Partie Léo :

Sa fait déjà plusieurs jours, que le juge à rendu son verdict. Mike à été condamné à nous verser une somme d'argent pour dédommagement. Mais aucune somme d'argent, ne pourra dissipé, la souffrance de ma soeur. Jamais je pourrais, lui pardonner. Qu'il me frappe dans le dos de ma soeur, sa c'est une chose. Mais détruire ma sœur psychologiquement en est une autre. J'emprunte le chemin pour rejoindre ma maison. Je viens juste de finir les cours de la journée. Il est actuellement 17h05, je devrais être rentré pour 17h20. Quelques minutes plus tard, j'aperçus ma maison, qui n'était plus cas quelque mètres de ma position. Je passe le portail, avant de me diriger vers l'entrée. J'eus à peine le temps d'ouvrir la porte d'entrée, que ma sœur avait déjà ouvert précipitamment la porte. Elle avait l'air paniquée.

Daisy :

- Léo !!!! Il faut que tu vois ça !!!!

Ma sœur pris soin de fermer la porte derrière moi avant de me traîner dans le salon.

Léo :

- Qu'est-ce qu'il se passe Daisy ? Pourquoi une t'elle agitation ?

Daisy :

- Regarde les infos ! Sa passe en boucle depuis se matin !

Daisy saisie la télécommande de sa main gauche augmentant le volume de la télévision au moment, ou le présentateur allait annoncer les informations du jour.

Présentateur :

- Bonjour ! Bienvenue à ceux qui nous ont rejoints ! Aujourd'hui, nous allons interviewer, une femme qui as aperçu, ce qu'elle décrit de monstre qui est selon elle est apparue à proximité du port de Marseille.  Mademoiselle Elizabeth ! Vous êtes actuellement sur place. Nous vous écoutons !

Elizabeth :

- Tout à fait ! Je me trouve actuellement avec Mademoiselle Crottin ! Mademoiselle Crottin ! Nous vous écoutons ! À quoi ressemblait ce "Monstre" ? Comment ça c'est passer ?

Crottin :

- Il...Il...ressemblait à un enfant...Il ne portait aucun vêtements, mise à part une sorte de pagne...Je...Je roulait en direction de mon appartement pour retrouver ma fille, lorsque je l'ai aperçu. Je suis descendu de ma voiture, lui demander si, il n'était pas blessé et...Et...il avait des griffes énormes et une queue et...et...Des crocs comme un...un alligator ! Je n'ai pas pu m'empêcher. J'ai pousser un hurlement et il c'est enfuit, juste après que deux voitures de polices, soit arriver sur les lieux ! Heureusement qu'ils étaient là...Sinon, je sais pas, ce que, je serai devenu !

Danny :

- J'ai entendu cette femme crier. Je me suis précipité vers elle afin de savoir se qu'il se passait et...et j'ai vu, cette chose. J'ignore se que c'était...Mais tout, ce que je peux vous dire, c'est que cette chose est grièvement blessée et elle peut se montrer très agressif ! Tant que cette chose, n'aura pas été appréhendé ! Nous recommandons à tous les citoyens de restez vigilants !

Elizabeth :

- Je comprends...C'était Elizabeth Duchesse !

Ma sœur éteignit la télévision, juste après que l'agent  de police est fini de prononcer son discours, qui m'avait complètement retourné et elle tourna son regard vers moi.

Daisy :

- Léo, je sais ce que tu pense et je te comprends...mais tu dois savoir que...

Je lui laisse même pas finir sa phrase que, les mots sortie tous seuls de ma bouche.

Léo :

- Il est en France....Kasha est en France....Il faut qu'ont se rendent là-bas !!!!

Daisy :

- Quoi ?!!! Tu veux te rendre à Marseille ! Mais sa va prendre un temps fou de se rendre là-bas !!!! Et, admettons qu'il s'agit vraiment de Kasha...Comment, compte tu le retrouver dans une ville, telle que Marseille ?

Léo :

- Il viendra à moi...Je le sais...Kasha viendra à nous...

Partie Kasha :

La nuit s'était abattue et avait plongé la ville dans l'obscurité. J'ouvris faiblement les yeux, qui s'habituent lentement à la noirceur et l'obscurité. Je regarde autour de moi, essayant de me lever, jusqu'au moment où ma tête cogna contre les lattes du lit, sous lequel, je m'étais caché. Mes yeux commençaient enfin à s'habituer à l'obscurité. Je regarde autour de moi en posant ma main au niveau de ma blessure, faisant remonter soudainement la douleur. Je me fis violence pour ne pas hurler. Je me déplaça discrètement sur le sol, essayant d'analyser mon environnement, mais ce ne fut pas chose facile, surtout avec la douleur ressentie entre ma blessure au niveau de mon pied, sans oublier la douleur provoquée par une de mes côtes encore brisés à l'heure actuelle.

{ Bon sang...J'ai encore la tête qui tourne...J'ai du perdre pas mal de sang...}

Et c'était effectivement le cas, je fis un nouveau pas, que ma main droite, rencontra, le sang qui s'était répandu dans une partie de la pièce pendant ma convalescence. Je resta sur place sans bouger, pendant quelques instants, reniflant l'air avant de porter mon intention vers la porte qui, menait à cette pièce. Je pouvais entendre soudainement des bruits de pas, provenant de l'autre côté de la pièce. Sa se rapproche dangereusement vite. Je me cacha sans chercher à comprendre, ce dont il, s'agissait. J'étais épuisé, blessé, vulnérable et affamé. Je cessa immédiatement de respirer, voyant la porte s'ouvrir, laissant paraître une femme au regard effrayé, voyant l'état de la pièce et de la fenêtre brisé et en voyant les traces de sang sur le sol. Cette femme devait avoir la trentaine. Elle à d'après ce que j'ai pu voir, les yeux vert émeraude, la peau blanche comme la neige et les cheveux roux avec des tâches de rousseur, au niveau du nez et des joues.

Partie ???

- Mais...? Qu'est-ce qu'il c'est passer dans cette chambre ?! C'est quoi tous ce sang ?!!! Pas de panique Emma...Reste calme...Prend une grande inspiration...Je vais nettoyer tous ça et ensuite...Tu pourras réfléchir calmement...

Je mis des gants en latex, avant ramasser, les morceaux de verre brisé et de les mettre dans une poubelle. Je ramène le balai avant de verser du produit dans une bassine d'eau et de commencer à passer la serpillière, dans toute la pièce.

Partie Kasha :

Je pouvais sentir, l'odeur du produit me submergé les narines. L'odeur me donnait envie de vomir. Je pencha légèrement la tête vers l'extérieur, voulant m'assurer, que je pouvais m'enfuir, je me glissa discrètement hors de ma cachette, lorsque soudainement la pièce devenue extrêmement calme. Étrangement, se silence me mit immédiatement mal à l'aise. Je tourna légèrement le regard pars dessus mon épaule avant de croiser le regard de la jeune femme, qui c'était comme figé, dans mon regard. Une seconde s'écouler, puis 2, puis 3 avant que la jeune femme, lâche soudainement son balai et de pousser un hurlement.

Emma :

- AAAAAAAAAAAAAAAH ?!!!!!!!

Fin.