𝐒𝟎𝟏 𝐄𝐏𝟏𝟕║𝐔𝐧𝐞 𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐧𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐧𝐚𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐜𝐞

Moi: Bordel! J'y avais pas pensé... C'est sur que Daiki n'hésitera pas une seconde à utiliser son pouvoir face à Kagami! M'exclamais-je, d'une voix tremblotante, exprimant la panique que je ressentais.

- « Je ne devrais pas me mettre dans tous mes états pour un simple match! » Pensais-je, en essayant de me raisonner.

- « Si Daiki a bien prit mes conseils en compte, tout devrait bien se passer pour lui. »

- « Mais aujourd'hui, si je dois m'inquiéter pour quelque chose... C'est pour Seirin. »

- « L'un des six prodiges de Teiko... Il a forcément dû évoluer depuis quelques mois alors qu'il avait déjà acquis une force incommensurable au collège... »

Moi: Mh, à quoi bon continuer de me creuser la tête pour des choses aussi futiles... De toute façon, je suis impuissante face à cette situation. Leurs chemins finiront par se croiser tôt ou tard dans tous les cas.

Moi: Je ferais mieux d'aller me préparer! Dis-je, en me levant de mon lit de manière dynamique.

time skip

Arrivée au centre-ville de Tokyo en sortant de la gare, je marcha le long de l'avenue jusqu'à trouver un magasin qui pourrait éventuellement m'intéresser.

Au bout de quelque minute, mon regard fut attiré par un grand magasin de sport qui longeait la moitié de la rue dans laquelle je me trouvais. Alors je décida d'y rentrer.

J'arriva face au mur où toutes les baskets sur les étagères pour homme étaient présentées.
Mais j'avais beau regarder ce mur en tort et à travers, il n'y avait aucune paire qui m'éblouissait à vue d'œil.

Mais soudainement, une paire de basket sur le rebord de l'une des étages, tomba par terre.

Alors intriguée, je décida de la saisir pour la regarder de plus prêt.
Et à ma plus grande surprise, c'était une paire qui me plaisait.
Mes yeux étaient rivés sur elle, admirant chaque détail de celle-ci.
Il s'agissait de la Jordan 11 Retro Bred.

- « Elles lui feraient un beau pied... Mais bon, après ce qu'il s'est passé, il peut toujours rêver! » Pensais-je.

Je tira l'étiquette d'une des baskets pour regarder le prix indiqué.

- «57 465 ¥ ?! Je crois que même si nous étions pas en froid, je les aurais certainement pas prises... Elles sont horribles, beurk. » Pensais-je.

Je voulais les remettre à leur place initiale, mais l'étagère était beaucoup trop haute pour que je puisse l'atteindre. À ma droite, il y avait un jeune homme qui était également entrain de regarder les chaussures. Il semblait être d'une très grande stature, vêtu d'un ensemble de survêtement mauve et blanc. Pensant qu'il s'agissait d'un des vendeurs du magasin, je l'interpella.

Moi: Excusez-moi... Est-ce que vous pourriez remettre cette paire de chaussure sur cette étagère, s'il vous plaît?

???: Mh...? Dit-il, en se tournant face à moi.

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Kagami: Il joue pas, l'autre?

Riko: Tu parles d'Aomine?

Kagami: Ouais. Parce que c'est bien beau de dire qu'il est super balaise, mais il faudrait que je le vois de mes propres yeux pour y croire. Rien me prouve que qu'il est à la hauteur de mon espérance. Ça s'trouve, j'suis plus fort que lui!

Kuroko: Certainement pas... Commenta-t-il.

Kagami: COMMENT ÇA! S'exclama-t-il.

Iona: Kagami, je vais découvrir son basket en même temps que toi. Ça m'embête de le dire, mais je dois me rendre à l'évidence. Commença-t-elle, d'une voix basse et sérieuse.

Iona: Si il porte son titre de miracle, c'est qu'il le mérite sûrement.

Kagami: J'attend de voir ça de mes propres yeux! Répétait-il, agacé.

- « Qu'est-ce qu'il est têtu! » Pensait-elle.

Hyuga: Pour l'instant, c'est Kogōmo North qui mène le score... Les joueurs de Tōō n'ont pas l'air d'être investis dans le match. On dirait qu'ils préparent quelque chose...

