Le fils à papa (2)

Attention, long morceau de porno gênant. Vous êtes avertis. 😩

___________________________

C'était étrange de maudire le destin quand on n'y croyait pas. Mais il n'y avait pas d'autre explication logique à la malchance de Kakashi : le destin. Il se sentait comme un héros qui devait y faire face mais dont le combat était beaucoup trop absurde pour le décrire de façon épique.

Naruto assis sur son canapé en face de lui sirotait un jus de pomme ananas. Ses jolies lèvres s'emparaient distraitement de la paille de temps en temps tandis qu'il regardait une émission à la télé. Il avait opté pour une tenue beaucoup trop confortable pour le bien de Kakashi : un débardeur c'est pratique en été surtout quand il fait assez chaud pour avoir l'impression que les murs extérieurs de la maison fondent. Mais ce simple vêtement avait un effet presque subversif sur Kakashi. Il y avait trop de peau exposée, trop de caramel, trop de sucre. Ça lui donnait des caries aux yeux. Et comme si ce n'était pas assez suffisant, le blond portait un short au ras des fesses. C'était assez court pour que Naruto doive se relever et tirer le short un peu plus bas pour ne pas s'en cisailler les cuisses.

Bien sûr, Kakashi n'est pas resté sans rien faire. Il eut un plan pour piquer de son épée sa destinée. Il mit la climatisation à fond pour que la pièce se refroidisse petit à petit. Mais Naruto et son cocktail ne bronchaient pas. (Maudite soit cette climatisation solaire défaillante qui refusait d'obtempérer et de descendre à moins de 20°.) Kakashi était à peu près sûr qu'il faisait beaucoup plus que vingt dans la pièce car il ne voyait pas d'autres explications à la peau odieusement humide de Naruto qui brillait assez pour accaparer son attention. (Ou si ça se trouve, c'est juste lui qui ne voulait pas détourner les yeux).

Kakashi mordillait nerveusement son stylo, alors que l'objet souffrait déjà de nombreuses marques de dents, en jetant des coups d'œil à l'adolescent à quelques mètres de lui. Il se chargeait du travail de Minato durant son absence, mais c'était assez délicat de se concentrer sur la paperasse et en même temps fantasmer sur un adolescent impudique. Ça faisait travailler grandement l'imagination et pas dans le bon sens du terme.

- Pas trop froid Naruto ?
- Hm ? Non ça va, il fait plutôt chaud. Il faisait plus froid dans le Nord.

Naruto répondit en faisant un grand sourire et reporta son attention sur la télévision. Il avala une longue gorgée de sa boisson et replia ses jambes contre son torse, le short luttant désespérément pour ne pas se déchirer autour de ses joues de cul bombées.
Va t'habiller mon garçon, va t'habiller !
Kakashi soupira un grand coup et força son attention sur son travail, il en était presque à se piquer la jambe avec son stylo pour ne pas détourner le regard.

Il avait cru ou enfin avait peut-être eu l'audace de croire que s'il faisait comme si de rien ne s'était passé (pendant deux mois), tout se passerait comme sur des roulettes. Au début cela avait fonctionné, il avait tenu Naruto à l'écart, avait éviter le contact. L'engrenage de la vie suivait son cours. Pendant un petit laps de temps évidemment.
Après, Kakashi commençait à se lever le boxer serré. La tête remplie de fantasmes et de souvenirs et les cheveux collés à son front à cause de la sueur. Il devait affronter le sourire chaleureux du blond tous les matins, ses petites attentions, ses longues conversations souvent à propos du volley -il adorait ce sport- et sa passion pour les constructions miniatures -c'était adorable- mais surtout toutes ses questions sur sa vie personnelle. Il était épuisé de nier son attirance. Ce gamin était incroyable. Trop joyeux, un peu fada sur les bords et horriblement énergique.
Il préférait encore les prises de tête quand Naruto oubliait d'éteindre la lumière ou brûlait le dîner, ou les mauvaises manies du blond qu'ils avaient au quotidien comme celle de chanter fort sous la douche. Ou encore sa façon ingrate d'être curieux de tout et de s'immiscer dans son espace privée. Cela lui permettait au moins de garder le garçon à l'écart. Même s'il finissait toujours par excuser son comportement.
Perdu : voilà ce qu'il était. Il se disait cela à lui-même alors que ses yeux ne se détachaient définitivement pas du blond qui avait commencé à faire tournoyer sa langue autour de sa paille. Ses yeux tournaient en même temps que la langue rose autour du plastique et Kakashi s'imaginait être à la place de cet objet chanceux. Quand ses pensées dérivaient autant, il faisait appel à l'argument majeur qui lui permettait de ne pas poser sa patte vicieuse sur Naruto : son père, sa mère. Sa promotion toujours en suspens depuis le départ de Minato y jouait sa part. Peut-être aussi la copine inconnue de Naruto qui venait s'incruster de temps en temps chez lui et qui ne savait pas que son copain était gay... L'écart d'âge aussi ?

