Absence
- Eikichi, refais moi ta passe jusqu'à ce qu'elle soit parfaite.
- Mais elle m'a l'air bien et puis...ça fait 18 fois que je la fait...Il tente de me dissuader.
- Eh bien refait la.
Je me retourne allant shooter dans le panier à l'opposé quand je les entend chuchoter dans mon dos.
- Vous trouvez pas qu'Akashi est de mauvaise humeur aujourd'hui ? Demande Eikichi
- C'est clair. C'est parcequ'il n'est pas là...Répond Kotaro
- Peut-être mais si il nous surprend on va prendre cher...Conseil Reo
- Tu as raison Reo maintenant retourner vous entraîner. Je tranche de mon regard sombre
- O-Oui.
Pourquoi disent-ils de tel insanités.
Il n'est pas là et alors ?
Je me sens très bien.
Je ne m'énerve pour une chose aussi futile que son absence.
- Hayama fais moi 10 fois le tour du Gymnase.
- Hein ?! Mais pourquoi ?
- Tu es passé devant moi.
-...
Oui ?
Quelqu'un a à redire ?
Parfait.
Nous terminons l'entraînement sur les 3 généraux épuisés.
- Je ne vois pas pourquoi vous êtes si fatigué on y est pourtant aller doucement pour vous ménager au prochain match. Je contaste avec sérieux
- Parle pour toi. Dis amèrement Eikichi
- Tu t'es carrément défoulé sur nous...soupire Reo
- Et pourquoi j'aurai fais ça ?
- Parceque Chibusa-Kun n'est pas là. Termine Kotaro comme une évidence
-...Ils se taisent sûrement en attendant ma réaction
- Je ne vois pas de quoi vous parlez.
- Avoue que le faîte que tu l'embête tous les jours te met de bonne humeur.
- Je ne "l'embête" pas je teste sa tolérance. Et non ça ne met pas le moins du monde en état de joie.
Ils soupirent et ne dise plus rien pour leur sécurité.
Le directeur nous avait informé ce matin de l'absence de notre président pour cause "Personnelle".
J'ai bien essayé d'obtenir une réponse clair mais rien à faire.
Je dois lui demander directement pour savoir.
Je réfléchis un instant.
Je n'ai pas son numéro.
Je n'ai pas son adresse.
Je n'ai pas sa boîte postale.
Même si je doute qu'il réponde à mes lettres...
J'aurais normalement facilement pu me l'ai procurer mais...
Ce garçon est un mystère à part entière, très difficile à prévoir.
C'est pourquoi je dois rapidement en finir avec lui.
- Reo-Kun ? Nous retournons à l'entente de la voix
- Oui Coach ?
- Il s'agit de Chib- Hum...pourrais tu me suivre s'il te plait ?
- Bien-sûr.
Quesceque cela signifie ?
Dès qu'il m'a vue il a changé.
Hum...
- Hayama, Eikichi. Allez y. Je vais chercher quelque chose.
- D'accord.
Je décide de les suivre et de rester quand-même assez loin pour écouter.
Quesceque je ne ferais pas pour le détruire...
- Reo-Kun, si je t'ai amené ici c'était pour évité-
- Seï ?
- Exactement. J'aimerais que tu amène ce sac à Chibusa-Kun. Ce sont ses cours et des feuilles de matchs.
- Il est malade ?
- Je ne sais pas moi même. Mais le directeur m'a simplement demandé de le donner à un élève de confiance. Je compte sûr toi.
- Mais je n'ai pas son adresse.
- Le voilà. Il lui tend un papier. Prends en soin et que personne d'autre ne l'ai. Ordre de Chibusa-Kun.
- J'y veillerai.
Voyez vous ça...
Il se croit plus malin que moi.
Je souris et attends patiemment mon cher et généreux ami.
- Reo. Puis je savoir ce qu'il y a dans ce sac ?
- Euh...Mes affaires...
- Vraiment ?
- Oui...
