
Ils partirent avec la promesse qu'on les rejoindraient bientôt.

[T/p]: Pas trop terrible ?
Aomine: Tu as l air de bien les connaître.
[T/p]: Je ne veux pas oublier qui je suis et pourquoi j'en suis arrivée ici. Je viens donc dès que j' en ai l'occasion.
Aomine: Tu penses faire comme ton amie et devenir entraîneuse ?
[T/p]: Peut être mais pas pour l'instant, j'ai pas la patience qu'il faudrait.
Aomine: Je pense que si.

Je le regardais surprise. Il détourna le regard.

[T/p]: Comment ça?
Aomine: T es chiante, il frotta sa main sur sa nuque en air gêné sur le visage, Et bien je t ai observer et face aux journalistes tu restes toujours calme et souriante alors que tu te fais insultée et rabaissée.

J'ai l'impression de voir en autre Aomine.

Aomine: Et d ailleurs, je voulais m'excuser.

Alors la, j'étais ébahie. Le grand Aomine Daiki qui allait s'excuser?!

[T/p]: Pourquoi?
Aomine: Lors de notre première rencontre, c'était con de te juger sur ton sexe plutôt que tes capacités.
[T/p]: Ah..
Aomine: Quoi?
[T/p]: Je pensais pas a ça mais c est cool quand meme.
Aomine: Et tu pensais a quoi au juste?

Oups. Son ton aggresif me laissait entendre que je l'avais vexé.

[T/p]: Pour ta conduite le matin ou je me suis réveillée dans ton lit peut être?
Aomine: Non mais je rêve? T aurait voulu que je te dises quoi?!
[T/p]: J'en sais rien mais pas me manquer de respect comme tu l as fait.
Aomine: Tu manques pas d'air! Si t as oublié toute la soirée c est pas ma faute. Okay? Celle qui a trop bu et qui m'a chauffé c est toi. J'ai seulement dit non. Rien de plus.
[T/p]: C'est pour ça que j'étais quasi nue contre toi? Parce que tu as dit non?
Aomine: La prochaine fois, je-
[T/p]: Y aura pas de prochaine fois. Je veux pas avoir a faire avec un connard comme toi.
Aomine: Pourtant c est pas ce que tu répétait en te comportement comme une chatte en chaleur.

Ma main partit sans que je m'en rende compte.

[T/p]: je te déteste.

Je tournais les talons et errais dans les différents bâtiments pour me calmer jusqu'ici atterir dans l'atelier et par habitude, je saisis des outils et commençais à réparer un tuyau mal fixé. Je ne comprenais pas comment on avait pu partir de une discussion courtoise et arriver a ça.

Je fus rejointe une petite demi-heure plus tard par [P/ma].

[P/ma]: J'etais sûre de te trouvait ici. Tu venais toujours te planquer en haut des garages pour bricoler. Tu me racontes ?

Je lachais la clé à molette que je tenais avant d'essuyer mes mains pleins de graisses sur mes cuisses avant de les poser sur ma taille.

[P/ma]: Ton haut !
[T/p]: Les machines a laver existent, je soupirais avant de lui raconter tout ce dont je me souvenais et sur notre dispute, voilà tu sais tout.
[P/ma]: Je pensais qu il y avait quelques chose entre vous mais apparent non. Sauf si..
[T/p]: C'est bien le sauf si qui pose problème. Et toi avec Shogo, ça fait longtemps ?
[P/ma]: quelques jours...

Je la regardais rougir puis elle entrepris de tout me raconter.

[T/p]: En gros... Ça fait des année des que je déprime de pas vous voir ensemble... Pour ça?!
[P/ma]: Je vais te faire la peau toi!

On se chamailla gentiment avant de rire.

Haizaki: Moi ça fait des années que je rêve de vous voir vous battre.
[T/p]: Pervers!
Haizaki: Rappelle moi QUI a débarquée dans mes vestiaires des mecs en Terminale (On va dire qu'il a fait un échange scolaire ou un truc du genre pour les besoins du scénario./Ça sent l excuse de merde a plein nez ça mais osef x3 ) pour m'annoncer qu'elle avait un contrat?

Je raclais ma gorge mal à l'aise.