Là, à ce moment, ces limites semblaient floues. Son endurance avait été exploité à son maximal. Putain, viens mettre cette langue sur moi, je m'ennuie tellement. Quand Kakashi releva les yeux, il surprit une paire de yeux bleus fuyant précipitamment son regard. C'était tellement indiscret mais en même temps adorable. Restrictions ou pas, lui aussi il voulait montrer qu'il pouvait faire tournoyer sa langue autour d'une paille et pas que. Que lui, il buvait avec ses mains et ses doigts aussi. Il pouvait promener sa bouche sur tout le gobelet et mordre l'extrémité. Il n'avait pas de problème avec le sucre, il pourrait boire goulûment et cela toute la journée s'il le fallait, directement à la source. Il était doué pour ça, avec Naruto il ne savait faire que ça. Boire jusqu'à l'extase...

Mais beaucoup trop soudainement, toute cette soif fut annihilée par la sonnerie du téléphone de Naruto posé sur le canapé à côté de sa cuisse. L'écran narguait haut et fort Kakashi avec l'affichage du nom de l'appelant en grand "Papa", en lettres serrées avec la petite animation qui faisait paraître "Papa" encore plus présent. Il ne prit conscience qu'au moment où il brisa le contact visuel avec Naruto qu'ils se regardaient tous les deux, en silence, depuis déjà un bon moment. Si ce maudit téléphone n'avait pas sonné, qui sait ce qu'ils auraient fait. Naruto décrocha et s'en alla vers le balcon pour ne pas gêner Kakashi dans son travail. Mais, Kakashi lui, se morfondait déjà dans sa culpabilité. Il n'arrivait pas à admettre qu'il soit aussi faible devant un adolescent immature. Il devait absolument se ressaisir : Kakashi se gifla mentalement un bon coup pour se remettre les idées en place. Pas touche au gamin !

Il ne tiendrait jamais la semaine qui reste à ce rythme...

Mais bizarrement ou heureusement, deux jours passèrent sans encombre. Évidemment, il n'y avait pas que le hasard qui permettait cette tranquillité, Kakashi y jouait un rôle majeur car il avait redoublé d'agilité pour éviter Naruto. Ce petit vicieux ne l'hypnotiserait pas aussi facilement que la dernière fois. De plus, le week-end étant fini, il se concentrait davantage sur son travail donc Naruto passait tout de suite au second plan.

Enfin, le croyait-il.

Kakashi revenait de son travail à dix-huit heures, comme tous les jours. Naruto qui finissait plus tôt entendait toujours le vrombissement discret de la belle voiture de Kakashi se garer sur le parking en-dessous. On entendait le bruit sourd de la portière qui claque, des pas, puis le tintement du code à l'entrée. Tout cela en routine quotidienne. Parfois Kakashi arrivait plus tard parce qu'il décidait de prendre le dîner dehors ou soit qu'il finissait plus tard un certain jour. Peu importe. Le rituel de la voiture était le même. La routine de Kakashi de son côté était de voir, une fois arrivé chez lui, Naruto, en train d'assembler des petites pièces sur sa nouvelle maquette de maison traditionnelle japonaise, de regarder son écran, embrasser sa copine inopportune ou en train de cuisiner quelque chose de farfelue. Parfois il était juste absent.

Ce troisième jour d'abstinence là, Kakashi était revenu à 19h contrairement à son habitude. Pour la première fois, il vit Naruto recroquevillé sur le canapé, oisif et le regard dans le vide. Il dût manifester sa présence avec un raclement de gorge pour que Naruto se réanime. Kakashi remarqua des cernes sous ses jolis yeux quand Naruto se tourna vers lui.

- Kakashi, on pourrait parler ?

Kakashi ne répondit pas tout suite, le fait de ne pas adresser la parole sauf en cas d'extrême nécessité était compris dans son plan d'action pour éviter de violer Naruto. Il s'agita donc un peu sur ses jambes en analysant le pour et le contre mais finalement il vota pour puisque c'est lui qui avait initié l'échange, il aurait juste pu directement aller à sa chambre.

- Qu'y-a-t-il Naruto, un problème ?

Naruto se caressa distraitement le bras car il se sentait mal à l'aise juste à l'idée de dire ce qu'il avait à dire.

- En fait, je ne sais pas si c'est le cas mais j'ai l'impression que tu m'évites.

Kakashi ouvrit la bouche pour protester mais aucun son n'en sortit.

- Ça fait maintenant quelques jours que je l'ai remarqué. Au début tu ne faisais que comme s'il ne s'était rien passé entre nous mais ça m'allait. Je n'en avais rien à faire d'être le seul à y penser à chaque fois que je te voyais mais au moins tu me parlais et ça me suffisait.

Non, non, alerte ! Alerte ! Sujet tabou évoqué. Kakashi ferma les yeux pour se concentrer afin de garder une expression impassible mais ces mots lui allaient droit au cœur.