Izuki: C'est vrai. Ils ne tentent même pas d'essayer de rattraper le score!

Iona: Si ils ne se donnent pas à fond, c'est soi parce qu'ils sont entrain d'économiser...

Riko: Ils économisent leurs forces pour les trois prochains quart-temps ou parce qu'ils savent d'avance que leurs adversaires n'en valent pas la peine. Dit-elle, en lui coupant brusquement la parole.

Iona: ...

Hyuga: Ça donne un réel aperçu de leur niveau!

Kagami: Mmh, je comprend pas! Grogna-t-il.

Kagami: Pourquoi ne pas essayer de rattraper le score?

Iona: Tu ne remarques pas que...

Riko: Observe l'attitude des joueurs des deux équipes. Ça ne fait même pas 10 minutes que le match a débuté que les joueurs de Kogōmo sont à bout de force. Les joueurs de Tōō ont une très bonne stratégie... Ils attendent juste le bon moment pour pouvoir passer à l'action. Dit-elle, en lui coupant la parole de nouveau.

Kagami: Bah qu'est-ce qu'ils attendent alors?

Iona: Ils attendent sûrement que ce crétin de la génération miracle fasse son entrée sur le terrain. Lui répondit-elle, abruptement.

Kuroko: Et bah, il n'a pas vraiment changé... Marmonnait-il.

Riko: ... Kagami? Tu n'as pas soif? Lui demandait-elle soudainement.

Kagami: Euh... Pas vraiment, pourquoi?

Riko: Oh que si, tu as soif! Lui répondit-elle, certaine de ce qu'elle avance.

Riko: Iona, va chercher une boisson au distributeur à l'entrée du gymnase. Je te donne l'argent, tien. Dit-elle, en saisissant son porte monnaie.

Kagami: Je peux y aller tout seul, pas la peine d'envoyer Iona. C'est qu'un aller-retour!

Riko: Il me semble que t'as mal au mollet! Insistait -elle, en appuyant sur son épaule pour qu'il reste assit.

Kagami: Et alors?! J'suis pas handicapé!

Iona: Non c'est bon, Kagami. Reste assis... Je vais aller te chercher à boire.

Kagami: Mais, Iona!

Iona: N'insiste pas, c'est qu'une boisson.

PSPF🔊: C'EST AINSI QUE SE TERMINE LE 1ER QUART-TEMPS. LE MATCH REPRENDRA DANS 5 MINUTES!

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???: Mh? Mais qu'est-ce que tu fous ici, toi... Marmonnait-il, la bouche pleine.

Moi: Tien, tien... Murasakibara. Quelle surprise... J'aurais pu me passer de voir ta sale tronche.

Agacé, il décida de rappliquer en soufflant dans l'emballage de son NeruneRuneRune Candy. Il voltigea, et finit par atterrir délicatement sur mon crâne.
En agissant ainsi, il venait de me prouver qu'il n'avait toujours pas enterré la hache de guerre. Certes, je ne devrais pas m'énerver parce qu'il vient simplement de me provoquer en me soufflant un emballage à la gueule, mais il en avait fait assez pour me mettre hors de moi. En effet, Murasakibara et moi étions comme chien et chat. Nous nous sommes jamais réellement entendu depuis que nous étions à Teiko.
C'est vrai qu'il n'était pas du genre à être apprécié par les autres, car il est plutôt négligé, désagréable, enfantin, et fait preuve d'indifférence. Mais la relation que nous avions se différenciait des autres. Nous étions toujours en désaccord, car il y en avait toujours un pour contredire l'autre. Et souvent, ça virait à la dispute.
Puis, nous sommes tous les deux très orgueilleux alors il y en avait jamais un qui s'efforçait d'admettre qu'il avait tord. Pour faire simple, quand nous nous adressions la parole, c'était juste pour se hurler dessus.

- « Est-ce que ça en vaut vraiment la peine que je lui hurle devant tout ce monde? » Pensais-je.

- « Et si... Je lui ferais avaler ce foutu emballage en plastique? Non, ce qu'il veut, c'est que je m'énerve! Alors cette fois-ci, je vais être plus intelligente. » Pensais-je.

