Chapitre 9

Chapitre 9

J’entre dans la maison, une fois arrivée, seulement pour déposer mon sac et ma boite à lunch. Je m’apprête à repartir quand ;

« Hum Tu t’en vas où comme ça ? » Cette phrase provenait bien sur de ma mère. Alors, je me retourne. Je la vois avec son tablier. Elle devait surement cuisiner.

«  Dans le bois en arrière de la maison. »

« Voir ton ami imaginai…heu je veux dire ton….co..copain ? » Essayait-elle de dire le plus poliment possible, mais ça se voyais très bien que ça la dégoutait d’un certain sens.

« Il s’appelle Anatole !! » dis-je pour le défendre. Elle pourra au moins l’appeler par son prénom.

Elle hoche la tête.

« Bon j’y vais ! »

« Non, non, non ! Tu reste ici. Il annonce un orage violant se soir.» Orage ! Orage ? Il fait super beau dehors ! Ça se voit tellement qu’elle prend cette excuse pour que n’aille plus le goût d’aller dehors, mais ça ne marche pas ! « Et puis je suis certaine que nous pourrions discutez toute les deux tranquille !» continue-elle pour essayer de me convaincre encore plus.

«  Je n’ai rien à te dire. » avouerai-je bêtement.

Elle était plutôt douce, mais après mes parole, je vois très bien qu’elle n’a pas aimez ça du tout. Elle reprend son plus bel air bête. Je retrouve la mère stricte, bête comme ses pieds et stricte que je connais… Son regard est si persan.

« Premièrement on change de ton jeune fille et deuxièmement, sois tu reste ici et qu’on parle sinon si tu n’en a pas envie  tu vas dans ta chambre et tu y reste toute la soirée. Compris ? »

Je hoche la tête. Je crois que je n’avais pas le choix de dire oui. Je prends donc l’option deux. Je prends les choses que j’avais déposé il y a 5 minutes et va dans ma chambre.

Je me jette sur mon lit. Tout cela me décourage… J’aurai besoin d’être avec Anatole là maintenant… Je voudrais qu’il me peine dans ses bras et qu’il me change les idées. Je voudrais qu’il m’embrasse et qu’il me dise que je suis belle… Qu’il me fasse rire de n’importe qu’elle façon… C’est ce qu’elle ne comprend pas. J’ai besoins de lui… Mais veux,  veux pas, je commence à croire que c’est qu’il n’existe pas… Je sais ma mère fait ça pour mon bien être, mais ça m’énerve ! Ce n’ai pas en m’obligeant à ne pas le voir que je vais l’oublier ! C’est l’homme de mes rêves ! Je ne peux rien faire… Je les peut-être inventer dans ma tête, mais qu’il avait peut-être une raison ? Je me sens seule et je n’ai pas vraiment d’amis... Je ne sais pas trop. Mais peut importe, je l’aime et il m’aime. Je ne me casse pas la tête.

Un bruit me fait sortir de mes pensés. Ça vient de la fenêtre. Ça sonne comme un oiseau qui vient de se fracasser la tête dans la vitre de la fenêtre. Puis, un autre. Coup dont, c’est l’heure des suicides d’oiseaux ! Après quatre autres coups dans ma fenêtre, je me lève et va voir. J’ouvre les rideaux qui étaient fermé. Je vois Anatole, mon citron à la vanille, un  peu plus loin qui a une poignée de roche dans les mains. Il me voit et me fait un sourire.

J’ouvre alors la fenêtre. Il s’approche en voyant se que je fais.

« Qu’est-ce que tu fais là ? » lui demandai-je. Je suis contente qu’il soit là, mais pourquoi il vient cogner dans ma fenêtre de chambre avec des roches. Et pour comment il a fait que cette fenêtre est celle de ma chambre ?

«  Tu n’es pas venu me voir encore aujourd’hui alors je me suis demander ce que tu faisais puisque tu m’as dit hier que tu venais me voir aujourd’hui ! »

«  Ah t’es fin !! Mais en fait ma mère ma obliger de rester ici… faut que je t’en parle justement… » Lui dis-je.

« Ah oui ? Ok ! »

«  Viens entre par ici ! Fait toi le plus discret possible ! S’il te plait ! »

Il hoche la tête. Je me pousse de la fenêtre pour laisser de la place à Anatole. Il se plie quasiment en deux pour enfin réussir à entrer dans ma chambre par la fenêtre. Une fois debout. Nous nous retrouvons face-à-face.

« De quoi voulais-tu me parler ?  » Me demande-il.

