Chapitre 7

 Bip ! Bip ! Bip !

 J’appuis immédiatement sur mon cadran pour le faire taire et ouvre les yeux. Je me lève de mon lit. Il est 7:00 et je dois me préparer pour aller à l’école. Bien honnêtement, je n’ai pas du tout envie d’y aller. J’aimerai mieux rester ici et être avec mon citron à la vanille  (Ça me fait bizarre l’appeler comme ça !) !! Je vais dans la cuisine. Ma mère est déjà partie à son travail ! Je vais avoir la paix ! Après que j’aille manger mon déjeuner, que je me suis habiller, que je me sois brosser les dents et les cheveux, je suis enfin prête.

 Une fois arrivé à l’école, une dame accueille chaque élève qui entre dans l’école. Lorsque que c’est à mon tour, la dame me donne le numéro de mon casier, mon horaire et mon agenda de cette année. Je la remercie et essais de trouver ma case. J’ai un peu de mal à la trouver. Les casiers sont éparpillés un peu partout dans les couloirs. Je la trouve enfin ! Mais juste à côté, se tiennent quatre filles qui ne semblent pas trop aimable… Quand elles me voient arriver, elles ricanent et se disent des choses tout basses. Je sais qu’elles parlent de moi, mais je n’y porte pas attention. Jusqu’à se qu’il en a une qui commence à me parler ;

 «  Salut ! » me lance-elle avec les petits rires de ses amies derrière elle. Je sais qu’elle veut me niaiser alors je n’y porte pas attention.

 «  Salut ! Je te parle ! » Répète-elle avec impatience. Elle me donne encore moins envie de lui parler.

 « Est-ce que tu es sourde ou tu ne sais simplement pas c’est quoi la politesse ? » continue-elle. Je sens l’obligation de lui répondre.

 « C’est bon je t’entends… » À mes mots, elle se retourne pour voir la figure de ses amies. Elles lui font un hochement de tête dont je ne comprends pas la signification.

 «  Ah ! Je le savais ! Tu es nouvelle dans le coin hein ? » Me demande-elle. Mais elle sait quoi ? Peu importe, je lui réponds avec un simple hochement de tête et continue d’organisé mon casier.

 «  C’est quoi ton nom ? »

 " Cloé toi ? » dis-je curieuse.

 « Sarah. Est-ce que tu es allé au parc hier ? » Elle a à peine finit ça phrase qu’elle se retourne encore une fois et fais un regard complice à ses amies.

 «  Oui pourquoi ? »

 «  Ben je t’ai vu là ! C’était le fun ? » Dit-elle avec un espèce de sourire en coin moqueur. J’aurai juste envie de lui étamper mon poing dans sa face, mais je me retiens.

 « Oui » répondis-je simplement.

 «  Vous avez entendus les filles ? Elle a trouvé ça amusant! » Tout le petit groupe se met à ricaner. «  Et tu était là avec ton petit copain ? » Je lui fais signe que oui. Puis, elle part à rire encore devant ma face. Si elle continue, mon point et sa face vont faire connaissance pour vrai. « Une chose est sûre tu as beaucoup d’imagination !! Hahaha ! Bref, c’était simplement pour faire connaissance avec ma nouvelle voisine de casier ! Considère-toi chanceuse ! Tu vas me vois après chaque cours ! Au revoir ! »

 Puis, elle est sa troupe ricane et s’en vont. Est-ce que je vais avoir à endurer cette peste tout les jours ? Je crois que ça va être la pire année de ma vie dans cette école…

 Après que je suis allée à la toilette, la cloche sonne. Je vais à mon casier et prends mon agenda. Je regarde à quelle cours je dois aller. C’est en art plastique ! Ça commence bien une année ça !

 Bon maintenant,  je dois trouver le local… Malgré qu’il ne doit pas être difficile à apercevoir, mais ça reste que cette école est vraiment plus grande que mon ancienne. J’essais de mis retrouver, mais ce n’est pas facile. À mon troisième tour de l’école, j’arrive enfin à le trouver dans un coin perdu très difficile à voir. Mais je ne suis pas arrivé en retard heureusement. J’entre dans la pièce. Quatre tables, un gros lavabo et plusieurs étagères ornées de projets d’art meublent le local. Au même moment, devinez qui j’aperçois  assis au fond de la classe ? Sarah la peste. Comme tout à l’heure, elle est entourer de ses amies, les mêmes. Elles me font des petits sourires moqueurs. Ensuite, je me rends comptes que tout le monde m’observe. Tout le monde est là à attendre que je m’assoir pour enfin commencer le cours. Je vais alors m’assoir à la seule chaise qui reste situé à l’avant du local. Bien franchement, je suis bien heureuse de cet emplacement. Je ne verrai pas Sarah. Donc, je vais pouvoir me concentrer sur le cours, le plus intéressant selon moi. Une fois installée à ma place, la prof se lève et me fait un petit sourire de bienvenue. Mal alaise, je lui réponds de la même façon. Puis, elle commence ;

 « Bonjour tout le monde ! Bienvenue dans votre premier cours d’art plastique !! Je me présente, je m’appelle Virginie et comme je sais que plusieurs vont me le demander j’ai 25 ans. Je viens de sortir de l’école.  Avez-vous passé un bel été ? »

 À ce moment, je pense que je suis la seule qui répond à cette question en disant « oui». Ce qui déclenche un fou rire de toute la classe.

