Chapitre 12
Chapitre 12
La classe n’a pas été difficile à trouver. Hier, je me suis dépêchée de manger puisque j’étais seule. Après, je suis montée en haut. Comme je n’avais absolument rien à faire, j’ai sortie mon horaire et j’ai cherchée l’emplacement des locaux des matières que je n’ai pas encore été. Bon, là je sais j’ai l’air d’une neutre, mais c’étais ça ou être tout seule en bas. Une cible parfaite pour Sarah… J’aurai pu demander à Gab si je pouvais manger avec, mais je le connais à peine… Enfin bref, je me suis tout de suite souvenu où est la classe de français.
« Tu es dont bien pressée ! » me lance Gab. Alors que nous nous dirigions à la salle de cours.
« Désolé…» lui répondis-je en marchand moins vite.
Je le regarde. Il rit tout seul.
« Pourquoi tu ris ? » lui demandais-je par simple curiosité.
« Tu devrais te voir ! Une vraie intello ! » Ria-il.
Je le frappe aussitôt sur le torse.
« Tu dis n’importe quoi. » Lui dis-je sec.
Moi qui a l’air d’une intello ? N’importe quoi ! Je ne suis jamais été populaire, mais jamais neutre non plus. À mon ancienne école, mes amies et moi étions les artistes de l’école. Des filles quand même assez respectées. Mais que là, j’ai l’air d’une élève modèle ? Non ! Bon, c’est sûr qu’hier j’ai passé le diner ici et puis ?
On arrive enfin. Je ne pouvais plus supporter le regard moqueur que posait Gab sur moi. Il a déjà quelques élèves assis à des pupitres. À peine le pied mis l’autre côté de la porte, on a droit un accueil.
« Bonjour, bienvenue dans ma classe ! » Me sourit la personne qui j’imagine est ma prof. Elle a l’air super gentille, mais côté beauté on s’en reparlera…
Quand je me retourne pour demander à Gab où on s’assoit, il est plié en deux. Il rit de la prof j’imagine. Elle n’est pas belle, mais pas à ce point-là… Je le pensais plus mature que ça… Mais bon, un gars ça reste un gars…
Je le tire par le bras pour l’emmener à l’arrière de la classe. Je m’assois et il fait de même.
« Comment tu fais pour ne pas rire ? » me demande-il tout en ne pouvant s’arrêter de rigoler.
Non, mais il est vraiment méchant !!
Je roule les yeux et l’ignore.
Une fois la classe quand même bien remplie, le cours commence.
« Bonjour tout le monde ! Je me présente, je m’appelle Brigitte ! Donc, je vais vous expliquer le menu du jour…»
Le menu du jour ? Je pense qu’elle s’est trompée de job ! Ici on est dans une école ! ALLO !! On n’est pas dans une restaurent !
« Donc tout d’abord…» continue-elle.« Je tenais à vous préciser tout de suite que les midis de récupération sont les jours 6 et 9.»
Elle se retourne et écrit au tableau « 69 ». J’ai presque le gout de lever la main de lui dire de mettre un « et » entre ! À la place, me mettre à rire. Ce qui je pense est arrivé à toute la classe car tout le monde rit.
Évidement, il a fallu que Gab me dise quelque chose !
« Hum ! Elle est cochonne cette Brigitte ! » Me dit-il en prenant sa voix la plus perverse possible.
Il me fait mourir ce mec ! Je lui mets un coup de coude à l’épaule et je me mis à rire suivie par lui.
« Ben quoi ! Elle aurait pu prendre 2 et 4 ! Mais non madame y va pour le 6 et le 9 ! » Me répond-il.
Je me mis à rire encore plus fort ! (Les directioners vous comprenez !)
« Si vous vous en rappeler plus, j’ai collée trois affiches sur les murs de la classe ! » dit-elle en nous pointant celles-ci.
Je fais le tour de la classe des yeux. 69 69 69 Je vais mourir !!
« Ensuite…» poursuit-elle.
