Chapitre 16.
P.D.V.de Kira.
Après avoir sauté dans le portail, et bien cela fait à peu près deux semaines qu'on est à Tokyo, j'ai pu trouver un travail, bon c'était au hasard, j'avais pour mission d'écrire un manga, c'est juste que l'auteur ne trouvait pas la façon dont il dessinait trop attirante, il voulait quelque chose de parfait pour les lecteurs, c'était par chance.
J'ai fait des recherches sur « Matoi », ce prénom était répété plusieurs fois par Ketsu lors de son sommeil.
En parlant de lui, il semble plus perdu, il ne se rappelle de rien.
Bon j'avais trouvé comme quoi, un blog qui parlait de choses extraordinaires. J'ai juste pris l'adresse de l'auteur, c'est une énorme résidence écrit dessus « Kyrui » je ne vois pas le rapport avec « Matoi » mais bon.
On m'a escorté jusqu'à un jardin et on m'a demandé d'attendre, je ne comprends pas pourquoi tant de méfiance, je vois arriver une jeune femme aux cheveux noir et un jeune homme bizarre, habiller comme un scientifique, à la chevelure blonde et porte des lunettes, je salut poliment, puis m'adresse au gars.
Moi : Je cherche Iori.
Lui : c'est moi, dans quoi puis-je vous aider.
Moi : Laissez les formalités de côté, je voudrais te parler en personne.
Je regarde bien-sûr la jeune femme, sa présence me dérange, c'est comme elle voulait me tuer, elle dégage aussi une aura de supériorité, ça me met mal à l'aise.
Elle : Parle si tu veux, rien ne se cache en ma présence.
Iori : Calme-toi, Satsuki, est-ce important qu'elle parte, dis-moi ce qui te dérange chez elle.
Moi : Et bien...
Satsuki : Insulte-moi par la même occasion.
Iori : S'il te plait Satsuki.
Il lui fait les yeux doux, elle se calme directe, je n'ai pas pu m'empêcher d'éclater de rire devant ce spectacle. Ils se tournent vers moi.
Iori et Satsuki : Quoi !!!
Moi : Je comprends mieux.
Iori et Satsuki : Hein !!
Moi : Ah que c'est mignon, vous êtes en couple n'est pas, la Satsuki est jalouse, et bien tu ne dois pas l'être.
Je m'approche d'elle et lui embrasse la joue.
Moi : Parce que je suis lesbienne, c'est Iori qui doit se sentir menacer.
La pauvre, elle s'éclipse en courant le visage rouge. Iori me regarde choqué.
Moi : Quoi ?
Iori : t'as réussi à intimider Satsuki, wow c'est un exploit.
Moi : Ça aurait été facile pour toi si tu n'étais pas aussi directe avec elle, tu devrais la regardais droit dans ses yeux, pas fuir son regard.
Iori : Et c'était quoi le problème avec elle.
Moi : Et... bien elle fait un peu peur.
Iori : Ah bat tu vois, ce n'est pas facile d'être aussi directe avec elle. Bon passons, tu me voulais quoi ?
Moi : Ah oui, tu connais un certain Matoi.
Iori : Matoi Ishin ?
Moi : Je ne sais pas moi....
Je lui raconte tout.
Iori : je comprends mieux donc Ketsu est comme une forme de vie qui représente Senketsu.
Moi : Senketsu.
Il me raconte tout.
Moi : Donc Matoi Ishin est mort, c'est le père de Satsuki et Ryuko, d'accord merci.
Iori : bon tient, mes coordonnés au cas où tu trouveras du nouveau, voudras d'aide ou Ketsu se rappelle de quelque chose, je pense que le mieux est de ne rien révéler à ce dernier.
Moi : Ah oui d'accord, je voudrais savoir avant de partir de qui des sœurs étaient proches de Ketsu.
Iori : Matoi Ryuko.
Moi : Et ou je peux la trouver.
Iori : Elle est au lycée rinne de Kanagawa, mais fait un nouveau départ, je veux dire laisse le destin prendre les choses en mains.
Moi : Je ne comprends pas trop.
Iori : Je veux dire, inscrivez-vous au lycée et laisser les choses se passer naturellement.
Moi : Donc je ne dois rien dire ni à Ketsu ni à Ryuko.
Iori : Oui, après on verra.
On se sépare et réfléchie un peu car je n'aime pas la suite, j'ai le sentiment que tout que tout tournera à la catastrophe.
P.D.V. d'Iori.
Je me ballade un peu dans le jardin et trouve Satsuki assise sur une balançoire, je me faufile derrière elle et l'enlace en mettant mon visage sur son coup et mes mains le long de son corps, elle fixe un point invisible droit devant et ne semble pas faire attention, à ma présence. Je lui caressais les cheveux, tout en posant quelques petits bisous au coup.
Satsuki : Alors, elle voulait quoi ?
Iori : Rien d'important, alors comme ça tu es jalouse.
Elle rougie.
Satsuki : Arrête.
Iori : Mais moi j'aime bien que tu défendes ta propriété.
Satsuki : Comme ça.
Elle prend mon visage entre ses mains et m'embrasse.
Iori : Comme ça, alors ça fait quoi d'attirer les lesbiennes.
Satsuki : arg, je ne sais même pas pourquoi j'ai accepté de sortir avec toi.
Iori : Moi-même je me demandais, je t'aime.
Elle me serre dans ses bras et calle son visage contre mon torse.
Puis relève son visage et me regarde en rougissant.
Satsuki : Moi aussi je t'aime. Alors ça fait quoi de voir que j'attire même les filles.
Je l'enlace, me remet comme j'étais à ma venue.
Iori : Ce n'est pas bon du tout, tu m'appartiens c'est clair.
Satsuki : Je sais, mais pas la peine de me tripoter.
Iori : Dsl, mais je ne peux pas arrêter ma main, c'est toi-là qui a tout se faut, je comprends mieux.
Satsuki : Enlève tes mains.
Iori : Non.
Satsuki : Je vais te les couper alors.
Iori : Tu ne peux pas.
Satsuki : Tu veux tester.
Iori : Garde ta violence pour ce soir ma chérie, car tu vas crier pour moi.
Satsuki : Dans tes rêves pervers.
Elle se dégage de moi et rentre à l'intérieur.
Iori : On verra bien qui cèdera de nous deux.
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