Prise au piège


Aylan

Villa des Tawfik, 23h56

Je longe les couloirs de la villa luxueuse de mon père en attendant que ma peine passe. C'est rare que je touche à la drogue. Je préfère fumer c'est moin nocif. Enfin je crois. Évoquer mon passer je déteste ça. Alors pourquoi j'ai parler de ça à elle ? J'étais drogué et elle, légèrement bourré. Aucun de nous ne se souviendra de cette conversation, et tant mieux.

La villa est vide. J'adore le silence qui y règne. Ça n'a pas toujours était le cas avec les nombreuses disputes entre mon frère, mon père et moi. Je l'ai est laisser seule, ils vont faire connaissance comme le veux mon père. C'est lui qui me l'a ordonner. C'est pour ça que j'étais de sortie ce soir. La ramèner à l'extérieur du bateau et la distraire le temps qu'il arrive. Je ne sais pas pourquoi mais ça a avait l'air important. Enfin, il a cas la tuer ça me faciliterai la vie. Pendant le procès elle était confiante mature et elle dégageais un aspect de femme fatale et séduisante. La cocaïne fait encore effet pour que je pense des merdes comme celle-la.

Je me dirige vers le jardin c'est là que j'aime me retrouver moi et ma chienne. Une border Collie. C'est le dernier cadeaux que ma mère a pu me faire avant de quitter ce monde. Elle a les yeux gris comme elle l'ai avait. C'est l'une des plus belle choses sur ma mère et pu me transmettre. Elle disait que mes yeux ont l'air sombre de loin et vulnérable de près. Je n'oublierai jamais son odeurs. Ce doux parfum de vanille qui m'apaisais à chaque fois que j'étais à ses côtés.

J'observe le ciel regardant les étoiles. Ma mère m'avait appris certaines constellations à l'époque. Elle adorait regardait le ciel se coucher. Observer la formes des nuages et se lever plusieurs fois de la semaine pour assister à l'aube. Chose que je fais toujours aujourd'hui. Je suis sortie de mes pensée par un cris me glaçant le sang. Un crie de femme. Tous le personnel est partie à cette heure là, ça ne peut être que Kahina. Merde qu'est ce qu'il a bien pu lui faire ? J'éteins la cigarette que je venais d'allumer. Elle me fait chier cette nana. J'y vais juste pour m'assurer qu'elle n'est pas danger. C'est comme ça que ma mère m'a élever.

Les cris stridents continuent de résonner dans les couloirs et semble venir du sous- sol. Je descend les escaliers qui mène à ce dernier et ouvre la porte me menant à une pièce sombre où est présente ou se trouve Kahina.

Kahina

Merde ! J'ai demandé une personne saine d'esprit et on m'a rapporté le plus gros détraqué et en plus drogué. Son père continue à m'enfoncer la lame et je continue à hurler. Cette douleur me rappelle mon traumatisme. Son père prend la parole et se tourne vers lui.

- Ah mon fils, tu tombe bien tu va m'aider tient prend la hache derrière moi et mes la au dessus du feu.

Il va faire quoi la ? Me couper un membre ? Famille de détraqué. Aylan regarde son père en étant abasourdie. Il ne bouge pas. Son regard alterne entre son père et moi. J'espère qu'il se souvient de notre discutions, il sait que c'est mon traumatisme. J'espère juste qu'il a bon cœur. Non, qu'il a un cœur.

- Tu attend quoi la ?

Son fils se saisit de la hache. Mes larmes ne coules plus, a vrai dire je n'arrive même plus a en fabriquer. Mes yeux sont rouges, secs, ils me démangent. Mais les mains ligotées ne peuvent pas les toucher. J'observe la hache au bout brulant. Son père prend le parole.

- Ton père me doit ce que tu ne pourra jamais me rembourser. Il a des dettes envers moi. Malheureusement il est mort. Et tu sais a qui vient cette dette. Ses héritiers. Au début je voulais m'en prendre à ta mère, mais elle n'est même pas en état de marcher. Donc naturellement c'est toi qui me doit les dettes de ton père. Tu va m'écouter attentivement sans contester sinon tu va te prendre un léger coup de hache.

Je le dévisage lui et son fils avec de la haine dans mon regard. C'est un cauchemar, cette scène est fictif ça ne peut pas exister. Réveille toi Kahina. Il s'approche de moi pour voir si je suis toujours consciente, je crois. Pour lui confirmer que oui je lui crache à l'a gueule. Il arrache la hache des main de son fil et frappe violemment mon genoux. Ce dernier saigne abondamment. Il se redresse en essuyant son visage. Puis prend la parole ;

- Je crois sur tu n'a pas compris que ta vie est  être entre mes mains. Écoute moi bien ! Tu va retourner dans ta banlieue de merde, trouver ce que je t'ai demander. Et une fois que c'est fait peut être, je dis bien peut être, que tu n'aura plus ma pression sur tes épaules. Compris ?

Je le regarde mal, je suis son chien pour lui répondre ?

- Parle maintenant petite merde. !

Il ne perd pas de temps et ordonne à son fils de m'assommer. Il a dis cette phrase en arabe, mais je l'ai compris. J'essaie de me lever de cette chaise, mais je n'y arrive pas. Je suis enchaîné à cette putain de chaise. Il est debout face à moi , avec sa grande  carrure. Ses yeux gris me bercent .

- Aylan ? TU ATTEND QUOI MERDE ? Fait ce sur je t'ai dis !

Il lève une arme sortie de nulle par. Il va me tuer ? Je ne vois que des grands yeux gris m'observer. Ses yeux sont rougis par la drogue ou autre chose ? Je ferme doucement les yeux m'attendent au pire. Et trou noir. Plus aucun bruit autour de moi. J'entre dans un sommeil profond.

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