Part 144
Je suis dans l'avion et je ne vais pas tarder à atterrir à Chicago. Je lis un article que j'ai eu tout à l'heure en achetant un magasine à l'aéroport, il y a un truc sur mes tantes Kendall et Kylie.
Apparemment il y aurait eu une bagarre dans un club à New York entre Quincy Combs, Harry Styles et Justin Bieber. Ils ont même lit Tyga là dedans. J'en ai entendu parler vite fais quand maman en discutait avec Koko, mais la presse à scandal déforme tout.
Ils disent qu'ils se sont battus pour Kendall, qu'elle sortirait avec les trois en même temps et qu'elle s'est fait prendre à son propre jeu. Et ils disent que si Justin c'est aussi battu c'est parce que lui aussi entretient une relation avec elle malgré le fait qu'il soit avec Hailey. C'est vraiment n'importe quoi, ces gens sont prêts à tout pour vendre. Ils ne savent rien mais sont toujours prêt à raconter des conneries. Ils me dégoûtent tous.
Heureusement je sais la vérité. En plus cette histoire elle fait la une de tous les magasines depuis des jours, notre famille est toujours au centre de toute polémique, ça devient pesant à force. Je me demande quel jour est-ce qu'ils cesseront de raconter de la merde sur nous. Mais je sais que ce jour n'est pas prêt d'arriver, le plus dure c'est de vivre avec. Mais ça, c'est déjà fais.
Normalement, c'est oncle Dave qui passe me prendre. Mon frère ne sait pas que je viens parce que comme je vous l'aie dit, c'est une surprise que je lui fais.
Je suis vraiment fière de lui, il a eu son diplôme avec mention et il va déménager à New York. Je pourrais le voir plus souvent maintenant, c'est cool. Il va au College (université) où il va étudier le droit. Il a toujours rêver d'être avocat ou magistrat, je suis persuadée qu'il en sera un bon parce qu'il a un très bon sens du jugement. C'est d'ailleurs une des personnes les plus honnêtes que je connaisse.
Je descend de l'avion et deux hôtesses m'escortent jusqu'à l'extérieur. Je m'assieds dans une espèce de petite voiture électrique jusqu'à la sortie, et un agent de sécurité me conduit jusqu'à mon oncle. Je lui fais la bise, il me fait un câlin puis prend mon sac à dos pour le mettre dans la voiture.
C'est le seul bagage que j'ai, plus que je ne reste ici qu'un journée. J'ai des tas de choses à faire des mon retour: j'ai des séances photo, mon clip à terminer, l'interview familiale et pleins de petits trucs dont je dois m'occuper et après tout ça je pourrais enfin aller en vacance. J'ai hâte...
Je monte à l'avant avec mon oncle.
Oncle Dave : tu vas bien ?
Moi : oui, merci et toi ?
Oncle Dave : oui. Ton frère va être content de te voir.
Moi : j'espère.
On discute un peu mais j'ai pas trop envie de parler avec lui. J'ai pas trop aimer la manière dont ils ont parlé à ma mere à l'hôpital la dernière fois, même si lui n'y était pour rien, je déteste qu'on parle mal de ma famille surtout que celle de ma mère ne fait jamais ça sur eux.
Bref, il est onze heures et on va directement à l'école de mon frère. Une fois sur place, je vais rejoindre le reste de la famille sur les gradins parce que la cérémonie de remise de diplôme se passe sur le stade. Quelques personnes m'ont reconnu et ont commencé à prendre des photos de moi. Je les ignore et je me concentre sur ma famille. D'ailleurs je suis assise juste entre ma mamie et ma cousine Abigail. Mes autres cousins ne sont pas tous là, certains d'entre eux sont en camps de vacances d'après ce qu'on m'a dit.
On fait entrer les lauréats et ils se placent sur l'espèce de podium. Je reconnais mon frère même de loin parce que c'est le plus beau. En plus il a été majeur de sa promotion, je suis encore plus fière de lui, on est des bosseurs dans la famille. D'ailleurs papa il disait que on a beau avoir des vies de malades et des rebondissements, mais on reste fort et on est des bosseurs. Je me rappelle que quand il disait ça avec mon frère on se fichait de lui parce que on trouvait que ça n'avait pas de sens. Maintenant, je me rend compte que si.
Quand la cérémonie s'est terminer j'ai courus vers lui et j'ai sauté dans ses bras. Il était grave surpris de me voir, il arrêtait pas de froncer les sourcils et sourire en même temps.
