Chapitre 10 (Partie 2) : Soirée chez Karma ; partie 2
PDV Gakushû
---------------------------
Je le regarde. Je regarde Karma. Il est beau. Il est BG, intelligent. Oui, je l'aime, depuis la rentrée. Il envoie un regard à l'androgyne, et il m'embrasse. Enfin...
Karma : Action ou vérité ?
Moi : Vérité.
Karma : Tu sors avec qui ?
Moi : Beh, avec toi ! Tu as oublié ?
//PDV Karma//
Stop stop stop ! Je sors avec Nagisa !
Nagisa : Karma ?
Moi : Nagisa, c'est pas ce que-
Il s'enfuit, Kaede le poursuit. Un grand sourire s'installe sur les lèvres de Gakushû.
Hiroto : Vous sortez ensemble depuis quand ?
Gakushû : Depuis la rentrée.
Nakamura : C'est qui l'uke ?
Gakushû : Lui.
Tous : Karma le soumis ! Karma le soumis !
Là, c'en est trop. Je hurle :
Moi : On sort pas ensemble !! Je suis pas un soumis, et je suis amoureux de Nagisa, pas de ce type là !
Je me lève. Je cours, et vois Kaede devant ma chambre. Je tape à la porte.
Moi : Nagisa ! Ouvre ! Je t'en prie !! NAGISA !! OUVRE-MOI !!!
Je m'asseois devant la porte, laissant couler une petite larme.
Moi : Kaede, fais partir tout le monde. Je n'ai pas le courage de retourner les voir. Et puis, Gakushû me tuerait. Il pensait que je l'aimais. Dis-leur de partir.
Kaede : Très bien ! *Sourit* A demain.
Je ne tiens plus. Je n'arrive plus à tenir, c'est impossible. J'en ai marre. Je veux mourir. Même si le garçon que j'aime ne veut plus de moi, pour devrais-je rester en vie ?
Moi : Je veux crever... Je veux mourir.
Je me lève, et me dirige à la cuisine. Je prends un petit couteau qui coupe bien. Alors, le cou, le coeur, le poignet ? La tête, directement ? Je pose le couteau, et attrape un papier et un stylo.
"J'en ai eu marre de vivre. Je me suis suicidé, car Nagisa ne voulait plus de moi. Nagisa, si tu vois ce mot, c'est que je suis mort. Je t'aime. Gakushû, va te faire empaler, je te haïs. Hiroto et Yûma, je vous souhaite beaucoup de bonheur, ainsi qu'à Kanzaki et Sugino. Baka-mura, tu vas me manquer. Récupère les cosplays ; je te les offre. Personne ne sera triste de ma mort, je le sais. Adieu, et pardon pour tout ce que je vous ai fait.
Nagisa, je t'aime."
Je signe de mon nom, et laisse tomber une larme, puis deux, trois, et voilà un torrent. Je récupère le couteau. Ma main tremble. Hésiterais-je encore ? J'essuie mes larmes d'un coup, et serre mon arme. Ce sera le poignet. Je le pose sur la fin de la main, et me prépare à mourir. Je prends de l'élan, et tranche. Je ne sens rien. J'ouvre les yeux, c'est un concombre que j'ai tranché. Je regarde à côté : Nagisa. Il pleure.
Nagisa : Ne meurs pas. Ne meurs pas !! Je tiens à toi !
Je laisse couler une larme.
Nagisa : Je t'aime, Karma.
Il sourit, et attrapa mon visage, pour embrasser mes lèvres. Je passe ma langue sur ses lèvres, douces, et il me laisse passer. Nos langues se touchent, se croisent, s'entre-mêlent, explorent. J'enlace Nagisa, il fait de même.
Moi : Nagisa, je peux plus attendre... !
Nagisa : Moi aussi.
Nous deux : J'ai envie de toi.
Ni une, ni deux, je le porte, et l'emmène dans ma chambre, je l'envoie sur le lit. Je suis au dessus de lui, je l'embrasse.
//LEMON//
Il commence à enlever ma veste ; je lui ôte son veston. Il m'embrasse de nouveau. Il se serre contre moi. Au revoir sa ceinture, au revoir ma chemise, on passe aux choses sérieuses.
Il enlève sa chemise, on voit ses petits tétons et son torse, moins musclé que le mien. Je prend son téton droit, et commence à le mordiller. Il lâcha un petit gémissement, et souffla. Sa respiration et la mienne se font saccadées. Je l'embrasse encore, et encore. Je descends ma bouche à son cou, je démarre les "choses sérieuses" en le suçant. Il laisse fuir un petit gémissement plaintif, mais me dit de continuer.
Nagisa : Encore...! Encore...! K-Karma ! C-Continue !
