Hey vous allez bien ?

Vos vacances se passent bien ?

Oui, j'avoue j'ai mis beaucoup de temps à poster, mais ça c'est parce que j'attendais que la plupart de mes histoires soient fini. Et comme je n'aie qu'une d'active et que je suis en vacance, je me suis dis que je peux me permettre de gérer deux histoires maintenant. (on va essayer hein).

1 - N'hésitez pas à écouter les musiques suggérés

2 - S'il y a des fautes je corrigerai tous ça plus tard

3 - N'hésitez pas à commenter tout au long du chapitre

Bonne lecture ;)

__________

Quatre ans plus tard.

Juillet 2017.

16h55.

Lieu de destination : Angleterre ; Cardiff - Pensionnat pour garçons de Saint-Antonio.

Toc ! Toc ! Toc !

"Ton taxi est arrivé !" Comme à son habitude, Lucas, mon voisin de chambre, entre en trombe sans attendre le feu vert de ma part. 

"M-mmh... Un-une seconde !" J'exerce une pression sur ma valise, que je n'arrive pas à fermer, à l'aide de mon coude et me tourne vers lui. "Dis-lui de patienter, j'arrive !" Dis-je en pointant mon index au plafond.

"Ok." En me voyant me débattre avec ma valise, il hausse un sourcil. "Besoin d'aide ?" Questionne-t-il, j'agite négativement la tête.

"Non. Ça ira, merci." Il hausse ces épaules, nonchalant.

"Comme tu veux !" Chantonne-t-il.

Enfin !

J'ai réussi à fermer cette foutue valise.

Je la soulève sans effort et la pose parterre. Je tire la manette et la déplace près de l'entrée. Je récupère ma veste en jean et mon sac à dos sur mon lit, faisant rapidement le tour de ma chambre pour être sûr que je n'ai rien oublié. Avant de fermer mon placard, je fixe durant de longues secondes mon uniforme.

J'espère que c'est la dernière fois que je le vois.

Ma maison, ma famille et même Maritza me manques.

Les liens que j'ai créé avec les étudiants de cette école ne seront jamais aussi forts, qu'avec les personnes que je connais depuis le berceau à Holmes Chapel. Ce qui est tout à fait normal. Chez moi ? J'ai mes repères, mes frères, mes parents et la forêt.

Je peux sortir au beau milieu de la nuit et me transformer comme bon me semble. Je ne suis pas dans l'obligation de faire attention à tous. J'ai la possibilité d'inspirer à pleins poumons l'air pure, de savourer le chant des oiseaux et des cigales durant l'été.

Je peux tout simplement être moi.

Ce qui n'est pas le cas dans ce pensionnat.

"J'y vais Samuel !" Dorénavant prêt, je marche jusqu'à la porte de la salle de bains et toque à deux reprises dessus pour prévenir mon colocataire de mon départ. "Bonne vacance !"

"Toi aussi ! Et change-moi ce putain de parfum, tu pues le chacal !" Cria-t-il, je roule des yeux, amusé.

"Va te faire foutre !" Grondai-je pour ma seule défense.

Je sniffe mon t-shirt pour me délecter de mon délicieux parfum.

Pffft !

N'importe quoi !

Cet imbécile a aucun goût !

Je sens très bon.

Malheureusement pour moi...

Je peux l'entendre rire, même en me retrouvant au rez-de-chaussée du pensionnat.

Quel poisse !

Je me dirige jusqu'à la sortie de l'école où mon taxi m'attends. Le chauffeur place ma valise dans le coffre, tandis que je m'installe à l'arrière de la voiture. Je ne fais plus attention à rien, une fois que nous sommes partis.

Je fouille les poches de ma veste en jean, en entendant la sonnerie de mon téléphone, qui m'annonce que je viens de recevoir un message. J'esquisse un sourire en voyant le nom de mon frère aîné, Oliver, inscrit sur l'écran tactile.

J'ouvre le message.