- Reo. Tu sais bien que t'affectionne beaucoup. Alors n'essaye pas de mentir si tu veux rester dans le club de basket.
- Mais-
- Je t'ai prévenu. Maintenant fait comme bon te semble mais, fais le bon choix.
-...
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Assis dans la limousine, le sac sur le siège près de moi, le chauffeur me conduit à l'adresse noté sur le papier.
J'ai hâte de voir la tête qu'il va faire en me voyant chez lui.
En n'en connaissant plus sur lui je pourrais m'occuper de lui plus facilement.
- Nous y sommes Jeune Maître.
Je sort de la voiture et constate un vieille maison délabré qui semble être à l'abandon depuis assez longtemps pour que les rats puisse y élir domicile...
Habite t'il réellement...ici ?
La toiture à moitié brisé.
La peinture rongée.
Les fenêtres poussiéreuses.
La porte emplis de moisissure.
Quesceque ça veut dire...?
Je constate l'état des lieux avec un air de dégoût...
Comment pouvait on vivre dans...
J'en avais même perdu mon vocabulaire.
Était il si pauvre ?
Ne pouvait il rien y faire ?
D'un coup un vague sentiment me traverse.
De la compassion ?
De la culpabilité ?
De la compréhension ?
En allant sonner je réfléchis rapidement à ce que je comptais lui dire.
La porte s'ouvre d'un coup.
- Salut !
Ce garçon...
Il était jovial.
Il devait avoir son âge.
Il semblait en pleine forme.
Il était souriant.
Mais un petit détail me fait tiquer...
Ce n'est pas Chibusa.
- Tu es Seijuro Akashi je suppose.
- Tu n'est pas Chibusa je suppose.
Il sourit de toute ses dents.
Pourquoi avait-il cet air si amusé sur le visage ?
Ce moquerait-il du moi ?
- Effectivement. Je suis un ami à lui envoyé pour chercher ses affaires.
- Alors...Il ne vit pas ici ?
- Non, Pas du tout. Tu vois vraiment quelqu'un comme lui vivre là ?
-...
- Au faîte.
Il sort un appareil et prend une photo...
- C'est pour Chi. Enfin bon Merci pour le sac et Bye.
Il referme la porte avant de la rouvrir.
- J'allais oublier, il me prend la main, pose une feuille dessus. Tient de la part de Chi.
Il referme la porte...
Toujours les yeux grands ouverts je déplie ce qui semble être une lettre.
Une écriture délicate l'ornait moqueusement.
Mon cher Akashi.
Je n'ai qu'une chose à te dire : JE T'AI BIEN EU !
Tu pensais peut-être que j'étais aussi stupide et crédule mais pour l'instant qui se trouve devant une maison abandonnée ? C'est Bakashi.
Je savais que tu aurais tout fait pour connaître ma maison et me harceler plus facilement. Mais tu peux rêver.
Je ne te le répèterais pas assez : Va mourir !
Jamais je ne donnerais mon adresse à un psychopathe !
Au faite merci pour mes affaires !
Signé AKIRA. ET PAS CHIBUSA.
...
...
...
...
Je tord la feuille de haine.
Je la déchiquete de rage.
Il a osé se payer ma tête.
Je la lance par terre et envoie voler la porte de la maison.
J'entre et recherche le garçon de tout à l'heure.
Le simple fait de l'avoir entendu l'appeler "Chi" avait déclenché ma colère froid... et je compte bien lui faire sentir sa chaleur ardente.
De plus..
Avait-il vraiment osé prendre une photo de moi pour se moquer ?!
Ils vont me le payer.
Je soupire en quittant la réunion de rats de déroulant dans le salon.
C'était sûrement un complot de conquête de la planète et d'extermination des humains tellement ils étaient nombreux...
Cependant...pas une trace de l'autre.
Comme ci il s'était évaporé.
Je remonte dans la voiture mécontent.
Tu m'as mis de mauvaise humeur Chibusa.
Je ne peut laisser passer un tel affront.
🔸🔹🔶🔷To be continued 🔶🔷🔸🔹
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