Je lui obéis, en défaisant son bouton, au pantalon. Je lui enlève, il ne lui reste que son caleçon. Je le vois durcir, ce qui "m'encourage". Je passe ma main sous son dernier vêtement et prends sa partie dans ma main. Je commence à faire des va-et-viens, ce qui a l'air de le soulager un peu. Je le fais asseoir, et continue. Il gémit, mais de joie. Je lui enlève enfin son dernier tissu, et il m'embrasse, nu, avant que je le tourne.
Moi : Tu es prêt ?
Nagisa : Je n'attends que ça. Va-Vas-y !
Je lui enfonçai délicatement mon majeur dans son anus, et pris son autre partie en main, et fis mes va-et-viens de chaque côté.
Il a l'air d'aimer ça.
Je lâche son muscle dur, et enfonce un second doigt. Il commence à jouir. Je bouge mes doigts en lui, et il réagit au quart de tour. Je lui enfonce un troisième doigt, il est heureux, tellement que ça se voit sur le lit.
Nagisa : K-Karma...
Moi : Oui ? Tu veux arrêter ?
Nagisa : Non, au contraire, je veux aller plus loin, je veux te sentir en moi...
Woah. Si j'avais cru qu'il me dirait ça...
Je lui obéis quand même, et ôtant mes doigts, tous gluants. Je m'essuie sur le drap, et déboutonne aussi vite que possible mon pantalon. En voyant Nagisa dans cette position, mon corps réagit, et j'enlève enfin mon boxer, le dernier "rempart", on va dire, entre nous. Nagisa, à ma grande surprise, se retourne, attrape mon membre, et commence à l'avaler, le lécher, le suçer, tout ce que vous voulez, mais il l'a en bouche. Je finis allongé, profitant de Nagisa. Je me sens tellement bien que mon uke faillit s'étouffer.
Moi : Tu as du blanc, là.
Nagisa : La faute à qui ?
Moi : Pas moi.
Je lui saute dessus, et nous, nus, on reprend nos embrassades. Baiser langoureux, rapide, prolongé, tout y passe. Quand je me relève, je retourne Nagisa, cette fois, il n'y échappera pas. Je lui réintroduit un doigt, puis deux, et enfin trois. A chaque fois, un gémissement, un cri. J'enlève mes doigts, les frotte sur le lit, et, voyant mon muscle grandir, je l'insère en Nagisa. Il jouit, et moi, ça me stimule, je commence des va-et-viens. Je lui attrape sa partie, et, visiblement, ça lui fait du bien. Encore en lui, je frotte ma main sur ses parties.
Je finis par m'enlever, le retourner, et re-rentrer. La tête entre ses jambes, je le vois, il est heureux, il a chaud, mais il est heureux. Je re-sors, Je m'approche de son visage, et l'embrasse sur la bouche, tendrement. Il me regarde, et sourit. Je l'embrasse sur le front.
//Fin LEMON//
Moi : Tu veux arrêter ?
Nagisa : Je... je ne sais pas. Une partie de moi en veut encore, et l'autre veut la douche.
Moi : On peut faire les deux. *Sourire pervers*
Nagisa : D'accord.
Je l'aide à se lever, et on se dirige vers la douche. Il allume le jet d'eau, et se colle à moi. Il m'embrasse. Comment pouvais-je me résigner à me suicider, il y a pas longtemps ? J'ai Nagisa, il me suffit. Le reste, j'en veux pas.
//Lemon//
Je colle Nagisa au mur, et le porte, il est léger, ça va. Il se serre à moi, ses ongles sur mes épaules. Mon muscle se redresse, et entre dans le trou le plus près ; celui de Nagisa, qui gémit, et jouit. Je crois que je vais porter un t-shirt à manches longues, demain. Je sens que ses ongles me griffent, mais il doit souffrir un peu, lui aussi. Il pousse des petits cris, et je continue mes va-et-viens. Je le porte d'une main, l'autre étant occupée à le soulager de l'autre côté de ses fesses. On s'embrasse, on se sent, on est ensemble, et tout ça sous la douche, sous le jet d'eau, qui fait croire à de la pluie. Je le mordille, je lui fais un suçon dans le cou, un deuxième, et l'embrasse.
//Fin Lemon//
On reste comme ça au moins 10 minutes, avant qu'on aille se coucher, l'un contre l'autre.
J'aime Nagisa, et rien ni personne ne pourra empêcher notre relation.
------------------------
Et voilà mon premier vrai lemon, j'espère qu'il vous plaît ^^
De toute façon, si vous n'aimez pas, tant pis.
Il y a aura assez de lemon à partir d'ici, ne soyez pas surpris !!
Vive le citron !!
#Historia
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top