*Chantonné*

Il-y-a-dans-mon-esprit... Des-gens-que-je-ne-connais-pas. Vais-je-les-tuer ?

Vous-m'appartenez. Je-vous-hais-tous. Tout-est-de-votre-faute.

Par-qui-vais-je-commencer ?

Le plus petit me parait si... inoffensif.  Les éléments t'appartienne mais tu ne les maitrise pas tous pauvre idiot. Tu es inconscient de la vie. Après tout, si je te l'ôte... Ça ne changera rien. Tu n'as jamais eu de vie. De misérable vie. Enfin si, une fois, il y a longtemps, tu as eu ce que l'on nomme une famille. Mais mon pauvre idiot, toute cette joie en toi  s'est envolée et même ça tu ne l'accepte pas. Si je te tue, si tu meurs, tu me rejoindra. Tu seras à MOI. Mais... J'aimerais m'attaquer à d'autres que toi. Je te garde pour plus tard. Ta mort sera... Cruelle tout comme le reste de ta vie. Tu mourras dans la souffrance. Loin de tous. Tu subiras ce que j'ai subi. Même pire car tu le mérite.

PDV NATHAN :

Il était 23h15. Il faisait nuit dehors. Il faisait sombre. Pas même un rayon de lune dehors. J'étais seul dans ma chambre. Mon camarade de chambre n'était pas là. Adopté ? Il suffit de quelques jours en voyage pour je me retrouve à nouveau seul ,comme toujours. Les lourds et sombres rideaux étaient à peine entrouverts dans ma chambre sinistre. Seul quelques bougies éclairaient ma pièce. J'ouvris une petite boîte dans laquelle quelques souvenirs restaient. Parmi eux, une photo. Ma mère, mon père et ma sœur. J'avais récupéré en héritage, juste cette boîte. C'était tout ce qui me restait de ma famille. De mes proches.

De ma vie.