- Il faut que je t'avoue quelque chose. Ce soir-là, au bar, c'était la première fois que je faisais cela. Tu sais partir avec quelqu'un qu'on ne connait pas et juste profiter. Je ne suis pas du tout du genre à faire des choses comme ça mais sache que... j'ai adoré. C'était l'une des meilleures nuits que je n'ai jamais passées. Je ne te connaissais pas du tout mais c'était agréable. Tu as été fantastique et j'étais déçu de voir que tu étais déjà parti le matin, je n'ai pas eu l'occasion de te remercier de m'avoir fait oublier cette horrible année.
- Naruto...
- Quand mon père m'a parlé d'un vieux collègue grincheux au cheveux grisonnants je ne m'imaginais pas quelqu'un d'aussi sublime.

Naruto eut un petit rire mignon après cette phrase mais il reprit sérieusement juste après.

- Ce soir-là, je... n'allais pas très bien. Tu pourrais dire "problème de gamin pourri gâté" mais mes parents ils ne sont pas au courant que je n'arrive plus du tout à suivre les cours, on pourrait dire que je suis un peu en échec scolaire et hmmm... aussi ils ne savent pas non plus que j'aime bien... Je veux dire, les filles ce n'est pas trop mon truc. Non, ils pensent plus que je file le parfait amour avec ma copine qui d'ailleurs me sort par tous les orifices de mon corps ! Elle m'énerve à m'embrasser partout et à m'obliger de faire tous ces défis à la con pour son profil sur les réseaux sociaux.
- Pourquoi ne pas simplement lui dire ?
- Je... J'ai bien essayé mais elle a sous-entendu qu'elle allait finir par dire à tout le monde que j'ai des penchants un peu étranges et je n'ai pas envie de me retrouver tout seul à nouveau.

Kakashi resta interdit pendant un petit moment, les yeux écarquillés (fermement décidé à ne plus laisser entrer cette garce chez lui) alors qu'il encaissait les aveux du garçon. Des penchants étranges ? Déjà que Kakashi lui-même était très étrange, était-il nécessaire de lui coller par-dessus le lot "penchants étranges" en admettant qu'il se considérait lui-même pédé comme un phoque. Il compatissait avec la situation de Naruto, le garçon se sentait insécure quant à sa condition et il avait peur d'être abandonné à cause de cela. Le cœur de Kakashi commençait à faire des loopings quand il regardait l'objet de ses rêves récents déprimer ainsi. Sa compassion commençait tellement à déborder qu'il imaginait plusieurs façons et positions pour rassurer Naruto.

- Je ne sais même pas pourquoi je te dis tout ça, tu dois sûrement n'en avoir rien à faire et avoir l'impression d'être obligé de m'écouter déblatérer n'importe quoi.
- N...
- Je sais qu'il ne se passera plus rien entre nous et tu dois même regretter de m'avoir touché mais s'il te plaît, ne m'évites pas. Cette nuit représentait beaucoup pour moi. Ne... Ne m'ignore pas.

Naruto était essoufflé à la fin de sa tirade. Il avait les joues toutes rouges et les yeux fatigués. Il avait tout dit. Malheureusement pour lui, son discours avait suscité exactement le sentiment auquel il s'attendait de la part de Kakashi. Même plus qu'il ne le pensait. Il l'a rendu ému, il avait envie de prendre Naruto dans ses bras, lui demander de lui faire ce sourire illuminé qu'il faisait tous les jours, le complimenter jusqu'à que Naruto devienne tout rouge. Puis lui faire des choses moins douces. Il se sentait capable de tout enchaîner, là, alors qu'il avait encore des courbatures de sa longue journée de travail. Mais Minato lui faisait confiance, il n'avait pas le droit de le trahir. Donc il ferma à nouveau les yeux, il inspira profondément par le nez, serra les fesses et s'en alla vers sa chambre d'un pas pressé en murmurant un "désolé" dans sa fuite. Il s'y enferma, décidé à ne plus en sortir jusqu'à sa prochaine heure de travail quitte à ne rien manger. Au moins il ne risquait pas de toucher à Naruto même s'il savait que cette nuit-ci, il ferait le rêve le plus chaud qu'il n'ait fait depuis des mois à propos de lui.

Il s'allongea sur le lit, un livre grand ouvert pour forcer son esprit à la lecture mais même les lettres commençaient à se déformer. Au détour d'une page, il vit les lettres commencer à se tortiller et tournoyer pour former un œil bleu puis sur une autre page, il pensa voir une paire de fesses en forme de prune mûre parmi les phrases. À croire qu'il devenait dyslexique. Il se tortura ainsi pendant un bon bout de temps puis il ne savait vers quelle heure, il finit par s'endormir.

