Os 24: amour et chocolats
Bonne lecture os corrigé par la formidable yesharrytops ⚠️: Je tiens a resignaler que tout les os present sont à caractère sexuel ou on dit chez nous lemon 🍋 💦
Et fortement déconseillé au moins de 15 ans (âge de la majorité sexuel ) même si tout les résumé sont soft ce nest que par la peur de la censure ...
Bonne lecture 📖.
Partie 1:
- Caches toi !! Tout de suite !!!
- Mais Lou j'ai faim ...
- Chut chut tu vas nous faire repérer ...
- Ce n'est pas moi... c'est mon ventre qu'est pas content ...
- Ya maman !!!! A couvert solda !, hurla Louis en les propulsant derrière le canapé
- Ouille
- Chut
- Mais tu m'écrases, bouda Harry
- Sorreh Curly, dit doucement Louis en lui faisant un bisous sur la joue sans pour autant bouger
-Harry, Louis ! Je vous ai vu, sortez de là-dessous ! Et Louis arrête d'écraser ton ami veux-tu, j'aimerais le rendre en un morceau demain à sa mère !
Louis sortit les mains en l'air.
- Tirez pas on se rend, dit il suivit de près par Harry qui se cachait derrière la grande taille de son ami. ;)
- Allez vous coucher les garçons, Pâques c'est demain
- D'accord, murmura le garçonnet trainant Harry par la main
- On les aura l'année prochaine Lou, murmura Harry alors qu'il s'endormait serré l'un contre l'autre dans le lit en forme de voiture de Louis.
Johanna et Anne avaient renoncées à les séparer depuis un bon moment. Malgré leur jeune âge, Louis et Harry étaient comme des siamois depuis la crèche et les mamans acceptaient sans rechigner, plus touchées qu'autre chose par la pureté et la puissance des sentiments que de si petits garçons étaient capable de se donner.
L'année d'après la tentative de vol clandestin des chocolats de pâque dans la cuisine de Louis, ils retentèrent leur chance mais ce fut aussi échec, Anne les surprit alors qu'ils atteignaient enfin le placard, Harry perché sur les épaules d'un Louis rouge comme une tomate de l'effort. Malheureusement, le dit placard n'était pas le bon et c'est le paquet de farine qui leur tomba dessus sous le rire hystérique des parents d'Harry. C'est comme ça qu'ils finirent à une heure où ils devraient dormir depuis longtemps à gazouiller dans le bain sous le regard exaspéré mais amusé de Anne, fatiguée de leurs frasques infernales pour s'emparer du chocolat de Pâques à l'avance.
Depuis qu'ils avaient apprit que les cloches, le père noël et toute la bande de la fée des dents, du dahu et autres gnomes n'existaient pas, ils s'obstinaient chaque année à essayer de chaparder le butin un peu avant l'heure pour ne pas le partager avec tout les autres.
Juste eux deux, c'était mieux.
Chaque année ou presque fut un échec jusqu'à ce qu'il soit trop vieux pour le fêter. Heureusement, la ribambelle de frangines et frangins de Louis leur permirent un sursis de quelque années. Cependant, l'année des 12 ans d'Harry et 14 pour Louis marqua un tournant dans leur vie et dans leur amitié.
En effet, ce jour-là, ils réussirent à attraper sous la roue du gros 4x4 de Daniel, le beau-père du châtain, le sac entier de chocolat. Louis hurla victoire, ils se remplirent alors les poches de mini-eggs, kinder, lapin, poule en chocolat et autres gourmandise et s'enfuirent dans la chambre de Louis pour les dévorer.
Malheureusement, la dégustation ne se passa pas tout à fait comme prévu et au bout d'une vingtaine de minutes, Harry commença à avoir des plaques rouges sur le corps et il eut soudain du mal à respirer. Louis ne le quitta pas d'une semelle malgré la panique et hurla à l'aide.
Ses parents dévalèrent les marches quatre par quatre pour se précipiter dans la chambre, alarmés par les cris de Louis et emmenèrent Harry tout de suite aux urgences.
Cette nuit-là, à l'hôpital, Harry découvrit qu'il était allergique au chocolat. Il pleura un peu (beaucoup) et Louis, en séchant ses larmes, découvrit qu'il était inconditionnellement amoureux de lui.
Fin ;)
C'était un poisson d'avril Lolilol
Partie 2 :
Harry fut à jamais privé de Pâques.
Heureusement pour lui, Louis ne cessa de rivaliser d'ingéniosité pour qu'il puisse en profiter quand même.
Il lui offrait des bonbons en forme de lapin, du nougat en forme d'œuf...
Le chocolat était la deuxième chose que Louis aimait le plus au monde, Harry étant la première.
