Oh mon dieu! Deux chapitres en deux jours! Je suis motivé là! (bon en vrai, j'ai eu un pic d'inspiration en cours d'espagnol, à croire que j'ai toujours de l'inspiration en cours...) Bon tout d'abord, je tiens à vous remercier pour les 100 vues (enfin 101 mais on va pas chipoter). Et, sinon, je m'excuse car les épreuves ne seront pas très détaillées, parce que, je ne m'y connais pas en base-ball ou en basketball et j'ai jamais fait de compétition de tir, alors, j'ai préféré ne pas détailler, plutôt que de dire de la merde, sur ce, BONNE LECTURE!!!! (je suis un peu trop enthousiaste...) 

Le départ ayant été sonné, le match opposant la seconde A et la seconde C, commença, normalement, la seconde A aurait du affronter la seconde B, et la seconde C aurait du affronter la seconde D, mais avec l'absence d'une des classes, tout avait été chamboulé. Le premier match se termina sur une victoire des C. Le match de «ma classe», contre la classe D, allait démarrer.

Le «combat» avait été serré, mais les E finirent par gagner; plusieurs élèves de la classe adverse avaient été blessés «accidentellement» par mes élèves, mais, je me plaisait à regarder tout ça, leur peur et la douleur de leurs adversaires m'amusaient. La finale se déroula sans accros pour les joueurs maudits, la victoire leur avait été attribuée après qu'un élève ait enchaîné bon nombre de fautes, évidemment, Ataru avait aidé Ame comme il pouvait et avait fait perdre son équipe, qui était vraiment énervée, et l'engueulait violemment. L'un des élèves allait même le frapper quand Yada, ayant observé toute la scène, se décida à intervenir en arrivant derrière l'attaquant et lui mit son pied sous la gorge, en l'arrêta à quelques millimètres de sa peau. Ce dernier, surpris, recula immédiatement, et Tôka posa son pied parterre.

-Merci...

-T'en fait pas, c'est rien, ça va?

Il hocha la tête, puis la baissa lorsque son agresseur revint, ce dernier, dit, en s'adressant à la jeune fille,

-Laisse-moi faire! Tu n'as rien à voir avec tout ça!

Mon double le fixa, d'un, air mi dédaigneux, mi amusé, pour finalement répondre,

-Tu veux un participant en moins dans ta classe?

D'un air hautain, ce dernier lui répondit,

-Il nous a fait perdre, t'as bien vu!

Yada réfléchit à une réponse cinglante, puis, n'en trouvant pas, se ravisa, pour déclarer,

-Oui, mais si tu le frappes, tu seras viré de la compet, à toi d'y réfléchir!

Sur ces mots, c'était la pause de midi et elle allait discuter de tout ça avec la classe, elle s'en alla, mais fût coupée dans son élan par Ataru, l'interpellant

-Qu'y a t-il?

-Je voulais te demander, tu es en quelle classe?

-2ndeE, pourquoi?

Ataru fit une pause, envisageant de lui demander si le King's game était réel, mais se ravisa, pour finalement, demander,

-Dis, on peut aller à l'écart?

Yada, profitant de l'occasion, dit d'un ton mielleux,

-C'est pas bien ça...

Ataru ne comprit pas, et en réponse à son air interrogatif, la brune reprit,

-De tromper Akemi-kun...

Ataru rougit immédiatement après cette phrase, puis bégaya,

-M-mais, ce n'est pas ce que je voulais dire! Il prit une pause, puis recommença. Et puis comment ça se fait que t'es au courant?

La jeune fille répondit le plus calmement du monde,

-Je te rappelle que je l'ai vu se déclarer à toi! Et puis même, tout le lycée est au courant! Bon, sinon, c'est ok.

-Suis moi. Répondit le garçon, la tête ailleurs.

Sans répondre, Yada, un air sérieux sur le visage, suivit Ataru.

Arrivés à l'écart, Yada demanda,

-Alors, que voulais-tu?

Ataru réfléchit à comment formuler la question, puis demanda,

-Est-ce que le king's Game est réel.

Yada manqua de s'étouffer avec l'eau qu'elle buvait, puis questionna,

-Qui t'en a parlé?

-Je suppose que je dois prendre ça pour un oui, sinon c'est Ame qui m'en a parlé...Mais, ne lui fais rien, d'accord? J'ai vu ce que tu as fait à Teruaki-kun alors...

Yada, fit une pause, puis répondit,

-Ne t'inquiète pas, je ne ferais rien. Et pour Teruaki-kun, il le méritait!

Ataru eu un soupir de soulagement

-Tant mieux! Mais tu es souple quand même, ton pied était presque au niveau de ta tête!