Après, dans un flou et un réveil hasardeux, il se souvint avoir eu soif. Il se leva dans le noir complet : il ne se souvenait même pas d'avoir éteint les lumières. Il supposa qu'il faisait assez tard pour que Naruto soit déjà dans un sommeil profond. Il ouvrit la porte grinçante de sa chambre et d'un coup il était dans la cuisine ayant l'impression de ne pas avoir traversé tout le long couloir pour y parvenir. Verre d'eau à la main, il buvait mais n'avait pas du tout l'impression de d'hydrater. Il allait reprendre un autre verre quand il entendit un bruit venant du couloir. Quand il vérifia, il vit par la fente en dessous de la porte de Naruto que la lumière était toujours allumée. Il s'en approcha lentement, à pas feutrés et plus il réduisait la distance entre lui et cette chambre, plus le bruit semblait résonner.

Il n'y avait pas besoin de beaucoup d'imagination pour savoir ce que Naruto faisait debout si tard le soir quand on entendait "Ah", "Uhmm", venant directement de sa chambre.

Son sang fit un drôle de tour dans ses veines alors que son esprit surchauffait déjà à l'excès de scénarios envisageable que son esprit pervers lui concoctait à la seconde alors qu'il était encore dans son état confus de sommeil. Il devrait rationnaliser et se dire que ce gamin avait besoin d'intimité mais la seule chose qu'il entendait dans sa tête c'était une voix vicieuse qui criait continuellement "ouvre la porte ! Cette putain de porte, casse la s'il le faut. Il y a un cul qui a besoin de toi dedans !". Ce genre de conseil n'aidait pas vraiment la voix de la raison à se faire entendre. Le pire c'est qu'il savait comment on se sentait au contact de Naruto, comment il était chaud, comment il était doux et serré, serré et il le regarderait avec ses grands yeux bleus pour le supplier de lui donner toujours plus.

Dans ses rêves il avait déjà monté désespérément Naruto à plusieurs reprises et il aurait juré qu'il faisait exactement les mêmes bruits que ceux qu'il entendait en ce moment, doux gémissements et halètements bruyants. Kakashi sentit ses jambes trembler : l'effet que Naruto avait sur lui avait pris beaucoup trop d'ampleur, son désir le rendait malade. Pour ne pas s'écrouler il s'appuya contre la porte pour écouter en silence dans le noir et ce simple geste laissa libre cours à tous ses fantasmes. En ce moment, il avait envie de Naruto comme d'un besoin, c'était primitif et tortueux. Il haleta et posa sa tête contre la porte en fermant les yeux. Cette situation lui rappelait un rêve qu'il avait fait. Naruto se trouvait dans sa chambre chez lui, chez Minato et il faisait ces beaux sons là, il se trouvait sur les cuisses de Kakashi et avait l'ordre de ne pas bouger pendant que Kakashi le torturait avec sa main.

Soudain, il entendit Naruto gémir beaucoup plus fort et la main de Kakashi vint se poser immédiatement sur la poignée de la porte. Il imaginait déjà tout ce qu'il ferait à son joli corps souple, tout ce qu'il ferait quand il aura mis sa patte sur son corps chaud. Restait plus qu'à tourner cette poignée. Mais il n'en fit rien tel un vieux pervers qui surprendrait sa jeune voisine en train de se déshabiller. Spectateur.

Il sut qu'il avait perdu contre ce destin occulte quand il entendit Naruto l'appeler. Il ne pouvait encore dire si Naruto savait qu'il l'écoutait derrière la porte comme un voyeur ou non. L'appel était désespéré, son prénom était sorti comme une supplication dans ce flot de bruits extatiques. Mais Kakashi avait vraiment l'impression que Naruto l'avait supplié de venir pour s'occuper de lui, il réclamait sa présence. La voix dans sa tête repris de plus belle "Il y a un cul dedans, qui a besoin de toi !". Sa main bougea contre sa volonté...

Il ouvrit la porte en grand surprenant Naruto qui se redressa immédiatement sur son lit. Son fantasme vivant, trempé dans ses draps à la poitrine tonique en sueur sous le coup de la chaleur. Kakashi était loin mais il la sentait déjà, cette chaleur, qui émanait du lit, de partout. Il fut attiré par elle comme un insecte par la lumière, pistant l'odeur insoutenable des phéromones d'accouplement de sa femelle. Sa si belle femelle qui venait de l'appeler il y a quelques secondes. Naruto avait besoin de lui. Naruto l'appela encore. Kakashi n'était qu'esclave, il accourut comme tel. Il se rapproche, rapproche et grimpe sur le lit, les yeux rivés sur la forme humide et haletante de Naruto. Il avance à califourchon jusqu'à lui, se rapproche avec un regard purement animal qui effraie quelque peu Naruto et en même temps l'excite encore plus, fait circuler de la lave dans ses veines. Kakashi ne s'arrête que quand il surplombe complètement le corps mince de Naruto et se retrouve nez-à-nez avec lui, leurs visages à seulement quelques centimètres l'un de l'autre. A cette distance, il était facile de détailler l'expression du blond : débauché, complètement à sa merci, prêt à être dévoré.