[T/p]: Je vois de quoi tu veux parler~
Haizaki: J'te crois mdr. Faut peut être ramenés tout le monde a l'hôtel?
[T/p]: je vais m'en charger. Restez un peu ensemble, mais pas de connerie les enfants.

J'evitais habilement les objets que [P/ma] me lança et sorti dans un rire. Tous nos amis attendaient derrière la porte ouverte.

[T/p]: Ça vous dérange de rentrer a pied?
Akashi: Non.
Kise: Si... Pourquoi t es toute sale?!
[T/p]: Pour rien t'inquiete. Bon de toute façon l'hôtel est a deux pas d'ici.
Akashi: Bien.

Je les fais sortir du dédale de couloir avant de ressortir par la porte de service.
Akashi: Tu dors chez tes parents?
[T/p]: J'attends les instructions de Kotaro. Mais j'habite pas loin donc c'est pas hyper dérangeant si je reste chez moi.
Akashi: Pour les réunions ?
[T/p]: Pas de soucis non plus. Par contre ... Tu vas peut être trouver ça audacieux, mais ici, je suis a domicile et je ne laisserais la victoire a personne.

Un sourire naquit sur les lèvres de mon co-équipier, tandis que les autres manifestés leurs désaccord, assez bruyamment.

Pourtant le dimanche en fin d'après midi, la personne juchait sur la plus haute marche du podium, c'était moi, Aomine et Haizaki respectivement à mes côtés. Kagami, poussé par Hanamyia avait sorti Akashi, quasiment des le début de la course.

J'étais aux anges, avec cette victoire les voix qui réclamait mon expulsion de la F1 se firent encore moins nombreuses. Cette victoire fut fêtée mes amis et mon equipe. Mais je me contentais d'une coupe de champagne seulement. J'avais dit pas de prochaine fois et tant qu'il serait dans les parages, je m'y tiendrais.
Le lundi soir, la village organisa une petite fête en "l'honneur des deux salles gosses" pour citer le maire. En même temps on en avait fait pas mal des conneries a l'époque.
Je restais encore une petite semaine avant de m'envoler pour le Grand prix suivant.

Les vacances estivales passèrent puis revinrent les weekends de courses. Les écuries se battaient pour que leur champions remportent la course aux points. (A chaque Grand Prix, ou chaque circuit comme vous préférez, les 10premiers arrivaient gagnent des points: 1er-25,2eme-18;3eme-15; etc..)
Actuellement Akashi était en tête mais si il se faisait sortir et qu'Aomine passait premier la victoire nous passerez sous le nez. Pour ma part, j'etais a 24point de ce dernier je ne pourrais donc rien faire.

Le début du Weekend end se passa comme sur des roulettes, semblant en faveur de Ferrari. Le dimanche avec la course arriva très vite.

A un tour de l'arrivée, je sentis un choc me faire dévié de ma trajectoire. Je fis de mon mieux pour rétablir ma trajectoire en vain, une seconde secousse réduit mes efforts a néant. Je pus seulement ralentir un peu avant d'heurter violement le mur.
Je restais quelques secondes incapable de réagir. Voyant la voiture fumée, mon instinct pris le dessus, je réussis a me sortir de la voiture. Je fis quelques pas en longeant le mur, dans l herbe, le plus loin possible de la piste pour rester en sécurité. Mais le destin décida en décider autrement. Ma voiture explosa, dans une gerbe d'étincelles, me projetant dans les airs avant que la gravité ne reprenne ses droits.

A mon réveil j'etais allongée dans une pièce blanche, un masque a oxygène sur le visage. Je clignais des yeux, réflechissant a comment j'avais pu atterir dans une chambre d'hôpital et arrachais le masque. Des fragments de mémoire revinrent petits a petits. L'accident puis l'explosion de ma monospace et enfin le noir.

Le médecin entra paniqué avant de s'arreter net en me voyant réveillée.

Médecin: Bonjour Mademoiselle [T/n], comment vous sentez vous?
[T/p]: Euh...

Je regardais autour de moi a la recherche de quoi apaiser ma gorge. En face, il se précipita et m'offrir un verre d'eau que je descendis en quelques secondes.

[T/p]: Je..je suppose que bien?

Je ne reconnaisais toujours pas ma voix mais peu importe pour l'instant.
Le médecin s'approcha pour m'ausculter un peu. Je suivis docilement ses instructions avant de répondre a des questions stupides.