Heureusement, bonne patte Harry ne disait rien, il ne se plaignait jamais, caché derrière son incroyable timidité et Louis, toujours plus grand que lui à l'époque.
Il le fêtait donc quand même avec Louis juste pour le voir sourire, même si il mourrait d'envie de goûter ce doux gout sucré de cacao qu'il avait adoré dans son enfance. Il se contrôlait et cette obsession fut délaissée pour se transformer en une autre obsession beaucoup moins nocive pour lui.
Un jour de Pâques, celui de ses 15 ans, il eût soudain irrésistiblement envie de sucer les lèvres de Louis pour savoir le goût qu'elles avaient et l'oeuf en chocolat que son ami de 17ans était en train de déguster n'y était pour absolument rien du tout.
Ce regard qui le fit rougir jusqu'au bout de ses petites oreilles heureusement dissimulées par ses bouclettes chocolats fut surprit par Louis et ce fut ce jour-là, le énième Pâques qu'ils passaient ensemble, que tout changea a nouveaux pour eux.
Louis vit l'étincelle dans ses yeux et la rougeur sur ses joues, il n'était pas fou et il n'était pas le seul à ressentir plus que ce l'on devrait ressentir pour un ami alors, comme un acte prémédité, il alla se laver les dents pour être sûr qu'Harry ne sois pas allergique à lui puisqu'il s'était goinfré de chocolat tout l'après midi (ce fait fut ensuite prouvé infondé par un médecin quelques années plus tard) et il attira silencieusement son ami Harry dans le cabanon de jardin, prétextant une recherche tardive d'œuf qu'Ernest et Doris auraient loupé. Harry le suivit docilement, toujours un peu rouge et serré dans son pantalon; les hormones d'adolescents et les pantalons très serrés de Louis ne lui laissaient que peu de répit dernièrement.
Une fois dans le cabanon, Harry ne comprit pas pourquoi Louis le refermait à clef. Il comprit mieux ce petit détail quand Louis l'embrassa, l'épinglant avec force et maladresse contre cette dernière. Tellement d'années qu'il en était amoureux et Harry était enfin là, dans ses bras, contre lui. Louis avait du mal à y croire mais c'était bien les lèvres pulpeuses d'Harry qui répondaient timidement à son baiser.
Le smack baveux aussi puissant que rapide les laissa pantois et après un long silence, Harry eu la force de glisser ses mains dans les cheveux tout doux de Louis et l'attira à lui pour un baiser plus long; expérimental, certes, mais tellement parfait à leurs yeux. Ils murent leurs lèvres tendrement, le souffle erratique d'excitation, le corps tout pressé l'un contre l'autre et leur langue s'invitant dans la danse. La chaleur les enferma dans une bulle agréable.
Ils s'apprivoisèrent dans un baiser aussi doux et désordonné que leur adolescence le leur permettait. Ils se séparèrent les yeux brillants et les lèvres gonflées. Ce jour-là, il leur fut dur de se contenir jusqu'à l'heure du coucher qu'ils attendaient avec impatience pour pouvoir recommencer leur nouvelle activité.
Leur premier "je t'aime" fut murmuré le lundi de Pâques de l'année suivante, après un an d'une jolie relation.
Leur première fois eu lieu dans ce même cabanon deux ans plus tard, aménagé et décoré pour l'occasion par Louis qui avait bataillé avec le matelas trop grand pour lui, sa petite taille n'aidant pas et Harry se serait sûrement moqué si il avait été là mais il réussi à se débrouiller tout seul pour le faire rentrer et créer un joli petit nid.
Le réveil d'après leur première nuit charnelle fut plus que mouvementé car ils s'étaient réveillés à moitié nus, en panique par les cris qu'Ernest, Doris et les jumelles poussaient en cherchant des chocolats dans tout le jardin.
THE WALK OF SHAME n'avait jamais aussi bien portée son nom que cette fois-là quand ils sortirent les cheveux en bataille, tout rouge de gêne et d'effort, les mains chargées de couvertures, un préservatif plein caché entre elles, la tête baissée et le pas pressé jusqu'à la maison sous le regard amusé de leurs familles.
L'anecdote traumatisante à l'époque les faisait maintenant bien rire, plus Louis que Harry mais tout de même.
Ils s'aimaient depuis des années avec ou sans chocolat et Pâques était leur truc à eux alors c'est tout naturellement que Louis posa un genou à terre un jour de Pâques quelques années plus tard, lui demandant de partager le reste de sa vie avec lui et c'est tout naturellement que Harry accepta sous le "Hourra" de leurs familles encore et toujours réunis ce jour-là.
Ils se marièrent un an plus tard, le week-end de Pâques et la chasse à l'œuf organisée amusa petits et grands. Ils se jurèrent ensuite fidélité et s'embrassèrent avant même que le maire eu finit son discours, provoquant un rire général dans l'assemblée.