Il retire le drap qui cachait le reste du corps de Naruto, d'un geste brusque, sans le quitter des yeux. Il ne savait pas que c'était possible mais l'adolescent rougit encore plus, ses joues virèrent au rouge brique et il entrouvrit ses lèvres. Il était gêné d'être aussi vulnérable, exposé ainsi sous le regard de Kakashi. Il avait honte de sa verge dressée contre son ventre qui larmoyait entre eux, palpitait sans pudeur sous le regard sombre et insistant de l'homme aux cheveux argentées. Le bout de sa queue était rouge, rouge et suppliait l'attention et ses cuisses toutes aussi rougies clamaient "s'il vous plaît !". Si ça ce n'était pas un appel, Kakashi ne répondrait plus à rien. Il ne savait pas par quoi commencer pourtant tout était à sa disposition pour profiter de Naruto comme il le souhaitait. Y'avais trop de choix justement. Il repensa à la paille avec laquelle Naruto buvait, puis la chambre chez Minato, son livre. Il pouvait réaliser n'importe quoi en ce moment.

- Continue, ordonne-t-il d'un ton doux.

Sa voix était cassée, il semblait déjà brisé à l'idée de voir ce spectacle, il n'arrivait même plus à avaler sa salive correctement. Naruto ne comprit pas tout de suite la demande, il demeura figé la bouche ouverte en le regardant. Kakashi réitéra sa demande en glissant ses paumes sur les cuisses chaudes de Naruto. Le blond fit grisé par le contact et le manifesta en se crispant, le souffle bloqué. "Touche-toi Naruto devant moi, je veux voir !". Kakashi fit pression sur les cuisses et naturellement, Naruto vint écarter ses jambes et laisser l'homme plus âgé avoir une vue sur toute sa partie intime. Et Kakashi ne s'en priva pas, il le cribla de son regard lubrique en se mordant la lèvre inférieure. Il lui était enfin permis de toucher, donc il toucha, il palpa la peau douce des cuisses en remontant vers les fesses, vers cette obsession qu'il avait depuis plusieurs semaines. C'était de plus en plus chaud et humide mais ça restait étonnamment doux, cela lui donner envie de mordre et de manger. De boire aussi. Bon sang il avait encore soif.

"Fais comme si je n'étais pas là... Ou..." Indique-t-il en se léchant la lèvre inférieure, les yeux rivés sur le membre pulsant de Naruto. Puis il reprit avec un sourire malicieux "comme si j'étais derrière la porte".

Naruto hésita un moment, le temps d'assimiler tous les évènements. Kakashi, qu'il adorait, l'avait finalement rejoint. Cet homme sur qui il fantasmait et dont il avait continuellement envie lui demandait de se toucher. Il le fit. Il rejeta sa tête en arrière et s'affala sur l'oreiller pour ne pas à avoir regarder l'autre dans les yeux et ainsi éviter la honte qu'il ressentait à faire ça. Puis enfin il fit glisser ses doigts jusqu'à ses jambes écartées. Il vérifia vite fait si Kakashi suivait toujours : oh oui qu'il suivait. Il le touchait lui-même de son regard. Son attraction réciproque était palpable, physique. Naruto retint son souffle et revint surveiller le plafond. Il se prit en main et tira dessus.

"Oui" souffla Kakashi en le regardant se tortiller et replier ses jambes. "Oui, oui, continue... Tellement beau"
Naruto tremble sous sa prise, il halète, se débat avec sa respiration sifflante. Sa main glisse en avant sur lui, vient polir son gland et redescend. Petit manège que Kakashi suit des yeux, le souffle bloqué et les doigts profondément ancrés dans les cuisses du blond. Il ne se souvenait pas d'avoir déjà vu quelqu'un se branler et être aussi chaud en même temps, c'était magnifique. Oui son avis était subjectif mais il trouvait ça beau, c'était putain de délicieux. Kakashi retire la main de Naruto et la remplace par la sienne. C'est à lui, il prend ce qu'il est venu chercher. Il enroule sa main autour de l'érection et tire dessus sans pitié. Il aime comment Naruto se cambre quand il le touche enfin, comment il supplie en se précipitant dans la poigne de Kakashi en rejetant la tête en arrière, ses belles jambes grandes ouvertes. Les yeux de Naruto s'ouvrent en grands et les larmes retenues coulent sur ses tempes alors qu'il vient dans sa main. Le corps secoué de spasmes hésitants pour réguler l'amas de plaisir qu'il reçoit. Kakashi le trait jusqu'à que Naruto se ramollisse dans sa main. Il semblait cassé à la fin, complètement mou, les yeux qui peinent à rester ouverts et ses cheveux en bataille qui partaient à présent dans tous les sens. Encore une fois, c'était magnifique.

