Ceci est une traduction de blablabla et blablabla et je passe les détails.

Il est temps pour moi de vous conter mon histoire merdique. Je n'aime pas vraiment la partager avec les autres, mais... C'était l'hiver. École, maison, devoirs, sommeil ; école, maison, devoirs, sommeil. La même histoire tous les jours. Il faisait froid. Parfait. Juste comme j'aime.

"Maman, je vais à l'école", lui ai-je hurlé.

"Tu ne prends pas de petit-déjeuner avant ?" m'a-t-elle répondu.

J'ai juste fermé la porte derrière moi. Ma maman ne souciait pas de moi de toutes façons, et je m'en fichais. Mon papa est sortit en courant

"Tu ne dis pas au revoir à ton père ?"

Il a sourit, et j'ai souris en retour. Nous nous sommes étreints.

"Désolée papa. Au revoir."

J'ai ri sottement.

Il a souri et m"a embrassé sur le front. "Au revoir, Kathy. Fais attention à toi."

J'ai incliné la tête et me suis frayée un chemin pour l'école. Mon papa... on peut dire qu'il fait vraiment attention à moi. Je l'aime tellement. Il est ma seule raison de vivre. Je me suis rendue à mon école. Avant d'entrer dans l'école, je l'ai regardée. Quelle école merdique. Je la déteste. Pleine de démons, pleine de haine, pleine de Roger.

Roger était mon démon. Il me regardait de haut dès qu'il pouvait. Lui et ses "chiens" se moquaient de moi. Mais je m'en fichais.

J'ai soupiré et suis entrée dans l'école. J'était une fille seule à l'école. Je ne parlais à personne. Je ne le voulais pas. Je suis passée devant mes camarades de classe.

Ils me regardaient en chuchotant à mon passage. Je les ai juste ignorés.

"Oh, regarded, c'est la toxicomane, Kate la toxico !" "Hahahaha !" "Je parie qu'elle a été adoptée !" "Hahahahaha !"

J'écoutais leurs commentaires. Et ces rires... je me suis assise seule et j'ai baissé les yeux. Soudain, j'ai entendu la voix de Roger :

"-Oh, regardez ! C'est Kate la toxico ! Tu t'es montrée 2 fois ! Qu'est-ce-qu'il y a ? Tu as compris à quel point tu étais INUTILE !

-Ma grand-mère est morte, Roger..."

Je n'osais pas le regarder. Sinon, je fonderais en larmes.

"Aïe, c'est triste. Peut-être qu'elle a comprit que vous êtes toujours vivants !"

Ils ont commencé à rire de nouveau. Plutôt des aboiements. J'avais envie de leur casser la gueule. Mais je ne pouvais pas... J'ai regardé mes mains. J'ai eu le vertige. Je décidais de m'en aller.

Je me suis rapidement levée et me suis frayée un chemin, mais il a prit ma main.

"Où tu crois aller, yeux verts ?" Il a sourit diaboliquement.

"Laisse-moi partir !" Ai-je hurlé.

J'ai voulu partir, mais il ne me laissait pas.

Soudain, des voix commencèrent à murmurer dans sa tête: 'Frappe, le mal, tue, la VENGEANCE, LE MAL, TUE, LA VENGEANCE !'

J'ai fermé les yeux et BAM ! J'ai balancé mon poing dans le visage de Roger. Il a encaissé le coup en ignorant la douleur. J'ai mais mes mains devant ma bouche.

"Roger....je...." "Tu....es....CONDAMNÉE !"

Il a commencé à me frapper. J'ai haleté de douleur en le priant de s'arrêter, mais il n'entendit rien. Je pleurais et criais en espérant que ça s'arrête. Les gens ont commencés à se réunir autour de nous. Du sang, du sang partout. J'ai commencé à avoir le vertige. Je ne pouvait rien faire. J'ai arrêté de résister. Je me suis sentie faiblir. Je voyais tout noir.

Je me suis réveillée chez moi. Mon papa hurla en me voyant.

"Elle-elle est vivante !!! ELLE VA BIEN !!" A-t-il hurlé, heureux et m'a étreint.

"P-papa ? Que...Uh...que m'est-il arrivé ?"

J'ai ouvert mon oeil gauche, mais je n'ai pas réussis à ouvrir le droit.

"Auch !! Mon oeil !!"

"Um...chérie, ça..." Mon papa a baissé les yeux.

Je l'ai regardé avec horreur et ai jeté un oeil (sans mauvais jeu de mot) sur un miroir de poche, et j'ai vu.... Mon, oeil, il n'en restait plus qu'une grandes rayure... j'étais aveugle de mon oeil droit !!

