Chapitre 17 : Cellule
//PDV Karma//
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- Allez debout !
Le policier aux cheveux noirs (le méchant qui avait osé mettre son pied sur Nagisa), nous réveilla. On nous fit sortir. Puis, on entra dans le commissariat. Les autres hommes nous regardèrent de travers. Moi, car je leurs envoyais des regards noirs, Nagisa, car il ne ressemblait pas à un criminel. On nous enferma dans une cellule avec un vrai lit "car on était des enfants", dixit le policier sympa. Nagisa le prit.
- Je vais aller chercher un sac de couchage.
- Pas besoin. Je dormirai pas. Merci quand même.
- ... je vous apporterai à manger un peu plus tard.
- Bonne idée. Un poulet-mayo s'vous plaît. Merci.
Nagisa s'allongea, et s'endormit. Moi, debout, je veillais sur lui. Quand le policier revint, avec un sandwich poulet-mayo, il fixa ma cicatrice, avant de sortir un sandwich. Sur le dos de la main. Elle devait faire environ 2 ou 3 centimètres.
- Comment tu t'appelles ? Me demanda l'homme, en me tendant le sandwich.
- Karma. Lui répondis-je, en prenant mon "repas".
- Ton nom ?
- Akabane.
- Je suis l'officier Momora. Et ton ami ? Quel est son nom ?
- Nagisa Shiota.
- Très bien.
Momora était blond-orangé, les yeux verts, et devait faire 1m85 à tout casser, avec environ 85 kg. Je croquai dans la nourriture à pleine bouche.
- Tu as faim, dis-moi !
- J'ai pas mangé depuis ce matin.
- Oh. Raconte-moi.
- Tout a commencé ce matin, avec mon amie Okuda...
Après m'avoir écouté attentivement, M.Momora m'offrit un verre d'eau.
- Et donc, ce garçon, je veux dire, Nagisa, est ton petit ami.
- Exact. Je ne veux pas qu'il ait des problèmes à cause de moi.
- Je vais aller en parler à mon supérieur.
- C'est pas celui qui vous accompagnait, j'espère...
- Non, non.
- Je peux venir ?
- Heu... bien sûr. Hasaka ? Tu peux surveiller le garçon et l'aider si il se réveille ? Moi je vais voir le supérieur avec l'autre !
On monta à l'étage. Le policier toqua à une porte ou il y avait écrit "Koyaki Konoya - Chef officier"
- Entrez ! Cria une voix de l'intérieur.
On pénétra dans la pièce. Il faisait assez noir. Sur les côtés, des dizaines et des dizaines de paperasses. Devant nous, un bureau, sur lequel s'empilait d'autres dossiers. Sûrement des affaires non-élucidées. L'officier qui m'accompagnait s'inclina, et je fis de même.
- Chef, je viens vous faire mon rapport.
- Qui est ce garçon ?
- Celui qui a volé les bijoux et qui a tué un homme.
- Hum. Votre rapport ?
- Il se trouve, que ce jeune homme a avoué ne pas avoir voulu tuer sa victime, et qu'elle la menaçait avec un fusil.
- Il n'y avait pas deux collégiens ?
- Si. D'ailleurs, Karma a aussi déclaré que son ami n'avait rien à voir la dedans, qu'il se trouvait juste sur le toit par hasard.
- Je vois. Karma, c'est ça ? C'est ton nom ?
- Oui. Et je suis venu pour vous demander si je pouvais rendre les objets volés, et travailler en dehors de mes heures de cours. Je ne veux pas me retrouver en prison. Je souhaite continuer à étudier avec mes professeurs et mes camarades.
- Des travaux d'intêrets généraux, tu dis ?
- S'il vous plaît. Je rendrai même service aux victimes, si vous le souhaitez.
- As-tu les bijoux en ta possession ?
- Je vais les chercher, si vous me permettez.
- Reviens vite.
Tel que je connais mon acheteur, il n'a encore rien vendu. Arrivé à sa planque, j'expliquai tout.
- Je veux 100 000 en plus.
- Ok, ça marche.
Je lui rendis les 20 000 et 100 000, comme prévu, et j'eus les bijoux. De retour au commissariat, je dormis. Le lendemain, je pris Nagisa dans mes bras dès que je le vis réveillé. Le chef officier m'emmena ensuite pour ramener les objets dérobés, et, le lundi, on se retrouva au collège, dans notre classe E. Rien n'avait changé, sauf que j'étais réconcilié avec Nagisa.
- Karma, c'est quoi, ta cicatrice, sur le dos de ta main ?
- Je te raconterai, un jour. Si t'es sage.
- Je suis toujours sage.
- On peut pas dire le contraire, tu te fais jamais remarquer.
- Contrairement à toi. Dit-il avec un sourire.
Bon, on va pas tuer Nagisa, sinon je vais le perdre ET me retrouver en prison avec le désagréable.
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Alors, ça vous a plu ??? Nous allons passer à "l'arc"-
Fuwa : Un arc de manga ??? Où ça ? Où ça ?!
"L'arc", disais-je, d'Itona !!
Fuwa : Ah. Nul.
Itona : TU M'AS TRAITE DE NUL ???
#Historia
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