Partie 3: (lemon)
- Hazz t'es où ??
- Dans la chambre bébé
Louis se dirigea dans la chambre un peu déçu que son mari ai oublié leur premier anniversaire de mariage et qu'il soit déjà couché. Il s'était attendu à des bougies ou a un dîner, c'était lui le vieux du couple normalement.
Résigné, il monta l'escalier qui menait à leur chambre mais au moment de passer la porte, Louis entendit Harry lui dire de fermer les yeux et d'avancer.
Louis, surprit et soulagé que son mari ne l'ait finalement pas oublié, s'exécuta un peu hésitant, une main sur les yeux et se stoppa quand ses genoux buttèrent sur le matelas du lit.
- Joyeuse Pâques et joyeux un an de mariage et 10 ans de relation mon amour, Ouvres les yeux maintenant, dit Harry doucement, visiblement gêné
La mâchoire de Louis faillit se décrocher.
Harry était complètement nu et allongé sur leur lit entouré de bol de chocolat fondu, il s'était même dessiné des petits cœurs sur le corps avec ce dernier et son doigts en était toujours recouvert. Il était tout simplement à CROQUER.
Louis fut ébahit par la vue d'une décadence inouïe profondément opposée à la timidité habituelle de son mari.
- Hazz bébé je..
- Je voulais que tu aies moi et du chocolat à Pâques cette année ..., le coupa Harry en haussant les épaules
- Mais ton allergie ...
- Il n'est pas question que ce soit moi qui en mange Lou...
- Oh putain je vais te dévorer, tu en as conscience ? dit Louis en tressaillant, submergé par le spectacle sous ses yeux
- Je m'attendais plus à une dégustation mais c'est toi qui vois Mr le gourmand, dit Harry en souriant timidement. relevant une jambe dans un dernier acte insolent.
Il voulait prouver à Louis que dans la sécurité de leur chambre quand il n'était que tous les deux, il était capable et pouvait surmonter sa timidité.
Honnêtement, jusque là, c'était plutôt réussit à voir la tête que Louis faisait alors qu'il apercevait le petit bourgeon rosé tant de fois imaginé et peu de fois aperçu niché entre les deux petites fesses d'Harry.
- Bébé, gémit Louis pitoyablement, qu'est-ce que tu me fais
Bien sûr, au-dessus ou en-dessous, peu leur importait mais Harry insistait en général pour le faire dans le noir le plus complet, au grand damne de Louis qui le trouvait juste magnifique et parfait et qui ne comprenait pas sa gène après autant d'année d'amitié, d'amour et d'intimité. Maintenant, après un an de mariage, Louis se baladait nu presque tout le temps mais Harry avait souvent plusieurs couches sur lui et s'enfermait toujours dans la salle de bain. Louis le lui avait dit, sa timidité ne le dérangeait pas le moins du monde, il aimait le protéger même si Harry le dépassait désormais largement. Cependant, il aurait aimé qu'avec lui, Harry se sente plus à l'aise et s'expose un peu plus car à ses yeux, il était le plus bel homme sur Terre.
- Tu me tues là
Harry ne répondit rien, se contentant de rougir.
- Mais tu sais qu'après ça, dit doucement louis en jetant ses habits, je vais avoir du mal à ne plus te voir pendant nos galipettes.
Harry remonta sa deuxième jambe, s'exposant complétement à la vue de son mari
-Pour toi je veux bien faire un effort, murmura-y-il, le rouge devenant de plus en plus vif sur ses joues.
Louis resta bouche bée, penchant sans s'en rendre compte sa tête sur le côté, hypnotisé par Harry avant de se reprendre et d'escalader le lit pour ramper délicatement à quatre pattes au-dessus d'Harry et l'embrasser de tout son soûl.
- Plus de rideaux fermés ? demanda en ronronnant Louis, leur nez pressés
- Ajourés ? négociât Harry
-Tout ce que tu veux mon amour. Qu'en est-il de la lumière ?
-Pas la grosse mais une lampe de chevet tamisée, je devrais pouvoir gérer, sourit tendrement Harry, finissant de faire fondre Louis plus vite que le chocolat
- Je t'aime, ne put s'empêcher de roucouler Louis, je t'aimais déjà avant et je ne savais pas que c'était possible de retomber amoureux de son mari comme ça mais Harry tu y arrives, tu es ma vie, merci, je sais que ça te coûte et savoir que tu es prêt à faire ça pour moi me fait t'aimer encore plus
Harry planqua son visage dans le cou de Louis et joua avec les cheveux de son amant.
