Chapitre 23
[PDV Kirua]
Je rattrapas Ikarugo facilement, il se retrouva donc bloqué dans un cul de sac et devait me faire face.
Il se retourna. Il pleurait.
Je sentais une terrible colère monter en moi. Je voulais le détruire comme il m'avait détruit. Mais c'était juste de la colère, jamais je ne l'aurais voulut en temps normal. C'est ce que j'essayais de crois. Mais au fond je n'en étais pas sûre.
-Kirua... Je peux...
-TU PEUX QUOI ?! TU CROIS QUE JE VAIS TE PARDONNER ? TES EXCUSES BIDONS TU PEUX TE LES GARDER ! TU MÉRITERAI QUE JE TE...
Je m'arrêtais en me rendant compte que j'avais craquer. Ikarugo pleurait encore plus. Après m'être calmé, je ressentais l'envie de connaître ses raisons et entendre ses excuses alors qu'il y a une seconde je hurlais le contraire.
-Ikarugo... Pardon. Je-je... Je me suis emporté.
-Je te jure que j'avais de bonnes raisons, me dit le petit roux toujours en larmes.
-Je te promets de t'écouter mais je peux pas te promettre que je vais te pardonner.
(NDA : J'EN AI MARRE DE RECOMMENCER ALORS LA JE VAIS FAIRE UN RÉSUMER, BORDEL DE MERDE ! Explication : Mon ordi n'arrêtait pas de cracher et à chaque fois que j'étais sur le point de finir, ça cracher et je n'avait sauvegarder... Ahahahahahah... TvT Du coup à partir d'ici c'est ce que j'ai écrit plus de 4 fois mais en résumer, oui, c'était censé être plus long ! TvT)
Il m'expliqua que sa mère était malade. Il m'avait dit aussi que le père de Yuji, d'un des gamin de la classe, était le patron de son père et que ce dernier avait des dettes à rembourser au près de l'entreprise. Yuji savait que si il disait à son père qu'il n'était plus ami avec Ikarugo, le père "perdrait" patience et lui prendrait tout ses biens les plus chers ne savant même pas qu'il allait inconsciemment tuer une femme. Ikarugo avait décider de se sous-mettre pour le bien de sa mère.
Je lui pardonnas tout. C'est normal de tout faire pour éviter la mort de sa mère. Il me dit aussi qu'une semaine après le coup de la cantine, il déménagea dans cette ville et changea de collège car ici tout était moins cher. Sa mère fut soigner juste attends grâce aux dernière économies de son père et rentra dans son nouveau chez elle. Son père changea de vocation après avoir rembourser ce qu'il devait grâce aux aides de son oncle, pour être prof de français.
Gon arriva peu après et je lui expliqua qu'Ikarugo était ancien élève de la classe et qu'on était ami. Il ne comprenait pas ce que je lui disais puisque je lui avais dit que je n'avais jamais eus d'ami avant lui. Il s'énerva retenant qu'il avait participer à mon massacre social, Kurapika et les autres (excepter Biskette et Pâmu) arrivèrent et permirent à ce qu'Ikarugo puisse sans fuir en me faisant un signe de la main.
Une fois Ikarugo sauver de la colère de Gon, je me mis à sourire, rassuré.
J'avait put observer avec amusement puis avec peur sa terrible colère. Ça c'était passer lors d'une simple journée de cours, à la pose de 10 h. Gon n'avait pas arrêter d'ignorer les autres et ils en avaient conclu que c'était ma faute.
Alors quand Gon alla au toilettes et me laissa seul, ils en profitèrent pour m'attraper par derrière et me frapper jusqu'au sang. J'avais attraper le réflexe de ne plus réagir, à cause d'eux et mes tortures. Je prenais donc joyeusement tous les coups en plein dans mes entrailles. Jusqu'à ce que je me prenne un coups de pieds si fort que je crachais du sang, presque agonisant. C'est à ce moment là que Gon nous trouva. Quand je crachais du sang au bord de l'évanouissement. Gon péta un câble. Il devint sombre et quand Neon l'approcha, elle n'eut pas le temps de comprendre ce qu'il lui arriver qu'elle s'écrasa avec violence contre le mur en un cris épouvantable. Il lui avait attrapé le poignet et l'avait broyé d'une main avec une facilité effrayante pour quelqu'un de "normal". Il l'avait jeté contre le mur et elle s'était évanouit en retombant avec légèreté. Senta se précipita sur Gon et se fit bien reçut par un coup de poing dans le visage. Il était, de base, pas des plus beaux mais là il était vraiment repoussant.
Gon continua à le marteler de coups alors qu'il était au sol jusqu'à ce que Retzu et Sharnalk reviennent accompagner de profs qui tentèrent d'éloigner Gon.
Gon se fit maintenir difficilement par un prof et quand un autre tenta de m'approcher, il se défit de l'emprise de l'adulte pour venir me voir et me serra de toute ses force contre lui. J'étais abord de l'évanouissement, mais je réussis à dire le nom de Gon avant de m'abandonner dans ses bras.
Cet instant m'avait donner une leçon ; ne pas énerver Gon. Ce n'était pas une leçon pour moi mais pour TOUT les autres. Je savais que j'étais une exception. Peut-être la seule.
Je m'approchais de Gon assez près et lui pris discrètement la main, juste pour mon plaisir personnel. Je m'approchais de son oreille et lui chuchota :
"Je t'expliquerai."
Je pus apercevoir le visage rouge Gon, j'en étais très satisfait.
-Kirua, Gon, qu'est-ce qui c'est passer, demanda mon androgyne préféré.
-A rien, je devais réglé un truc et vous m'avez suivit, dis je un sourire rassurant. J'appréciais beaucoup le blond.
-Mais elles sont passé où les filles, demanda l'amoureux des chien enfin au moins un puisqu'il portait un chiot sans collier sur sa tête.
(-Knucle... Ce chien... Pourquoi, demandais-je.
-J'ai trouvé ce petit chiot abandonné en venant, dit-le bêta aux grands sourire.
-Ok... Je vois)
-Tiens c'est vrai, elles sont où, demanda l'ado au corps d'adulte.
-Biskette a dit qu'il ne fallait pas sent faire et est rester assise, répondit Shoot.
-Et Pâmu a dit que même si elle ne voudrait pas raté une chute de Kirua, elle préférait resté assise et ne pas se fatiguer pour rien, répondis mon peut-être beau-cousin. Bah un mariage avec mon Gon peut-être envisageable... Vous ne le voyez pas mais je souris.
On repartit donc tous ensemble vers la table de déjeuner, où on y trouva Biskette et Pâmu entrain de rire. D'un coter Biskette riait d'un air arrogant et moqueur une main devant la bouche, et de l'autre Pamu d'un petit rire qui arrivait quand même à paraître flippant. Elle riait de bon cœur comme de bonnes amies. C'est vrai qu'on y avait pas fait attention, mais elles avaient l'air de mieux s'entendre. Leur excursion privée avait dût les aider.
On s'essaya en tentant de ne pas montrer qu'on avait tous était surpris de leur rapprochement. Gon me força à manger et je n'avais jamais été aussi heureux de manger. Je sais qu'on avait l'air d'un couple marié puisque Leolio nous regardait l'air halluciné et Kurapika riait un peu gêné.
Gon et moi mariés... C'est plutôt précoce, mais l'idée ne me déplaît pas du tout.
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