Ok parenthèse, ça fait environ 5 minutes qu’elle parle et elle me tape déjà sur les nerfs… On dira qu’à chaque fin de phrase elle fait un espèce de bruit avec sa langue et son palet. C’est agaçant et dégoutant… Ce que Gab n’a pas hésiter une secondes de me faire remarquer. Je n’ai pas pu m’empêcher de rire !
« Ok on compte combine de fois en dix minutes elle le fait ! » me propose mon voisin de bureau. J’accepte de suite en sachant à quel point ça va être marrant.
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Au huitième, sa cogne à la porte. Brigitte semble trop concentrer sur se qu’elle raconte. Ce qui je dois vous l’avouer est vraiment PLATE. Tout le mon ce mit à rire pour son ignorance du bruit à la porte. Non, mais elle est sourde ?
« Qu’est qu’il y a ? » dit-elle alors qu’elle se rend afin compte que personne ne l’écoute.
Gab se retourne vers moi.
« 9 ! Ha ! Ha ! Ha !» lâche-il vraiment fier de son coup.
Je rigole avec.
Quelqu’un doit lui avoir dit qu’il a quelqu’un parce qu’elle a ouvert. Oh non… Sarah… Il ne manquait plus qu’elle…
« Tu es en retard de 3 minutes 52 secondes ! Chez le directeur ! dit-elle d’un sévère en claquant la porte dans sa face.
On entend des « Quoi ? » et « What the fuck ? » d’un peu tout le monde. Mais moi pour être franche, ça me fait plaisir !
« Mais elle est folle ! C’est la deuxième journée de l’année quand même ! » Me lance Gab qui est clairement très surpris de la réaction de la prof, comme tout le monde d’ailleurs.
Je lui fais un regard noir pour lui faire comprendre qu’il s’agit de Sarah. Je ne sais pas ce qu’il a. Il se rattrape en en disant ;
« Tant pis pour elle ! »
Je lui un petit sourire du genre « Tu étais mieux sinon ça aurait mal été pour toi ! »
Quand la prof s’apprête à continuer le cours, quelqu’un d’autre frappe à la porte.
« Encore des retardataires ! » dit-elle à bout de nerf.
« 10 ! » dis-je à Gab sachant que ça allait le faire rire encore plus fort. Ce qui fait définitivement après que je lui ai dit. Ça ne lui en prend pas beaucoup pour être plié en deux.
« Un petit maudit qui joue un tour ! »
Je me retourne rapidement quand Brigitte s’apprête à refermer la porte. Mais celle-ci reste entre ouverte. Je n’y porte plus attention jusqu’à ce que j’entends ;
« Pourquoi la porte s’ouvre toute seule ? »
« Le vent grosse conne ! »
Mon regard se pose alors sur la porte. Ce n’est pas le vent, mais Anatole. Anatole ? Mais qu’est-ce qu’il fait ici ? Il s’approche de moi. Puis, S’assoit au bureau juste à côté du mien. Je m’apprête à lui parler, mais je me fais interrompt.
« Clémentine ! Oh non ! Clémence ! Je voulais dire ; Cloé ! Qu’est-ce que tu fais ? » Me demande ma professeur de français.
« Rien » Lui répondis-je simplement.
« Elle parle avec un amis imaginaire ! » ria un gars dans la classe.
C’est un hasard qu’il dit ça ou il le sait vraiment ?
« Ouais celui avec qui elle était au parc ! » répond un autre élève.
Ah non pas ça ….
Cette fois, ce n’est pas Sarah ou ses chiens de poches… En deux jours, ils le savent ?
« Les gars vous rester cinq minutes après la cloche ! Et toi Cloé travaille ! » Me conseille fortement l’adulte de la pièce.
Évidement, je ne l’écoute pas. Je me retourne vers Anatole qui semble vraiment intriguer par la classe.
« Wow ! Ça changé ! » Lance-il.
« Quoi ça ? » lui chuchotais-je le plus discret possible.
Il a l’air surpris par ma question.
« Rien. » me répond-il.
« Qu’est-ce que tu fais ici ? » lui dis-je toujours en chuchotant.
