Bonsoir :3

Voilà la suite blablabla j'espère que ça restera compréhensible (je crois que je suis partie un chouille loin) et que vous allez pas me détester TwT

Je précise tout de suite que j'ai utilisé un perso de Monster, Johan Libert, (si je dis pas de Betise) alors que je n' ai pas lu le manga donc pour ce qu'ils le savent pas. C est askip le mechant ultime d après jsplus quel site internet

En suite..la semaine pro, ce sera de nouveau un OS sur Yukio (il est presque fini) qui m avait été commandé y a longtemps !

Voilaaa kissouille mes petits chats et bonne lecture  ❤

Le coin des Infos:
- [N/co] : Nom Commanditaire

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Précédemment :

Pour ma part, j'avais capitulé un premier et je m'étais levée titubant avant de tombée sur Kagami en rigolant. Il m'avait alors entouré de ses bras et posé sa tête sur mon épaule, un sourire niais sur le visage.
En face de nous Midorima s'était mis a pleurer de ne pas avoir son Kazu-cheri. Kuroko ronronnait littéralement en se frottant contre Akashi. Et ensuite ce fut le trou noir.

On continue:

Je supposais que Taïga m'avait porté dans une chambre puisqu'à mon réveil, j'étais allongée sur un lit et lui a côté par terre. Je pestais contre la lumière du jour à voix basse avant de poser une couverture sur le rouquin. Je me rendis ensuite dans la salle de bain pour prendre une bonne douche et surtout, une aspirine.

Une fois cela fait, je me rhabillais et descendis dans le salon. Akashi s'y  trouvait déjà en compagnie de Momoi.

[T/p]: Bonjour..
Momoi: [T/s]! C est toi que je-
[T/p]: Tu pourrais parler un tout petit peu moins fort... S'il te plait?
Momoi: Oui bien sûr, elle baissa d'un ton tandis que je la remercier d'un sourire avant de continuer, comme je l'expliquais a Akashi juste avant que tu arrives, une demande de contrat est arrivée. On voudrait que tu rencontre les commanditaires avant de valider ou non.
[T/p]: Et il faudrait que ca se fasses quand?
Momoi : le plus tôt possible donc dans 2h. Ça t'irait?
[T/p]: Y a moyen que je me recoucher une petite heure?
Akashi: Malheureusement non.

Je soupirais découragée.

[T/p]: Alors il va me falloir une triple dose de café.

Je m'assieds autour de la table tandis que mes deux amis en faisait de même. La rose nous partagea toutes les données qu'elle avait déjà trouvé, ce qui se résumé a pas grand choses.

En résumé, un inventeur de génie s'était fait enlever ses enfants par son ex-femme. Et cette dernière avait disparu au Mexique.

Petit à petit, les autres nous rejoignirent. Une heure avant le rendez vous, je montais me préparais et réveillais les derniers garçons. Je commençais par Aomine qui grimaça avant de m'insulter.
Kagami, lui, m'attira dans ses bras, me faisant rougir.

[T/p]: K-kagami!!
Kagami : hmmm..
[T/p]: Allez lev-

Il m'embrassa pour me faire taire. J'ecarquillais les yeux, surprise, avant de le repousser. Un flash illumina brièvement la pièce.

[T/p]: P***** AHOMINE!

Au moins, cela eu le don de réveiller Bakagami. Quand je pense que ce fut mon premier baiser avec lui...

Kagami : Qu'est ce qu-

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que je lui collais une baffe avant de m'extirper de ses bras musclés et de filer mettre les vêtements préparé par l'un des serviteurs de la famille Akashi. Une fois prête, je repassais en coup de vent dans la chambre que j'avais partagé avec le rouquin.

[T/p]: Bakagami!
Kagami : [T/p] je suis vraiment désolé, j-
[T/p]: A mon retour, il faudra qu'on parle.

Je ne lui laissais pas le temps de répliquer avant de rejoindre Seijuro qui m'attendait en bas des escaliers. Voyant ouvrir Kise la bouche, je décidais de prendre les devants.