J'ai baissé mon oeil valide, sous le choc. J'ai mis ma main sur ma tête. Ensuite, j'ai juste... ris. Sans raison !

J'ai regardé mon père. "Ça...ça va papa." Ça va. J'ai ri encore plus. Je ne pouvais plus m'arrêter. Mon papa me regardait.

Le lendemain était un samedi. Je décidais d'aller me promener. J'ai mis un T-shirt blanc et un short. J'ai mis des chaussettes et des chaussures bleus. J'ai saisi mon sweat violet et j'ai dis au revoir à ma mère.

C'était la nuit. Je parcourais les rues à pied. Je voulais dégager mon esprit. J'ai levé les yeux et ai réaliser que j'étais dans une rue étroite. Il n'y avait personne, pas même une voiture ou un chat.

J'ai alors entendu une voix derrière moi :

"Bien, bien bieeeeeeeeeen !"

Je reconnaîtrais cette voix entre mille. C'était Roger. Je lui ai fais face :

"-Qu'est-ce-que tu me veux ?

-Vengeance, Kath... la vengeance... à cause de toi, ils m'ont donné le '''Chariot rouge'''. Et maintenant, tu es condamnée, Kath.

Il m'a donné un coup de poing aussi fort qu'il l'a pu, et ses "chiens" se mirent à l'imiter. J'avais le vertige. Ils ont frappé ma tête. Je ne pouvais rien faire.

"Qu'est-ce-qu'il y a, Kathryn ? Tu veux saigner petite CHIENNE EMO ?"

Il m'a donné un coup de pied et je suis tombée sur la route. Tout à coup, BAM ! Une voiture m'a frappé. Je vis tout noir, et la dernière chose dont je me souvienne, c'était des cris perçants...

Je me suis réveillée dans un lit d'hôpital, haletante. J'ai regardé autour de moi. Une infirmière s'est approchée de moi.

"-Tu as beaucoup de chance d'être en vie. Ne t'inquiète pas, tu seras sortie dans 20 minutes.

-Merci."

Je suis allée à la salle de bain pour me regarder dans le miroir.

"Hé, n'y va pas ! Tu ne dois pas te voir... Chérie..." fit l'infirmière.

Je me suis vue dans le miroir. Ma peau était pâle comme la mort, mon sourcil droit avait disparu, et des ombres très sombres sont apparues en dessous de mes yeux...

J'ai reculé en criant. J'étais une toxico, comme tout le monde disait. Je ne pouvais pas y croire. En rentrant à la maison, j'ai vu ma mère pleurer.

Elle m'a regardé."TON PÈRE EST MORT À CAUSE DE TOI !" a-t-elle hurlé. "Il s'est tiré une balle parce qu'il t'a cru MORTE ! AH ! REGARDE-TOI ! TU AS L'AIR D'UNE TOXICO JUSTE PARCE QUE TU AS VOULU RÉSISTER À UN VOYOU ! REGARDE-TOI !"

Mon oeil s'est élargi quand je l'ai regardé. J'ai commencé à rire, aussi fort que je le pouvais. J'ai courut vers la cuisine, ai saisi un grand couteau et je l'ai tué. Du sang partout. J'ai regardé ma mère déchirée. "Tu...es...Condamnée."

Je suis devenue folle. Je le sais. Maintenant je suis une toxico. Hahaha... je sais qui je suis... Après avoir tué ma mère, je me suis sentie si forte, si puissante. Je commençais à tuer plus de personnes.

JE NE HAHAHA POUVAIS PLUS M'ARRÊTER !! Tout ce sang !! Il sent si bon !! Tous ces cris perçants... je voulais vengeance. Je voulais tuer Roger et ses chiens... et je le ferais gratuitement... Hahaha... Je suis arrivée chez lui... Il dormait.

Bon, il dormira pour toujours. Tenant mon couteau, je suis montée sur son lit et ai souris jusqu'aux oreilles. Il s'est réveillé. Il m'a vu et c'est mit à crier. Je lui ai souris et dis "Tu...es...Condamné."

J'ai commencé à le poignardé. Ah, son sang partout sur moi... j'ai déchiré chaque morceau de sa chair... j'ai ri et j'ai aussi tué ses parents.

Quelques personnes sont juste malchanceuses, mais ce n'était pas mon cas.

Maintenant, je ne suis pas malade. Je suis Killing Kate. Et vous... êtes... Condamné....