De Oliver - 17h34 :
Devine qui a réussi à poser ces congés au même moment que tu débutes tes vacances ? ;)

Tiens ?

Lui, qui n'aime pas les emojis d'habitude, il s'est finalement décidé à en utiliser ?

De moi - 17h39 :
... TOI ?

De Oliver - 17h42 :
Gagné ;)) ! Alors ? Qui est le meilleur grand frère du monde ? Tu vas pouvoir me supporter H36 durant 3 semaines quel bonheeeeeeeur !

Je roule des yeux.

Traduction : "Tu vas pouvoir me servir de larbin durant trois et indéterminables semaines !"

Entre nous ?

J'adore mon frère, hein.

Mais qu'est-ce qu'il peut être feignant !

Oliver adore s'affaler durant des heures dans le canapé devant Netflix. Enfin, quand il n'a pas de rendez-vous 'romantique' avec une fille. Et quand on est 'le petit' de la famille, on subit les attaques des grands. Entre les tâches ménagères, la cuisine et le fait d'être à sa disposition à chaque fois qu'il a besoin de quelque chose...

Quel injustice !

De moi - 17h45 :
I D I O T !!!!

Même si Oliver est casse-pied, depuis qu'il a trouvé un travail à Bristol, je le vois peu. Ou plutôt, mes quatre autres frères et moi, nous le voyons peu. Et moi d'autant plus, depuis que je vis à Cardiff. Le temps manque et nos emplois du temps ne correspondent pas. Énormément fusionnel avec ma famille, la séparation a été dur les premières semaines.

D'après maman ?

M'envoyer dans ce pensionnat à environ trois heures et demi de Holmes Chapel est nécessaire. Je suis actuellement en âge, où débute la transition de l'enfance à l'état adulte. Même si la transition chez les loups commencent plus tôt, il s'accroître au fil des jours. Et n'ayant pas encore à cent pour cent le contrôle sur mon loup, le pire peut toujours arriver.

Ma mère a donc anticipée et m'a placé dans ce pensionnat.

Je suis ici depuis mes quatorze ans.

Le plus étrange dans tous ça...

C'est que j'ai été le seul des garçons qui a reçu ce 'traitement de faveur'.

Je ne lui ai jamais demandé pourquoi.

Parce qu'au fond de moi ?

Je connais la réponse.

"Merde ! Quel con ! Pourquoi je suis passé par-là ?" Entendis-je juré discrètement le chauffeur sous sa barbe. "On va devoir se taper les bouchons maintenant !" Il se racle légèrement la gorge. "Je suis désolé, monsieur, je n'aurais pas dû passer par-là. Tous ça c'est de la faute de ce pu..." Il se retient de jurer, reprenant son calme. "De ce GPS. J'espère que vous n'allez pas rater votre train..."

"Moi non plus." Soufflai-je, en glissant un écouteur à chaque oreille.

- à l'écoute - Vance Joy - Straight into your arms.

Je cale confortablement ma tête contre le dossier de ma chaise. Je lance ma playlist habituelle, pour éviter d'entendre les conducteurs klaxonnaient à tout vent, parce que la circulation ne bouge pas.

Progressivement, je ferme les yeux...

Et m'endors.

**

21h50.

Lieu destination : Angleterre ; Holmes Chapel - La rivière des Lotus.

- à l'écoute - Kids of 88 - Just a little bit.

"Youhooooou !"

Finalement ?

C'est mon train qui a eu un tout petit peu de retard. Mes frères sont venus me chercher à la gare et m'ont directement amené à la rivière des Lotus. Heureusement, que nous étions le soir et qu'il fait frais. J'ai bien cru que j'allais mourir asphyxié par la transpiration des autres voyageurs tout à l'heure.

Je sens, parfois, des brises fraiches m'écrasaient le visage, mais rien de bien méchant. Bien au contraire, mon loup et moi, sommes ravi par cette fraicheur. Je ne m'attendais pas à ce qu'ils m'amènent à une party, qu'ils ont organisés pour moi en plus. Même si je suis exténué par le voyage, je ne le démontre pas par respect.

