❅⊱ ······ 14 ······ ⊰❅
Hello hello, vous l'attendiez avec impatience, voici enfin la suite qui je l'espère sera à la hauteur.
J'en profite pour vous remercier pour les 3k sur cette ff, réalisant qu'on venait à peine de fêter les 2k ensemble. Et comme si un bonheur n'arrive pas seule, nous sommes maintenant 1k sur ce compte, j'ai du mal à réaliser. Je vous remercie car tout ça ne serait jamais possible sans vous, vous être vraiment la meilleure communauté qu'il puisse exister. Je vous aime tellement et c'est dingue la place que vous avez pris dans ma vie. J'espère que notre aventure continuera encore longtemps.
Enfin voilà, encore merci pour tout et bonne lecture.
...................................
⚠⚠ Attention contenu mature très détaillé et obscène, âme sensible s'abstenir ⚠⚠
L'attente devenait insoutenable pour moi, je n'arrivais plus à penser à autre chose, décollant finalement ma cavité de son antre, impatient d'avoir la réponse tant attendue.
C'est dingue comme ça me rongeait les tripes, mais c'était clairement plus fort que moi, j'étais incapable d'aller à l'encontre de cette curiosité piquante, même si au fond c'était absurde. Taehyung était mon ex, il n'avait pas de compte à me rendre sur sa vie intime, surtout que je l'avais lâchement abandonné.
D'ailleurs, à mesure que les secondes défilaient, je sentais la culpabilité m'envahir, pour se mélanger en un cocktail amer, me donnant l'illusion d'une gueule de bois dans mon esprit.
- Non...Rompit-il le silence.
Bien que ces trois petites lettres fussent à peine soufflées, elles avaient été assez audibles afin de chatouiller mes oreilles aux aguets et mettre sur pause les tournants dans mon crâne.
Néanmoins, un doute persistait encore, avais-je bien compris ce que je crus entendre ou l'avais-je tout simplement rêvé ?
- Non ? Répétais-je.
Peut-être que j'avais tellement souhaité cette réponse, souhaité être le seul à connaître sa part la plus secrète, que je l'avais tout simplement imaginé. Il fallait que j'en ai le cœur net, quitte à plonger un peu plus dans ma jalousie maladive, reproduisant encore les mêmes erreurs passées.
De son côté, sa tête s'était entièrement enfuie dans son coussin qu'il serrait maintenant entre ses mains, relevant les bords pour envelopper un peu plus son visage, qui me laissait toutefois entrevoir ses oreilles rougies, alors que j'étais toujours aussi perdu.
En outre, comment devais-je réellement interpréter ce ''non'', ça pouvait exprimer tellement de chose.
Était-ce un ''non'' je n'ai jamais fait ça avec quelqu'un d'autre ou ''non'' je n'ai pas eu de relation sexuelle depuis moi. En cherchant à calmer ma curiosité démente, je ne l'avais fait qu'enfler, augmentant le nombre d'interrogations dans mon esprit.
- Non personne ne t'a fait d'anulingus à part moi, ou non tu n'as pas eu d'autre relation sexuelle depuis ?
Allez Jungkook continu, enfonce-toi encore plus.
Le pauvre, je lui faisais subir un vrai interrogatoire, alors qu'on était juste censé consommer nos ardeurs.
- Euh non non enfin...Enfin je n'ai jamais fait de... Enfin voilà ce que tu faisais, je ne l'ai jamais fait avec quelqu'un d'autre.
En toute franchise, j'aurais préféré qu'il me dise qu'il n'avait jamais rien fait tout court avec quiconque, car ça faisait mal quand même, bien qu'au fond ça serait égoïste de ma part de lui en tenir rigueur, ne m'étant pas gêné de mon côté pour m'envoyer en l'air. J'avais même eu une période où je couchais plusieurs soirs par semaines avec des inconnus différents, sans aucun scrupule.
