𝐒𝟎𝟏 𝐄𝐏𝟏𝟓║𝐉𝐞 𝐯𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞 𝐬𝐮𝐫 𝐭𝐨𝐢

Moi: Il y a trop de monde... NAN, TU POUSSES PERSONNE IONA! M'écriais-je, en essayant de la convaincre.

Iona: ON FAIT COMMENT ALORS?! S'exclama-t-elle.

Nous avons réussi à nous faufiler difficilement entre les gens pour accéder rapidement à la sortie du gymnase. Ceci fait, nous essayons de retrouver l'équipe de Seirin, mais avec tout ce monde, la tâche risque d'être plus compliquée que prévue.

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Kagami: ET TOI KUROKO TU DIS RIEN POUR MA DÉFENSE ?! S'exclama-t-il.

Kuroko: Je suis du même avis que tous les autres. T'es allé beaucoup trop loin... Dit-il en agrippant brusquement sa main sur son visage.

Kagami: AÏE!

Kagami: ON AURAIT PAS GAGNÉ SI JE N'ÉTAIS PAS LÀ! Rappliqua-t-il, en faisant de même.

Riko: Tes coéquipiers sont bien plus solides que tu peux le croire... En tout cas, j'espère que cette correction te servira de leçon.

Kagami: Rhhm... Grognait-il, agacé, faisant mine de bouder.

Hyuga: Attends, je rêve ou tu as l'audace de bouder, Kagami? Sérieux, où est-ce que t'as vu qu'on volait la balle à son coéquipier?

Kagami: ... C'est bon, j'ai compris. Marmonnait-il.

Hyuga: Pff! Bah, continue ton caca nerveux qu'est-ce que tu veux que je te dise!

Hyuga: ... Je pense qu'il va falloir travailler d'avantage l'esprit d'équipe parce que pour l'instant c'est pas gagné.

Iona et moi avions finis par les retrouver grâce à leur taille permettant de se distinguer des autres. Alors, nous nous empressions d'aller les voir.

Iona et moi: Bravo les gars!

Hyuga: Faut le reconnaître, ils nous ont quand même fait sués les rois de l'est! Hein... Dit-il, modestement.

Izuki: Deux, haha! Ricanait-il, bêtement.

Hyuga: Par pitié, arrête.

Izuki: Pas de sushi, j'arrête!

- « Toujours entrain de gâcher l'intensité du moment celui-là! » Pensa Hyuga.

Moi: Qu'est-ce qu'il a, lui? Il devrait être content d'avoir eu la balle en main tout le long du quatrième quart temps, hein? Dis-je, en m'adressant à Kagami indirectement.

Hyuga: Depuis qu'on lui a fait la morale, il fait que de bouder! Un vrai bébé celui-là.

Moi: T'es content?

Kagami: M'en fou. Dit-il, en jetant son regard ailleurs.

Je m'approcha de Kagami en le saisissant par la veste de son survêtement pour l'interpeller.

Kagami: Attend, depuis quand est-ce que tu portes des lunettes de vue?! Me dit-il, en essayant de changer de sujet.

Moi: Tu n'as pas l'air de prendre cette situation au sérieux, Taïga.

Kagami: Mh? Dit-il, étonné.

Moi: Je sais que ça ne vaut pas la peine d'en faire tout un plat, mais ton comportement m'a déçue...

Kagami: ...

- « Ça va! Elle n'a jamais été présente à l'un de mes matchs. Elle peut pas s'permettre de m'donner des leçons! Il a fallu qu'on établisse un plan pour la faire venir! » Pensait-il.

- « Non... Il faut que j'arrête d'me cacher derrière des excuses. J'ai fauté, c'est tout. Je pensais bien faire les choses... Mais au final, tout ce que j'ai obtenu, c'est la déception de mon équipe, celle de Mizune et peut-être celle de Iona. »

Il redressa la tête pour de regarder Iona, espérant trouver de la chaleur dans son regard. Mais celle-ci, étant déjà entrain de le regarder avant que leurs yeux se croisent, n'exprimait pas vraiment la gaieté à travers son regard.

