Livreur malchanceux (2)🔞

Pour public averti, contenu très explicite.

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Naruto avait été rudement attaché au canapé par les poignets au bout d'un certain temps car il avait, dans son grand malheur, tenté de partir. Retenu en partie par Kakashi, légèrement par la brune aux marques violettes sur les joues et à sa grande surprise, majoritairement par l'autre femme qui était sa cliente, car elle aussi, elle avait voulu se joindre au lot pour ne pas se sentir délaissé.
En soit, c'était raisonnable de vouloir s'en aller et éviter d'avoir de rapports sexuels avec son professeur, un homme qu'il côtoyait au quotidien avec qui il ne devait pas avoir de rapports sexuels !
Mais les trois autres semblait avoir d'autre projet pour lui. Il avait fini couché sur le ventre sur les coussins du canapé et l'argenté à genoux entre ses jambes écartées. 

Le blond était plus qu'inquiet à l'idée de ce qui allait lui arriver mais il ne se faisait aucune illusion quant au déroulement des événements prochains alors qu'il sentait le sexe dur de Monsieur  Kakashi se frotter sur la ligne de ses fesses, son bassin se faisant relever à plusieurs reprises d'une poigne rude et qui allait sûrement laisser des ecchymoses en forme de doigts sur sa jolie peau. Cela faisait un bout de temps qu'il protestait mais il lui semblait que parler à un mur aurait été plus concluant, donc il avait simplement décidé d'économiser sa salive en se taisant. Il n'avait pas pu rentrer chez lui finalement et vu la tournure imprévu qu'avait pris les conditions, il ne rentrerait pas de si tôt.

La femme brune avec laquelle il avait fait des plans plus tôt lui vouait, malheureusement, un désintérêt totale à présent, trop occupée à baver, avec de grands yeux admiratifs, sur la musculature en exercice de l'homme pâle au-dessus de lui. Avec peut-être même deux doigts enfoncés dans son intimité pour mieux apprécier la scène, mais ça, Naruto ne pouvait pas le voir car sa tête se faisait enfoncer dans le tissu des coussins qui l'étouffait et lui laissait peu d'air pour respirer.
Puis l'autre femme qui embrassait précédemment son professeur pénétra à nouveau dans la pièce avec plusieurs objets douteux dans les bras et les déposa près de Kakashi.

Naruto avait l'impression d'être la malchanceuse victime d'un gang bang et la vue d'un godemichet à la taille démesuré n'étant pas pour le rassurer d'autant plus qu'il savait que ces attentions constituées d'objets sexuels lui était entièrement destiné. Il essayait malgré tout de se débattre mais déjà que ses mouvements de mains étaient largement restreints par de fins câbles électriques plutôt solide, trouvés au hasard, enroulé maladroitement autour du coussin de l'accoudoir, mais en plus de cela, l'os des tibias dur de l'homme plus âgé au-dessus de lui s'enfonçait dans les muscles de ses mollets.
Il ne pouvait que mouvoir ses orteils qui se tortillaient quand un point sensible était frôlé par le membre épais et humide qui lui écartait les joues de cul à chacun de ses passages. Son propre sexe ostensiblement dressé, ce traître, qu'il pouvait sentir dur contre son abdomen à chaque fois qu'il retombait sur le matelas.

Kakashi prit le gode de couleur rose et le présenta devant l'entrée plissée du blond. Il essaya vainement de l'enfoncer, mais tout ce que cela apportait, c'était quelques cris de douleur du blond car le trou était encore trop serré. C'était compréhensible puisque que c'était la première fois que cet orifice tenait ce genre de rôle. Naruto ne savait tout simplement pas qu'il pouvait même se faire violer, lui qui avait toujours pensé que cela n'arrivait qu'aux filles. Mais à présent qu'il se faisait indécemment écarter le cul, il revoyait nettement ses jugements.

- Laisse-moi faire, tu lui fais mal, intervint Anko, la femme qui avait apporté l'objet.

Naruto avait bien retenu son prénom à cette femme-là. Anko. Un peu plus tard quand il irait se plaindre, en boitant, aux autorités, c'est elle qu'il dénoncerait en premier. Elle ne lui inspirait pas confiance avec ses cheveux bruns hirsutes et ses grands yeux fourbes. Une vrai diablesse, sadique, qui se lécha les lèvres comme un reptile quand elle s'installa à son tour entre ses jambes toujours fermement tenus par Kakashi.