Médecin: Nom Prénom et Âge.
[T/p]: C' est mal poli de demander son âge a une femme je vous ferais remarquer, le voyant grimacer je répondis, [T/n] [T/p], [t/a].
Médecin: Profession?
[T/p] : Pilote automobile. Vous avez fini?
Medecin: Raconte moi les dernières choses dont tu te souviens.
[T/p]: J'etais en course puis ma radio m'a lâché et durant le dernier tour et quelqu'un a percuté ma monospace. Plus rien ne répondait j'ai donc freiné le plus possible avant de heurter le mur. Ensuite je me suis sortie de la voiture et il y a eu un grand bruit et ..et c est le noir.
Médecin: Bien, il releva la tête de son carnet, je vais demander a ce qu'on t apporte de quoi manger. Ensuite des personnes attendent pour te voir. Tu pourras les voir quand tu te sentiras prête.

Il sortit avant que je puisse poser une autre question. J'entrepris d'essayer de chercher des blessures. Mais rien d'alarmant, a part une légère douleur en bas du dos. Je finis par repousser la couette pour essayer de me lever. Une infirmière arriva à ce moment et me remis sous les couvertures avant de poser mon plateau sur une espèce de table.

Infirmière : Je repasserais dans 10min. Pour voir si tout va bien. Je préférais que tu attendes que je reviennes pour bouger. Reprends d abord des forces.

J'acquieçais, la vue de la nourriture ayant révélé mon envie de bouffer. Je devorais littéralement le contenu de mon plateau. Une fois ce dernier engloutit, je tentais de bouger mais comme précédemment rien ne bougea. En posant la main sur ma jambe, cherchant une quelconque blessures pouvant expliquer ce refus. Je déplaçais ma main, sans comprendre, puis soudain je remarquais quelque chose: Je sentais a peine ma main. Je me plantais les ongles dans la chair, pour chercher une sensation de douleur sans en trouver. Je n'arrivais pas a comprendre pourquoi. Mais je repoussais au plus loin l'idée d'être devenue paralysée, cherchant des scénarios tous plus fous les uns que les autres. Je sentis ma respiration s'emballer sans pouvoir la contrôler ou la calmer. Soudain je sentis des bras me serraient en me disant de se concentrer sur sa voix, ce que je fis même si je suis clairement incapable de vous répéter ce que j'ai entendu. Je me souviens seulement qu au bout de quelque minutes j'etais revenue a un rythme normal. Les bras me lachèrent laissant une impression de vide et de froid. Je levais les yeux vers mon sauveur et fus surprise de reconnaitre Aomine.
La lueur inquiète et son visage fatigué était a l'opposé de la dernière fois que je l'avait vu. Ses cheveux semblaient plus long que dans mon souvenir. Il recula se mettre dans un coin, frottant une de ses mains derrière son cou. Je m'intéressais ensuite a Kotaro et Mayuzumi. Le premier me regardait les larmes aux yeux et j'eus a peine le temps d ouvrir les bras qu'il se ruait sur moi et me serra de toutes ses forces, mouillant de ses larmes l'espèce de pyjama que je portais. Je me joignis a lui dans vraiment savoir pourquoi mais cela me fit du bien. Il s' ecarta quand l'un des inconnus se réclat la gorge.

Mayuzumi: Content de te voir réveillé [T/p]. Ces messieurs, d'un geste il me désigna les inconnus, vont avoir quelques questions à te poser. Si tu te sens prête bien sur.
[T/p]: Euh.. Oui.. Mais avant comment ça est fini la course?
Nijimura : Enchanté je m'appelle Nijimura Shuzo et je suis un commissaire de course. Mon collègue est huissier, il notera tout ce que vous direz. Vous êtes d accord? Nous vous donnerons les résultats de la course après.

Je jetais un coup d'œil a mon directeur d'écurie qui me fit signe d'accepter.

[T/p]: Je suis d'accord.
Nijimura : Je vais vous demander de nous raconter tout ce dont vous vous souvenez a partir de la perte de contact avec votre équipe.

Je pris quelques instants avant de narrer tout ce dont je me souvenais jusqu'à l'explosion de ma voiture. Il me posa de nombreuses questions et me fit répéter plusieurs fois. Il me posa ensuite des questions sur le reste de la course, puis satisfait il prit congé avec son collègue.

