Ellipse de deux semaines.

P.D.v.de Lerza.

Je me réveille comme d’habitude dans les bras de Roy. Ces dernières semaines s’étaient passés en une parfaite harmonie, il y avait pas disputes et Roy était toujours présent quand je revenais de l’université, ça me fait plaisir qu’il est fidèle à sa promesse.

Apres quelques minutes, il se réveille.

Roy : Hey tu es resté combien de temps à me regarder.

Lerza : Quoi ça te pose un problème !!!

Roy : Non.

Je me lève et prend un bon bain puis enfile des fringues. Je rejoins Roy qui était lui aussi habillé mais trop même, il a mis son parfum comme si il allait se marier.

Lerza : Genre tu vas où.

Roy : J’ai un rendez-vous.

Lerza : Une meuf ? « je faisais une de cette tête ».

Roy : Haha si j’avais un miroir tu serais morte de rire en voyant ton visage, toujours aussi jalouse à ce que je vois.

Lerza : Non je ne suis pas jalouse, je ne veux pas te perdre c’est tout.

Roy : Dans tous les cas je t’ai cramé, t’es jaloux.

Lerza : Grrr. «  grognais-je agacé de son comportement ».

Roy : Prepare tes bagages.

Lerza : Quoi monsieur me vire déjà de chez lui, je vois bien que tu en as marre de moi.

Roy : Mais tu as une imagination de gamine, je t’avais déjà dit qu’on allait avoir des vacances.

Lerza : Ah je vois, mais il reste une semaine avant les vacances du premier semestre.

Roy : Oui mais rater des cours ça ne te fera rien, enfin je pense. Si tu veux je vais annuler.

Lerza : Non c’est bon, alors on va où ?

Roy : Surprise, mais dépêche-toi, sinon on va rater l’enregistrement.

Ellipse du voyage.

Je vais faire court, on a pris le bateau jusqu’à Miami, puis l’avion jusqu’à Californie, je croyais que c’était destination mais on a encore pris le train, lorsque je vois l’affiche de la gare, je ne crois pas mes yeux, on est à Las Vegas mais il est fou, cette ville est remplie de gang et de mafia.

Roy : Oui je sais à quoi tu penses mais ne tqt pas.

Une limousine nous prend jusqu’à l’hôtel puis on descend, on prend nos bagages, je vois bien que monsieur à tout préparer, on se dirige vers l’accueil.

Un employé : Bienvenue M.Blakero, je vais vous emmenez à votre suite royale comme à chaque année.

Ce Roy je vais le tuer, genre c’est lui qui m’a tuer je me sens déjà en train de perdre connaissance. Puis je n’aime pas ce genre d’endroit remplie de meuf à leurs papa, j’aurais préféré quelque chose de simple mais bon on fait avec ce qu’on a.

….

Dès que je vis le lit je m’écroule ; ah que c’est confortable, la flemme de me changer, Roy m’entoure de ses bras pile ce qu’il me fallait avant de m’endormir.

Le lendemain.
Je me réveille, je ne sens pas Roy près de moi, je touche à cote je vois que sa place est froide, je me lève et je vérifie la salle de bain, non pas trace de Roy, je me dirige vers le hall quand je vois un homme avec un sabre qui tient Roy à genoux, qui était amocher et a moitie conscient.

Lerza : Roy… « les larmes me tombent de mes yeux ».

Roy : Va-t’en cour prend soin de toi, je veillerais sur toi de la haut, je t’ai…

Il n’a même pas fini sa phrase que l’inconnu lui coupe la tête avec son sabre, puis il disparut.

Lerza : Non Roy non.

C’est fini pour Roy, Lerza. C’est fini pour Lerza.

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Je me réveille en sursaut, je fus rassurer de voir Roy près de moi, il se retourne vers moi et je ne pus m’empêcher de lui embrasser chaque recoin de son visage, sans le vouloir les larmes me coulent sur le visage. Je me détache de lui et il me serre contre lui en me caressant les cheveux, chose qui me calme un peu.

Roy : Qu’est-ce que tu as bb.

Juste m’en souvenir fait augmenter mes larmes.

Roy : Shut quand tu seras prête raconte-moi.

Il m’embrasse le front puis efface mes larmes. Je regarde à travers la fenêtre et je vois qu’il fait nuit, et bah dormir c’est comme si on était des ours.

Roy : Alors tu veux faire quoi.

Lerza : Je veux bien manger.

Roy : Tu penses qu’à ton ventre, allez viens.

Lerza : Attend il faut que je me baigne et me change.

Roy : Prend ton temps sinon tu vas crever de faim.

Lerza : Tkt mdrr.

…

On s’est installer, on a commandé, et j’ai mangé comme si j’ai jamais vu de bouf, Roy ne fait que se moquer de moi mais il l’a ferme a chaque fois qu’il voit mon regard noir, on discute un peu quand y a une fille on dirait une lécheuse de b***, habiller d’une robe noir moulante qui laissait apparaitre presque ses tetons se diriger vers nous, elle essaye d’embrasser Roy mais il l’a repoussé.

??? : Roy tu ne viens plus.

Roy : Laisse-nous tranquille Rose.

Rose non mais qui pique avec ses épines oui je confirme.

Lerza : Je vais au toilette, je reviens.
J’ai déjà les nerfs bah vaut mieux que je ne fasse pas un crime, je me rince le visage. J’allais sortir mais cette Rose se place devant moi.

Rose : Je vois bien que tu m’as remplacé.

Lerza : Haha, de quoi tu parles.

Rose : Comprend le comme tu veux mais je peux te dire que c’est un dieu de sexe.

Lerza : Tu veux dire…

Rose : Oui « sourire hypocrite ».

Je bouille à l’intérieur, je sais que ce n’est pas vrai, je sais que Roy ne m’aurait pas mentit en disant qu’il était vierge. Elle sort avec son sourire.
Je ne sais pas ce qui se passe mais je me sens chaude, j’envoie un message à Roy pour me rejoindre. Je le vois arriver inquiet.

Lerza : Roy aidez-moi, cette fille m’a dit des choses comme tu étais bon au lit, je sais qu’elle ment mais une partie en moi la croit.

Roy : Tu es jalouse, oh non, bon calme toi.

J’essaye mais c’est vraiment douloureux.

Lerza : Roy qu’est ce qui m’arrive. « crachais-je paniqué ».

Roy : Je te l’avais déjà dit, tu ne peux pas pour l’instant contrôler tes sentiments.

Lerza : Ça fait mal.

Roy : Regarde-moi.

Il essaye de me m’attraper la main mais il retire la sienne, il la fit tourner de haut en bas.

Roy : Putain ça brule.

Lerza : Ne me touche pas, je ne veux pas que t’ai mal à cause de moi.

Roy : D’accord mais regarde-moi et compte jusqu’à trois trois. Un, Deux, Trois.

Lerza : Un, Deux trois. « je le regarde droit dans ses yeux ».

Roy : Répète..

Lerza : Un, deux trois.

Je me sens moins chaude, mais ça ne va pas du tout, Roy s’approche de moi puis m’embrasse, ça y est, c’est fini. Il y a un gout bizarre dans ce baiser. Je le regarde et je le voie saigner de la lèvre inferieur.

Lerza : Roy ta lèvre s’est ouverte, dsl.

Roy : Ce n’est rien, bon on rentre.

Je marche mais je perds l’équilibre et comme d’habitude je me retrouve dans les bras de Roy.

Roy : C’est méchant de laisser une jolie fille s’écraser le visage.

Lerza : T’es trop con.

Roy : Mais tu m’aime.

Il me porte façon princesse et je m’endorme direct dans ses bras.