Part 117
Je descend les escaliers et je me rend dans la cuisine. Il y a Koko et Kylie. Je ne sais pas ce qu'elles me veulent, mais je n'ai pas trop envie de leur parler en ce moment. J'ai juste besoin de rester seul un moment, et de ne parler à personne. Mais par politesse, je vais le faire. Je leur fais la bise puis je m'assieds en face d'elle.
Kylie n'arrête pas de me regarder bizarrement, ça me met trop mal à l'aise. Je ne sais pas ce qu'elles me veulent en plus, mais elles sont bizarre.
Koko : ça va Kaylee ?
Moi : oui.
Maman n'est pas la, elle est aller à une interview ou un truc du genre. Et Kanye non plus n'est pas la, heureusement parce que je commence vraiment à en avoir marre de lui.
Kylie : en fait, on est venue pour te parler.
Tu m'étonne, tu crois que je ne le sais pas ?
Moi : je vous écoute.
En jouait avec mes doigts parce que je suis un peu stresser.
Koko : pourquoi est-ce que tu m'as menti ?
Moi : à propos de quoi ?
Koko : tu sais bien de quoi je parle...
Elle a raison, je le sais bien mais je n'ai pas envie d'en parler. Ma mère m'énerve, elle l'a dit à tout le monde. C'est pas ses affaires Putin.
Moi : si je t'avais dis que je voulais passer la nuit chez Jack tu aurais dis non.
Koko : ce n'est pas une raison Kaylee.
Moi : alors quoi ?
Kylie : mais qu'est-ce que t'as ? Pourquoi tu es énervée comme ça ?
Moi : je ne suis pas énervée.
Koko : je ne sais pas ce qui t'arrive en ce moment Kay, mais si tu veux qu'on t'aide il faut que tu nous le dise.
Moi : il ne m'arrive rien.
Koko : ton école ma téléphoner la dernière fois pour me dire que tu avais manqué la classe. Ils pensait que. Étais encore chez moi et que ta mère était en voyage alors ils m'ont appeler. Tu as eu de la chance, si c'était Kim qu'ils avaient eu au téléphone elle t'aurais...
Eh merde, je savais pas que l'école allait appeler. Mais heureusement qu'ils ont appeler Koko.
Koko : je leur ai dit que tu étais malade. Mais où tu étais ? Parce que le chauffeur a dit t'avoir déposer au lycée.
Moi : est-ce que vous m'espionner ? Je n'ai plus le droit de rien faire maintenant ?
Koko : tu as quinze ans. Tu ne peux pas faire ce que tu veux !
Moi : j'étais chez une amie.
Kylie : laquelle ?
Mais de quoi elle se mêle celle la ?
Moi : tu ne la connais pas.
Kylie : ta nouvelle amie ? La brune.
Moi : non, j'étais chez Kaia.
Kylie : tu ne sais même pas mentir.
Koko : Kaylee, est-ce qu'il se passe quelque chose dont tu veux nous parler ? Parce que tout ce que tu fais ça ne te ressemble pas. Tu n'as pas l'habitude de mentir, ou de tricher...tout ça c'est pas toi.
Moi : peut être que vous ne me connaissez pas.
Koko : oh que si, on te connais.
Moi : vous êtes venue pour me gronder, faite le vite que je remonte dans ma chambre. De toute manière votre soeur m'a déjà punit a vie...donc ça ne changera rien.
Koko : Kaylee, je veux bien être gentille avec toi mais je ne suis pas ton amie.
Moi : je n'ai jamais dis que tu étais mon amie.
Koko : alors tu vas changer de ton et me parler autrement. Je ne sais pas ce qu'il t'arrive, je ne te comprend plus. Mais sache que ce n'est pas le fait de coucher avec des garçons et de mentir à ton âge qui va changer quelque chose. Tu es jeune....je t'ai déjà raconter comment c'était pour moi, tu ne peux pas faire la même erreur.
Moi : ce n'était pas une erreur. Je ne suis pas comme vous, et je ne veux pas être comme vous, c'est ça le problème.
Kylie : je crois qu'elle a perdue la tête.
Moi : j'ai pas perdu la tête, je veux juste que vous me laissiez tranquille.
Kylie : bien, je vais partir parce qu'elle est sérieusement en train de m'énerver. Je je sais pas si elle fait sa crise d'adolescence mais elle me tape sur le système.
Moi : bah on est deux !
Koko : toi tu la fermes !
Elle m'a carrément hurler dessus.
Koko : ta mère est enceinte, et tu vois tu vas la stresser encore plus.
Moi : bah je suis contente pour elle, au moins elle aura un deuxième enfant parfait avec son mari et moi on me fiche la paix.
Koko : tu dis vraiment n'importe quoi.
Moi : c'est toujours moi qui dit n'importe quoi, et pas vous. Je commence vraiment à en avoir marre de cette famille.