Moi: Je n'aurais jamais pensé te revoir dans une équipe de basket un jour, toi qui disait à chaque fois que t'en avait marre de ce sport. Rappliquais-je, de manière arrogante en essayant de ne pas laisser transpercer ma colère.

Murasakibara: Mhh... Mais attends.

Murasakibara: Qu'est-ce que ça peut te foutre?...

- « Voilà... Je l'attendais. La fameuse goute qui allait faire déborder le vase. Ahahah... ! » Pensais-je.

Moi: ENCORE HEUREUX QUE ÇA NE ME CONCERNE PAS! Hurlais-je.

Murasakibara: Orh... ! Ta voix est si agaçante... Tu commences déjà à me saouler. Souffla-t-il.

Moi: C'EST MOI QUI DEVRAIT DIRE ÇA, TOCARD! TON AIR D'ENFANTIN ME DONNE TELLEMENT ENVIE DE T'EN COLLER UNE!

???: Alors déjà qu'on a dû faire un détour pour ta gueule, t'as intérêt à te dépêcher pour choisir tes pompes! On va rater le début du match, j'espère que t'es fier de toi. Tu pouvais t'y prendre à l'avance? ET MURASAKIBARA, OÙ EST-CE QU'IL EST?! S'écria-t-elle.

Je sursauta en entendant cette voix qui me semblait particulièrement familière, ce qui interrompu brusquement notre altercation.
Sans trop réfléchir, je me cacha derrière les portants de vêtements en laissant dépasser mes yeux pour paraître discrète.

Fukui: Bah, hum... J'avais oublié! Et puis mieux vaut tard que jamais. Excuse-moi, coach. Balbutia-t-il, embarrassé.

- « J'y crois pas! C'est Naomi Yunosuke! Qu'est-ce qu'elle fait ici... Cette pauvre salope?! » Pensais-je.

- « Et puis... Je crois rêver! IL VIENT DE L'APPELER COACH?! »

Naomi: Fukui, dis moi... J'aimerais bien savoir qui est l'abruti qui t'a donné la permission de me tutoyer! Tu sembles avoir oublié la charte? Pauvre merde... Lui chuchota-t-elle aux oreilles, en l'attrapant violemment par les cheveux.

- « Bordel... Qu'est-ce que je suis entrain de découvrir! Je n'y crois pas! Pour qui est-ce qu'elle se prend?... » Pensais-je.

Moi: Murasakibara...

Moi: Naomi Yunosuke... est ta coach? Lui demandais-je, d'une voix sérieuse, essayant de camoufler mon inquiétude.

Murasakibara: ... De quoi tu te mêles? Me répondit-il, affligé.

Moi: Murasakibara, ce n'est pas la putain de question! JE TE DEMANDE JUSTE SI C'EST TA COACH! Lui répondis-je, irritée.

Murasakibara: Mhhh... Bah! Ça se voit, non?

Murasakibara: Tin'! Conne elle... Marmonnait-t-il dans sa barbe.

Moi: QU'EST-CE QUE T'AS DIS?! M'écriais-je.

Un jeune homme portant un survêtement similaire à celui de Murasakibara apparu soudainement pour interrompre notre dispute. C'était un joli garçon aux cheveux noirs lisses et éclatants, avec une frange qui couvrait son oeil gauche. Les traits de son visage étaient fins, il avait les yeux noirs et un charmant grain de beauté sous son œil droit.

Tatsuya: Murasakibara! Arrête de te disputer avec cette demoiselle et viens avec moi. La coach te cherche. Et si tu ne veux pas d'ennuis, tu devrais te dépêcher...

Tatsuya: Et comme tu peux le deviner... J'ai pas très envie d'avoir affaire à ses reproches pendant des heures et des heures... Je pense que tu partages également mon avis. Elle saute sur la moindre occasion pour nous en faire, tu le sais bien.

- « Son attitude, son élocution, sa manière d'intervenir dans des situations aussi délicates.... Tout est si charmant chez lui! » Pensais-je.

Tatsuya: Excusez-le... Il est parfois maladroit dans ses propos, alors ça lui arrive de flancher quelque fois.

Je me suis laissée séduite par la beauté de son visage. Il m'avait tellement envoûtée que c'est à peine si je venais de me rendre compte qu'il venait de m'adresser la parole. Alors, un blanc s'installa dans la discussion.