- « Non, ce n'est pas peut-être. » Pensait-il.

Hyuga: Aller, arrête de tirer cette tronche. Même si tu m'as bien énervé sur le coup, je te pardonne... Tu auras d'autres occasions de te rattraper! Dit-il, en lui tapotant l'épaule.

Kagami: Mh, ouais. Dit-il, en affichant un léger sourire dans le coin de sa lèvre.

Riko: Ah oui, j'avais complètement oublié de vous dire! Dit-elle, en haussant la voix pour attirer l'attention.

Riko: Puisque vous participez maintenant à un tournoi national, vous devez obligatoirement vous faire tester une fois toute les semaines. Et vous inquiétez pas, moi aussi je dois m'y coller!

Ils poussèrent un soupir de désespoir suite à l'annonce de cette nouvelle.

Kagami: Super, j'sens que j'vais encore me faire violer des narines...

Hyuga: Oh non, c'est une horreur! Dit-il, apeuré.

Koganei: Il me semble que la dernière fois... Kagami avait pleuré, non?

Kagami: J'AVAIS PAS PLEURÉ! L'INFIRMIÈRE AVAIT ENFONCÉ LA TIGE TROP LOIN, D'ACCORD! S'exclama-t-il.

Koganei: Oui, oui...

Riko: J'ai une autre annonce à vous faire, écoutez moi! Puisque les terminales auront des examens à passer demain, les élèves de seconde et de première seront autorisés à ne pas aller en cours. Ce qui signifie que nous aurons la journée de libre! Alors c'est l'occasion parfaite d'aller voir le match de Tōō face à Kogōmo North qui se jouera à 18 heures. Déclara-t-elle.

Izuki: Orh, nan... Je voulais profiter de cette journée pour me reposer! Soupira-t-il, dégoûté.

Koganei: On a pas une seconde de répit ces derniers temps...

Hyuga: Arrêtez de vous plaindre, et voyez ça du bon côté des choses. On va enfin pouvoir découvrir le talent du fameux Daiki Aomine!

Suite à son annonce, Riko aperçue Iona dans son champs de vision, alors elle se dirigea vers cette dernière. Et puis, elle la saisit soudainement par le bras pour l'emmener à l'écart des autres.

Iona: Euh! Souffla-t-elle, confuse.

Riko: Iona, tu connais papa. Il se fait tard, tu devrais rentrer.

Iona: Et pourquoi tu ne rentres pas, toi?

Riko: Je suis entourée de garçon, alors ce n'est pas pareil. Et puis, nous allons pas rentrer tout de suite. On va aller au restaurant pour fêter notre victoire pour détendre l'atmosphère malgré ce qu'il s'est passé.

Iona: Et... Est-ce que je peux venir avec vous? Comme ça on pourra rentrer ensemble... Demanda-t-elle, d'une petite voix.

Riko: Mais pourquoi tu te sens toujours obligée de t'incruster de partout? C'est un restaurant qu'entre nous. J'te coltine déjà tous les jours à la maison et au lycée alors laisse moi avoir mon temps de tranquillité! Fais des sorties avec ta copine au lieu de faire des sorties avec nous, je sais pas! Lui répondit-elle, froidement.

Iona: ...

Lorsque leur conversation venait à peine de se finir, j'intervenu aussitôt pour m'adresser à Iona.

Moi: Bon, on rentre?

Ordinairement, Iona avec son caractère explosif aurait rappliqué sans plus attendre. Mais cette fois-ci, elle n'avait pas prononcé un mot. Elle semblait être profondément blessée par ce que sa soeur venait de lui dire. Alors elle s'en alla, sans prendre la peine de me répondre.

Moi: HÉ, MAIS OÙ EST-CE QUE TU VAS? L'interpellais-je.

Moi: Qu'est-ce qu'elle a? Demandais-je, intriguée.

Riko: J'en sais rien...