[T/p]: Le premier qui ose faire une seule remarque, je le tue, c'est clair? Et je peux vous assurer que ce sera pas une mort paisible.

Ryouta échangea un regard avec l'ancien joueur de Yosen et décida qu'il était plus prudent de la fermer.
Je rejoignis ensuite l'empereur et Momoi qui m'attendait.
Dans la voiture , je pris le temps d'appeler mon frère pour qu'il fasse quelques recherches sur notre commanditaire. En repensant à toutes les données qu'on avait en main, quelques choses me chiffonais sans que j'arrive à déterminer quoi.

Avant de sortir de la voiture Akashi donna les dernières instructions.

Akashi: [T/p], on ne s'engage a rien. On veut juste des informations complémentaires. Momoi, si tu remarques le moindre truc incohérent tu le signales dans l'oreillette.
[T/p]&Momoi: Oui, chef!

Je descendis de la limousine à la suite d'Akashi, puis lui pris le bras. Je devais jouer sa petite amie ou quelque chose d'approchant. Pourtant à chaque seconde, je ne pouvais pas m'empêcher de comparer Seijuro et Taïga, et toujours à l'avantage du second.
En pénétrant dans le restaurant, je remerciais mes parents de m'avoir souvent traîné dans des restos chic à l'image de celui-ci.
Avant de s'engager en direction de notre commanditaire, le rouge se pencha vers moi pour murmurer à mon oreille.

Akashi: Le reste de l'escouade arrivera dans pas longtemps, dans le cas où ça tourne mal, ne t'inquiète pas.

Je lui souris pour donner le change, mais si ses mots m'inquietaient un peu plus que je ne voulais le laisser paraître. Beaucoup, même.

On se dirigea d'un pas tranquille vers notre table. Je ne sais pas s'il m avait senti tendue mais mon cavalier me chuchota une blague qui me fit rire. Je lui souris, prête a jouer mon rôle.

[N/co]: Bonjour, merci de me recevoir aussi vite.

On enchangea quelques poignées de main accompagnées de formules politesses vide de sens, au vu du contexte. Akashi prit ma chaise et la tira pour me permettre de m'asseoir. Après un sourire, je m'installais puis il prit place a côté de moi.

[N/co]: Vous êtes vraiment ravissante, mademoiselle.

Akashi prit ma main bien évidence sur la table, tandis que je soupirais intérieurement.

[T/p]: Merci. C'est fort aimable de votre part d'avoir pu vous libérer pour prendre le temps de nous parler.
[N/co]: Je veux retrouver mes enfants le plus vite possible. Chaque seconde de perdue est un drame.

Il avait l'air bouleversé à présent.

[T/p]: Je comprends tout à fait. Et nous aimerions vous poser quelques questions, avec votre accord bien sûr.
[N/co]: Tout ce que vous voudrez!
Akashi: Depuis combien de temps êtes vous séparé de votre compagne?
[N/co]: Bientôt un an.
Akashi: Y a-t-il eu un jugement pour statuer sur la garde des enfants ?
[N/co]: Non. Nous nous avions réussi a nous entendre.
[T/p]: Quand aurait-elle du ramener les enfants ?
[N/co]: Il y a 2semaines déjà.
[T/p]: Pourquoi nous avoir contacté seulement maintenant ?
[N/co]: J'étais désesperé, je ne savais plus quoi faire et.. j ai entendu parler du procès dans les infos et je me suis dit que peut être vous pourriez faire quelques choses.

J'avais l'impression de passer a côté d'un énorme détail. J'entendis dans l'oreillette Momoi nous prévenir de l'arrivée de l'équipe. Je laissais Akashi poser les questions et pris le temps d'observer le restaurant.

Plutôt chic, mais peu rempli pour un midi. Étrange ..Plus j'y réfléchissais plus j'avais l'impression que nous étions menés en bateau.
Soudain je sentis mon portable vibrer dans mon sac.

[T/p]: Est-ce que cela vous dérange si je répond, c'est mon frère.