Pathétique, voilà comment je me sentais en repensant à cette parenthèse de ma vie, et encore plus maintenant, alors que j'étais limite en train de le harceler avec mes questions, amplifiant un peu plus mes regrets.
À cette époque, soit quelques mois après mon embauche, j'étais au plus bas. Certes, j'avais réussi professionnellement en accomplissant mon rêve, mais d'un point de vue personnel, c'était le calme plat, le néant.
Dès que je rentrais chez moi, la solitude m'accueillait. Mes amis de fac étaient chacun parti aux quatre coins du pays et moi j'étais là, seul, entrant dans la bonne vielle routine, maison, boulot, dodo. En plus, j'étais le nouvel enseignant, du coup j'avais cette pression sur les épaules, cherchant constamment à prouver ma valeur.
Bien entendu, j'avais commencé à faire des rencontres sur des applications afin d'espérer enfin construire une relation sérieuse, mais rien n'allait au-delà de quelques rendez-vous, malgré tous les efforts que je fournissais. Et puis au fil des jours, je me suis mis à douter de moi, à me remettre en question même si je pensais avoir déjà régler ce problème.
Ainsi, j'avais changé d'approche, développant un besoin de plaire auprès d'autrui, de les charmer, enchaînant les coups d'un soir, pour me rassurer, pour me redonner confiance. Au fond, je savais pourtant que cela n'allait rien arranger, que ça me rassasiait que le temps d'une nuit, mais c'était devenu nécessaire, un genre d'addiction, jusqu'au jour où ma mère m'interrogea sur mes amours.
Cette simple demande bénigne m'avait fait l'effet d'une violente claque, et je me sentis sale, indigne d'être son fils. Après quoi, j'avais décidé de tout stopper, supprimer tous les numéros de ses hommes avec qui j'assouvis mes pulsions, pour m'investir cette fois à cent pourcent dans mon travail, recouvrant ma passion.
En y repensant, ma mère et ma passion m'avaient sauvé, car sans eux, je ne sais pas ce que je serais devenu, mais au vu de la quantité d'alcool que je m'enfilais à cette période, je doute que le résultat aurait été glorieux.
Cependant, maintenant que j'avais retrouvé Taehyung, tout me paraissait limpide, comprenant enfin pourquoi je m'étais cherché toute ma vie, pourquoi j'avais passé mon temps à me distraire...
En le perdant lui, je lui avais laissé par la même occasion un morceau de moi, que je n'avais jamais plus réussi à recouvrir, à combler.
D'ailleurs, en rejouant sa réponse, je saisissais sa symbolique, celle ou une part de lui avait été épargné et m'était elle aussi resté fidèle, ou j'étais l'unique personne à avoir visité son jardin le plus intime, le plus secret, étant ainsi le seul à connaître son fantasme le plus inavouable.
Mine de rien, aussi anodin soit-il, j'en étais ému.
- Moi non plus je ne l'ai jamais fait à personne d'autre.
Avec ma révélation, je lui avouais à mon tour cette exclusivité dont l'on avait fait preuve l'un envers l'autre pendant toutes ses années, respectant malgré notre séparation, ce lien qu'on avait créé ensemble.
Sans attendre quoi que ce soit de plus, je repris mes lapements, mes baisers langoureux, mes explorations dans son orifice, réanimant rapidement son corps de frisons et de soupirs.
C'était peut-être inconscient, mais les saveurs me semblaient encore plus exquises que précédemment, et mon envie de rendre ce moment mémorable fut d'autant plus forte, surtout lorsque je sentis ses chairs palpiter de nouveau contre mes lèvres.
J'étais le seul à connaître son secret, le seul à assouvir son fantasme, et il n'y avait plus aucun doute à avoir, c'était évident qu'il aimait toujours autant cette pratique, il n'y avait cas jurer de son état.
Toutefois, lors de mon application, une petite graine germa dans mon esprit, jusqu'à fleurir presque instantanément, ne réussissant pas à mettre ce putain de cerveau en sourdine.
