{Pdv Amy}

Je suis réveillé par les sonnerie de mon téléphone. Je regarde qui est assez fou pour me tirer de mon lit. Tiens, Bakugo.

4h32

Katsuki _-_bkg
|Eh idiote
|Je vais m'entraîner
|Retrouve moi a 5 heures sur le sentier à la lisière de la forêt si tu veux prouver que tu est plus forte que moi.
|See you.

Alors comme ça, il veut que on se batte. Très bien. Je lui foutre la misère, il va se prendre la raclé de sa vie.

4h36

moi
| J'arrive

Je sors de mon lit et m'échappe par la fenêtre. Je me propulse jusqu'au sentier avec flamme. Un fois sur place, je remets une de mes mèches en place. Je me retrouve en face de Bakugo. De ce que je vois, il s'est déjà échauffé. Si je me souviens bien son alter se bas sur la sueur de ses mains qui est une substance semblable à celle de la nitroglycerine. Il me suffira de me débrouiller pour qu'il ne puisse pas l'utiliser.

Moi : C'est quand tu veux Bakugo.

Je me recule en faisant un salto arrière et me positionne avec mon pied droit légèrement. Je connais ses mouvements, je les ai vu à l'exam, les esquiver seront très simples.

Il arrive vers moi et comme par un swing du droit que j'esquive en faisant un rotation avec le retrouvant avec un de mes pieds sur son dos, je le fais passé par dessus moi et son dos claque sur le sol. Je lui fait des menotte de flamme sanguinaires, les rouges qui le brûlerons jusqu'au os si il tente un mouvement.

Je regarde ma montre.

Moi : 4,37 sec. J'aurais du faire mieux.

Le blondinet me fixe avec un regard à la fois en colère et choqué. En même pas 5 secondes, j'avais détruit son égo sur dimensionner. Je le libère de ses menotte. Il se relève et me dit un seule mot.

Katsuki : Comment ?

Moi : Mon père m'a appris les arts martiaux depuis mes deux ans. Je fais aussi de la gymnastique depuis mes 4 ans. Quand au menotte de flamme sanguinaires, ce sont simplement mes flamme classique, que j'utilise rarement en raison de leur faible niveau de puissance. J'aurais pensé que tu aurais été plus difficile à vaincre Bakugo.

Je passe à côte de lui rapidement et lui chuchote.

Moi : Tu commence toujours par un swing du droit. T'es trop prévisible. Reviens m'affronter quand tu te seras amélioré.

Je le vois serrer les poings. Il avait bien besoin que quelqu'un lui rappelle son niveau pour le moment. Il aura tout le temps de progresser.
Je rentre chez moi en glissant sur l'air et me rendort. Le sommeil, c'est sacré.

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~Bip~~Bip~

Je me réveille durement et papillone des yeux. J'me lève, prends une douche rapidement et enfile mon uniforme. Je vois que ma mère m'a préparé mon petit déjeuner préféré et que mon père m'a acheté un sac magnifique.
Je déguste mes pancakes tranquillement et met tous mes cahiers dans mon nouveau sac.

Puis je survole en glissant sur l'air la ville avant d'arriver devant mon nouveau bahut.

J'entre et arrive devant l'énorme porte des secondes A. Je l'ouvre et tombe sur une scène assez comique. Un grand mec au lunettes est entrain de crier sur Bakugo car ce dernier à les pieds sur la table. Je me retiens de rire et m'avance vers eux.

Moi : Eh, calmez vous les garçons. Toi, je sais pas comment tu t'appelle mais évite de lui crier dessus et de l'engueler, même si il fait pas ce que toi tu voudrais, c'est son choix et ça responsabilité après tout. Quand à toi Bakugo, évite de créer des histoires des le premier jour, s'il te plaît ce serait bien pour le bonheur des gens autour de toi tu vois.

Bakugo : Me donne pas d'ordre.

Haha. Je lui chuchote ma pensée.

Moi : À ce que je vois, Monsieur a toujours mal accepter le fait d'avoir perdu si rapidement, ça dû gravement blessé son ego, voulez vous que j'appelle un do-

Bakugo : Ferme là.

Moi : Tch vas y tu m'énerve mais je veux pas d'embrouille des le matin.

Bakugo : C'est ça.

Je m'adosse à un mur. Je me demande bien qui ça peut être, Papa n'a pas voulu le dire.

Soudain la porte s'ouvre et ce que je vois entre me choque.

MON PADRE!!!! JE VAIS LE BUTER. Je pose DÉLICATEMENT ma main sur la première table que je trouve et stop le temps sauf pour lui et moi. Je regarde mon père dans les yeux.

Moi : Si tu oses effacer mon alter, je balance la connerie que tu as faite avec la robe de soirée à maman.

Papa : Ok !

Moi : Mais t'es pas sérieux ! A quel moment tu t'es dit, tiens et si je devenais le prof principal de ma fille, oh MEILLEURE IDÉE DU SIÈCLE TIENS ! NAN MAIS T'ABUSE !!!!

Papa : Roh, ça va je vois même pas le problème.

Moi : AH BON, TU VEUX UN PETIT EXEMPLE !? Je t'appelle comment Aizawa-sensei peut être !? Nah mais t'imagine je fais la gaffe de t'appeler Papa !?

Papa : Je vois pas le problème a ce que tu-

Moi : MAIS C'EST PAS POSSIBLE TU LE FAIS EXPRÈS ! TU SAIS QUOI !? LAISSE TOMBER JE VAIS ME DÉBROUILLER.

Je me radosse à mon mur, jette un dernier regard noir à mon père et désactive mon alter.

Bakugo à capter, il m'énerve encore plus que celui qui me sert de père ou de professeur principal.

Pa-Aizawa sensei : Alors, avant de commencer toute chose, voici le plan de classe, celui qui changera sera renvoyé définitivement !

Oh bordel, je vais vraiment tuer mon père, il m'a mit à côté de l'explosif. Dire que tout a l'heure j'ai lancé comme une bombe à retardement, ça va exploser et c'est moi qui vais prendre... Même si la possibilité que moi même j'explose et très probable...

Je m'assois à me place, sors mon carnet et dessine un croquis du petit combat qui a eu lieu ce matin. Je ferme mon carnet lorsque mon père fais commencer les présentations.

Bakugo : Katsuki Bakugo, 15 ans, alter : explosion. Deuxième de l'examen d'entrée avec 90 points.

Allez c'est à moi.

Moi : Amy Aizawa, 15 ans, alters : 6 élément et leur dérivés ainsi que le contrôle du temps et des mémoires. Première à l'examen d'entrée avec 517 points.

Je me rassois et me perd dans mes pensées. Cette année va sûrement être une des meilleure de ma vie. Enfin je l'espère de tout mon cœur.

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Nous avons tous pris nos costumes et allons chacun dans les vestiaire de nos genres respectifs. Le mien correspond parfaitement à ce que je voulais, il ont su prendre chaque détail de mon dessin. Je l'enfile et je me trouve super bien dedans !

Tous le costume est équipé pour que je puisse utiliser chacun de mes alters à son maximum, sans artefacts et sans risque d'être blessée.

Mina : Waouh, il en jette un max ton costume Aizawa !

Ashido : Merci, je vous retourne te compliment Ashido.

Je leur fais un sourire heureux et je sors des vestiaire. Seul les vrais resterons. La véritable épreuve commence maintenant.

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