[T/p]: Et du coup la course?

Je sentis la main de Kotaro se crisper dans la mienne tandis qu' Akashi entrait suivi d'Haizaki. Ce dernier fut le tour de mon lit puis le fit un bisou sur le front.

Haizaki: Ça va [T/s]?

Je souris a ce surnom que je n'avais pas entendu depuis des années.

[T/p]: Ça va. J'ai l' impression d avoir dormi pendant des semaines.

Ma remarque laissa un blanc.

[T/p]: J'ai dit une bêtise?
Haizaki : Y a combien de temps que la course a eu lieu pour toi?
[T/p]: Euh ... Je.. je sais pas..
Haizaki : Ça fait 2 putains de mois.

Je le regardais incapable de croire ses propos, je cherchais le regard des autres qui me confirmèrent. Je baissais la tête incapable de soutenir leurs regards plus longtemps.

[T/p]: Comment .. comment a fini la course?

Je maudis ma voix faible et tremblante.

Aomine: Comment tu peux parler de boulot putain?! Tu te rends pas com-
[T/p]: Non je crois que c est toi qui te rends pas compte de l'importance de cet réponse pour moi.
Akashi: J'ai gagné. Grâce à toi.

Je soupirais soulagée avant de lever la tête et apperçue le sourire de mon co-équipier.

Akashi: La saison c'est fini avec une victoire totale pour l'ecurie. Cependant les autres sont toujours en attente de classement définitif.
[T/p]: Comment ca?
Haizaki : celui qui t as heurté c'est Hanamyia.
[T/p]: Oh...
Kotaro: Il a attaqué dans un angle mort et on avait aucun moyen de te prévenir..
[T/p]: Et.. l'explosion de la voiture n'a touché que moi?

En voyant Chihiro secouer la tête je pris peur.

Mayuzumi : Seul Akashi, Aomine et Hanamyia ont fini la course. Kuroko a pas réussi a t'éviter et le choc lui a fait éclater un pneu. Le peu d'espace restant pour passer a été bloquée par Kagami qui a tenter de passer au moment où ta monospace a explosée. Heureusement sa voiture a bien résisté et le choc n'a pas été trop violent pour lui. Kuroko a réussi a sortir avant l'explosion, et même si ça a fini en accident généralisé, ce n'était que des blessures légères.

Je pris une inspiration en remarquant que j'avais arrêté de respirer.

[T/p]: Et comment ils vont noter?
Mayuzumi : Grace a ton témoignage. Ta radio étant H-S rien ne pouvait indiquer si tu avais vu arriver Hanamyia et fait exprès de te rabattre.
[T/p]: Avec le décrocher d'Aomine, on se serait heurté si je m'étais pas rabattue..

Je vis Aomine serrait les poings.

Mayuzumi : C'est ce qu on a dit, justement, et d'ou cet interrogatoire. L'ordre appliqué sera sûrement le dernier intervalle de temps mesurer.
[T/p]: C'est tout de ma faute au final, non..?
Aomine: Dit pas ca! C'est un aucun cas de ta faute [T/p]. J'avais vu Hanamyia arriver et je pensais que toi aussi. J'imaginais pas qu'il tenterait de passer et ... Et j'ai détruit toutes tes chances de réaliser ton rêve..

Je levais les yeux et le vis essuyer les siens d'un geste rageur avant de sortir de la pièce en claquant la porte. Je gardais le silence, sans vraiment comprendre ce qu'il venait de se passer.

[T/p]: Est ce que je pourrais rester seule.. s'il vous plaît ?

Apres m'avoir serré une dernière fois dans leurs bras, ils sortirent en silence. J'attrapais la télécommande pour appeler une infirmière. Ce fut le médecin de tout a l'heure qui entra.

Médecin: Qu est ce que je peux faire pour vous?
[T/p]: Si vous avez le temps, j' aimerais savoir ce que j'ai..

Je le vis prendre une chaise et la tirer vers le lit avant de s'assoir.

