Esprits Héroïques.

Vous étiez au rez-de-chaussée, assis autour d'une table à écouter Mirio et Izuku, toi et tes camarades de Yuei.

Tu prenais réellement compte du niveau de frustration qui avait du gagner Midoriya lors de sa rencontre avec Eri, lui si héroïque, il devait se ronger les ongles tous les jours!

(T/P) – Je n'aurai pas aimé être à ta place...

Tu avales ta salive et essaie de retrouver une mine moins déconfite.
Aizawa arrive à votre niveau.

Aizawa – À cause de l'implication de la ligue des vilains dans cette histoire, je comptais suspendre vos stages maintenant.

– Je n'ai toujours pas confiance en toi Midoriya, il faut dire que jusqu'à présent tu ne m'as pas donné de quoi...
Mais je sais que si je t'interdis d'agir sur ce coup là, rien ne me garantit que tu ne désobéis pas alors je te laisse pour cette fois.

– Mais sache que je te surveillerais et  moindre faux pas s'en répercutera des sanctions administratives, Midoriya.

Il cogne son poing contre la poitrine du petit bonhomme vert et sourit.
Tu ne pu t'empêcher d'être émue de ce geste, Izuku touchait les cœurs de tout le monde : Même celui de ton renfermé professeur.

Il se relève, étant accroupi, et s'adresse alors au reste du groupe.

Aizawa –  Excepté les Bigs Three, qui égalent voir surpassent la niveau de certains héros pros, vous avez peu de chances d'être affecté à de grandes tâches durant cette mission.

– Et etant donné que vous êtes impliqués dans cette histoire contre votre gré, vous avez le droit de vous retirer dès maintenant.

Tsuyu – Comment pourrais-je pardonner à ces vilains ce qu'ils font à cette petite fille !

Ochako – Maintenant que je sais tout, je ne peux pas faire comme si de rien était !

Kirishima – Hors de question de s'en aller maintenant ! Ce n'est pas l'attitude d'un homme, un vrai !

Aizawa – Je voulais juste m'assurer que vous en êtes bien conscient.

(T/P) – Quant à moi, je suis complètement sur la touche... N'est ce pas ?

Tu penses à ce foutu permis provisoire que tu n'as pas, pas moyens d'agir sans !

Aizawa – Même pas en rêve que tu sois sur le terrain toi, tu donnes tes infos et ta mission s'arrête là. Je sais que c'est difficile, mais c'est comme ça.

Tu serres le poing de rage, contenant toute ta frustration par rapport à ton retard.
Te voilà sur le coté sur une histoire qui te concernait quand même beaucoup !
Est-ce que tes parents se trouvaient à l'intérieur du Q.G ennemi, en vie, mort ?
Étaient-ils les pantins de ce Chisaki ?

Tu allais devoir attendre qu'on réponde à tes questions.

Alors que vous regagnez la résidence tu as les yeux humides, prêts à lâcher une larme à tout instants.

Maintenant, Izuku, Ochako et Tsuyu savaient les réelles raisons, pour ton intégration tardive en classe.

Tu devais être à leur yeux une victime.

Izuku – Je sais que tu dois te dire en ce moment que nous te faisons plus confiance à propos de cette histoire de coma et tout ça... Mais pas du tout ! Tu as fais ce qu'il faut, ça ne nous regardait pas et nous aurions été agités ! Tu es une fille très altruiste (T/P)-chan...

Tu te retiens de pleurer et lui offre un sourire sincère, tu le prends dans tes bras.

(T/P) – Merci, Izuku !

Tsuyu – Tu peux compter sur nous dans le futur !

Ochako – Ouais, on sera là pour toi!

Tu les remercies tous, sous les yeux d'un Eijiro attendri.

Kirishima – Je répondrais à tes questions, (T/P) ! Ne t'inquiète pas !

Il te rassure, tout en saisissant tes épaules fermement qu'est ce que tu étais bien entourée...