Pendant que Naruto reprend ses esprits, Kakashi visite son corps. Il glisse ses longs doigts blancs jusqu'à cet endroit, celui qui est chaud et qui sera à lui pour ce soir. Le joli trou serré de Naruto qu'il avait pris facilement l'autre soir. Il appuie son doigt contre et fut étonné de sentir un objet dur, du métal, un matériau qui avait chauffé à cause de la température entre les cuisses de Naruto. Il crochète ses doigts autour de l'objet et tire. Le métal fait un bruit visqueux en se décollant et Naruto pleurniche en sentant l'objet bouger en lui.

Kakashi le laisse la. Il se mord violemment la lèvre en envoyant une prière à n'importe qui étant apte à l'entendre. Ce gamin sera ma mort, s'en ai fini de moi, qu'on m'apporte la potence. Il écarte les joues de cul de Naruto pour voir le reflet de la lampe au plafond sur le petit rond qu'était la poignée du plug anal fiché dans le trou. Tout était humide autour, peut-être à cause du lubrifiant, beaucoup de lubrifiant. C'était du lubrifiant, c'était parfumé.

- Naruto, pourquoi tu me fais ça ? Tu t'es préparé ?
- Je t'attendais, murmure Naruto en le regardant de ses deux océans miniatures troués par des pupilles largement dilatées avec un moue mignonne à souhait.
- C'est mal, tellement mal.

Kakashi appuie sur l'objet en parlant. Il l'enfonce dedans.

"C'est mauvais, on ne devrait pas." Ajoute-t-il en appuyant plus fort avec une telle pression que Naruto se retrouve forcé à refermer ses jambes dans un grognement bas. "On ne devrait pas".

Kakashi accroche ses doigts au plug à nouveau et le retire tout doucement. Le bruit visqueux est assourdissant et l'excite à un point inimaginable. Il l'enlève en examinant l'entrée de Naruto quand elle se distend autour de la partie évasée de l'objet. Cela fait maintenant longtemps que Kakashi était dur... et excité, et... il n'y a pas eu besoin de grand-chose pour ça. Mais là, son pantalon contient une nouvelle forme de roche. Qui tire sur son boxer de nuit de manière à former une silhouette évidente. Il vient presser tout cela sur l'entrejambe de Naruto et le blond sursaute au contact. Kakashi lui agrippe les cuisses et l'ouvre encore plus, il en est à coller les genoux au matelas. Cette position allait sûrement donner des crampes à Naruto mais il ne s'en souciait plus du tout. Tout ce à quoi il était réduit, c'était le trou de Naruto, chaud comme un cratère, pulser contre sa bite couverte.

- Kakashi, s'il te plaît. S'il te plaît, vas-y !

Le plus âgé regarde l'adolescent commencer à s'agiter en dessous de lui, à mouver ses petits orteils dans tous les sens et serrer ses doigts autour de ses prises sur le drap. Il bougeait ses hanches désespérément pour que la friction s'accentue, dans le besoin. Il n'y avait plus à penser à l'éthique, il était déjà foutu, si profondément foutu. Il devait arrêter Naruto et ses supplications, sa plus grande faiblesse, le bourrer de bite jusqu'à ce qu'il se taise.

Kakashi l'embrasse, il écrase sa bouche sur l'autre, mord dedans et se retire en tirant sur la lèvre du bas avec ses dents. Les mains de Naruto quittent les couvertures en urgence et rattrape Kakashi par la nuque. Il l'oblige à revenir et au lieu de l'écraser, cette fois-ci, il l'étouffe dans son baiser. Kakashi passe sa langue partout, il trace le contour du palais du blond et la traîne majestueusement sur les lèvres gonflées. Il y fait un gros désordre humide qui va droit vers la bite endormie de Naruto. Un beau carnage qui commence à se répandre sur la gorge. Il y gratte ses dents. Le blond appréhende, le corps plié en deux avec le poids de Kakashi sur lui. Son cerveau semble fondre et commencer à dégouliner par ses oreilles car il sentait une chaleur bouillonnante dans sa tête prendre la place des "pensées rationnelles" qui devait supposément y être présente. Son ventre se noue et se desserre continuellement alors que Kakashi fait traîner le membre mou qu'était sa langue tout le long de sa jugulaire. Naruto crie quand Kakashi décide finalement d'y planter ses dents. Il se retire et il mord autre part. Naruto crie encore. Kakashi adorait ça. C'était bon d'entendre ce son. Cela lui faisait mal à la bite mais d'une bonne façon. Il appuie plus fort son bassin contre le cul de l'adolescent, c'était satisfaisant.

- Naruto, je fais quoi... Qu'est-ce que je dois faire de toi ?
- Baise-moi déjà, on verra après.

Il l'avait répondu précipitamment. Sans réfléchir. Kakashi savait qu'il était de nature à supplier pour en avoir plus. La dernière fois, ce fut rapide, désordonné et d'une part... Sauvage. Maintenant c'était question d'assouvissement de pulsions (très longtemps refoulées), langoureux mais avec des désirs tout aussi primaires.