« Hum avant, est-ce que je peux te coller ? »

« NON ! » réplique-il sarcastiquement. Il rigole. Puis, ouvre grand ses bras prêt à m’accueillir à l’intérieur. Je lui souris et va vite me coller contre lui. J’avais besoins de ce câlin. Puis, je posa mes lèvre sur les siennes. Même si la dernière fois que je l’ai vu c’étais hier, je me suis ennuyer de lui. On se décolla tranquillement.

« Ça va mieux ? » me demande-il avec un supons d’inquiétude dans sa voix.

« Oui ! Mais j’ai une question comment tu as fait pour savoir que cette fenêtre mène à ma chambre ? »

Il se mit un grand sourire au visage.

« C’est simple ! Le soir, je viens me percher sur un arbre qui est le plus prêt de la frontière du bois et de ta cour. Puis, je t’observe quand tu ne ferme pas tes rideaux ! Je te vois lire, peindre et dormir ! » Me dit-elle avec un grand sourire aux lèvres.

 Une chance que quand je me change  je ferme mes rideaux même si ma fenêtre mène vers les bois !

«  Ah ! Ah ! Voilà ton secret ! » Dis-je en rigolant.

« Mais sinon tu devais me parler ? » me demande-il.

Oh oui c’est vrai ! Je lui fais signe que oui. Je m’assois sur mon lit en tapotant de lit près de moi pour qu’il vienne s’assoir. Il m’écoute et viens s’assoir très près de moi. Il pose ça met sur ma cuisse et je me lance.

« Hum tu préfère doux ou directe ? »

Je vois dans ses yeux de l’inquiétude et du questionnement.

« Directe. » finit-il par dire avec assurance.

«  Ok, ma mère ne te voit pas. »

«  Quoi ? »

« Ma mère ma vu au parc parler seul… donc, elle ne te voit pas. » Je baisse les yeux. Disons que m’aurai passé d’annoncer ceci à l’homme de ma vie…  

«  Mais c’est impossible ! » Lâche-il.

Je lui explique alors en détails tout ce que ma mère m’a dit,  tout ce qui est arrivé à l’école les yeux baissé regardant le sol.

Je sens la main d’Anatole de déplacer de ma cuisse à ma main. Je lève les yeux pour le regarder. Il ne dit rien et se contente de regarder nos mains.

«  Qu’es-ce que tu en pense toi ? » dis-je en cassant le silence.

«  L’important c’est que nous nous aimons, non ? » répond-il avant de m’embrasser. Ce baiser est tendre et doux. Cette réponse ne me satisfait pas mais je laisse tomber. J’imagine que je vais comprendre un jour…

« Est-ce que tu es venu à l’école aujourd’hui ? » lui dis-je après le baiser.

« …oui…» répondis-il en laissant tomber son regard sur nos mains encore une fois.

«  je ne t’es pas vu ! »

« …ha ben c’est que….je vais dans une autre école…» il ne semblait vraiment pas sûr de lui. Alors, j’essai de l’aider en répondant ;

« Monseigneur-Pierre-André ? »

Il releva ça tête pour me regarder.

«  Oui c’est ça ! »

«  Demain, on pourrai se rejoindre pour y aller ensemble ! Cette école est juste à côté de la mienne ! » Ça serai vraiment amusant de se rentre à l’école ensemble !

Ses yeux deviennent grands. Qu’es-ce que j’ai dit ?

Il s’apprêtait à répondre qu’elle que chose, quand j’entends ma mère cognée à ma porte de chambre.

Je me mets à paniquer. Je chuchote à Anatole de vite se sauver par la fenêtre. Mais il ne semble pas comprendre mes signes.

«  Sauve-toi par la fenêtre ! Vite ! Elle va entrer ! » Chuchotai-je. Je lui fais signe de se dépêcher.

« Hum Cloé ! À qui est-ce que tu parle ? » C’est la voix sévère de ma mère.

Je sursaute et me retourne à toute vitesse. Anatole n’étais pas complètement sortie. Alors, je me mets devant.

«  Rien  voyons ! » Je suis sûre qu’elle sait que je mens.

Elle fait des yeux qui disent très clairement « Je te donne le bénéfice du toute, mais tu es vraiment bizarre ! ».

« Ok … » répond-elle. Puis, elle ferme la porte et me laisse seule.

Ouf ! Grosse journée ! Je m’effondre sur mon lit.  Et je pars dans les bras de Morphée…

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Wow merci vous êtes 120 à lire mon histoire !  Si vous aimez partager s'il vous plait !

Merci !

 

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