« Je suis venu voir si c’est vrai que personne me voit. » m’annonce-il comme si c’était évident.
« Et ? »
« Ben je pense que c’est vrai ! Tu aurais dû me voir quand j’ai entré dans l’école ! J’ai fait peur à plusieurs personnes ! » Dit-il confiant.
« Mais tu es CON !! » dis-je un peu trop fort à mon gout. Je balai la classe des yeux. Je ne semble pas avoir déranger personne. « Comment tu as fait pour savoir que je suis ici ? » poursuivis-je.
« Ah secret ! » me dit-il avec un sourire en coin en levant les mains dans les airs.
Je roule les yeux.
« Qu’est-ce que tu compte faire maintenant que tu répondu à ta question ? »
« Rester ici ! C’est le fun ! En plus, personne ne me voit ! » Dit-il en se levant de son siège.
« Mais que fais-tu ? »
Il se promène entre les pupitres avec le sourire en ignorant ma question. Il fait tombé l’efface d’une fille par terre. Surprise, elle l’a ramasse. Il la fait tomber une fois de plus. Elle ne se pose pas plus de questions et la remet sur son bureau. Rapidement, ma frustration qu’Anatole soit ici se transforme en sourire et même en rire. Il répète se manège plusieurs fois. Je suis plier en deux tellement je ris. Ce qui attire évidement l’attention de Gab.
« Pourquoi tu ris ? » me demande-il.
Merde ! Qu’est-ce que je lui dis ?
« 15 ! hahahaha ! »
« Quoi ? Mais tu t’invente des affaires ! Elle n’a pas parlé de puis un petit bout et puis le dix minutes est passé !
Puis, j’entends quelqu’un dire ;
« Voyons ! Qu’est-se qu’il se passe ? »
Ce qui attire l’attention de tout le monde.
« Qu’est-ce qu’il a Marie ? Oh non Mylène ! Je voulais dire Mathilde ! » Interviens la prof.
« Mon efface n’arrête pas de tomber ! Ça fait dix fois que je la ramasse !
« Peut-être que tu es trop conne pour t’apercevoir que tu l’as fais tomber ! » répond quelqu’un.
Tout le monde se mit à rire, mais moi je regarde Anatole qui se tient encore à côté d’elle. Je lui fais des gros yeux pour lui faire comprendre d’arrêter et de partir. Dieu merci ! Il m’écoute !
« NON, MAIS ARRÊTER DE PARLER !» crie la prof. « POUR VOTRE ATTITUDE, JE VOUS DONNE UN DEVOIR ! VOUS DEVEZ LIRE CE PETIT ROMAN DE SEULEMENT 700 PAGES INTITULÉ LE GRAND AMOUR DE LA REINE. VOUS DEVEZ AVOIR FINIT POUR JEUDI. C’EST-À-DIRE DANS DEUX JOURS ! »
Puis, elle distribue les livres.
Je me demande sérieusement si elle ne sait pas tromper avec le dictionnaire. Elle dit qu’il à 700 page mais d’après moi il en a plus…
***
« C’était le plus drôle cours de français !! » ris-je.
« Ouais surtout quand tu riais toute seule ! » me répond Gab.
Nous descendons les marches puisque le cours venait de se terminer.
« Pourquoi tu riais toute seule ? » insiste-il.
« Je te le dirais une autre fois. » répondis-je.
Puis, nous nous dirigeons vers nos casiers. Anatole qui est venu dans mon cours de français… Mais quelques choses me trottent dans la tête. Anatole à été capable de faire déplacer l’efface de la fille donc il n’est pas si imaginaire que ça car elle-même c’en ai aperçu….
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Salut tout le monde ! :)
Vous qu'est-ce que vous en penser d'Anatole ?
Merci pour les 300 lectures ! :)
Oublier pas de voter ! S.v.p :)
p-s; J'ai vraiment eu une prof semblable qui faisait des bruits de bouche à chaque fin de phrase et les récups étaient vrm les jour 6 et 9 et on avais vraiment une affiche écrit "69" .:) mais la prof était moins sévère.
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