Médecin: Savez vous a quoi servent les nerfs?
[T/p]: Transmettre des informations par le biais de la moelle épinière au cerveau ?
Médecin: Tout a fait. Et lorsque la moelle épinière est touchée les informations ne peuvent plus circuler.
[T/p]: Donc je suis devenue tétraplégique ?
Médecin: C est ça. On vous fera passer des tests d'ici cette après midi, pour déterminer si c'est une paralysie totale ou partielle.
[T/p]: Ça change quoi?
Médecin: Dans le cas d'une paralysie partielle, il y a un espoir infime de pouvoir remarcher, après une réducation.
[T/p]: Oh.. Je suppose que même si je réussisais a remarcher je ne pourrais jamais redevenir a pilote. Enfin.. merci Docteur.

Il sortit. Le reste de la journée et les jours suivants se passèrent entre examens et début de rééducation. J'avais aussi eu la visite de mes parents et de mon grand père, Kotaro venait me voir au moins une fois par jour, souvent se plaindre du manque de délicatesse de celui qui allait sûrement me remplacer.

[T/p]: Hayamaaaaa vient on sort, j'ai besoin de soleil j'en ai marre d être enfermée !

Aussitôt dit, aussitôt fait. Il m'avait aidé a m'asseoir dans le fauteuil roulant et poussé jusqu'à l'extérieur tout en me faisant des grimaces pour me faire rire.

On s'arrêta a côté d'un banc au soleil, et il s'assit.
Kotaro : Je peux te poser une question ?
[T/p]: Tu viens de le faire. Mais dans ma graaaande magnitude d'ame, je te permets dans poser une autre!
Kotaro: Redescend sur terre, championne!, il sourit avant de reprendre, pourquoi tu étais étrange ?

Je réfléchis quelques instants pour comprendre où il voulait venir. Avec un soupir, j'entrepris de lui raconter ce dont je me souvenais.

[T/p]: Mais comme j'en ai aucun souvenir bah je sais pas.
Kotaro : Non mais t es complètement folle! T'aurais du m'en parler! T'imagines les conséquences qu'il aurait pu y avoir?!
[T/p]: Sei' est au courant.

Il se rassit en soupirant.

Kotaro : Vous êtes inconscients...
[T/p]: Peut importe ce qu'il s'est passé, je savais  qu'Aomine ne dirait rien.
Kotaro: Comment ça?
[T/p]: Aucune idée, mais je le savais juste.
Kotaro : Me dit pas que... T es amoureuse de lui?! Non mais tu veux ma mort ou quoi?!

Je rougis.

[T/p]: De toute façon ça n'aurait pas pu marcher.
Kotaro: Tu lui a dit?
[T/p]: Bah non?
Kotaro: Alors comment tu pourrais en être sure?
[T/p]: Qui voudrait d'une femme paralysée ?
Aomine: Moi.

Je tournais la tête pour l'appercevoir.

Kotaro: Je vais vous laisser, je repasserai plus tard.

Et il fila plus vite aucun grominet. Le basané me contourna pour s asseoir la où se tenait précédemment Hayama. Je le regardais faire en silence.

Aomine: Salut.
[T/p]: Hey

Un petit ange passa. Après son départ, on prit tous les deux notre inspiration.
[T/p]&Aomine: Je voulais te dire que..

On sourit bêtement.

[T/p]: Commence.
Aomine: Okay. Alors.. Il ne s'est rien passé entre nous.
[T/p]: Hein?
Aomine: Deux. Le matin où tu t es réveillé dans mon lit, je veux dire.
[T/p]: Mais...
Aomine : J'ai vu que les autres étaient pas bien mais c'était des mecs donc je me suis dit qu'il valait mieux te raccompagner. Mais y en a qui s'est amusé a te renverser son verre dessus. Donc on allait au plus prêt ma chambre et t as pris une douche, quant a tes vêtements je les avais déposé au pressing. Mais le temps que je reviens tu t'étais affalée sur mon lit, enroulée dans une serviette, et t'avais l'air tellement bien que j'ai pas osé te réveiller.

Je ne savais pas trop comment j'etais sensé réagir.

[T/p]: Et du coup.. Pourquoi tu m as pas dit la vérité ?
Aomine: Je sais pas trop. Mais ça m'amène à m'excuser pour les propos au Castellet. C'était pas vrai.
[T/p]: J'aurais pas du t'insulter non plus, désolée.

On écouta les oiseaux gazoulliaient. Pour ma part, je profitais aussi de la douce chaleur du soleil sur mes bras.