J'avais mis quelque seconde avant de remettre les pieds sur terre, alors je lui répondis, encore un peu étourdie :

Moi: Euuh, ne vous inquiétez pas. C'est une vieille connaissance, ahahah... Lui répondis-je, en rigolant nerveusement. Bafouillais-je.

Murasakibara: Menteuse! J'te connais même pas! Commenta-t-il.

Himuro: Euh... Lâchait-il, embarrassé.

En commençant à le dévisager de haut en bas le jeune homme qui se trouvait désormais face à moi, je m'arrêta brusquement au niveau de sa poitrine. Le collier qu'il portait autour de son cou, semblait avoir attiré mon attention.

- « Il porte le même anneau métallique au cou que celui de Taïga... » Pensais-je.

Murasakibara: Pfff, ça me saoule... Je sens qu'on va encore se faire gronder comme des gamins... Soupira-t-il, désespérément en sortant un paquet de chips de sa poche.

Himuro: Encore désolé du dérangement... Rajoutait-il, avant de s'en aller aux côtés de Murasakibara.

En les regardant partir au loin, Murasakibara en profita pour me narguer en tournant discrètement la tête, pour me tirer la langue.
Alors je leva les yeux au ciel pour exprimer mon dépit.
Puis, je jeta un dernier coup d'oeil et je fini par remarquer le nom de leur école inscrite sur le dos.

- « Alors comme ça Naomi est la coach l'équipe du lycée Yōsen? Elle a pas blagué sur le niveau celle-là. Mais comment est-ce qu'elle a pu y parvenir?! C'est une école d'élite, et elle n'a aucune expérience! » Pensais-je.

- « Un élève de seconde n'a jamais eu le droit à cet honneur aussi bon soit-il. Et le plus étrange, c'est qu'ils semblent accepter sans broncher! »

Naomi: Et bah! T'es enfin là, gros lard?

Naomi: Toujours avec ton paquet de chips... Et le régime que je t'ai préparé, t'y penses? Hein, petit bouboule! Pouffa-elle, de manière hautaine.

Murasakibara: Quoi?! Pourquoi est-ce que vous me dites ça? Lui répondit-il, d'un ton froid, légèrement agacé.

Himuro: Mais, sans vouloir vous contredire, coach. Murasakibara est loin d'avoir une forte corpulence!

Naomi: Si il continue à bouffer ses cochonneries, il le deviendra certainement! Déclara-t-elle, d'un ton moqueur.

Naomi: Et entre nous... Nous devons faire bonne impression. Alors je ne voudrais en aucun cas qu'un de mes joueurs ait le moindre excédent de graisse dans le corps. Ça ruinerait la réputation du club, faisant parti je vous le rappelle, d'une école d'élite! Commença-t-elle.

Naomi: Et si c'est le cas... C'est la sortie qui vous attend.

Naomi: J'espère que je me suis bien faite comprise. Je veux seulement des corps d'Apollon dans mon équipe, le reste, vous dégagez! Déclara-t-elle, fièrement.

Naomi: Donne-moi ça. Dit-elle, en lui tendant la main pour que Murasakibara lui donne son paquet de chips.

Murasakibara: Pourquoi! C'est mon paquet de chips...

Celui-ci, refusant catégoriquement de lui donner son paquet de chips, horripila cette dernière. Alors, elle finit par lui arracher son paquet des mains et l'ouvrit aussitôt avant de le vider par terre.
Connaissant son joueur sur le bout des ongles, elle savait qu'il serait tenté de les manger, même dans cet état.
Alors elle s'avança, et les chips s'écrasèrent sous ses talons.

Naomi: Oups...

Naomi: Pour te prévenir, j'ai marché involontairement dans la merde d'un pauvre clébart juste avant de rentrer dans le magasin. Je te déconseille vivement d'y toucher... À moins que tu te demandes quel goût ça a! Ahahahah! Ricanait-elle, de manière hautaine.

Naomi: Quoi que... Ça ne m'étonnerait pas de toi. Lui dit-elle, d'un ton provoquant en lui tapotant l'épaule.

- « Elle est complètement malade... » Pensait Tatsuya.