"Cette party de bienvenue pour toi est démeeeente, Styles !" S'exclame joyeusement un de mes anciens camarades de classe, Thierry.

"Ravi que ça te plaise." Je pousse un petit rire.

Pour mon retour à Holmes Chapel, mes frères ont mis le paquet. Entre l'énorme feu de camp, le barbecue, la machine à barbe à papa, les boissons alcoolisés, la musique, les pétards et les jeux, je ne sais plus où donner de la tête.

Je sais qu'ils font ça pour se rattraper, car ils regrettent de ne pas avoir été présent à mon anniversaire cinq mois plus tôt. Même si je leur ai confirmé à plusieurs reprises que ce n'est pas grave, ils ne m'ont pas écoutés et m'ont quand même organisés quelque chose.

"Tes frères sont des dieux des organisations des party !" Ajoute-t-il, en tournant sur lui-même. Oh, et au fait ?!" Il lève une bouteille de bière vers ma direction. "Bienvenue chez toi !" Il me gratifie d'un clin d'oeil complice, que je lui retourne.

"Merci." Ma tête pivote en direction du bras qui vient d'entourer mon cou : Oliver.

Sa tête remue en synchronisation avec la musique. Je l'imite, ravi qu'il me porte de l'intérêt, sachant que la plupart de nos connaissances ont d'habitudes dieu que pour lui. Il me tend une bouteille de bière, que j'accepte par politesse. En réalité, je n'ai aimé jamais ce genre de boisson.

Les boissons gazeux en général, je n'aime pas.

Alors, la bière ?

Non, merci.

"Et ça reste entre nous." Pointa-t-il, s'assurant que je garde le silence auprès de mes parents. "Ça va ? Ta surprise ta plu ?" J'acquiesce, souriant.

"Ça va." Je bois une petite gorgée de ma bière, lorsque son regard s'est posé dessus.

"Profite bien." Me conseille-t-il en me tapant l'épaule. "C'est ta soirée, tu le mérites."

- à l'écoute - Mike Del Rio - Feel good !

Je fixe sa silhouette se diriger vers un groupe de filles, qu'il invite de ce pas à danser autour de l'énorme feu de camp. Je profite qu'il soit distrait pour jeter ma bouteille de bière pleine derrière un rocher. L'air innocent, je m'éloigne en effectuant promptement plusieurs pas, passant brièvement ma main contre ma nuque.

Je m'assois sur un tronc d'arbre, qu'est situé à plusieurs mètres du feu de camp. Les étudiants et les lycéens semblent énormément s'amuser. S'il y a bien une chose dont je ne suis plus habitué, c'est qu'ici, nous nous connaissons tous depuis le berceau. Nous avons aucun préjugé l'un de l'autre et savent à qui s'adresser en cas de besoin.

"Ça va ?" S'enquit une voix féminine que je ne reconnais pas.

D'ailleurs, la forte arôme d'alcool masque son odeur naturel. Je relève mon nez et tombe sur une paire d'orbes caramel. Dans un sourire colgate, la belle brune rejette ces boucles, parfaitement défini au fer, derrière ces épaules. Je fronce les sourcils et scrute avec insistance ces traits faciaux, essayant de me rappeler de qui il pouvait bien s'agir.

Je n'ai pas le moindre souvenir d'elle.

- à l'écoute - Duran Duran - Hungry like the wolf.

"Tu t'amuses ?" Me questionne-t-elle.

"Pas toi ?" Répondis-je par une autre question, elle s'esclaffe.

"Alice." Se présente-t-elle, en me tendant fermement sa main.

"Harry." Je l'imite, serrant sa frêle main d'une poignée.

"Je trouve ça chiant que les Styles ont invités ces petits merdeux de lycéen." Elle se plaint, s'installant à mes côtés.

Ah ?

