Kotaro Hayama [1/2]
Hello!!!
Je suis contente d'avoir enfin réussie à boucler ça!!! Je n'y croyais plus!!!
J'ai commencé tellement d'OS sur KnB que je désespérais vraiment de pouvoir en finir un dans les temps!! ( Conscience: En même temps si au lieu de lire&relire tes romans à la con tu écrivais| moi: Chuuuuuuuuuuuuteuh!!!)
Encore désolée pour cette pause ><
Au passage, merci a tous pour les 1K de vues, j'arrives à peine à y croire!!! ♥
Je vais être pas mal occupé durant la deux prochaine semaines mais normalemennt je devrais pouvoir publié!
Voila c'est tout pour ce soir!!
Bonne lecture!!! Et merci de votre patience!
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Ce matin-la, alors que la neige tombait, il avait saisit mes mains glacées pour les mettre à l'abri dans ses poches. Riant de mes joues rougies par l'air froid hivernal. Je me souviens avoir détournée le regard avec un air que je voulais boudeur. Il avait continué de me charrier jusqu'à son équipe arrive. La, après un dernier sourire, il m'avait laissé et je l avais regardé s'éloigner. Sans que je le contrôle, je m'étais mise à courir et j'avais saisi son bras.
Je ne voulais pas le laisser partir, même pour quelques heures, sans qu'il ne sache ce que je ressentais pour lui. Je vis défilé des souvenirs de moments passés à ses cotés.
A la crèche, il avait été le premier à venir me chercher pour jouer, moi, qui a l'époque, atteignais le summum de la timidité. Déjà très sociable à cette âge la, il avait su m'entraîner dans ses jeux, puis ses bêtises et plus tard, ses désastres.
Notre première rentrée en primaire, je me souviens qu'on avait été les plus heureux lorsque l'on avait su que l'on serait dans la même classe. On avait refusé de se quitter et on avait passé la soirée à jouer jusqu'à s'endormir ensemble, dans son lit, main dans la main.
Quelques mois plus tard, il avait décidé qu'il était assez grand pour enlever les roulettes de son vélo, alors on avait chiper les outils de mon père et essayés de dévisser ses roulettes. Après de longues minutes laborieuses, nous avions réussi mais tout se gâta lorsqu'il tenta de pédaler. J'avais desserré la roue avant qui avait décidé de continuer seule son voyage. Je le vis tomber puis se relever les mains et les genoux tout égratigné et une coupure sur la joue. Je m'étais alors mise a pleurer, consciente que c'était de ma faute si il s'était blessé. Mais lui, s'était précipité pour me faire un câlin et me rassurer.
Je me revis ensuite, faire à mon tour, la casse-cou. Ma chute à roller me valut un bras cassé et m'obligea a passer 1 mois, à le regarder jouer au basket. J'avais été fasciné de l'aisance avec laquelle il semblait jouer, donnant l'impression d'être né avec un ballon dans la main.
2 ans plus tard, lors d'une sortie scolaire à Honshu pour visiter le mont Fuji, notre groupe c'était perdu dans une forêt voisine. Sa main n'avait pas lâcher la mienne une seule seconde. Cela m'avais permis de garder mon calme et trouver un moyen pour, que les enseignants nous retrouve plus vite.
Après cela, vint l'entrée au collège et un éloignement. Ou plutôt il m'évitait dès qu'il le pouvait. On se croisait au club de basket, dont j'occupais le poste de manager.
J'avais fini par l éviter à mon tour après l'avoir vu embrasser sa première copine. On s'était petit à petit éloigné jusqu'à ce que j'apprenne le décès de sa grand mère. Elle nous avait souvent gardé enfant, et avait finie par devenir comme ma mamie. J'adorais passer des heures à l'écouter raconter sa vie ou cuisiner avec elle, tout simplement. Je m'étais précipité chez la famille Hayama. Dès qu'il m avait vu, il ouvrit les bras et je m'y jetais pour le serrer de toutes mes forces. Je sentais ses larmes trempé mon haut mais cela m'importais peu puisque c'était lui et que, moi aussi, je faisais de même. J'étais sa bouée de sauvetage et il était la mienne. Il avait pris ma main, j'avais d ailleurs senti une étrange sensation d'apaisement plutôt déplacé au vue de la situation, et avait refusé de me lâcher si bien que l'on avait dormi ensemble comme lorsque l'on étaient enfants.
Durant la dernière année du collège, j'étais sortie avec le capitaine de l'équipe de foot. Mais j'avais sentie qu'il manquait quelque chose et effectivement un peu moins d'un mois plus tard, il avait fini par me quitter, prétextant que je passais trop de temps avec Hayama. J'avais accueilli la nouvelle avec un haussement d'épaule et m'étais plongée dans le management du club de basket et les études.