- Pourquoi tu ne l'as jamais fait avec quelqu'un d'autre ?
Son bas du corps gigotait sous les sensations que je lui procurais, alors que ses gémissements redoublaient de volume et que je palpais ses fesses bombées avec mes mains, les écartant davantage.
- P-parce que...
- Parce que quoi ?
J'avais réellement envie de me foutre des claques, de m'assommer, car je gâchais clairement le moment avec toutes mes interrogations, et pourtant, je continuais encore et toujours, plongeant de nouveau dans cette curiosité malsaine, acide.
- Parce que hummm... parce qu'il n'était pas ahhh...parce qu'il n'était pas toi...
Et là tout s'immobilisa, mes mouvements, mes gestes, mes touchers, mes pensées, tous...
- Parce que ce n'était pas toi Jungkook. Répéta-t-il avec plus de force, proche d'un cri du cœur.
Le temps se suspendit dans la pièce ou le silence régnait maintenant en maître, réalisant l'ampleur de la situation, avant que mes yeux ne se mirent à papillonner, revenant progressivement à moi.
Instinctivement, je me redressais pour le retourner de manière un peu trop brusque, mais je n'avais pas pu me contrôler car je devais le voir. Et lorsque j'aperçus enfin son magnifique visage, les orbes larmoyants, mes mains migrèrent à ses joues que l'encadrais pour le positionner bien en face de moi.
- Moi non plus je n'ai jamais pu le faire à quelqu'un d'autre, car il n'était pas toi. Énonçais-je précipitamment.
Nos regards s'ancrèrent l'un dans l'autre et je compris aisément que c'était le moment, que le temps des paroles, des aveux, était derrière nous, sentant un brasier ensevelir mon corps, le réveillant tel un Phoenix, alors que le sien n'était pas en reste, vibrant sous mes doigts.
Sans plus de cérémonie, nos demi-lunes rosées se sautèrent dessus, mélangeant nos parfums, nos saveurs pour un échange amoureux, alors que nos mains se mirent à se balader frénétiquement sur l'épiderme en feu de l'autre, heureux de constater que les voix dans ma tête s'étaient définitivement tues, ne pensant à rien d'autre que lui et ce qui se déroulait entre ses quatre murs.
Au fur et à mesure des secondes, encouragés par nos soupirs et gestes hâtifs, la passion nous consuma, allumant une tension ou nos deux corps avaient de plus en plus de mal à se satisfaire de nos cajoleries.
Un besoin de plus, de beaucoup plus nous enveloppa. Un besoin de l'autre tout entier.
Ma main tâtonna sur le lit afin de chercher le préservatif, alors que ma bouche ne quittait à aucun moment la sienne, me compliquant la tâche, avant de finalement me séparer lorsque je le trouvai pour le disposer sur ma virilité, le voyant du coin de l'œil gigoter d'impatience sous moi, le visage couvert de transpiration.
On y était, et même si j'avais éperdument envie de lui, je devais prendre encore un peu sur moi pour ne pas être trop brutal pendant mon intrusion, car je ne le supporterais pas, je l'avais déjà fait assez souffrir par le passé et ne voulais maintenant l'apporter que du bonheur.
Ainsi, en me positionnant devant son antre, je pris le temps de le contempler une vingtaine de seconde, alors qu'il en fit de même, scellant l'instant dans nos mémoires.
- Tu es sûr de toi Taehyung. Demandais-je par précaution.
Immédiatement, il me retourna un petit hochement de tête, avant que je ne m'allonge sur lui, sans pour autant l'encrasser, rapprochant aussi nos deux corps qui s'épousèrent à merveille. Puis, les prunelles fermement bloquées dans ses jumelles, je débutai lentement l'exploration de mon membre dans ses chairs, bisoutant son épiderme avec amour, alors que ses paupières se clos et que ses bras se resserrèrent sur moi
Ses petits soupirs de douleur se faufilèrent dans mes oreilles malgré l'extrême tendresse de mes mouvements, tels des poignards qui venaient transpercer mon cœur, m'ordonnant de me stopper afin de lui laisser le temps de s'habituer, n'ayant pas cessé de l'embrasser.
