Un coup tu étais là, l'autre non. Tu était présent, certe, mais je n'avait jamais réussis à te cerner. En fait, je pense à toi parfois. Je me demande ce que tu fais, si tu penses à moi également quand on ne se voit pas. Depuis toute petite je te connais, et par bien des manières je pourrais te qualifier. Tu m'as même peut être déjà porter dans tes bras alors que je n'étais pas plus haute que 3 pommes. Mais jamais je n'avais pensé connaître cette partie fougueuse, si joueuse, de toi. J'avais toujours pensé que tu la réserverais pour quelqu'un, ce quelqu'un qui aurait pu te tenir tant. Imagine bien ma suprise quand ton regard vis à vis de moi avait changé et que je l'ai croisé.

Parfois je me demande si c'est possible. Tu es si distant et si tactile à la fois, s'en est déconcertant. Est ce les déboire d'une âme en peine ? Oh peut être. Mais jamais je n'oublierai ce que tu as fait, ton odeur, ce que tu m'as fait ressentir, toi. Parfois j'ai plus envie de te voir que d'autre, mais je me dis que ça ne sert à rien, difficile de ne pas voir pourquoi. Mais j'espère quand même. Ta main ne s'était pas posée sur la mienne par hasard, n'est ce pas ?