Moi: J'vais la rattraper... J'te laisse.

Moi: Salut les gars! Dis-je, en les saluant de loin.

Hyuga, Izuki, Kuroko, Furihata, Kawahara, Fukuda et Tsuchida: Salut!

Kagami: Tss...

Koganei: Salut... Mizu... Mizune! Bégaya-t-il, étourdi.

- « Son parfum m'a totalement envoûté... » Pensa-t-il.

Kawahara: Oula! Je crois qu'on l'a encore perdu... Koganei ça va? Dit-il, en essayant de le résonner.

Koganei: Aaaaah... Soupira-t-il, extasié.

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Moi: Mais qu'est-ce que t'as? Hé, attends moi! Dis-je, en essayant de la rattraper.

Moi: Pourquoi est-ce que t'es partie sans dire aurevoir aux autres?

Iona: Pour rien. Me répondit-elle, sèchement.

En voulant redresser les lunettes sur la racine de mon nez, je venais de me rappeler aussitôt qu'il fallait que je les rendes à Kise, avant qu'il s'en aille.

Moi: Tu peux m'attendre devant la gare? J'ai une dernière chose à faire.

Iona: Je dois rentrer, Mizune. Bye.

Et puis, je me suis arrêtée de marcher à ses côtés en la regardant partir au loin.

- « Son changement de comportement m'intrigue... » Pensais-je.

Moi: Bon! Le principal c'est que je retrouve Kise. Où est-ce qu'il est celui-là?! Dis-je, en observant autour de moi pour tenter de le retrouver.

Tout à coup, je sentis une lourde main se poser délicatement sur mon épaule. Alors, surprise, je me tourna vers celui qui venait de m'interpeller. En me retournant, je tomba nez à nez avec son torse car cette personne semblait être assez élancé de taille.

Aomine: Ah... J'pensais que vous étiez quelqu'un que je connaissais. Dit-il, d'un air déçu, en repartant aussitôt.

Moi: ...

- « C'est maintenant ou jamais. Tu auras sans doute plus jamais l'occasion de lui parler, alors fais-le et ne recule plus! » Pensais-je.

Je fini par le retenir en l'attrapant par le bout de sa veste avant même qu'il puisse s'échapper.

Aomine: Euh? Dit-il, étonné.

Moi: Daiki. L'appelais-je, d'un ton abrupt.

Aomine: Tu es... T'es qui toi?! Lâche-moi. Bégaya-t-il, affolé.

Moi: Tu m'reconnais pas?

Aomine: Enlève ton masque et tes lunettes et peut-être que je te reconnaîtrai.

- « Mais attends, c'est les lunettes de Kise ça, non? » Pensa-t-il.

D'un air méfiant, j'observa autour de moi afin de m'assurer qu'il n'y ait personne aux alentours, lorsque je retirerai mon masque. Ceci fait, je l'enleva et puis je retira également les lunettes en les accrochant au col de ma chemise.

Moi: Et maintenant?

Soudainement, son visage s'illumina. Il venait de redresser ses sourcils en écarquillant ses yeux. Il était frappé de stupeur, et surpris au point de paraître idiot. Comme si un miracle venait de se produire sous ses yeux.

Aomine: Mizune... C'est toi? Me demandait-il, gaiement.

- « Putain, qu'est-ce qu'elle est belle... » Pensa-t-il.

Moi: Garde tes compliments pour plus tard. Commentais-je, froidement.

Aomine: QUOI?! HEIN? J'AI... ! S'exclama-t-il, surpris.

Il cessa de gigoter dans tous les sens, car celui-ci venait de se rappeler qu'il réagissait exactement pareil quand ce genre de situation se produisait.  Quelque part, il était rassuré de voir que je n'avais pas changé. Il avait éprouvé un tel soulagement qu'il se mit à rigoler bêtement.

Aomine: Toujours dotée de ton mystérieux talent, hein?

- « Comment se fait-il... Qu'il est au courant?! » Pensais-je, inquiète.