Il semblerait qu'elle ne soit pas au courant que je suis un Styles.

Et un lycéen.

- à l'écoute - The Limousines & Tommie Sunshine - Internet killed the video star.

"J'ai l'impression de t'avoir déjà vue..." Elle laisse volontairement sa phrase en suspend.

"Tu crois ?" Elle hoche la tête.

"Oui !" Affirme-t-il avec conviction. "Ta tête me dis quelque chose !" Elle rit, je recule discrètement plus loin mon visage.

Son odeur empeste.

Bordel, ce que je hais l'alcool !

"Tu travailles ?" Je hausse mes épaules.

"Il faut que je vois si l'épicerie Bender's prend des étudiants cette été." Ses lèvres s'entrouvrent en 'o'.

"Oh. Et tu as quel âge ?"

"Dix-sept ans." Ses yeux s'arrondissent de choc, elle manque de s'étouffer avec sa boisson.

"Oulaaa." Elle se lève précipitamment de son emplacement. "J-je... Dé-désolée ! Il faut que j'aille quelque part." Elle n'attends pas ma réponse et me fuit.

"Si tu voulais conclure, petit frère !" Ma tête pivote vers mon frère, Jorah. "Ce n'est pas comme ça qu'il fallait s'y prendre !" Se moque-t-il.

- à l'écoute - Deadmau5 - Ghosts N Stuff.

Comme je l'ai précédemment annoncé, nous étions cinq garçons :

Oliver est l'aîné de la famille. Travaillant depuis bientôt deux ans à Bristol, en tant que pâtissier dans un restaurant gastronomique à trois étoiles, il essaie du mieux qu'il peut de revenir à Holmes Chapel.

Jorah arrive juste après. Il rentre en cinquième année de faculté d'histoire, en septembre à Birmingham. Contrairement à Oliver et moi, il a la possibilité de revenir tous les week-end à la maison, sachant qu'il n'a qu'une heure et demi de train.

Puis, j'arrive juste après eux.

Et après moi, arrive les jumeaux Tyrion et Tyler, qui vont faire leur rentrée cette automne, en grande section de maternelle. 

Comme le temps passe vite...

J'ai l'impression d'être rentré en pension hier.

"Elle ne m'intéresse pas." Marmonnai-je sous ma barbe. "Mon odorat n'a même pas réussi à capter son odeur." 

"Ça c'est parce que tu ne t'ai pas assez focalisé." Il prend la place d'Alice à mes côtés.

"C'est la musique." Accusai-je, en désignant l'enceinte d'un mouvement de la tête. "Elle me déconcentre."

"N'importe quoi !" Ricane-t-il en se levant.

"Où tu vas ?" Il sourit, ébouriffant mes cheveux. "Hé !" Je lui tape la main pour le chasser.

"La changer." Annonce-t-il, comme si ce fut la chose la plus évidente au monde.

Je re-discipline correctement mes boucles bruns et suit bêtement la silhouette de mon grand frère, qui marche jusqu'à l'enceinte. Il saisit un téléphone qui se trouve à proximité et le déconnecte carrément du bluetooth pour mettre le sien à sa place. Je passe désespérément ma main contre mon front, mi-embarrassé, lorsqu'il répond par son majeur les hues des étudiants.

"C'est pas vrai." Je soupire longuement, avant de reporter mon attention sur lui.

Parfois,

J'ai l'impression d'être l'aîné des cinq.

Le changement de musique est interrompu par sa discussion avec une fille. Les gens s'impatientent, mais forcément il s'en fiche. Je fronce le bout de mon nez et me met distraitement à jouer avec une pierre.

La jeune fille et lui semblent être complice, Jorah finit même par éclater de rire. Quant à cette dernière ? Elle est de dos, je ne peux donc pas savoir de qui il s'agit. Certes, je peux utiliser mon odorat pour connaître son identité, sauf que je ne vois pas l'utilité de le faire.

