Quand tu vis la maisonnette tu rappelas vaguement d'un mauvais souvenir.
-es ce que ça va, dit Kouha, Tu as l'air pale.
-je vais bien je me suis seulement rappelé d'un souvenir en voyant cette maisonnette.
-ouf tu me rassures, répondit Kouha, j'ai cru que tu te sentais mal pendant quelques instant.
Kouha continua à marcher, tu le suivit sans parler. Tu essayas de te rappeler pourquoi cette cabane te donnait des papillons dans le ventre mais tu ne trouvais pas. Tu sortis de tes pensées et remarquas une énorme porte devant toi.
-on est arrivé, dit Kouha.
Tu étais bouche béé. Kouha ouvrit la porte. Tu avais tout tes artefacts magiques sur toi sauf ton badge.
-Kouha mon badge... Je l'ai oublier dans ma chambre.
-ne t'inquiète pas, dit Kouha, je vais envoyer des gardes le chercher.
-ne fais pas ça!! Dis tu, si jamais quelqu'un d'autre que moi le touche il recevra un choc électrique qui augmentera de plus en plus.
-Qu'est-ce qui ce passe ici, dit kouhen en marchant vers nous.
-«ton nom» à laisser son badge dans sa chambre mais personne d'autre qu'elle ne peut le toucher, dit Kouha d'un air sérieux.
-ce n'est que ça? Tu peux aller le chercher toi même mais dépêche toi, je ne vais pas attendre toute la journée pour ce combat.
Tu le remercias et parti à toute vitesse vers ta chambre . Tu commenças à pensé à quel djin tu allais invoquer en premier.
Kouen à trois djin et tu en a le même nombre. Tu savais que tu avais une chance de battre Kouen même si plusieurs rumeurs disaient qu'il était imbattable. Tu arrivas à ta chambre, tu pris ton artefact et repartis. Tu étais confiante et tu avais hâte de combattre Kouen. Tu vis enfin l'endroit où le combat allais avoir lieux quand quelqu'un te poussa et partit en courant. Tu te te levas et sentis une douleurs dans ta jambe. C'était une lame. Elle semblait empoisonnée. Qu'allais tu faire pour le combat. Tu avais beau réfléchir tu ne trouvais pas de solution quand la porte de l'arène s'ouvrit. Tu commenças à voir flou. Tu t'évanouis. Tu te préparas à sentir le choc de ta tête qui cogne le sol mais tu sentis plutôt les bras de quelqu'un t'attraper.

À suivre