Naruto transpirait à grosse gouttes, très perplexe avec tous les muscles de son dos tendus, mais étrangement, le toucher de la femme était beaucoup plus doux et cela le rassura un moment. Anko prit la peine d'enduire ses doigts de lubrifiant, produit que Kakashi avait complètement omis d'utiliser. Le blond sentit un doigt s'insérer en lui. L'ongle assez long racla les parois de son entrée lui faisant mal quelques instants mais la sensation partit avec le bordel humide du lubrifiant. Mais comme le bassin au cul bronzé ne voulait pas garder sa position surélevé, Kakashi finit par lui faire couber le dos en glissant deux coussins sous le ventre de son élève, en entourant de ses deux grands bras la femme concentré devant lui.

Puis l'argenté se leva, desserant sa prise de fer sur les chevilles et comme si de rien n'était, il vint se présenter devant le blond en s'asseyant sur l'accoudoir où reposait la tête. Il agrippa, sans grande délicatesse, des mèches blondes pour élever la tête au niveau de son entrejambe, faisant cambrer le dos de Naruto bien plus qu'il ne l'aurait pu en temps normal. Celui-ci releva des yeux bleus furieux qui semblait clairement exprimer "si tu crois que je vais te sucer, tu peux te la mettre où je PENSE !".

Kakashi n'était pas content. Il fronça ses sourcils argentés et empoigna rudement  la mâchoire carré de Naruto pour la tordre de façon à ce que la bouche reste entrouverte. Il frotta son membre sur cette bouche accueillante en y insérant son gland par moment. Le blond hésitait à mordre dedans, bien que ce serait un juste retour des choses, il ne pouvait pas se résoudre à affliger cette souffrance à son professeur.

- Excuse-le, il peut être un peu brutale quand il est impatient, susurra la femme à son oreille.

Le blond se décala dès qu'il sentit la présence vicieuse à proximité de lui mais Kakashi le tenait fermement et il garda sa position initiale. Anko avait retiré ses doigts de lui entre temps et se prépara à insérer le jouet. Naruto se démena de toutes ses forces quand l'engin glissait en lui, étirant absurdement son entrée rougie par le doigté.

- Déjà que je suis gentille avec toi, je pense que tu bouges un peu trop les pieds, grogna-t-elle en serrant sa verge délaissé entre ses jambes et qui le fit gémir profondément. Kakashi, tient-le, je vais chercher un truc pour l'attacher.

Elle céda la place à son ami et disparut de nouveau dans la pièce d'à côté. Naruto n'avait pas eu la chance de se débattre de nouveau car Kakashi glissa entre ses jambes pliées aux genoux et les tint fermement par les chevilles. L'argenté lui écarta les jambes, assez pour apercevoir l'étroite entrée à présent bien distendue et il plongea sa tête pour la lécher avec une langue plate, recoltant le lubrifiant qui s'était éparpillé. Le blond ouvrit grand la bouche pour haleter, se retenant de gémir. La langue passait et repassait sur le trou, se pressait contre ce point humide, lubrifié, attendant manifestement un volontaire pour le pilonner.

Anko revint dans le salon. Naruto se tortilla pour identifier l'objet dans ses mains et écarquilla grands les yeux quand il reconnut l'objet qu'il ne voyait que dans les vidéos pornographiques qu'il visionnait le soir dans l'intimité de sa chambre étudiante, la bouche toujours ouverte pour laisser passer ses halètements dut à une langue omniprésente entre son fessier.

- J'ai trouvé un écarteur ! S'exclama-t-elle avec un grand sourire. On va voir si tu peux toujours bouger avec ça.
- S'il te plaît, fais pas ça, supplia Naruto avec une voix complètement foutue.

Naruto se tortilla comme il pouvait quand les menottes se refermèrent sur ses chevilles délicates, mais ils étaient deux à le tenir. Tout son corps protesta quand il fut plié en deux. Il opposa une dernière résistance quand les cordes se tendirent par dessus son corps pour permettre à l'attelle qui soutenait la structure de ne pas se poser sur son cou en enfouissant sa tête entre ses bras.