Trey : mais t'es là depuis quand ?
Moi : deux bonnes heures.
Trey : ah mais j'ignorais que tu viendrais princesse. Je suis content que tu sois là.
Je lui souris.
Moi : j'aurais raté ça pour rien au monde mon frère adoré.
Il m'a caresser les cheveux avant de me prendre dans ses bras. Ensuite il est aller retirer sa tenue et son espèce de chapeau pour revenir simplement vêtu d'un t-shirt gris et d'un jeans. Mon frère c'est trop le plus beau mdr.
Moi : il faut qu'on prenne une photo !
Trey : carrément.
Je donne le téléphone à ma cousine qui nous prend en photo. Une fois que c'est fait, je la poste sur Instagram.
@KayleeThomas : congratulation to the 2nd man of my life. I can't be more proud of you bro', love you forever ❤️😎👌🎓 @TreyThomas.
On est ensuite aller au restaurant tous en famille et on s'est goinfrer pendant deux bonnes heures. Moi j'avais tellement mangé que je ne sentais plus du tout mon ventre. Et les autres ils n'arrêtaient pas de se moquer de moi en disant que mon ventre exploserais et tout et tout.
Apres le resto on a traîner un peu en ville et on est rentré en début de soirée parce que on a dû aller voir des oncles, tantes et cousins etc.
Trey il avait prévu de rejoindre des potes ce soir donc plus que j'avais prévu de passer la nuit chez nous mais que lui il sort, j'ai pris mes affaires à contre-coeur pour les mettre dans une des chambres de chez mamie puisque c'est là que je vais dormir. Au moins il y a ma cousine, c'est déjà ça.
On a regarder des films drôle toute la soirée, et vers une heure j'étais fatiguée donc je suis allée me coucher et la cousine aussi puisqu'elle dormait avec moi. Mais à peine on s'était endormie qu'on a commencé à entendre du bruit. Je me suis réveillée en première et la cousine juste après moi.
Abigail : Kay, t'as entendu ?
Moi : ouais.
Il y a eu un autre bruit, c'était comme si on cassait quelque chose ou je ne sais pas. Apres on a entendu des bruits donc on a vraiment commencer a paniquer.
Abigail : viens on va voir, si ça se trouve c'est les petits qui jouent.
Moi : je sais pas, c'est différent.
Abigail : mais non, viens !
Elle me prend la main et on ouvre la porte de la chambre pour voir des hommes en cagoules noires débarqués de nulle part. J'étais en mode choquée et je suis rester tétanisée face à eux sans bouger.
Abigail : au secours !
L'un d'entre eux l'a tenu pour mettre sa main sur sa bouche et l'empêcher de parler. Un autre a tenu mon bras.
Moi : Ne me touchez pas !
Celui qui me tenait à aussi placer sa main sur ma bouche. J'essayais de me débattre mais il était bien trop fort pour moi.
Les autres portes se sont ouvertes sur ma grand-mère et mes cousins et la c'était le bordel.
Mamie : mais qu'est-ce que.......oh mon Dieu.
Ils étaient environs cinq à monter, tout le monde à paniquer dans la maison. J'avais tellement peur que je croyais que j'allais me faire pipi dessus. En plus j'avais des petits picotements sur le coeur et ça n'est pas bon signe. Quand j'ai trop peur je peux faire une crise d'angoisse et dans ce cas, si je n'ai pas les médicaments pour mon coeur, ça peut mal tourner.
Gars 1 : vous allez tous vous taire. Le premier qui hurle je vous jure que ça va mal se passer.
Luc : mamie j'ai peur...
Mamie : calme toi Luc.
Gars 2: où sont les autres ?
Mamie : quels autres ? Il n y a personne d'autres ici que les enfants et moi. Il doit y avoir une erreur.
Gars 2 : vérifier la maison, vérifier tout et assurez vous qu'il n hait personne dans cette maison.
En effet, il n y avait que mamie, Abigail, Luc, Dylan et moi dans la maison.
Luc et Dylan ils ont commencé à pleurer.
Mamie : écoutez, dites moi ce que vous voulez et je vous le donnerais. Mais ne faites pas de mal aux enfants, regardez vous même, ils sont effrayé.
Gars 2: on avait pas prévu ça mais on ne nous a pas laisser le choix.
Gars 1: un deal est un deal.
Dylan il pleurait vraiment, ça se voit il a hyper peur de voir des hommes dans notre maison au beau milieu de la nuit qui débarquent de nul part.
Gars 3 : faite les taire maintenant !