- « Je devrais être content de jouer dans l'un des meilleurs clubs du pays. Mais avec une coach pareille... Je n'en ai pas la moindre motivation. » Pensait Fukui.

- « C'est qu'une gamine... Mais elle sait trouver les mots juste pour nous décourager! Je regrette l'ancien coach. Avec lui, nous étions tellement épanouis de jouer sous sa houlette quand la sonnerie des activités clubs retentissait. Mais maintenant, on s'y rend avec la boule au ventre. » Pensait Okamura.

Naomi: Bon, écoutez moi... On va directement au gymnase sans faire de détour dans d'autre magasin! Vous vous rendez bien compte que...

- « Et c'est reparti... Sérieux, qu'est-ce qu'on s'en tape. C'est toujours le même discours avec elle! »Pensait Fukui.

- « C'est un truc de dingue... Même les joueurs le pensent! Elle est insupportable! Et puis, la manière dont elle s'est adressée à Murasakibara... C'est horrible! » Pensais-je.

- « C'est une vraie dictature... Ils ne sont même pas heureux! Et sans lire dans leurs pensées, ça se voit à travers les émotions qu'ils dégagent! » Pensais-je.

- « Il n'y a aucun sourire... Parmi cette équipe. »

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Alors que l'agacement lui montait à la tête, Iona ne pu s'empêcher de donner un grand coup de pied dans le distributeur de boisson.

Iona: MAIS SORS, PUTAIN DE MERDE! S'exclama-t-elle.

- « Quelle petasse... Je suis persuadée que c'est encore un de ses coups. Mais cela confirme bien mes doutes. Elle me prend pour sa boniche, bordel! » Pensait-elle.

Elle semblait avoir attiré les regards après s'être acharnée sur le distributeur. Alors, elle s'exclama à voix haute :

Iona: QU'EST-CE QUE VOUS VOULEZ VOUS AUSSI?!

Iona: PUTAIN, FAIT CHIER! Hurla-t-elle, en frappant de grands coups.

Aomine: Eh, doucement. Intervenu-t-il.

Elle se retourna, face à lui. Et puis, elle sursauta suite à sa soudaine apparition. Son air sévère et son petit sourire hautain qu'il avait dans le coin de sa lèvre après avoir retiré son masque avaient suffit pour l'intimider. Elle semblait être impressionnée par la prestance qu'il dégageait.

Iona: Hein! Mais... QU'EST-CE QUE TU FOUS ICI! QU'EST-CE QUE TU VEUX! S'écria-t-elle.

Aomine: Ça te dérangerait pas d'arrêter de crier deux secondes? T'es agaçante... J'suis là pour t'aider, espèce d'idiote.

Iona: Pour... M'aider?

Il porta deux grands coups en haut du distributeur pour permettre à la boisson de tomber dans la zone de récupération.
Ceci fait, il récupéra la canette en tirant la languette métallique pour l'ouvrir.

Iona: Ah, mer...

Iona: MERDE! HÉ, RENDS-MOI ÇA! Lui ordonna-t-elle, en se précipitant vers lui.

Aomine: Merci, j'en avais besoin. Dit-il, en repartant aussitôt.

Iona: TU FAIS QUOI LÀ?! MA CANETTE, RENDS LÀ MOI! POUR QUI EST-CE QUE TU TE PRENDS?! TU ME CHERCHES, C'EST ÇA? ÇA NE T'AVAIS PAS SUFFIT LA DERNIÈRE FOIS PEUT-ÊTRE?!

Aomine: Ferme-là, tu donnes mal à la tête... Souffla-t-il.

Alors qu'Aomine s'apprêtait à rentrer dans le couloir des vestiaires, Iona, déterminé à le pourchasser se fit interrompre par un vigile qui s'interposa devant elle.

Vigile: Mademoiselle, c'est un accès réservé pour les vestiaires des sportifs, vous ne pouvez pas rentrer.

Iona: IL VIENT DE VOLER MA CANETTE! Lui répondit-elle.

Vigile: De toute façon, il a bu dedans alors ça m'étonnerait que vous en vouliez encore...

Iona: ESPÈCE DE CONNARD! TU VAS PERDRE CE MATCH DE TOUTE FAÇON! Cria-t-elle.

Vigile: Calmez-vous...

prochain épisode : Celui qu'on attendait

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