Aomine: Dis moi, t'as beaucoup changé physiquement depuis le collège. T'as des gros nibards maintenant, ahahah! Dit-il, en gloussant de rire.

Aomine: Hum! Faut quand même se l'avouer, tu es devenue une très belle femme. Je t'avais même pas reconnu... Dit-il, d'un air gêné, en essayant de se rattraper.

Moi: Toujours aussi pervers qu'avant visiblement, ça ne change pas...

Aomine: Hé, si je gagne mes prochains matchs, tu me laisserais les tripoter?

Moi: T'ES QU'UN SALE TYPE! Hurlais-je, en élançant violemment la paume de ma main sur sa joue.

Aomine: Aie! Cria-t-il.

Aomine: Mizune...

Moi: Je sais même pas pourquoi j'ai essayé de te retenir. Depuis le temps que tu voulais me parler pour qu'au final tu me sortes des conneries pareilles... C'est pas la peine que je reste!

En voulant me tourner dos à lui pour pouvoir partir, celui-ci me retenu par le bras pour me retenir.

Aomine: Eh, pas si vite... Tu comptais partir où comme ça? C'est la première fois en trois mois que je réussi à te voir et tu veux t'en déjà t'en aller?

Moi: Il faut que tu m'oublies, Daiki. Lui déclarais-je, d'un ton froid.

Alors, celui-ci fut perturbé et confus par ce que je venais de lui dire. Il ne s'attendait sûrement pas à une réponse telle qu'elle. Et puis, il lui a fallu une dizaine de seconde de réflexion avant de me répondre.

Aomine: ... Hein? Euh, comment tu peux être sûre que ce n'est pas déjà le cas?

Moi: Les centaines de messages de ta part chaque jour, pendant des mois et des mois, sûrement. D'ailleurs, il serait peut-être temps d'effacer mon numéro... J'comprends pas pourquoi tu l'as toujours?

Aomine: Tu sais très bien pourquoi je l'ai gardé, fais pas l'idiote. Il fallait que je le garde au cas où tu me répondrais. Mais visiblement, j'aurais dû l'effacer...

Moi: Écoute, si je ne t'ai pas répondu c'est parce que je n'étais tout simplement pas prête de te parler, je voulais t'éviter au maximum...

Moi: Et quand j'ai su que tu utilisais quelqu'un pour me prendre en photo, j'ai totalement pété un câble, et j'avais encore moins envie de t'envoyer un message.

Aomine: T'aurais quand même pu m'le dire au lieu de me faire attendre pendant 3 mois! Tu m'connais, la patience c'est pas mon fort...

Moi: Tu as sûrement raison... Dis-je, en détournant le regard.

Après ce long silence prononcé, je décida de l'interrompre en m'élançant sur un autre sujet de conversation.

Moi: ... Nous allons plus nous voir tous les jours comme quand nous étions à Teiko. Si nous avons pris deux chemins différents, c'est peut-être le destin qui en a décidé ainsi. Repris-je, en essayant de relancer un autre sujet de conversation.

Moi: Et puis...

Moi: Si j'ai décidé d'en finir avec toi... C'est à cause de ton soudain changement de comportement.

Moi: Et parce que tu t'es foutu de ma gueule.

Moi: Tu n'es plus comme avant Daiki, je ne te reconnais même plus... Et ne me contredis pas! Kuroko est du même avis!

Aomine: Ahahahah, je rêve? Pouffa-t-il, amèrement.

Aomine: J'me suis foutu de ta gueule? J'serais pas là à t'envoyer des messages toutes les deux secondes, putain réfléchis!

Moi: Pas que les messages! Le repris-je.

Moi: Je crois que t'as oublié les photos que tu m'envoies de moi au lycée, ou à l'extérieur! Qu'est-ce que t'essaye de me prouver en faisant ça?! HEIN! TU ME MONTRES JUSTE QUE T'ES QU'UN TARRÉ!

Moi: Dis-moi la vérité, bordel! M'exclamais-je, en haussant le ton.

