Pov normal

Cela faisait une semaine que Raïlya avait donné naissance à sa fille qui portait le nom de Kaïrya Nyx. Une semaine qu'elle se trouvait à l'hôpital en attendant de pouvoir rentrer chez elle ou d'avoir une visite de son mari Sharrus Kierk. Les deux parents n'étaient pas mariés, pas encore; à chaque fois Sharrus avait un voyage d'affaires.

Cela ne gênait pas la jeune mère car ou moins, Kaïrya portait son nom de famille qu'elle préférait largement.
Elle s'occupait en grande partie de sa fille qui était vraiment un bébé sage; les infirmières hallucinant de ne pas entendre énormément ses pleurs, craignant au bout d'un moment qu'elle avait un soucis et lui fit faire des tests mais tout allait bien.

Tout se passée pour le mieux.

Pov Kaïrya

Cela fait une semaine que je respire l'air extérieur, hors de la poche de ma mère qui ma portée pendant de long mois. 1 semaines que j'observe autant que je peux mon environnement. Bien sûr, les mots que vous lisez, je ne les comprends pas moi-même mais c'est juste mon ressentit.

Même le temps est pour moi quelque chose de superflue, les odeurs que je respires sont mélangées et ne représente pour moi que des sensations, aucune vrai information. La seule information plaisante que je reçois c'est quand ma mère me prends dans ses bras pour me bercer ou me nourrir.

J'adore sa chaleur, sa couleur, son visage quand elle vient embrasser mes partie du corps à côté de ce qui me sers à balbutier des sons en tout genre. J'aime lui attraper ses appendices au bout des parties de son corps qui lui sers pour me porter.

Je ne comprends pas quand d'autres ressemblant à ma mère viennent me toucher, me bouger, cela m'incomforte au plus haut point et je pousse alors des bruits en bougeant ce qu'ils appellent des pieds.

La lumière qui illumine la pièce me fait mal aux yeux mais en même temps me permet d'observer ma mère a coté de moi.

J'entends beaucoup de bruit autour de moi tout aussi insupportable, sauf la voix de ma mère si relaxant, si apaisant.

Cela commence à m'endormir, j'entends le bruit qui se baisse tandis que la voix de ma mère me parvient a mes orifices audio, puis la lumière éblouissante finit par partir, tout est noir maintenant.

Je finis enfin par dormir.

Pov normal

La nuit commença à se pointer et Raïlya commenca doucement à bercer Kaïrya dans son berceau afin de l'endormir malgré les bruit autour qui s'était seulement atténué.

Elle eut un sourire quand elle vit qu'une fois de plus sa fille s'endormit aussi rapidement que les premières fois.

Une infirmière entra pour vérifier que tout allait bien.

"Bonsoir Madame Nyx" commença t elle en chuchotant afin de ne pas perturber la petite qui dormait "comment ça était cette journée ?"

"Bonsoir, long... j'ai hâte de retourner chez-moi avec Kaïrya..."

"Je comprends, demain vous allez voir un médecin qui va voir si tout va bien et vous verrez avec lui quand vous pourrez sortir"

"Je vous remercie"

"Il n'y a pas de quoi ! Comment va la petite Kaïrya ? Toujours aussi sage à ce que je vois"

"Oui,.. tellement sage que des infirmières se sont inquiétées... elle va bien, c'est un amour !"

"Tant mieux, je vais vous laissez vous reposez, bonne nuit Madame Nyx"

"Merci, reposez vous aussi"

Cette conversation s'était déroulée dans un chuchotement calme, ne réveillant pas la petite qui suçotait doucement son pouce. Paisible.

Pov Raïlya

L'infirmière est passee prendre de nos nouvelle comme a son habitude, je l'apprécie cette petite, elle est débutant cela se voit mais elle est très altruiste. On a tellement besoin d'avantage de Turiens comme elle.

Après qu'elle est refermée la porte, je regarda à nouveau ma petite-fille qui dors les yeux fermées et j'allais à mon tour m'installer dans mon lit afin de m'y allonger convenablement.

Montant la couverture sur moi, je me tourna face aux berceau en fermant a mon tour les yeux. Je pris tellement que mon maris daigne venir me chercher quand je sortirai... mais il travaille tellement dure pour nous assurer un avenir.

Je lacha alors un soupire en essayant de sortir ces pensées de ma tête, afin de m'endormir en pensant au futur de ma fille que j'idéalise comme parfaite.