Je vis le visage de [N/co] se crisper avant de me dire que cela ne lui poser aucun soucis. Je pris mon téléphone et sortis vite du restaurant pour répondre.

[T/p]: Salut. Tu as pu trouver ce que je t ai demandé ?
Mayuzumi : J'ai rien trouvé sur ton homme. C'est comme s'il n'existait pas. Pas avant les dernières inventions de l'an dernier, du moins.
[T/p]: Est ce que tu pense qu'il pourrait avoir changer d'identité ?
Mayuzumi : Peut être.
[T/p]: Tu pourrais te mettre en contact avec le reste de l'équipe ? Vous pourriez chercher des infos a ce propos ? Je sais pas si ça pourrait vous aider mais il a tiqué au mot "frere". Je me demande s'il avait pas un frere ou une sœur qui n'aurait pas réussi a être sauvé. Et dans ce cas, on est en danger à l'intérieur.
Mayuzumi : d ac. Sois prudente soeurette.

Et il raccrocha. Je me dépêchais de rejoindre Seijuro.

[T/p]: Désolée de vous avoir fait attendre,puis j'ajoutais à l intention d'Akashi,Désolé chéri, mais il a pas retrouvé notre DVD.

J'entendis quelqu'un juré dans l'oreillette, Kagami si je ne m'abusais.

Akashi: Et bien on le rachètera, tanpis.
[N/Co]: Vous avez décidé du coup?
[T/p]: Nous allons en parler avec le reste de l'équipe et vous demander une réponse ce soir?

Il prit sa tête entre ses mains.

[N/Co]: Je ne les reverraient jamais vivants..

Je jetais un coup d'oeil, aux autres personnes dans le restaurant. Ils nous regardaient avec un air plutôt effrayant.
Mon oreillette grésilla légèrement avant que résonne la voix de Momoi.

Momoi: [T/p] avait raison...

Merde. Bon gagnez du temps, pour permettre aux reste de l'esuupe de ce déployer.

[T/p]: J'ai une dernière question : quel est vôtre nom?
[N/co]: Et bien [N/-
[T/p]: Je veux dire votre vraie identité. Après tout, je pense que ce n'est pas une coïncidence si le restaurant est quasiment vide, mise a part des gars que vous payez. Vous pouvez bien nous le dire, puisque les chances qu'on en réchappe sont minces.
[N/co]: Vous êtes un peu trop maligne pour votre propre bien. Au pont que je suis sur que vous connaissez déjà mon nom.
[T/p]: Vous êtes Johan Libert. Votre sœur Céleste a été enlevé, puis tuée juste avant que quiconque puisse intervenir. L'équipe en charge de ce dossier, c etait nous,non?
Libert: Vous êtes vraiment étonnante. Comment avez vous réussi à deviner?
[T/p]: Il y avait un détail qui me dérangeait puis votre réaction quand j ai parlé de mon frère. Et mes ravisseurs avaient parlés de vous devant moi, une fois.
Libert: J'aurais presque des scrupules a vous tuez maintenant. Presque seulement.

Il éclata de rire tandis que je me rapprochais d'Akashi.

Momoi: Les gars sont en place, il faudra vous planquez dès que j'allumerai l'alarme incendie. 3...2...1, Maintenant !

On courru se cacher derriere le bar tandis que l'alarme hurlait et que de l'eau arrosaient copieusement tout le monde.
Les coups de feu retentirent dans notre direction.

Akashi: Je vais faire diversion tu fonces dans la cuisine et tu rejoins Momoi.

Je fis oui de la tête tout en quittant mes chaussures. Il sortit un pistolet et se releva pour tirer. J'en profitais pour me glisser dans la cuisine avant de me ruer sur la porte qui refusa de s'ouvrir. L'odeur du sang attira mon attention et je découvrir les corps sans vie des cuisiniers.

Libert: Tiens tiens tiens, mais qui ai-je la?

Je regardais désespérément autour de moi un objet quelconque donc je pourrais me servir d arme. Il ricana avant de pointer son arme sur moi. Je levais les mains en l'air.