Tu pense alors à Katsuki, ton confident, à qui tu n'allais pouvoir rien dire sur cette affaire et te sens un peu mal. Il t'avait écoutée, protégée et voilà que tu ne pourrais même pas lui dire la vérité sur tout ce qui se tramait.

Les jours avaient passés, tu avais fais silence comme possible et avait repris une vie normale avec tes camarades.

On t'avait entre temps contactée pour décrire les conditions et caractéristiques que devaient avoir le laboratoire dans lequel siégeait Chisaki, ainsi ils eliminerent une bonne dizaine de planques.

Cela avait réduit le nombre de possibilités de trois.

Puis après cela plus rien.

Tu étais dans la chambre de Denki, en sa compagnie et celle de Bakugou.
Vous étiez entrain de jouer à un simple jeu de course sur la playstation.

Denki – Owh...Mais il vient encore de gagner !

(T/P) – Et tu viens encore de finir dernier !

Bakugou – Vous z'êtes nuls, c'est tout !

Denki – J'ai au moins 2 ans de carrière dans ce jeu ! TU TRICHES, VOUS TRICHEEEEZ!

(T/P) – Je triche pas ! Et toi crétin, arrête de dire que je suis nulle quand j'ai failli gagner trois fois !

Bakugou – Chance du débutant, connasse !

Tu commençais une chamaillerie habituelle avec lui quand votre Pikachu se lève partir chercher des chips.

Tu jettes des grains de pop-corn sur ton blondinet préféré en lui lançant une pique sanglante.

(T/P) – La chance ? C'est l'excuse des losers ça, non ?

Tu souris alors qu'il te plaque par terre, saisissant tes deux poignets.
Tu te demandes ce qu'il allait te faire cette fois-ci, cogner son crâne contre le tiens, te cracher à la figure ? Il y'avait tant de possibilités...

Tu attends, mais rien ne se passe. Alors que tu riais, les yeux fermés tu les ouvres pour voir ce qu'il se passe.

Devant toi se tient un Bakugou les lèvres pincées, il se mord celle qui est inférieur assez agressivement. Ses sourcils étaient froncés et le rouge de ses yeux vifs.

(T/P) – Baku... gou ?

Bakugou –...

Ton cœur bat plus vite dans ta cage thoracique, ta poitrine se soulève et s'abaisse plus rapidement, tu te sens toute pétrifiée. Tu es comme gelée mais les températures qu'arboraient ton corps étaient chaudes.

Bakugou – Tu me caches un truc, toi et Kirishima. Ca ne me plaît pas.

(T/P) – J-je vois pas de quoi tu parles, euh... Et ça n'as rien à voir... avec ce dont on parlait !

Bakugou – Te fous pas de moi !

Tu penses à ce moment là que Denki en prenait du temps pour aller prendre des simples paquets de chips.

(T/P) – Écoute Bakugou... Pas maintenant.

Tu le vois grincer des dents.

(T/P) – S'il te plaît.

Il te serre les poignets plus fort et les utilises pour te lever la partie supérieure du corps et t'amener vers lui. 

Son regard est perçant, tu en perds tes moyens.

Il lache tes articulations pour saisir tes joues et emprisonner ton visage entres ses mains. Il rapproche sa face de la tienne, vos deux nez se touche ainsi que vos front, vos lèvres allaient quasiment se frôler.

Bakugou – T'as intérêt plus tard, loser.

Il insiste bien sur le "intérêt" et te rend ta liberté de mouvements.

Il reprend la manette comme si rien ne s'était passé.

Et tu le regarde, à la limite de tétanisée.

Denki – J'y crois pas, dans cette maison impossible de garder des chips plus d'une heures !  Que des gros porcs !

Bakugou le fusille du regard.

Bakugou – Tu les as eu tes foutues chips ou pas ?!

Denki – Ouai... Mais j'ai du chercher dans la grande réserve ! (T/P), tout va bien ?

(T/P) – Ouai...

Tu crois.

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