Aomine: Sûrement pas.

Moi: SÛREMENT PAS?!

Aomine: T'as très bien entendu.

Moi: J'me débrouillerais toute seule, j'ai pas besoin de ton aide de toute façon. Lui répondis-je, en tentant de ne pas perdre mon sang froid de nouveau.

Aomine: Tant mieux pour toi.

Moi: Tss, encore heureux.

À son tour, il jeta son regard ailleurs en fronçant des sourcils car celui-ci semblait être frustré de ne pas être avoir eu le dernier mot.

Moi: ... Bon. Ça serait dommage de se disputer alors que c'est sûrement la dernière fois qu'on se parle. Alors, je voudrais te faire une dernière proposition.

Aomine: Une proposition? Dit-il, en retournant sa tête d'un geste vif pour me regarder dans les yeux.

Moi: Même si nous nous sommes quittés dans des conditions assez délicates, je veux quand même rester en bon terme avec toi.

Aomine: C'est tout? Dit-il, étonnamment.

Moi: Comment ça « c'est tout » ?

Aomine: Qu'est-ce que tu peux être naïve... Soupira-t-il.

Aomine: L'amitié fille/garçon existera quand quelqu'un m'aura battu en 1 contre 1, Mizune.

- « Il manque pas d'égocentrisme, celui-là... » Pensais-je.

Moi: Rester en bon terme avec quelqu'un ne veut pas forcément dire que tu vas créer une amitié avec. C'est à dire, sans rancune! Et puis, t'as un sacré culot de me dire ça alors que tu es toujours collé à Momoi... Hein?

Aomine: Pour tout te dire, Satsuki est juste une amie d'enfance. Je n'ai jamais été attirée par elle, et elle non-plus. Celui qu'elle aime, c'est Tetsu.

Aomine: ...

Aomine: Je peux pas te garantir que je t'oublierai du jour au lendemain, Mizune. Déclarait-il, incertain.

Moi: C'est totalement normal... Même si ça a été dur, les sentiments que j'éprouve envers toi n'ont pas changés et ne changeront probablement jamais. Mais je pense que notre relation est arrivée à son terme, alors il est temps qu'on se sépare... Pour de bon.

- « Est-ce que c'est vraiment le bon choix? » Se demanda-t-il, contrarié.

Moi: Ahah, qu'est-ce qu'il te prend à tirer une tronche pareille? Pouffais-je, en me moquant de lui.

Moi: Si je peux te donner un dernier conseil, concentre toi plutôt sur tes études et ta future carrière de talentueux basketteur.
Et... Pour ce qui est des filles, tu as le temps. Choisis celle qui comblera ton bonheur.

En étant incapable de cacher le regard affectueux sur son visage tandis qu'il se retenait de sourire, il m'adressa :

Aomine: Ta bienveillance va me manquer... Quoi qu'il arrive, même si tu m'as déjà remplacé, j'serais toujours là pour veiller sur toi et de loin, sache-le.

Moi: Laisse Taïga en dehors de tout ça... J'ai seulement noué un lien d'amitié avec lui, rien de plus!

Aomine: L'amitié fille/ga-

Moi: COMMENCE PAS! M'exclamais-je, en l'interrompant brusquement.

- « On peut pas avoir de discussion stable ne serait-ce que 2 minutes! Il y a toujours un de nous deux qui se met à crier... Comme quoi, ça n'a pas vraiment changé entre nous. J'en deviendrai limite nostalgique... » Pensais-je.

Aomine: Tss... Soupira-t-il.

Après 10 secondes d'embarras, il décida d'interrompre le blanc de la discussion en me posant une question.

Aomine: ... C'est sûrement les dernières secondes que nous passions ensemble, alors je voudrais t'adresser une dernière phrase. J'ai jamais eu l'occasion de te le dire, alors j'aimerais bien le faire maintenant.

Moi: Me dire quoi?

Aomine: Merci pour tout.

prochain épisode : Ce n'est sûrement pas la fin

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