- Tu veux bien me faire l'amour ?, osa-t-il demander au bout d'un moment, sentant Louis immobile
- Laisse-moi te tenir contre moi un instant, demanda Louis en tentant de ravaler ses larmes d'émotion.
Doucement, il se laissa glisser vers le bas, léchant et suçant le chocolat sur la peau nue d'Harry. Il aimait le goût de la peau d'Harry mais son amour du chocolat le submergea et il lécha tout ce qu'il pu.
Il adorait l'idée, il adorait que ça vienne d'Harry, il adorait qu'il ait fait fondre tout ce chocolat que pour lui sachant qu'il adorait ça mais qu'il ne pouvait pas en manger, il adorait tout de lui.
Il embrassa chacun des quatre tétons
du bouclé, souriant contre sa peau. Harry détestait cette anomalie mais Louis les adorait alors il embrassa plus fort les petits bouts de chair quand il entendit le glapissement de son mari. Il sourit encore plus, Harry était sensible des tétons, pas des quatre mais des deux autres oui, il l'était terriblement ...
- Si sensible, murmura-t-il
Louis les tira un peu avec ses dents, sentant Harry se tortiller et se cambrer sous lui.
Il se redressa et récupéra un peu de chocolat dans l'un des bols, dessinant grossièrement avant de lécher allègrement la hampe, la cuisse, et la base du sexe d'Harry qui n'était que gémissements sous sa bouche.
Sentir les grandes mains du bouclé pousser sa tête pour s'enfoncer plus profondément était une chose que Louis adorait mais qu'Harry osait rarement faire quand il le prenait en bouche. Cependant, comme à chaque Pâques, les choses allaient changer car Harry osa. Il osa car il n'en pouvait plus, Louis le rendait dingue, titillant de sa langue son gland dégoulinant, alternant léchouilles et caresses plus affirmées. Sans pouvoir s'en empêcher, il balança ses hanches en avant surprenant Louis.
- Pardon, s'excusa immédiatement Harry
- Recommence, dit automatiquement Louis en replaçant ses mains dans ses cheveux, montres-moi à quel point je te rends dingue, dit Louis avant d'entourer à nouveau sa longueur
Harry recommença d'abord timidement puis submergé par le plaisir, il s'enfonça plus durement dans la bouche accueillante et chaude du châtain. Presque sur le point de perdre le contrôle, Louis le déconcentra en le titillant de ses doigts, l'ouvrant comme Harry aimait, Louis prenait son temps, ce n'était pas tous les jours qu'Harry s'exposait à sa vue sans barrières ni retenu et il ne comptait pas en perdre une seule miette.
- Lou ... Lou, le supplia Harry, j'ai besoin... j'ai besoin, bégaya Harry, les yeux révulsés, le dos arc-bouté, les mains serrant les draps fermement, menaçant de renverser les bols de chocolat dangereusement.
Louis savait ce qu'il voulait alors il se redressa, recouvrit sa verge de lubrifiant et vint se positionner à l'entrée d'Harry, pressant sans le pénétrer son gland contre son entrée étroite et pour la première fois, il se vit s'enfoncer dans le corps de l'amour de sa vie, sa verge étirant doucement le petit muscle rose d'Harry.
- Putain, jura-t-il, ne réussissant pas à garder ce son car c'était un putain de spectacle. T'es putain d'incroyable bébé, si beau, continua-t-il alors qu'Harry suffoquait de bien-être, perdu dans le plaisir.
Ils étaient déjà proche mais ils s'en foutaient, les préliminaires d'aujourd'hui en valait le coup. Quelques poussées suffirent à les faire basculer dans une jouissance simultanée et puissante, s'effondrant, collant et sucré, l'un contre l'autre.
Toujours essoufflés, ils s'embrassèrent à en perdre haleine dans le baisser le plus brouillon depuis des lustres, peut-être même encore plus brouillon que le premier
- Je t'aime Louis
- Moi aussi mon cœur
- Tu es le meilleur mari du monde
- Tu es meilleur que le chocolat, pouffa Louis devant la déclaration enfantine d'Harry
Harry gloussa et se pencha sans quitter les bras de Louis pour éteindre enfin la lumière. La nuit étant tombée depuis longtemps, la pièce s'assombrit et Louis soupira
- Tu es tellement beau, murmura Louis, déçu, j'aimerais te voir tout le temps
Harry ne dit rien, il détestait son corps encore plus que son allergie au chocolat et Louis le savait
- Tu veux bien me faire une autre faveur Hazz ? demanda soudain Louis en luttant contre le sommeil
- Mmnnhh fredonnât Harry
- Laisse-moi aimer ton corps pour toi
Harry sentit son cœur s'emballer, Louis était tout pour lui. Il pesa le pour et le contre.
- D'accord répondit il après un moment.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top