Ils avaient des couteaux et autres sur eux et c'était vraiment choquant. Ils nous on tous obliger a nous mettre dans une pièce. On étais assis les uns collés aux autres et eux étaient tous face à nous.
Gars 4: on nous a payé pour faire un travail et on l'a fait.
Mamie : mais enfin de quoi est-ce que vous parlez ? Vous devez faire erreur...
Gars 1: la ferme ! On sait très bien qui vous êtes et ce qu'on fait la alors ne nous prenez pas pour des cons en disant qu'on fait erreur, merde !
Mamie elle a sursauté quand ils lui ont hurler dessus. Moi, je tentais de calmer Luc qui était accroché à moi en tremblant.
Gars 2: votre fils n'a pas été réglo. On a fait le grand travail pour lui...il pourrait au moins nous remercier convenablement.
Mamie : mon fils ?
Gars 1: oui, votre fils vous avez bien entendu. Il nous doit quelque chose et il est absolument hors de question qu'on par d'ici sans elle. Sinon, je vous jure que ça va mal se passer.
Mamie : mais dites moi ce que vous chercher que je puisse comprendre et vous aider.
Gars 4 : arrêtez de faire comme si vous ne saviez pas que la mort de votre fils n'était pas un accident.o
Mais attendez....on parle de mon père là. Et puis cette voix elle me dit trop quelque chose, seulement, je n'arrive pas bien à me souvenir.
Gars 4: on a été payé pour tuer Damon Thomas, et on a pas reçu ce qu'on devait recevoir alors ne jouez pas à ce petit jeu avec moi. Vous allez nous donner ce qu'on veut ou alors....
Il s'est tourner vers moi, et c'est là que j'ai compris. Je n'avais pas besoin de voir son visage, j'avais reconnu sa voix, cette voix. Je suis sure à cent pour cent que c'est le gars que je ne cessais pas de voir il y a quelques temps. Le gars qui m'a fait peur au festival de Coachella, j'en suis convaincu.
Gars 5 : Louis devait nous donner quelque chose et il ne l'a pas fait. Dite nous ou est ce Putin de diamant.
Louis ? Papa ? Je ne comprend plus rien.
Mamie : je vous jure que je ne sais pas de quoi est-ce que vous êtes en train de parler. Nous ne savons rien, je vous jure que nous ne sommes au courant de rien.
Gars 2: vous voulez dire que vous ignorer que votre fils Louis était tellement jaloux de son frère qu'il nous a payer pour le tuer ? Vous croyez vraiment qu'on va avaler ça ?
J'ai tourner ma tête vers ma grand-mère. J'étais au bord des larmes, je sais que oncle Louis est....bizarre mais pas à ce point, pas au point de faire du mal à son propre frère j'ai du mal à le croire. C'est impossible.
Moi : vous mentez !
Gars 4: tu ferais mieux de te calmer toi. Parce que cette fois, ta petite famille adorée elle n'est pas là pour te détendre. Tu sais où est ce diamant, ton père l'avait dit lui même.
Moi : je ne vois pas de quoi vous parlez, fichez nous la paix.
Le gars il m'a tenue le bras en me secouant hyper fort. J'ai commencé à me sentir mal, mais j'étais surtout en colère. Ces hommes, ces monstres ont avoué avoir tuer mon père. Je n'arrive pas à le croire, ils me dégoûtent tous, je les déteste. Ils doivent payer, et ils vont payer, ils ne me font pas peur.
Moi : de toute manière, même si je le savais je ne vous dirais rien. Vous êtes des porcs !
J'avais hurlée pratiquement.
Gars 5 : ferme ta Putin de gueule. Ou est le diamant ?
Moi : je n'en sais rien.
Abigail : laissez la tranquille.
Gars 1 : fermez la !
Moi : je vous jure que vous allez le payer, pour ce que vous avez fait, pour ce que vous avez fait à mon père.
Gars 4: il le méritait, ton père était un gros fils de pu te qui méritais juste de mourir abattue comme un chien. Louis au moins il était d'accord avec nous sur ce coup.
Je ne sais même pas ce qui m'a pris, mais je lui ai cracher en plein visage. J'ai tout de suite regretter quand j'ai senti le poids de sa grosse main se plaquer contre ma joue.
Gars 4: tu te souviens de moi, n'est-ce pas ? Tu sais de quoi je suis capable alors crois moi, tu devrais rester calme parce que ce qu'on a pu faire a ton père, rien ne nous empêche de te le faire à toi.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top