Yada répondit avec un rire gêné,

-Oui, plutôt, mais moins que Okano-san...

Okano? Après qu'elle ait prononcé ce nom, je survolais ses pensées mais ne trouvait, qu'une interrogation à ses propres paroles, et ne décidais pas de chercher plus loin. Ataru, lui répondit,

-Tu connais Okano-san? Tu sais ce qu'elle est devenue? Ça fait plusieurs mois que je n'ai plus de nouvelles d'elle.

Il connaissait Okano? Et bien, le monde est petit, mais ça m'inquiétait, Yada pouvait apprendre beaucoup de chose de la bouche du garçon... Mais de toute manière, elle ne devinera jamais la vérité.

-Kashiwagi-kun. Tu es libre ce soir?

Ataru rougit, puis dit, gêné,

-Mais, je... je suis en couple!

Yada, garda son sérieux, puis dit d'un air froid et distant, tout le contraire de d'habitude,

-Mais non, idiot! C'est pour parler d'Okano-san! Et puis, je te rassure, tu ne m'intéresse pas, et ne m'intéressera jamais!

Ataru fût surpris par le ton qu'elle avait utilisé, puis répondit faiblement,

-D'accord, on se retrouve où.

Tôka lui indiqua le nom d'un bar où ils pourraient aller, et Ataru accepta. Après ça, Yada se leva pour retourner avec sa classe pour parler de l'ordre, quand Ataru, la retint de nouveau,

-Quoi encore?

Elle avait toujours ce ton glacial, qui fit frémir Ataru, mais se dernier demanda quand même,

-Je voulais savoir comment tu t'appelais.

Yada se décontracta légèrement, puis répondit,

-Yada, Tôka Yada.

Sur ces mots et sans attendre le garçon, elle s'éloigna.

Après avoir rejoint sa classe, Ruitzu lui demanda,

-Tu étais où?

Tôka, ayant reprit son air jovial, répondit,

-J'ai un rendez-vous avec le petit-ami d'Akemi-kun.

Ruitzu ne répondit pas et fit tomber sa bouteille, avant de lâcher une magnifique insulte. Puis questionna,

-T'es pas sérieuse j'espère? Et puis je croyais que t'aimais pas les garçons!

Yada éclata de rire, puis en essuyant ses larmes répondit,

-Non, non, je rigole! J'ai juste parlé avec lui après l'avoir aidé, et il se trouve que Akemi-kun lui a parlé du King's Game, c'est sûrement pour ça qu'il a fait n'importe quoi durant le match d'ailleurs, et il m'a demandé confirmation.

Ruitzu eu l'air rassurée, puis avoua,

-Tu m'as fait peur!

Yada, s'amusant de la situation, répondit avec un sourire,

-Ça te dérangerais que j'aime quelqu'un?

À ces mots, Ruitzu rougit violemment et répondit d'une voix forte,

-Qu'est ce que tu es en train de sous entendre?

Yada rigola, puis sans répondre, réfléchit à autre chose.

À la fin de la pause, il y eu l'épreuve de basket-ball, où la classe fini deuxième, derrière la classe C puis démarra celle de tir à la carabine à dix mètres, où Yada était, sans aucun doute, la meilleure tireuse, elle avait gardé ses capacités. Et cette fois ci, la classe gagnante était la seconde E. Avant que la dernière épreuve, celle d'athlétisme, ne commence, Ruitzu, prise d'un doute, partit voir Yada pour lui demander,

-Dis, Yada-san, comment tu savais que tu tirais bien?

J'eus l'impression de voir passer une lueur de panique dans les yeux de l'intéressée, mais ce devait être mon imagination car celle ci répondit calmement,

-Je ne sais pas, mon intuition...

Ruitzu cria alors, choquée,

-T'as mis notre vie ne jeu sur une intuition?!

Yada sourit pour répondre,

-Bah, ça a marché non?

Ruitzu poussa un soupir d'exaspération, puis s'en alla.

La dernière épreuve commença. Pour le moment, les coureurs de la classe C et de la classe E, se talonnaient de près, la ligne d'arrivée était proche, Shûkichi, participant de la classe pouvant être condamnée à tout moment, était proche. Si proche de la ligne d'arrivée. Dans un dernier élan, il piqua un sprint, mais, alors qu'il allait gagner, il chuta.

À cet endroit précis.

À uniquement deux mètres de la ligne d'arrivée.

Et, Teruaki, le coureur de la classe C, le dépassa, le temps qu'il se relève et franchisse la ligne.

C'était magnifique, cette chute! Le désespoir grandissant de toute la classe, les larmes de certains, la peur d'autres, ils allaient recevoir un gage, et je pris mon portable, et commençait à l'écrire, à les condamner...