Aomine: C'est vrai ce que tu disais tout a l'heure a Kotaro?
[T/p]: Et toi?
Aomine: Nop cette fois tu répond en première.
[T/p]: Ouais, que ce soit une bonne chose ou non, je t aime Daiki.

Il sourit avant de se pencher vers moi et de poser ses lèvres sur les miennes si délicatement que j'avais l'impression d'etre aussi fragile que du verre.

[T/p]: Mais ..
Aomine: Je ne veux pas d'une femme paralysée, je te veux toi, telle que tu es, il baissa la voix, si tu savais a quel point je m'en suis voulu, et quand les médecins ont annoncé que tu ne te reveillerais peut être jamais et que même dans le meilleur des cas tu serais paralysée. J'aurais voulu remonter le temps, et effacer tous ses horreurs que je t ai dite.

Je restais muette en imaginant ce qu'il avait pu ressentir. Il passa sa main sur ma joue pour essuyer les larmes qui coulaient. Il posa ensuite sa veste sur les épaules.

Aomine: On remonte? Tu vas prendre froid.

BONUS:

-Tonton? Il est où Papa?

Quatre ans s'était écoulé depuis. J'avais été reconnue innocente de l'accident et avait fini sur la troisième marche du classement général, derrière Akashi et Aomine.
Après de nombreuses heures de rééducation et une volonté de fer, j'avais récupéré quasiment 100% de mes capacités.
Contre l'avis du médecin, j'avais repris la formule 1 dès le deuxième Grand Prix, de l'année suivant. Les ingénieurs avaient passé des heures a adapté ma monospace pour qu'elle encaissé mieux les chocs pour éviter d'autres dégâts a ma moelle épinière.
Ses recherches avaient par la suite bénéficiées à tous les pilotes pour limiter les blessures lors des accidents.

Une fois mon contrat en tant que pilote de deux ans chez Ferrari finit, j'avais raccroché ma veste de pilote pour enfiler celle de directeur de course. J'avais tout d'abord rétrogradé pour prendre Jules sous mon aile, qui s'était hissé jusqu'en F2 entre temps. Sa victoire écrasante lui avait valu de passer en F1, chez Ferrari, il y a environ 2ans, avec moi pour le conseiller et lui transmettre les instructions.

A côté de ça, Aomine et moi nous étions mariés, et avions celebrer une naissance, celle d'un magnifique et adorable petit garçon, [P/g], actuellement installé sur les genoux de Kotaro, à côté de moi, a regarder l'écran retransmettant la course.

Avec un sourire, je regardais tendrement mon fils avant de me reconcentrer sur Jules.

Dès la fin de la remise des prix, je vis Aomine courir vers [P/g] et moi. Il m'embrassa tendrement avant de passer son prix a notre fils qui le regarda comme l'une des 7merveilles du monde, nous faisant rire. Des petits pas résonnèrent, et une petite fille du même age sauta sur [P/g] pour lui faire un câlin.

-Natsuuu! Arrête de courir de partout !

Je souris en voyant [P/ma] et Haizaki nous rejoindre suivit des autres pilotes.

Je pense que je n'aurais jamais cru si l'on m'avait raconté que 4ans plus tard, je serais marié a un homme génial, avec un fils incroyable, tout en ayant pu réaliser mon rêve et faire un métier qui me plait. Enfin..

[T/p]: Daiki! Combien de fois je t'ai dit: Pas venir le faire de câlin lorsque t es couvert de champagne ?

Je soupirais devant l'état de mes vêtements avant de l'embrasser sous les rires de nos amis.

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Hello!
Bouclé juste a temps!
Tout d'abord à m'excuser si j'ai pu blesser quelques personnes en rendant [T/p] paraplégique. Il n'y a absolument aucune part de moquerie ou de critique.

Ensuite bravo a ceux/celles qui avaient deviné que c'était Aomine x)
Si vous voulez que je refasse des OS de ce genre.. dites le moi :3

Si y en a qui veulent commander des OS sur des perso en particuliers y a pas de soucis non plus (j'avoue ça m'arrangerais parce que l'inspiration c est plutôt pour HQ en ce moment x) ) Faut juste pas être pressé x)

Voilaaaa j'espère que ça vous aura plus et a .... Bah a l'inspiration x)