 «  Merci ! Une chance que tu es là ! » Dit-elle en s’adressant à moi. « Bon, donc, si vous êtes ici c’est en quelques sortes que vous aimez l’art plastique ! C’est très simple tout ce que je vous vous demande pour passer une belle année autant pour vous que pour moi ; c’est d’avoir de l’imagination…»

 Elle se fait interrompt.

 «  En tout cas, Cloé en manqueras pas c’est sûr ! » Je me retourne immédiatement. Évidement, cette remarque provient de Sarah…

 « Ah oui pourquoi tu dis ça ? » demande Virginie, mon enseignante,  intriguée.

 Le groupe d’amies de Sarah rient déjà et Sarah répond.       «  Ha ! Ha ! Ha ! Je ne suis pas sûre que vous voulez entendre ! » 

 Oh non ! Elle était là avec ses amies au parc … Ça vient de me revenir ! C’est elles qui me regardait étrangement quand j’ai embrassé Anatole !  Pourquoi elle trouve ça bizarre ? Elle aussi ne le voyait pas ? Ce n’est pas ma mère qui a imaginé que j’ai imaginé Anatole ?

 «  Bien je suis prête à entendre. Vous savez toutes les choses sont discutables ! Tout est  comme une œuvre d’art. Parfois, une personne trouve ça vraiment laid et une autre très jolie ! Est-ce qu’elle fait des toiles, des dessins ? » Dit-elle s’attendre à qu’es qu’elle va dire…

 Je baise les yeux et mets ma tête dans mes mains. Je suis prête. Je m’attends au pire.

 «  Ok si vous le dites ! Bien, hier Cloé a été au parc seule, mais elle prétend y avoir été avec son chum  qui était en fait un ami imaginaire ! Ha ! Ha ! Ha !  En plus un moment donné… »

 La professeure l’arrête juste avant qu’elle dévoile quelques choses que j’imagine allait me ridiculisé encore plus…. Je vis la honte de ma vie. Tout le monde rit de moi en me pointant du doigt comme si j’étais un omni. J’ai juste envie de disparaitre dans mon siège.

 « Hum se qui compte aussi beaucoup dans mon cours c’est le respect de l’art de l’autre. On a chacun notre art unique à nous même et on ne doit pas les juger compris madame ? C’est quoi ton nom ? » Lui demande-elle en la pointant.

 «  Moi, c’est Sarah ! » dit-elle vraiment fière et sûre d’elle.

 «  C’est bon à savoir. Là c’est ton premier avertissement. Au troisième tu sors de la classe. Compris ? » Ajoute-elle sévèrement.

 En regardant toujours Sarah. Je la vois se calmer. Je pense qu'elle a compris l'avertissement.

 « Une autre chose que vous devez avoir pour être un bon artiste. C’est de ne pas avoir peur du ridicule. Votre art peut vous paraître très différent des autres, mais c’est ce qui fait vous. Votre artiste en vous ! » Continue finalement Virginie.

 J’entends des personnes ricaner en arrière de la classe. Je me retourne et finit par entendre « Ça aussi elle n’aura pas de la difficulté ! » de la bouche à Sarah.

 Elle croyait que seulement que ses amies l’entendais, mais ça n’a pas fonctionné. Car a la prof réagie à se qu’elle a dit.

 « Sarah ! Tu sais que tout le monde t’a entendu ! Prochain cours, tu t’assois en avant. Compris ? »

 Vers la fin du cours……

 Je m’en vais du cours parce que la cloche vient de sonner. Je pense le cadre de porte ;

 «  Hum Cloé ! »

 Je me retourne. C’est ma prof. J’imagine qu’elle veut parler de tout se qui s’est passé au début du cours…

 « Oui ? » Je m’approche de son bureau.

 «  Est-ce que ça va avec Sarah ? »

 Oui. Oui ça va super bien. Elle m’insulte comme personne. Mais ça va. J’accepte ça. On se taquine entre meilleure amie ! Avais-je envie de dire sarcastiquement. Mais je me suis contenté de ça.

 « Non pas vraiment… »

 « Ne te laisse pas faire ok ? Si ça continue viens me voir je vais régler ça ok ? »

 Je lui fais signe que oui et sors finalement du cours.

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Wow merci vous êtes 50 à lire Juste pour toi ! Merci !

P-s ; encore beaucoup désolé s'il a des fautes d'orthographe.