D'ici, je peux constater que sa corpulence n'est ni trop imposante et ni trop fine. Elle est petite. Elle doit faire au moins deux têtes de moins que mon frère. Sa robe d'été jaune pastel, flatte ces courbes féminin. Une brise fait légèrement flotté le volet, ainsi que ces ondulations châtains.

Et vous savez quel a été mon erreur ?

C'est d'avoir inspiré une bouffée d'air frais en même temps.

- à l'écoute - Ed Sheeran & The Weeknd - Dark times.

Une odeur de pêche vient agréablement inonder mes poumons. Il est tellement prenant, qu'il a réussi à éclipser les autres arômes. Mon loup me pousse à clore à demi mes paupières, à faire confiance à mon instinct animal, en allant à la rencontre de cette personne. Il est excité, s'agite de partout. Ma tête se redresse instantanément en piquet, incapable de lutter.

Je prends une nouvelle bouffée d'air frais.

Mon état actuel est indescriptible.

Je me rends compte en me levant du tronc d'arbre, que mes jambes sont devenues légères, qu'elles me donnent l'impression de flotter dans les airs, au fur et à mesure que je m'approche. Je bataille contre mon envie irrésistible d'être à l'aise, en exposant aux yeux de tous, mes oreilles, mes pattes et ma queue de loup.

Ce parfum...

Il me replonge en enfance.

Il est fort, frais et sucré à la fois.

Mais, il reste cependant doux, sans provoquer un mal de tête.

Je ne remarque pas que Jorah a changé la musique, comme il me l'a promit quelques minutes plus tôt. Non, je continue d'avancer. Je marche maladroitement vers la 'piste de danse', heurte quelques danseurs, qui m'alertent dans un juron mon manque d'inattention. 

Je m'en fiche.

Sachez que je les emmerdes profondément.

Arrivé à la source, ma tête se penche en avant. Mes paupières se clos totalement, une fois que mon nez se presse contre une épaule nue. Elle est fine et chaude, ce qui m'indique clairement que la carrure doit appartenir à une femme.

Je la sniffe à de nombreuses reprises, promenant le bout de mon nez le long, pour être sûre qu'il s'agit de la bonne personne. Ses cheveux sont doux, me chatouille le visage, comme si on s'amuse à me le caresser avec une plume.

"Mmmh." Mon nez dévie sur son omoplate. 

"... Harry !" 

Ah ?

Je crois qu'on est en train de m'appeler...

Sauf que je n'entends rien,

Et qu'il est trop tard pour me raisonner.

Mon objectif passe avant tout.

Mes petites lèvres s'entrouvrent progressivement, en même temps que mes canines font leur apparition. Le coeur battant, je m'approche de sa nuque. Mais avant que je ne puisse l'atteindre, mon corps est brutalement repoussé.

L'individu x m'oblige à lui faire volte-face.

Il me maintient fermement la nuque, ce qui lui permet de planter en toute discrétion ces griffes contre ma peau. Mon minois se tord en une grimace, suite à la petite douleur. Mes paupières s'entrouvrent brusquement, ébahi de me retrouver face à Oliver.

Cet électrochoc m'a expulsé de mon état de transe.

"C'est de sa faute ! Elle n'a qu'à pas sentir la pêche !" Accusai-je lâchement, la voix cassante.

Parce que, forcément...

Il a fallu qu'elle sente la même odeur que mon fruit préféré !

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Je sais que le commencement est totalement cliché, mais je pense que je vais me pencher dans le genre romantisme (wattpad manque de romantisme les histoires de badboy nous envahis trop) donc c'est normal si vous trouverez des scènes qui vous donneront envie de vomir, mais soyez sûre que je vais en mettre le minimum !

Sur ceux, n'hésitez pas à me faire part de vos retours et à faire partager l'histoire ;)

Pleins de bisous, Alexia. ♥

Ps : Comment trouvez-vous la nouvelle couverture ? Vous préférez celle-là ou l'ancienne ?