- Continu. Souffla-t-il lorsqu'il sembla prêt à poursuivre.
Alors, avec toute la délicatesse du monde, je repris ma tâche, dorlotant toutes les parties de son corps auxquelles j'avais accès, que ce soit avec mes mains ou ma cavité, rencontrant finalement son anneau de chair avec mes bourses.
Comment vous décrire ses sensations ?
C'était tout simplement paradisiaque, tout aussi exquis que dans mes souvenirs, tout aussi enchanteur, me prouvant une nouvelle fois qu'à part lui, personne ne m'avait complété à ce niveau de perfection.
La pression sur mon attribut était telle, que mon cerveau enchaînait looping sur looping dans mon crane, que mon cœur battait à un rythme effréné et que l'ensemble de mes muscles vibraient, désirant amorcer mes coups de reins.
Cependant, malgré la terrible tentation, j'attendais sagement que ses couinements d'inconforts s'évanouirent, en le chouchoutant amoureusement.
Et à force de patiente, de caresses, d'attentions, les rides qui s'étaient formées sur son front laissèrent place à une expression luxurieuse, m'implorant silencieusement de donner le départ.
Par conséquence, affectueusement, je bougeai mes hanches avec un léger mouvement, lui provoquant un soupir de satisfaction, enchaînant avec une action plus longue, lui arrachant un second soupir. S'en suivit d'autre va-et-vient de ma part, plus grand les uns que les autres, alors que mon regard n'avait à aucun moment lâché son faciès, sur lequel j'y décryptais l'ensemble de ses réactions afin d'adapter ma cadence.
- Hummm...
En entendant ce premier gémissement, je compris que je pouvais maintenant y aller, qui je pouvais enfin assouvir pleinement mon envie, notre plaisir.
Profondément, j'enfonçai mon bâton en lui, m'envoyant des millions de décharges électriques, augmentant toujours plus mon appétit pour ses chairs, pour lui.
- Ah oui...ici...encore...
Ses yeux s'étaient ouverts alors que son dos s'était courbé, signe que j'avais atteint la boule de nerf bien caché dans son antre, m'incitant à pilonner passionnément ce point, cherchant à l'entendre de nouveau pousser ses magnifiques cris.
- Humm...Kookieee...
Mes gestes étaient maintenant équivalents à des coups de butoir, voyant son visage se déformer de minute en minute, son corps se contorsionner sous le mien, la transpiration embellir chaque centimètre de sa peau, alors que je sentais ses ongles se plantaient de plus en plus fortement dans mon dos.
Ses chairs palpitaient autour de moi en se refermant à chaque insertion, m'indiquant qu'il arriverait bientôt à sa fin, me donnant encore plus envie de le gâter comme il se devait pour rendre ces retrouvailles fabuleuses. C'est pourquoi, je remontai ses jambes à ma taille qu'il enroula automatiquement, permettant de me coller au plus près, désirant me fondre en lui, ne faire plus qu'un, le tout en dévorant sa bouche.
Nos baisers étaient passionnés, langoureux, alors que l'une de ses mains agrippa mes mèches de cheveux, tirant ici ou là à chacun de ses cris d'extases, désolidarisant nos lèvres par moment.
J'avais l'impression d'avoir quitté la Terre, embarqué dans un univers de béatitude, ou son souffre chaud s'écrasait sur mon visage humide, charmant mes narines de son extraordinaire fragrance.
- J-je...
Sa tête partie en arrière alors que mes orbes dévoraient ce spectacle transcendant, ce spectacle inédit, que personne ne m'avait jamais offert auparavant, ni même lui, confirmant la puissance de ces retrouvailles, décuplant mes émotions.