- Impatient.

Naruto se retrouve ensuite avec deux doigts en lui qui le fouille. Qui l'ouvre, s'occupe de terminer le bon travail de l'objet en métal.

- Naruto.
- Humm.. ?
- Je ne te ferai pas de cadeau.
- Je n'en ai pas besoin, juste... Vas-y. Putain, prends-moi.

Kakashi retire ses doigts. Parce qu'il avait assez attendu. Il allait se mettre à pleurer s'il devait encore faire attendre sa bite douloureusement gonflée.

- S'il te plaît, supplie une énième fois Naruto.

Kakashi retire son t-shirt à la hâte et l'envoie décorer la veilleuse. Il picore les lèvres de Naruto. Il enlève son boxer. Et vient mordre la chair d'épaule de Naruto. Enfin il lui semblait être en train d'étancher sa soif. Il boit, à grande gorgée, et il y a assez à boire pour toute la nuit. C'est effectivement très sucré et en même temps salé. Ça sent les épices aussi. Avec un soupçon de noix grillées. Putain mais qu'est-ce que je raconte ? Il commence à être bourré aussi ?

"Tu penses que si on s'était connu plus tôt..." Demande-t-il en se léchant les lèvres à Naruto qui louchait sur sa bite en bas. "J'aurai été ton grand frère ?". Naruto regarde Kakashi quand il pose cette question inattendue et il répond "je m'en fiche", "s'il-te-plaît !".

L'instant d'après Naruto se trouvait à l'envers, de dos, les genoux plantés dans le matelas. La tête enfoncée dans l'oreiller. Les bras en l'air, les jambes écartées, les cheveux de travers.
Kakashi vint se poser sur les fesses de l'autre. Il y dépose sa bite, sur le creux de son cul et récupère les poignets de Naruto pour en faire son licol. Il regarde tout ça et se maudit d'abord. Quel connard il faisait. Un beau bordel pour un beau connard. "J'aurai été un mauvais frère de toute façon".

Après il mit son cerveau sur pause définitivement pour la nuit et il s'engouffra dans le trou grand ouvert. Naruto se cambre, la bouche ouverte dans un état de choc, silencieux. Il se crispe en laissant échapper une larme. Il tourne sa tête vers le côté et souffle un grand coup.
Kakashi le regarde et désapprouve la réaction. Il voulait du bruit. Il serre encore sa prise sur les poignets de Naruto et il claque dedans, les faisant valser en avant. Et là il eut le bruit qu'il voulait. Un gémissement de salope, bien accueillante. Un dans le genre qu'il voulait entendre pour savoir si Naruto était prêt à prendre docilement ce qu'il méritait. Des petits mouvements de hanches lui font comprendre qu'il pouvait enchaîner.
"Enfin" crie le cerveau de Kakashi avant de retourner dans son état d'hibernation à nouveau. À genou entre les jambes de Naruto, il se gaine et ne pense pas à la délicatesse. Il va de plus en plus vite, travaille en profondeur. Il creuse en Naruto comme s'il devait y trouver quelque chose, au fond. Il devait aller le récupérer toujours plus vite. Il ne détachera pas son regard de ce cul qui rebondit sur son abdomen. Il se rend compte qu'il ne regarde pas trop Naruto dans les yeux quand il est en train de le foutre. Ce n'est pas grave, il le regardera après.
Naruto couine sous lui, c'était désespéré comme bruit. S'en était presque drôle. Il ne ressemblait plus à rien, désarticulé sous sa prise. Mais il restait mignon.

Petite pensée pour Minato "je suis désolé".

Puis Kakashi se penche sur le corps de Naruto, dépose son poing à côté de la tête blonde et accélère. Il était à la limite de la violence. Kakashi ne le laissera même pas respirer. Naruto respirera demain. Pour l'instant, Naruto essayait de suivre la cadence. Ce n'était pas évident, Kakashi allait tellement vite qu'il lui semblait avoir affaire à une machine, qu'on aurait allumé trop fort pour un gamin novice dans son genre. Naruto retire une de ses mains de la poigne de Kakashi et s'accroche farouchement au bras à côté de sa tête. Il le prend comme un repère quand il se perd dans les coups de butoirs de l'homme plus âgé : c'était horrible. C'était parfait.
Kakashi plonge sa tête dans son épaule et l'embrasse partout sur la nuque. Naruto entendait la respiration rapide et les gémissements contrôlés, timides de Kakashi près de son oreille, totalement cachés par les siens. Il essaie de se taire pour l'écouter : il adore sa voix. Il adore tout chez lui. Il aime ses cheveux gris. Ses grandes mains, son odeur... Il aime tout. Il l'aime. Vraiment.

