7. Alors tu es la plus merveilleuse erreur existante sur cette terre.

Deux jours plus tard, Harry revint chercher Julia. Ses blessures étaient soignées et elle n'était plus en hypothermie. Ginny avait tenu à accompagner son mari ainsi que ses trois enfants. Albus et Lily sautèrent dans les bras de leur Gryffondor préféré. Julia serra Ginny dans ses bras et la mère de son meilleur ami lui rendit son étreinte.

- Pourquoi tu étais à l'hôpital, Lia? demanda Lily en tirant sur le tee-shirt de Julia.

La jeune fille réfléchit. Elle ne pouvait pas dire franchement ce qu'il s'était passé à une enfant de 9 ans à peine! Elle se mis à la hauteur de la petite Potter.

- Une dame pas très gentille me faisait du mal. Mais Jenny m'as amené ici et, depuis, ça va mieux.

Elle lui souria doucement et pris sa petite main dans la sienne, James pris celle libre de Lily. Albus marchait aux côtés de Julia. Cette dernière attrapa la main du petit garçon en un geste fraternel. La fillette se balançait en s'accrochant fermement à ses aînés.

- 3 gallions qu'ils finissent ensemble avant la fin de leur quatrième année, paria Ginny en regardant James et Julia.

- 4 gallions pour leur septième année, répliqua son mari.

L'adolescente rit devant l'air passablement jaloux de Albus. Elle lui ébouriffa les cheveux et le petit garçon rejoignit son rire. Ils sortirent de l'hôpital et Harry posa sa main sur les épaules de James et Julia et transplana.
Ils arrivèrent devant une maison blanche. L'auror ouvrit la porte et la jeune fille fila dans sa chambre chercher ses affaires. Elle redescendit quelques minutes plus tard avec sa malle. Harry les fit transplaner jusqu'au manoir Potter. Quand elle passa le pas de la porte et courut saluer Teddy. Le métamorphomage la regarda avec inquiétude.

- Tu va mieux? demanda-t-il.

Julia hocha la tête. Elle avait rencontré Teddy en première année. James et elle s'amusaient à faire peur aux plus âgés. Ils étaient les plus discrets possibles, si bien que pendant 4 mois, personne ne savait qui était à l'origine de ses farces. Puis ils avaient décidé de s'attaquer à Teddy car James voulait se moquer de son ami. Julia en bonne et loyale amie l'avait suivit. Mais leur piège s'était retourné contre eux. Le jeune Lupin était arrivé et avait demandé des explications. Les deux enfants, trop fiers, avaient croisé leurs bras sur leurs poitrines. Puis Julia l'avait regardé dans les yeux et lui avait offert un magnifique sourire.

- Jamesie va t'expliquer.

James avait marmonné un 《traîtresse》et avait tout expliqué au Pouffsoufle. Teddy avait éclaté de rire. C'était lui aussi qui les avait amené à l'infirmerie lors de la bagarre Julia/Deborah. En bref, Ted aimait beaucoup les deux adolescents

- Ouai, ça va, répondit la jeune sorcière.

Son ami pris sa malle et alla lui montrer sa chambre. Adjacente à la sienne, communiquant par une porte. Puis il l'ouvrit et Julia ouvrit de grands yeux. Un grand lit à baldaquin aux rideaux et aux draps rouge et or, les murs étaient d'un gris sobre, une grande armoire en bois et un bureau. Tout ce qu'il y avait de plus simple.

- Tu pourras la décorer comme tu voudras, lui dit James avec un grand sourire.

À sont plus grand étonnement, la jeune fille le pris dans ses bras. Il rougit fortement mais il lui frotta le dos en la sentant mouiller son tee-shirt. Il repensa aux paroles de Jenny: 《Merci. Merci d'être là pour elle, James. Elle en as besoin.》. Oui, il sera toujours là pour elle. Toujours.

****

Le 23 décembre, les Potter, Ted et Julia transplanèrent au Terrier. À peine la jeune fille eut elle passé le pas de la porte que Mme Weasley se précipita pour l'étreindre.

- Bonjour mon enfant, oh! pauvre petite, elle est trop maigre!

Derrière elles, les autres membres de la famille rirent. Pour ne pas que l'on ne posse pas trop de question à la jeune fille, Ginny et Harry avaient envoyé une lettre expliquant le pourquoi de sa présence, sous l'accord de Julia. Cette dernière rencontrait les oncles et tantes de son meilleur ami. Son charisme et sa positivité fit qu'elle s'intègra bien facilement. La petite Lily Potter la suivait en racontant ce qu'elle faisait pendant que eux étaient à Poudlard quand quelque chose tira le tee-shirt de Julia. Elle se retourna et se retrouva devant un Albus à la tête baissée. Il semblait triste.

- Je peux te parler deux minutes? Tu peux venir aussi si tu veux, Lily.

Les deux filles le suivirent dans un coin de la maison où, curieusement, il n'y avait personne. Comme il y avait un petit canapé, ils s'assirent, Albus entre sa petite sur et Julia.