Il était tellement adorable, tellement somptueux, et ce, malgré ses traits étirés par le plaisir, malgré sa chevelure désordonnée, créant chez moi comme une avidité de le manger, de le croquer.
- J-je vais...Kookie...Couina-t-il, luttant contre sa propre passion.
Au fond, j'aurais voulu que cette communion magique ne cesse jamais, qu'elle dure pour toujours, mais je savais que ce n'était pas possible, et le gonflement de mes veines dans mon attribut, proche de la libération, en était bien la preuve.
- Moi aussi ma Darling.
Et comme si l'emploi de ce surnom réveilla quelque chose en lui, ses pupilles enflammées se dirigèrent dans les miennes, avant que sa bouche savoureuse se scinda à la mienne avec amour, dévastant tout sur son passage, alors que mes mains encadrèrent ses pommettes, me concentrant sur cet échange buccal, ralentissant mes mouvements de bassin, pour un moment harmonieux.
À vrai dire, l'émotion avait été tellement violente, qu'elle prit le dessus sur le plaisir sexuel, pour quelque chose de beaucoup plus important.
- Je t'aime ma Darling.
Transporté, j'accordai mes gestes à mes mots, alors qu'un reniflement rétorqua, puis une goutte salée dans notre baiser, me signalant qu'il pleurait, continuant tout de même à répondre à mes actions avec urgence.
- Je t'aime Kookie.
Et à partir de là, je sombrais pour de bon, donnant un coup chaste de plein fouet dans sa prostate, projetant rudement son crâne contre l'oreiller, le dos magnifiquement arqué dans un son grisant, significatif de sa jouissance.
À l'unisson, je l'avais rejoint, alors que mon corps s'était contracté sur lui-même, que ma tête s'était nichée dans son cou, grognant mon bonheur contre son épiderme, m'immobilisant profondément en lui, sentant ma semence se rependre dans la protection en latex.
Notre souffre était anarchique, éreinté, pendant que nos deux être tremblaient d'ivresse, avant que je ne reprenne de douces pénétrations, allongeant notre extase.
Naturellement, ma cavité regagna la sienne dans des baisers certes moins ardents, mais tout aussi enivrant, dominés par notre amour, alors que ses mains me tiraient encore plus vers lui, me permettant de l'épouser parfaitement.
- Je t'aime tellement. Murmurais-je
- Moi aussi, si tu savais.
Nos attentions se firent plus tendres, plus délicates, effaçant peu à peu la ferveur qui nous avait animé auparavant.
- Je n'ai jamais cessé de t'aimer. Confessais-je.
Lentement, je me retirai de lui, puis m'installai sur mon franc gauche, et le fit pivoter afin de le positionner face à moi, en débutant une pluie de bisous sur son faciès, ses muscles rosés, alors qu'il se laissait faire en ronronnant allégrement.
- Moi non plus. Finit-il par m'avouer.
Mon sourire s'étira d'autant plus en continuant mes baisers esquimaux, alors qu'il se faisait happer par les bras de Morphée, jusqu'à clore définitivement les paupières.
Instantanément, j'arrêtai mes actions, m'accordant un moment pour l'observer attentivement dans un calme solennel, avant de quitter le lit afin de jeter le préservatif usagé, puis récupérer une serviette, nous essuyer, ainsi que le lit à la va vite, et enfin m'allonger à ses cotes.
Prudemment, je le blottis contre moi, l'admirant encore une fois, avant de déposer un affectueux baiser sur son front et le retrouver au pays des rêves, espérant sincèrement qu'il n'ait aucun regret demain car pour ma part, il y avait aucun doute à voir.
............................
Ceci marque la fin de ce chapitre qui malgré le fait qu'il s'agisse d'un lemon, était intense en termes de déclarations. J'espère qu'il vous a plu et que l'insistance de Jk ne vous a pas dérangé.
Selon vous, comment va réagir Taehyung au réveil ?
Encore merci pour tout, je vous dis à très vite, bisous. *3*
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top