Tornade d'émotions

Ce Week-end aura été une montagne russe d'émotions...

● La déclaration de Hayama

○ la dispute avec le stupide garde

● Les rapprochements d'Akashi

○ Les réprimandes de son père

Une émotion par contre était revenu plus de fois que toute les autres.

La colère.

Parmis toute les autres la contrôler à été le plus complexe...

La peur, le doute, La surprise, la joie, Oh...

Sans oublier le fait que je me sois sentit toute chose dans la chambre d'Akashi...

Sûrement de fatigue pfff...

La déclaration de Hayama...l'une des épreuves les plus éprouvante pour mon pauvre être fragile...

Comment ça c'est fini ? Je suis trop gentil...

Non je...je vous en parlerai la prochaine fois.

Ce garde était le personnage le plus ennuyant de tous.

Il m'avait tellement énervé...

Toujours à repéter les même phrases comme une machine automatisé.

Si Akashi n'était pas arrivé je l'aurai sûrement gifler.

J'aurais pris cher après mais ça en valait le coup.

Je crois...

Dès que j'étais arrivé dans sa chambre j'avais été envahi par un délicieuse odeur de vanille.

Cette étrange et enivrante odeur...

J'avais fais semblant de rien et était aller m'asseoir.

Je tentais de me reprendre tandis qu'Akashi essayait de comprendre.

Évidemment mon pauvre coeur battu plus vite qu'à la normale quand il se pencha au dessus de moi.

Ma tête fini par entre en contact avec son ventre et...

Cette odeur...

Cette odeur avait failli me rendre fou...

Elle émanait de lui...

Dès qu'il avait reculé j'avais repris mes esprits et avait commencé à chercher pour la provenance de cette senteur de vanille.

Pas très fructueuses, mes recherches avaient simplement conduit à un album photo d'Akashi.

Si mignon et inoffensif...

Plus maintenant en tout cas.

Il est devenu un fauve tout sauf inoffensif...

S'approcher de moi par derrière et se coller à moi me piègeant de ses mains n'a pas aidé à changer mon avis.

Je n'avais écouté qu'à moitié respirant cette douce odeur de vanille me demandant d'où elle provenait exactement...

Après mettre finalement extirpé de ses bras il m'avait explicitement demandé de ne pas bouger de sa chambre avant d'aller rejoindre son père à son bureau.

Ne pas bouger.

Il savait déjà que je n'allais pas écouter n'est ce pas ?

Après avoir fouiller les toilettes pour un shampooing ou même un savon à base de vanille j'étais sorti accomplir la raison principale de ma venu.

Une joûte verbale sanglante.

En passant son odeur de vanille est totalement naturel...

NATUREL ! COMMENT ?!

Masaomi Akashi, le grand Akashi-San.

Le père de Akashi. Enfin Seijuro...

Vous comprenez ?

C'est étrange de l'appeler Seijuro...

De toute façon la question n'est pas là.

Après mon interruption Il fallait dire qu'il n'était pas content du tout.

Akashi avait essayé de tout expliquer à son père sur ma visite et ma maladie mentale.

Oui. Maladie mentale...

Je l'ai tué après ne vous inquiétez pas.

Évidemment ne me laissant pas faire je me suis défendu devant son papa qui avait finalement envoyé son fils dehors pour me parler en privé.

Inutile de préciser que Akashi m'avait regarder comme si j'étais déjà mort.

La guerre peut commencer.

《 - Qui êtes vous ?

- Akira Chibusa. Et vous ? Votre prénom.

- Que faites-vous ici ?

- Votre Prénom ?

- Je ne jouerais pas votre jeu.

- Quel jeu ? J'aime le principe des échanges équivalents.

- D'un signe de la main, je pourrais te jeter hors de ma propriété.

- Mais vous êtes beaucoup trop curieux. J'ai fréquenter le côté sombre de votre fils deux ans. Je suppose que je vous connais bien.

- Je n'ai rien avoir avec cet incapable.

- Écoutez, Je ne vous manquerai pas de respect parce que vous avez remarqué que votre fils avait changé. En bien heureusement. Il a perdu le côté démoniaque que vous l'avez forcé à créer.

- Et j'imagine que tu es celui à remercier.

- Exactement. Ce n'est pas à cause de sa défaite. Il s'est battu d'arrache-pied. À sué sang et eaux pour marquer ce dernier panier. Il était tellement puissant que la victoire ne pouvait que lui revenir.

- Le fait est qu'il à perdu.

- Vous écoutez Vous ? Akashi, le vrai Seijuro est revenu et à accepter l'aide de ses camarades pour parvenir à la victoire. Au début la seule image que j'avais de lieu était un fils de riche prétentieux, méchant et égoïste.

- Je pensais que vous le défendiez

- On ne peut dire que la vérité.

- *Sourit* je vois.

- D'abord ses anciens amis mon parlé de lui et je ne les avait pas crû, puis j'ai ouvert les yeux petit à petit. C'est un honnête, généreux, tendre garçon plein de compassion. Il sait être attentionné et prévenant envers les autres. Il leur rappelle sans cesse de faire les choses de la bonne façon, même dans la manière de manger. Il était bien plus près du rôle de mère que d'amis au fond.

- Es tu amoureux de mon fils ?

- Étiez vous amoureux de votre femme ?

-...

- Akashi à pris ses incroyables qualités de l'éducation que votre femme lui à donné. Et sa personnalité. N'essayez pas de la renfermer ou d'essayer de le contrôler. Je ne veux pas vous apprendre à éduquer votre fils ou quoi que ce soit, loin de moi cette idée. Je ne veux pas me montrer grossier ou insolent. J'aimerais simplement que vous voyez les choses d'une autre perception que la réussite à tout prix.

- Comment oses tu ?! Que sais tu de ma femme ?! Que sais tu de son existence ?!

- Quasiment rien monsieur. Mais je sais que c'était une femme remarquable grâce à votre fils. Il était sa fierté et j'aimerais qu'il soit la votre.

- Toi...

- "Il y a plus de leçons à apprendre d'une défaite que de toute les victoires possibles"

Après cette citation Masaomi était rester silencieux la tête regardant le vide.

Cette citation était dans l'album de Akashi près d'une des photos de sa mère. J'avais donc assumé que c'était la sienne...

Quelle chance !

Il avait finalement accepté de m'entendre et de négocier.

Il avait laissé Akashi entrer sûrement surpris de me voir toujours dans la pièce en un seul morceau.

Il donna la permission à Akashi de continuer le Basketball à 3 conditions.

La première étant de reprendre son entreprise et de faire mieux que lui.

La deuxième étant que je travaille à ses côtés.

Le vieux renard me connaissait très bien et ma réputation d'ennemi de son fils.

Et reconnaissait ma valeur surtout après lui avoir tenu tête dans le calme.

D'un bon côté j'avais un travail assuré après mes études et d'un mauvais je reste coincé pour toujours avec Akashi et son père.

Ça dépend du point de vue.

La troisième condition était celle qui nous avait le plus surpris.

Étant en repos après un si long voyage d'affaires il voulait me voir chaque Dimanche à la même heure pour prendre le thé.

Après plusieurs "pourquoi" de la part de Akashi et moi il finit par avouer que je lui rappelait énormément sa défunte femme.

Que répondre à ça ?

J'avais simplement sourit et mettais incliné en le remerciant de sa compréhension. 

□ ■ □ ■ □ ■ □ ■ □ ■ □

Après ce week-end épuisant à jongler entre les émotions j'étais heureux de profiter d'un bon moment seul dans mon cher bureau le lundi matin.

Une bonne sieste ne serait pas de refus...

Hum...oui...

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