Kakashi tira un coup sec sur les mèches blondes et l'attelle glissa sur son visage jusqu'à la gorge hâlé, brisant l'once de dignité qui restait au blond. Naruto se sentait tellement exposé et humilié qu'il pensait que la situation ne pouvait pas être pire, mais il sut qu'il se trompait quand il tourna son visage vers la femme assise par terre qui les regardait depuis le début. Elle s'était munie de son smartphone, la petite lumière à côté de la caméra brillant pour signifier que ça filmait.

Naruto se consola en voyant que la fille aux marques violettes n'arrivait pas à filmer correctement puisque sa main tremblait mais Anko, garce qu'elle est, approfondit son désespoir en s'emparant du cellulaire et filmer de façon stable.

De fines larmes traçaient les joues marquées du blond, le repli ne lui étant pas autorisé à cause de l'attelle noir sur sa gorge qui lui soutenait la tête et de la main de Kakashi qui lui tirait les cheveux. Son genou dépassait du canapé tellement ses jambes étaient ouvertes et la peau bronzée de ses mains viraient au mauve tellement les câbles étaient serrés.

Comme si ce n'était pas assez, Naruto se reçut une claque sur la fesse qui le fit pousser un petit cri et plusieurs autres suivirent. Puis ces fesses se firent ouvrir une dernière fois pour laisser passer le sexe de son professeur à l'intérieur de lui. Le blond haleta de douleur en fermant les yeux. Il ne pouvait plus se cambrer car il était à son maximum avec son menton qui s'appuyait sur l'accoudoir, son bassin relevé par la pile de coussins et l'écarteur. Son corps était tordu dans une tel position qu'il lui faudrait sûrement un massage pour se débarrasser de toute la douleur qu'il ressentait.

Kakashi claqua ses hanches contres les fesses au teint sombre de Naruto qui laissa échapper un gémissement très appréciable de sa bouche formant un "o" avec ses lèvres. Naruto aurait bien voulu dire qu'il n'avait rien ressenti d'agréable mais il avait apprécié la sensation plus qu'il ne l'aurait voulu, le sexe ayant touché directement un endroit sensible au fond de lui.

Et les hanches claquèrent à nouveau puis encore une fois, encore et encore, remplissant la pièce du bruit de leurs deux bassins s'entrechoquant et qui transformait le blond en gâchis gémissant.
Kakashi surplomba le corps du blond et s'appuya contre l'accoudoir du canapé à côté de la tête de Naruto pour s'enfoncer en lui plus profondément à chaque coup de butoir. Il tourna la mâchoire du blond vers lui pour lui soutirer ingratement un baiser qui étouffa ses doux gémissements aigus.

- Plus fort Kakashi... Soupira Naruto entre deux baisers.

Il savait qu'il n'aurait pas du demander ça, mais à ce moment, toutes ses pensées cohérentes étaient anhilés par le sexe qui coulissait en lui et lui baisait littéralement son hétérosexualité. Le rythme des hanches s'accéléra, ne laissant aucun répit au pauvre trou qui se faisait abuser et élargir de plus en plus violemment et le blond relevait son bassin pour approfondir le contact. Naruto tordit son cou pour apercevoir l'endroit où le sexe disparaissait en lui et il observa comme hypnotisé la queue de Kakashi faire des aller-retours dedans tandis que l'argenté lui déposait des baisers humides sur la tempe.

- Kakashi, je vais venir, pleurnicha le blond en le regardant dans les yeux et l'argenté se contenta de l'embrasser et de prendre un mouvement régulier en gardant la même vitesse frénétique.

Anko qui n'en ratait pas une, tira la tête blonde aux joues rouges vers elle et filmait son visage à l'expression complètement dévastée par l'extase, les mèches qui retombaient sur son front collée par la sueur. Naruto jouit sur les coussins qui soutenaient ses hanches mais Kakashi ne ralentit pas pour autant. Les parois de l'anus se resserrèrent entièrement sur son membre, le trayant à chaque coups de reins. Kakashi vint à son tour, relâchant tout ce que ses couilles avaient pu contenir et en remplit l'estomac de son élève. Il se retira tout doucement car l'entrée était toujours serré et du sperme commença à en fuir une fois son occupant entièrement sorti.

- C'est dans la boîte, chantonna Anko en brandissant le smartphone alors qu'elle s'éloignait après avoir fait un gros plan sur le cul obscènement ouvert.

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