PDV Oralie

Elle avait mal. Elle était seule.
Elle était dans un coin sombre sans rien.

-Oralie ? Appela une voix.

La jeune femme savait se qu'il lui arrivé. Mais, elle ne voulait pas revenir et faire souffrir encore plus de personne.

-Oralie, c'est Sophie. Dit la voix.

Oralie ne répondit pas. Elle ne voulait pas revenir.

-Oralie s'il vous plaît on a besoin de vous ! La conseillère Velia va mal à cause de votre état c'est sa que vous voulez ?

Une image de Velia en pleurs dans les bras de Zarina apparut dans l'esprit d'Oralie.
Elle ne voulait pas que son amie souffre à cause d'elle. Mais elle ne voulait plus faire souffrir Sophie. Ni que quelqu'un meurt à cause d'elle.
Les pensées de l'empathe se brisèrent encore plus que ce qu'elles l'étaient déjà.

-Oralie kenric sera mort pour rien si vous ne revenez pas c'est sa que vous voulez ?

Non.

-Velia pourrait se brisé parce qu'elle pense que c'est sa faute et qu'elle n'a pas pu vous protéger c'est sa que vous voulez ?

Non !

-Et moi j'essaye de tourner la page mais je ne pourrais jamais essayé de récré un lien avec vous malgré votre mensonge si vous restez dans cet état c'est sa que vous voulez ?!

NON !

L'empathe senti une chaleur apaisante l'entourer. Elle se sentait bien. Il y avait tellement plein de bonnes émotion.
Des images de kenric apparurent, ainsi que des images de Velia et de Sophie.

Elle ne pouvait pas les laissé comme sa tout les deux. Mais et si elle faisait du mal à quelqu'un encore ?

-Oralie vois devez au moin vous donnez une autre chance !

Elle ne voulait plus faire de mal.

-Oralie, Oralie, ORALIE !

Mais si elle avait raison ?

-Maman !

Ce mot provoqua quelque chose en Oralie.
Elle devait revenir. Elle essaya de toute ces forces de revenir et d'un coup, tout ses souvenirs revint, lui donnant un affreux mal de tête.

Mais une chose était sûr.

Elle était de retour.

Elle se réveilla péniblement, et du cligner plusieurs fois des yeux pour s'habituer à la lumière.

-Où suis-je ? Demanda-t-elle.

-Chez vous, dans votre chambre. Répondit une voix.

-Avalez ce si. Dit une autre.

Quelque chose de froid rencontra ses lèvres et un liquide se versa dans sa gorge. Elle l'avala sans discuté.
Elle se redressa et regarda tout autour d'elle.
Il y avait le Conseil au complet, Elwin, et Sophie.

-Tout va bien ? Lui demanda cette dernière.

-Oui. Merci. Répondit Oralie avec un sourire à Sophie.

Elle lui rendit son sourire. Oralie pouvait ressentie toute l'inquiétude émanant de chaque personne de la pièce.

-Desolé. Dit-elle en baissant la tête.

Elle senti quelqu'un l'enlacer.

-Ce n'est pas grave, l'important c'est que tu aille bien.

Velia.

-Merci. Répondit l'empathe.
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Après cet incident, tout le monde c'était assuré qu'Oralie aille mieux. Ils étaient tous partie.
Elle était maintenant seule dans son salon.

Quelqu'un toqua à la porte.
Sans réfléchir, la blonde partie ouvrir.
Elle tomba nez à nez avec une personne en noir.
Elle hurla immédiatement. Elle rentra, la personne sur ses talons. Elle regarda autour d'elle.
Pas d'issue.

Étrangement, elle n'attendait plus personne lui courir après.
Elle se retourna prudemment, et trouva son agresseur au sol, assommer.
Le Conseil au complet était là, et Fitz tenait une barre en métal par télékinésie.

-Tout va bien Oralie ? Lui demanda le brun en s'approchant d'elle.

-Oui. Merci. Dit elle avec un sourire.

La brigade Intrépide avait été prévenu. Elle était arrivé en quelque seconde. Le prisonnier avait été attaché et sa capuche rabattu.
C'était un homme au cheveux noir et à la peau pâle.

-Ameíotos. Dit Sophie.

-Comment sa " Ameíotos " ? Demanda le conseiller Bronte.

-C'est l'une des seules information que j'ai réussi à trouvé dans son esprit. Cela veux dire " les irréductibles " en grec. Expliqua la blonde.

-Je voie. Dit le conseiller Terik.

-C'est étrange tout de même. Dit Oralie.

-Quoi donc ? Demanda Liora.

-Le faite qu'il soit seule pour essayer de me kidnappé sachant qu'il est dans la capitale elfique. La dernière fois, il y avait plus de personne. Expliqua la conseillère.

-En effet, c'est étrange. Admit Nolan.

-Mais pourquoi envoyé quelqu'un seul comme ça ? Demanda Sophie.

-Je n'en sais rien. Admit Fitz.

-Ameíotos. Répéta Oralie.