J'étais énervé, mais mains se sont mise à trembler, ça veut dire que j'ai besoin de....de ma dose. Heureusement Tatyana est censée arriver bientôt.
Koko a regarder mes mains, Kylie a pris son sac et s'est lever.
Kylie : je m'en vais, je ne la supporte pas.
Koko : Kylie, reste.
Kylie : non...j'ai mes problèmes à moi. Je ne vais pas perdre mon temps à vouloir aider quelqu'un qui est têtue comme une mule.
Kylie est parti après que j'ai rouler des yeux. Je tapotais doucement mes mains sur mes genoux pour que je me calme. Khloé s'est approcher de moi et a mît sa main sur la mienne. Je faisais tout pour ne pas la regarder dans les yeux.
Koko : Kaylee....s'il te plait parle moi.
Ça se voyait qu'elle était triste, mais je ne vais rien lui dire, ce ne sont pas ses affaires.
Moi : je n'ai rien à te dire.
A ce même moment, on a sonner. Je me suis vite lever pour aller ouvrir et c'était Tatyana. Je lui ai fais un câlin, puis on est aller dans le salon.
Moi : mon amie est la, on doit réviser.
Koko : bien.
Elle est juste partie comme ça sans rien rajouter. La seule raison pour laquelle ma mère a permis que Tatyana vienne c'est parce que je lui ai dis qu'on avait un exposé à faire et comme je suis punie, elle devait venir à la maison.
En plus j'en ai marre que tout le monde veuille se mêler de ma vie comme si j'étais un extraterrestre, moi je ne me mêle pas de la leur alors qu'ils me lâchent.
Je prend le bras de Tatyana et on monte dans ma chambre que je ferme tout de suite à clés. Elle deposer ses affaires et sort un espèce de paquet du sien et me le temps.
Tatyana : il y a ce que tu as demandé là dedans.
Moi : merci.
Je regarde dans le paquet, il y a quelque petits pochon de poudre et un téléphone ainsi qu'un nouveau numéro. Je lui souris et la serre dans mes bras pour la remercier. Je vais ensuite dans mon dressing, et elle me suit.
J'ouvre un tiroir et je sors l'enveloppe pour lui donner l'argent. Heureusement que j'avais un peu d'argent de côté, mais c'est tout ce que j'ai.
Moi : il y a deux mille dollars, c'est ce que je te dois non ?
Tatyana : je t'ai dis que c'était pas grave pour le téléphone.
Moi : non mais tiens pour les deux, je te dois bien ça.
Tatyana : merci.
Moi : de rien.
J'ai sorti un petit pochon du paquet et le reste je l'ai ranger dans un des tiroirs. Je me suis assise par terre mais comme il y avait mon chien, je l'ai mis dehors pour ne pas qu'il vienne me gêner. Avec Tatyana on a fait des barres sur la table et on les as prise. Ça me fait du bien, j'étais déjà trop stresser tout à l'heure en plus, là ça m'a calmer directe.
Tatyana : c'est magnifique chez toi Kay, j'adore ta chambre, ton dressing, tout...
Moi : tu veux voir la salle de bain ?
Tatyana : oui, je veux bien.
Je lui prend la main et je l'amène dans ma salle de bain.
Tatyana : ouah, elle est magnifique.
Moi : merci babe.
Tatyana : c'est normal.
Je me suis retourner, elle m'a sourit et on est reparti dans ma chambre se mettre sur mon lit.
Tatyana : je voulais te demander....enfin te dire pour la dernière fois.
Moi : c'est pas grave, on est pas obliger d'en parler.
Tatyana : je t'ai embrasser, ce n'est pas rien.
Moi : c'est pas grave je te dis.
Tatyana : mais ça ne m'a pas déplu Kaylee. Je...je suis attirée par toi.
C'est vrai que la dernière fois elle m'a embrasser, et comme je ne savais pas comment réagir je lui ai rendu son baiser. Mais j'étais perdu, je ne savais pas quoi faire. Mais le truc c'est que ça ne m'a pas déplu non plus, c'est bizarre...
Moi : je ne sais pas quoi dire.
Tatyana : moi non plus. Depuis que je t'ai rencontré, c'est comment dire ? Bizarre.
Moi : je sais.
Tatyana : et en plus tu es avec Jack.
Jack. Oui.
Moi : c'est vrai.
Tatyana : mais ça ne me dérange pas. J'adore passer tu temps avec toi, on s'amuse tellement bien toutes les deux...au final, c'est juste un jeu non ?
Moi : peut être, je ne sais pas Tatyana.
Tatyana : qu'est-ce que tu dirais si moi je te disais que j'ai envie de t'embrasser à nouveau ?
Moi : je ne sais pas, je crois que je te laisserais faire.
Elle s'est approcher de moi et à poser ses mains sur ma nuque avant d'écraser ses lèvres contre les miennes.
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