Libert: Le soucis c est que j ai absolument pas envie de te tuer sans te faire souffrir un peu. Pour que vous imaginiez ce que ma sœur a pu éprouver.

Et actant ses paroles, il tira une première balle qui me transperça le bras. Je hurlais de douleur, essayant de compresser la plaie de mon autre main. Des larmes coulèrent sur mes joues sans que je puisse les commander.
Il en profita pour me caler un coup de pied dans les côtes, m'envoyant balader contre un meuble. Il s'amusa quelques minutes a me frapper. Puis pointa de nouveau son arme contre moi, sur mon front, cette fois.

Libert: Une dernière parole?

[T/p]: A quoi bon?

Libert: Tanpis pour toi.

Et il appuya sur la gachette au moment où quelqu'un devia son bras. La balle se ficha une dizaine de centimetre au-dessus de ma tête.

[T/p]: Taïga!

Il se battit avec Libert pendant quelques instants. J'en profitais pour me redresser et partir chercher de quoi aider Kagami. J'attrapais une poele quand un second coup de feu résonna. En me retournant je vis le rouquin s'effondrait tandis que du sang s'ecouler à gros flot de son ventre. Je frappais de toute mes forces la poele contre le crane de Libert, qui s'effondra, puis m'agenouillais à coté de mon camarade. Je compressais sa plaie du mieux possible. Tandis que le reste de nos camarades retraient. J'entendis vaguement Akashi appeler une ambulance d'urgence

[T/p]: Me lache pas Taïga j'ai encore plein de choses à te dire.. J'ai besoin de toi alors il faut que tu t'en sortes..
Kagami: [T/p]..

Il leva péniblement sa main et la posa sur ma joue comme si c'était de la porcelaine.

Kagami: Peut importe ce qu'il.. m'arrive.. Je serais heureux.. de t'avoir connu.. Tu es une femme merveilleuse..
[T/p]: Tu me le rediras quand tu seras tiré d'affaire! Tu peux pas me laisser.. Je t'aime ..
Kagami: J'aurais bien aimé avoir un vrai bai-

Avant qu'il n'est pu finir sa phrase, je posais mes levres sur les siennes. C'était un baiser empli de désespoir mélé à un amour longtemps contenu. Lorsque je reculais, des larmes maculaient mes joues alors qu'un sourire s'épanouissait sur son visage. Il rassembla son energie pour être entendu de tous.

Kagami: Prenez soin d'elle pour moi.

Ensuite tout s'enchaina très vite. Sa main retomba pendant que ses yeux se fermaient. Des hommes habillaient de blanc débarquèrent et nous firent reculer de force pour prendre en charge Kagami. Je devais surement hurler mais se ne sont que des suppositions...

[P/psy]: Mademoiselle [T/n]? Vous êtes là?

Je relevais la tête pour regarder mon interlocuteur(/interlocutrice). Voila quelques mois que je venais ici deux fois par semaines tandis que cette personne essayait de me faire parler de la mort de Kagami. Seulement je refusais d'abordais le sujet avec d'autres personnes que mes proches. Donc toutes nos réunions se passaient à parler de la pluie et du beau temps et occasionnellement de ma famille.

[T/p]: Maintenant oui. Je peux y aller?
[P/psy]: Il faudra que vous en parliez un jour.
[T/p]: Mais pas avec vous.

Elle soupira avant de me redonner rendez vous. Je me levais et pris ma veste avant de sortir sans un mot de plus. Je rejoignis mon frère et Aomine qui patientaient dans la salle d'attente.

Aomine: C'est bon?
[T/p]: Pour aujourd'hui? oui.
Aomine: Pluie et beau temps?
[T/p]: Toujours

Il sourit. C'etait devenue une sorte de plaisanterie entre nous. Toute l'équipe avait du voir un psy. Cependant, même si nous avions été autorisé a reprendre le travail, nous étions avec Momoi les seuls à continuer de voir un psy. Mon frere prit ma main dans la sienne comme pour me rassurer et on rejoignit la voiture tous les trois avant de prendre le chemin du cimetière.