P.D.V.de Roy.

???? : Maitre Roy, on a su que vous aviez des problèmes.

Moi : Tsukiyo emmène la chez tante Alexandra, elle saura comment la soigner.

Lui : Ma mère le voudra bien mais est-ce que je t'envoie des renforts.

Moi : Laisse-les dans l'ombre pour l'instant, emmène avec toi trois d'entre eux pour plus de précautions.

Lui : Vous n'allez pas nous rejoindre aux ténèbres.

Moi : Non, je dois régler quelques trucs.

Lui : Je te la rapporte dès sa guérison. Au faite heureux de vous revoir.

Moi : De même, tu peux me créer un portail direct l'hôtel.

Lui : A vos ordres.

Ellipse de trois jours.

Je fouillais toujours le contenu des caméras de surveillance du parking, cela fait trente fois que je le regarde sans résultat, je laisse échapper un soupire de désespoir puis ferme mon pc. Je comprends soudain qu'une photo s'est reproduite plusieurs fois en boucle comme si rien n'a changé, je me suis rendu compte que ça fait 12 heures de tournures et il n'y a aucune voiture qui rentre ou qui sort. Oh les vampires vous m'énervaient, que des lâches.

Tsukiyo qui apparut soudainement avec Lerza dans ses bras. Elle avait un angélique sourire, elle dormait toujours, je décale tous les affaires sur le lit puis il y dépose Lerza.

Tsukiyo : Je l'ai à l'œil ne vous inquiétez pas.

Puis il disparut avant même que je prononce quoi que ce soit. Je m'avance vers ma petite protéger, elle dormait paisiblement comme si elle avait passé ses derniers jours normalement. Je la dépose sur le lit et laisse une bouteille d'eau sur la commode puis m'allonge à côté d'elle, je regarde le plafond. Oh Lerza si je t'ai perdu je ne saurais ou me mettre, je ne suis qu'un PD car j'essaye de te protéger mais à chaque fois je n'y arrive pas. Si je ne t'ai pas rencontré tu ne souffriras pas à ce point. Que suis-je égoïste, je l'ai laissé ça serait comme l'offrir aux vampires, l'abandonnait.....

Je me laisse bercer par sa respiration calme.

...

P.D.V.de Lerza.

J'ouvre mes yeux, je suis sur un lit avec cette boue mignonne qui ronfle après de moi, je prends la bouteille et la vide, je regarde le visage de Roy qui est remplie de cernes, je me recouche pour ne pas le réveiller car il a besoin de sommeille, je m'allonge sur lui, je mets ma tête sur son torse puis m'endors.

Le lendemain, je ses deux bras me tenir fortement, j'ouvre les yeux relèves la tête puis le regarde. Il m'a manqué, ses yeux gris mélanger a une étincelle de vert, son petit nez bien droit, ses sourcils joints bien dessiner et ses lèvres généreuses d'un rouge sang sécher. Je lui tiens le visage par mes deux mains et lui embrasse toutes les parties de celui-ci.

Roy : Hey et la bouche alors ?

Moi : Pas envie.

Lui : T'es sur.

Il change notre position, il est cette fois sur moi, j'étais sa prisonnière. Il se rapproche de moi puis me mord ma joue droite.

Moi : Hey mais t'es fou.

Lui : Bah demande-le à toi.

Je ne sais pas ce qu'il insinue, il ne me laisse pas le temps de réfléchir qu'il me mord ma lèvre inferieur jusqu'à ce qu'elle saigne. Il ne me laisse pas répliquer car il m'embrasse le cou.

Lui : C'est pour avoir refusé de m'embrasser là où il faut.

Il s'approche de mon oreille puis me chuchote d'un ton sexy.

Lui : C'est à cause de toi si je suis fou.

Mon cœur saute, je me sens chaude, le sang s'est regrouper dans mes joues, je le sens sourire de l'effet qu'il me fait. Je frisonne quand il passe un coup de langue sur mon cou.

Lui : Tu ne sais pas l'effet que tu me fais et j'aime trop, tu me manque...

Moi : Je te manque déjà...

Lui : Genre même quand tu es prêt de moi tu me manque.

Je l'embrasse, notre baiser est sauvage plus que jamais, il met ses mains sur mes cuisses pour me relever, j'enroule mes jambes autour de lui et passe mes mains dans ses cheveux en bataille. Ça devenait chaud et le plaisir montait. Je lui retire son t-shirt après avoir mis fin au baiser.

Il avait une cicatrice, ça m'a fait un pincement au cœur.

Moi : Bb Je suis désolé.

Lui : Ne tkt pas, ça va disparaitre dans une semaine mais vois-tu ça me rends encore plus désirant, alors profite.

Moi : Idiot.

Je commence à lui donner de petit bisous sur sa cicatrice, je le sens frissonner jusqu'à ne plus retenir ses gémissements et là je sens sa chose se lever, vous savez de quoi je parle.

Moi : Dis donc putain t'es exciter à ce point, on n'a même pas passé aux choses sérieuses je dois m'occuper de toi maintenant.

Lui : Non c'est moi qui prend les choses en main cette fois.

Il me plaque sur le lit puis retire mon haut, il me fait plusieurs suçon et je ne pus étouffer mes gémissement que grâce a l'oreiller. Il retire mon soutien-gorge puis il me masse un alors qu'il suce le teton de l'autre, j'eu mon premier orgasme.... Bah vous savez la suite pas la peine de faire un dessin ou plutôt un discours.