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On est au deuxième quart-temps et je m'en douté, il avait prévu de tous nous détruire mentalement. Mais aussi physiquement sauf qu'il on fait un geste qu'il n'aurait jamais dû faire. Ils ont énervé Daiki voulais vous savoir comment ? Si je vous le dis, ne vous énervez pas. J'ai failli aller lui réglé son compte aussi.

Je soupire de douleur me tenant le ventre légèrement. D'ailleurs. Toutes les équipes qui nous apprécient énormément, quand il a fait son geste, son venue me mettre à l'abri des balles. Parce que cet enculé a fait exprès de me tirer un ballon dans le ventre fessant croire que c'était une mauvaise passe, mes, c'étais trop bien placé. Même les arbitre, on décrété qu'il le fessait exprès. Il visé tous les copains des coéquipiers. Alors ça ne pouvais pas être une coïncidence. Alors ils ont demande une élimination directe de Kirisaki et on a gagné. Mais on la tous en travers de la gorge.

Enfin, pour le moments. On est partie à l'hôpital avec nos amis pour une écographie d'urgence. Daiki et très inquiet et il est encore sur les nerfs. Ça se comprend aussi.

-Mr Kagami.

Je me lève avec Daiki.

-Bonjour, Mr Jäger.

-Il s'est passé quoi exactement ?

-On était à un match de basket et on a rencontré une équipe qui pour gagner joue des salles tour sauf que celui-là et vraiment... Enfin, il m'a tiré dans le ventre.

Il semble réfléchi.

-Bien, on va faire une échographie. Vous avez mal ?

-Oui !

-Montrez-moi à quel endroit.

Je lui montre que j'ai mal en bas du ventre. Il semble d'un coup inquiet et me presse pour l'échographie. Arrivé dans la salle, je m'installe rapidement et il commence à installer le matériel. Il me met le gel et commence l'échographie. Il se concentre sur l'image et fini par dire.

-Il va bien.

Il nous fait écouter le cœur et je regarde Daiki qui semble soulagé. J'empoigne sa main et la sers. Il me le rend. Il vient m'embrasser le front.

-Ça va la balle n'as pas fait de dégâts intérieurs. Vous auriez juste un bleu et des douleurs.

Il prend les clichés et les imprime.

-Bon du coup pas d'échographie ce mois si revenait le mois prochain.

Je lui souris.

-Merci docteur.

-De rien jeune gens.

On sort de la salle après un échange de poigne de main et on retrouve les cinq équipes de basket qui sont arrivé entre temps. Je soupire et fais sortir tout le monde et une fois dehors dit.

-Merci les amis d'être la. Mais tout va bien, plus de peur que de mal.

Ils font tous un cri de soulagement et on part manger un Subway. Daiki vient se coller à moi. Il ne me lâche plus et avec ce qui vient de se passer, je pense que ça ne va pas s'arranger.

[Ellipse jusqu'aux 6 mois de grossesse.]

Aujourd'hui, je suis en plein dans mon sixième mois de grossesse. Depuis l'incident Daiki, ne me lâche plus d'une semelle et tout ce qui peut être dangereux pour le bébé et moi, il les contrôle. Il est insupportable. Là, je suis au kombini pour nos course. Il n'a pas voulu m'accompagner ce qui m'étonne fortement. Enfin, du coup, j'en profite et traîne un peu me retrouvant avec moi-même et mon bébé. Je caresse mon ventre assis sur un banc, profitant du soleil. Je souris avec amour à mon bébé et lui parle de tout et de rien lui dissent a quel point j'ai hâte de le prendre dans mes bras l'aime et le chérir. Quelqu'un finit par m'interpeller dans la rue et cette personne s'avérer être Kuroko.

-Salut Kagami-Kun.

-Salut Kuroko, ça va ?

-Oui, tu fais quoi de beau ?

-Comme tu peux le voir, je parle à mon fiston et toi ?

-Ouais, je me balade.

-Ça va avec Akashi-san ?

-Oui, il veut que l'on, est un enfant, mais je ne sais pas si je serais un bon père.

-Qu'est-ce qui te fait peur Kuroko ?

-C'est qu'on n'est pas de la même espèce, et des chats, c'est rare, mais je ne sais pas ce que ça va donner avec une lionne.

-Tu sais l'espèce ne fait pas tout et puis de ce que j'ai cru comprendre, on est tous en voie de disparition.

-Ouais, je le sais.

-Alors on pas vraiment le choix que de suivre nos cœurs et mon cœur m'as conduit vers une magnifique panthère et toi vers une lionne.

-Oui, mais genre en grossesse, toi, t'es comment ?

-Hum !

Je réfléchie et reprend.

-J'ai des sautes d'humeur, des envies bizarre et pas mal envie de bouge alors je vais beaucoup a la piscine ce qui gonfle Daiki.

Il rit suite à l'image d'un Daiki les joues gonflé qui en a marre.

-Ha, ouais, je l'imagine bien. Pourtant, il aime bouger.

- Ouais, mais sur un terrain de basket pas dans une piscine.

-Ouais, c'est vrai. Après, pour Akashi-san, je ne sais pas.

-Hm, ça va être compliqué.

-Après, il peut s'adoucir comme pas du tout.

-Oui, mais comment je dois me comporter avec lui ci, il est enceint ?

-Essaye de l'écouter ou de suivre ton instinct. Fait pas comme Daiki qui me colle H 24 et avec ce qui est arrivé lors du match, il est pire. Seulement aujourd'hui, il m'a laissé tranquille. Du coup, je profite, un peut.

-C'est compliqué quand même ?

-Non, franchement, laisse, toi guidé par ton instinct. Ça ira tout seul.

-Dac, merci du conseil.

-Et puis, tu feras un très bon père Kuroko, je te connais assez pour te l'affirmer.

-Merci, Kagami-kun.

-De rien Kuroko. Bon, je vais rentrer ou il va péter un plomb après. Il va sûrement t'appelle pour confirmé que j'étais avec toi.

-HA ouais, c'est, a, se point ?

-Ouais. Bon a plus Kuroko.

-Ouais, salut Kagami-Kun.

Je me lève et me dirige vers l'appartement avec nos cours pour trois jours. Quand j'ouvre la porte une tornade me saute dessus et me regarde de toutes les côtes. Je soupire.

-Daiki, je vais bien. J'étais avec Kuroko.

Il me regarde les yeux noirs d'inquiétude.

-Je vais bien, chéri.

Il se calme et vient m'embrasser.

-Ça a été dehors ?

-Oui chéri. Tu me laisses entrer ?

-HA oui pardon.

Il s'écarte et j'entre afin d'aller à la cuisine et rangé les cours. Quand j'arrive dans la cuisine, je suis émerveillé par ce que je vois. Daiki avait fait, a mangé et avait fait une décoration trop romantique. J'étais stupéfias et Heureux.

-Daiki ?

-Pour les six mois du bébé mon amour et nos six mois de mise en couple.

Je me mets à pleurer de joie. Je me retourne et l'embrasse avec amour.

-Je t'aime mon amour.

Je fonds, il le dit si peut souvent.

-Moi aussi, mon ange.

Il me sourit et on s'embrasse. Il me débarrasse des courses et me tire la chaise pour que je m'assoie. Il est adorable. Je mis assoie et il vient me replacer.

-Merci, chéri.

Il me sourit et vient servir les plats. Il a fait du poulet au curry mon plat préféré. Mes larmes continues de coulé de bonheur. C'est l'un des seuls plats qu'il ne rate pas aussi, mais c'est adorable. On mange et il me sourit. Il vient, prés de moi ce mets à genoux et....

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