Pdv de Pufu ( toujours en forme Beelzebub )

J'avais chaud. Très chaud. Elle s'avança vers moi. Ni mes jambes ni mes ailes arrivaient à bouger. J'étais paralysé sur place. Elle s'accroupit en me regardant.

<< T'es qui toi, me demanda t'elle.

J'avais chaud, surtout au ... merde, j'étais en train de rougir. Et paralyser.

- Mais pourquoi t'es tout rouge ? J'vais pas te manger. Je mange pas des mini hommes papillon. Tu t'appelles comment.

- Shaupufu, dis je, et ... et toi

- Katana

Daiki fit interruption dans la chambre.

- Katana, dit Daiki, je sais que tu m'en veux. Mais j'étais en tôle et la mégère a rien dit. Joyeux anniversaire ! Ah bah, t'es déjà là machin.

- Il s'appelle, dit Katana en se relevant, Shaupufu.

- C'est ton cadeau d'anniversaire, dit Daiki.

Eh, je n'étais pas un cadeau. J'étais un garde royal du Roi. Me traiter de cette sorte, c'était m'insulter.

- Euh, dit Katana, papa ? Je ne croie pas que Shaupufu n'apprécie pas ce tu viens de dire.

Son père me regarda d'un air étonné. Puis regarda sa fille dans les yeux.

- Shaupufu ? Tu lui donné ce nom, demanda t'il.

- Non, répondit elle, c'est son nom. Il me l'a dit.

- Attends, dit son père en me regardant, il parle ?!

- Oui, répondis je, je parle. Quoi, ça vous déranges ?

Daiki a reculé d'un pas. Il avait peur. Je le lisais sur son visage. Kururo arriva.

- Kururo, dit Daiki, ce truc ... parle.

Alors là, il se foutait de moi. Il savait mon nom.

- Papa, dit Katana, derrière fois. Il s'appelle Shaupufu. Alors arrête de l'appeler " machin " ou " truc ". Il aime pas ça.

Je regarda Katana. Je ne lui dirai jamais assez merci de me défendre. Je vola vers elle je me posa sur son épaule. Je me retourna vers Daiki et Kururo. Ils partirent sans demander leurs reste.

- Merci, murmurais je, tu m'as défendu.

- De rien, murmura t'elle, je vais t'installer une boîte pour que tu puisses dormir. >>

Elle m'aménagea une boîte. Elle mit une couverture. Elle mit également un mini oreiller. Il était 21 heures. On est partis se coucher. J'avais toujours ma caméra frontale. Je l'éteignis. Je commença à penser à Pitô, Yupi et au Roi. En pensant à ça, j'ai commencé à pleurer sur mon oreiller. Après quelques minutes, je senti une main se poser sur moi. Je rougis instantanément.

<< Tout vas bien Shaupufu, dit Katana, je suis là. T'inquiète pas. Je ne sais pas pourquoi tu pleures mais je suis là. >>

Boum boum

Euh, c'était quoi ça ?

Boum boum

Katana retira sa main et partit se coucher.

Boum boum

Sérieux je commençais à flipper à cause d'un bruit. Et j'ai l'impression ... que ça venait de moi. Même si c'était à peine audible, ça faisait peur. J'avais un peu mal à la poitrine mais ça allais. J'ai eu du mal à dormir. Pourquoi je rougis ? C'était quoi ce bruit chelou ? Toute ses questions se bousculaient dans ma tête.