Kakashi s'arrêta. Il se releva et tira Naruto avec lui. Le blond se plaignit en agitant ses hanches dans des mouvements nécessiteux pour indiquer qu'il ne voulait pas du tout que ça s'arrête. Mais Kakashi voulait faire mieux encore, il le tira hors du lit. Il attrapa Naruto par les cuisses, le souleva du sol et le plaqua durement contre le mur. Le blond geint à la douleur occasionnée par cet emballement, surpris et brusqué. Il s'accrocha de toute son âme à Kakashi, il tremblait de tout son corps, une étrange maladie s'était emparée de lui, il avait de la fièvre, c'était certain. Il ne savait même pas d'où Kakashi trouvait la force de le porter alors que lui ne tenait sûrement plus sur ses deux jambes.

Deux mains sous ses genoux, épinglé obscènement au mur, ouvert en grand, Naruto était prêt pour la suite. Kakashi le troua contre le mur. Et ça fit un bruit sonore dès la première claque. Naruto ne s'y attendait pas, le coup avait été droit et puissant. Il serra Kakashi contre lui pour trouver un ancrage. Il lui embrassa la gorge à son tour. Kakashi réajusta le corps de Naruto contre le mur et il le prit à nouveau. Naruto ne voulait pas que ça s'arrête. Jamais. Il le voulait bien au fond de lui pour l'éternité, niché entre ses fesses. Grinçant contre sa prostate pour le rendre toujours plus fou.

Kakashi savait que c'était sur le point de terminer. Il sentait son plaisir s'amplifier au fur et à mesure, il ne tiendrait plus très longtemps. Il était rapide. Il l'avait dit "il ne ferait pas de cadeau". C'était dur... et sale. Il l'avait voulu ainsi. Il s'en fichait que Naruto n'arrive plus du tout à suivre. Tout ce qui comptait c'était que cette débauche se termine mais continue pour toujours. Naruto ne se plaignait pas quand Kakashi frappait un peu trop fort ou le mordait avec trop d'enthousiasme, Kakashi le savait ; Naruto prenait tout sans se plaindre, il l'avait remarqué la dernière fois. En ce moment, c'était pareil, si le blond ressentait de la douleur, il en faisait abstraction et se focalisait sur le plaisir qu'il en tirait. Kakashi n'avait aucun mal à imaginer Naruto dans une séance sadomaso, ça lui irait bien, il le notait pour plus tard (au cas où).

Les bras de Kakashi s'engourdissaient à force de maintenir Naruto en place. Sa prise glissait mais il ne décélérait pas, il voulait ruiner Naruto, il avait réussi, à présent il fallait qu'il le termine. Au moment où son plaisir culmina, il jeta un coup d'œil à l'expression du blond et ce qu'il vit lui fit l'effet d'une claque. Des joues rouges et le visage en larme. La tête blonde reposait sur son épaule. Il avait la bouche entrouverte pour laisser ses sons s'en glisser. Quand Naruto se rendit compte que Kakashi le fixait, il leva la tête et lui rendit son regard. Il était extrêmement expressif ; quand quelque chose lui plaisait, son sourire le faisait savoir, quand il était en difficulté, ses larmes le faisaient savoir, quand il était débauché, ses jolis yeux le faisaient savoir. Regarder Naruto dans les yeux rendait le rapport tellement plus intime, c'était comme... Comme si le temps ralentissait enfin et qu'il pouvait parler -mais en pleine baise-.

- J'accélère ? Demande Kakashi.
- Tu ne peux pas...

Naruto gémit fort en rejetant sa tête en arrière parce que Kakashi avait donné un coup sévère en lui.

- C'est pas possible de faire plus rapide.

Kakashi continua sur son rythme, regardant Naruto comme si on venait de lui poser un défi.

- Accroche-toi.

Kakashi vint enrouler les jambes de Naruto autour de sa taille et prenant le blond au dépourvu, il vint lui serrer le cou, sans douceur. Et si Naruto s'était demandé si Kakashi pouvait être plus rapide, la réponse était oui. Ses entrailles malmenées en étaient la preuve. Il ne s'en remettra pas avant quelques jours de cette baise-là. L'autre bras de Kakashi descendit sur le corps appuyé contre le mur et saisit le membre de Naruto dans le creux de sa paume. Il en avait fini avec lui, il y avait mis toute son énergie. Naruto avait les yeux grands écarquillés quand il vint pour la deuxième fois, dans un cri étouffé, les mains serrées autour du bras qui tenait sa gorge. Kakashi le laissa tomber à terre comme une masse et vint ramasser sa tête par ses cheveux blonds après. Naruto avait la tête lourde de fatigue mais il regardait, les yeux entrouverts, Kakashi se pomper rapidement devant son visage. Il pensa au fait qu'il commençait à tomber amoureux de la bite de Kakashi aussi. Et il ferma les yeux à temps pour ne pas se recevoir les enfants de l'homme dans ses yeux.

_______________

Inspirée

Y'a encore un chapitre après ça. A dans quelques mois les gens. ¯\_(ツ)_/¯

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top