J'avais ensuite passé ma première année de lycée à l'étranger avant de rentrer à Rakuzan, avec 2 semaine de retard. J'avais lâché mes [l/c] cheveux [c/c], ce que je ne faisais habituellement pas. Tout en relisant le carnet que j'utilisais au collège pour les entraînements, je m'étais dirigé vers ma classe. Concentrée, je n'avais pas un garçon qui était planté au milieu du couloir à parler. Après l'avoir heurté, j'étais tombée sur les fesses tandis que mon carnet avait atterri aux pieds du jeune homme. Je me relevais d'un bond pour récupérer mon bien mais je ne fus pas assez rapide.
[T/p] : Pardon de t'avoir bousculé mais j'aimerais récupér...
Je restais plantée devant son identité. Akashi Seijuro. J'avais toujours notre défaite face à la Génération des Miracles en travers de la gorge.
[T/p]: mon carnet s'il te plait.
Sans gêne, il feuilleta le carnet que je finis par lui arracher des mains.
[T/p]: Ce n'est pas parce que ton équipe a battue la mienne au lycée que tu peux faire ce que tu veux.
Je m'éloignais sans voir l'étrange sourire de mon cadet. La journée s'écoula trop lentement à mon goût: je voulais juste rentrer chez moi le plus vite possible et aller voir Kotaro pour lui annoncer que j'étais de retour. J'étais arrivée la veille et j avais passé tout mon temps à dormir.
Pourtant quand je voulu sortir de la salle, un géant, hyper musclé m'interpella.
Nebuya: [T/n]!
[T/p]: Nebuya? Qu es ce que tu fais la?
J'avais discuté une fois avec lui lors d'un tournoi mais je ne comprenais pas sa présence ici.
Nebuya : Le capitaine voudrait que tu viennes à l'entraînement. On a besoin d'une manageuse.
[T/p]: Je suis sûre que d autre serait ravie de le faire à ma place.
Nebuya: Et bien ,il se gratta derrière la tête, ça te coûte rien de prendre deux secondes pour venir, non?
Je soufflais, mécontente.
[T/p]: Ton capitaine aura deux minutes pour me convaincre et pas une seule seconde de plus.
Je le suivis a contre cœur dans les couloirs jusqu'à arriver devant le gymnase. Le géant rentra par la porte ouverte.
Nebuya: Attend là je vais le chercher.
Je m'appuyais alors contre le mur en croisant les bras. Le regard fixais dehors pour ne pas être tenté d'accepter la requête du capitaine.
Akashi: [T/p].
[T/p]: Si c est toi le capitaine je suis encore moins intéressée. Et zéro moins zéro ça fait toujours zéro.
Je vis un étrange éclair passé dans ses yeux bavant de faire demi tour pour sortir du gymnase. Une silhouette surgit devant moi.
?: Je suis en retard ! Désolé!!
Akashi: Tu arrives juste au bon moment Kotaro.
Pour ma part, je restais le regard rivé au nouveau venu. Je ne savais pas qu'il était à Rakuzan. Il était devenu plus grand que moi désormais. A part ça il n'avait pas changé, toujours ces mêmes yeux si expressifs, ce même air insouciant comme un enfant. Je sentis mon cœur rater un battement.
Hayama: Tiens [T/p]?! Mais.. tu es rentrée ?! T'es vraiment jolie les cheveux lâchés comme ça.
Toujours aussi naturel aussi. Je baissais la tête et serrais les poings. Akashi m'avait piégée en beauté. Je n'aimais pas qu'il puisse prévoir les réactions mais si Kotaro faisait partie du club... Sortant de mes pensées je relevais la tête et souris au blond.
[T/p]: Ça faisait longtemps Kotaro, je voulais te faire la surprise mais c est raté, je crois!
Il attrapa ma main.
Hayama: Diiit tu restes pour mon entrainement ?? Comme ça tu pourras voir mes progrès !!
Je sentis ma poitrine se serrer. Avant c'était moi qui lui donnais les indications nécessaires pour progresser pourtant je fis comme si de rien n'était et lui sourit.
[T/p]: Avec plaisir.
Hayama: Super! Bon moi je vais me changer !
Il lâcha ma main et après un dernier sourire, il s'éloigna. Pour ma part je me tournais vers le vairon.
[T/p]: Je veux bien t'ecouter.
Il me regarda comme si il savait déjà que j'allais accepter. Raaaaaaaaaaaaaaah!
Akashi: Je veux monter une équipe plus puissante que la génération des miracles. Et il nous faut une manageuse aussi talentueuse que Satsuki.
[T/p]: Je ne vois toujours pas en quoi je suis concernée.
Akashi: Tu es la seule qui est la capacité de le faire. Tu pourrais aider Kotaro a progresser encore plus. Tu es partie à l'étranger mais tout comme la génération des Miracles avait sa manageuse, tu es celle des Généraux sans couronnes.
Je pesais le pour et le contre.
Akashi: Ton carnet est bien organisé et tes notations juste et tes stratégies bien plus juste qu'elles ne le laissent présager. Je me suis renseigné sur toi. Déjà petite tu trouvais des parades que personne n'aurait osé utiliser.
[T/p]: J'accepte.
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