- Il y a tout le monde qui me regarde bizarrement... Et Ron est froid avec moi. Dès que je m'approche de lui, il s'en va. Rose est avec Hugo, Roxanne et Fred. Je n'ai pas envie de m'imposer mais je suis tout seul, juste parce que je suis le seul Serpentard de la famille!

Il avait les yeux remplis d'eau. Lily se leva et fit un câlin maladroit à son grand frère. Puis elle le regarda dans les yeux.

- Tu va m'écouter attentivement maintenant, Busy, pour moi, que tu soit Serpentard, Gryffondor, Serdaigle ou Pouffsoufle ne change rien, tu est et restera mon grand frère. Tu as toujours été gentil, ce n'est pas maintenant que ça va changer. Tu as compris? Et si oncle Rony ne comprend pas, j'irais lui dire ce que je pense, moi!

Albus ouvrit de grand yeux. Si il était Ron, il se tiendrait tranquille parce que les colères de Lily étaient effrayantes. Julia les enlaça tous les deux .

- Ta sur à raison, ce n'est pas parce que tu est un Serpentard que tu est obligatoirement mauvais. Tu défends les véritables valeurs de cette maison, c'est très honorable.

Le petit garçon les regarda et leur souria. Il avait de la chance de les avoir. Un peu plus tard, dans la soirée, alors que Julia et James discutaient avec Fred junior et Louis, Victoire, Dominique et Rose virent chercher la jeune fille.

- Julia! s'exclama la première. Viens avec nous! On fait une petite soirée fille dans notre chambre!

Sans lui laisser le temps de répondre, les trois Weasley la saisirent par les bras et l'emmenèrent dans une grande chambre où régnait 8 lits. Les filles la firent asseoir sur l'un d'eux, entre Roxanne et Victoire. Elles décidèrent de s'amuser. Elles posèrent plein de questions à Julia. Puis, un peu plus tard, Rose eut l'idée de faire venir les garçons. La chambre des filles se remplit donc et ils durent se serrer les uns contre les autres. Victoire s'arrangea pour que James soit à côté de sa meilleure amie et tapa discrètement dans la main de Teddy quand elle le vit rougir à cause de la proximité. Mais Julia ne semblait pas s'en rendre compte. Elle parlait avec Fred de quidditch et de l'équipe de Gryffondor. Lily bailla, vite suivie par Hugo. Les deux plus jeunes finirent par s'endormir sur les genoux de Julia ou Victoire.

- On fait un action ou action! s'exclama Louis.

- On l'as déjà fait l'année dernière, Lou, grommella Dominique.

- Mais l'année dernière, elle n'était pas là, répliqua-t-il en pointant la nouvelle du doigt.

Tous se tournèrent vers Julia qui leva les mains au ciel.

- Je ne sais pas pourquoi, mais je le sent mal.

- Eh bien tu as bien raison! fit James en se levant et en prenant une brosse à cheveux en guise de micros.

- Depuis quand tu brosse tes cheveux, toi? demanda Rose en haussant un sourcil.

- Depuis jamais, enfaîte, c'est pas la mienne et on s'en fout.

- De toute façon, il suffit de voir tes cheveux, dit Roxanne.

- Eh!

- Bref, s'interposa Louis en prenant la brosse. Bonsoir mesdemoiselles et messieurs! Cette année, nous avons une invitée de marque, Julia Prince!

Ladite Julia fit un petit signe modeste de la main, James se pencha et lui chuchota à l'oreille:

《La modestie ne te va définitivement pas.》

Pendant ce temps, Louis lui avait fait un petit clin d'il, remarqué par Teddy qui siffla attirant l'attention de tout le monde.

- Julia, t'as une touche! hurla-t-il.

- La légende raconte qu'il as un jour été discret, fit Victoire en envoyant son coude dans les côtes de son petit-ami.

Louis rosit un peu mais continua.

- Enfin bref, rappelons les règles du jeu, tout est permis sauf les idées suicidaire et comme Harry ne joue pas avec nous, le risque est diminué. Pas de question, non, donc, c'est partit! Teddy?

Le métamorphomage mis sa baguette en suspension dans les airs et elle se mis à tourner et s'arrêta, comme par hasard sur Julia.

- Oh merde... gémit-elle.

- Alors, tu dois... aller piquer des bouteilles de bièresaubeurre dans la réserve, dit Louis.

Tous ouvrirent de grands yeux. La réserve? Celle aussi gardée que la banque de Gringotts?

- Alors là, tu as droit à avoir de l'aide parce que si oncle Ron, Harry ou même Percy te surprend, t'es mal barrée, souffla Fred.

Le regard de Julia se posa sur James qui déglutit. Elle l'attrapa par la chemise et le tira en dehors de la chambre. Les Weasley la regardèrent, bouche-bée tandis que Teddy éclatait de rire devant leurs têtes.

- Aucun de nous n'as jamais osé... commença Lucy.

- Mais jamais Julia ne recule jamais devant un défi, la coupa Teddy. Elle est hyper fière... et à des idées à la con aussi mais ça c'est une autre affaire.

Quelques étages plus bas, deux adolescents sortirent d'un mur, les bras encombrés de bouteilles. Ils se faufilèrent jusque dans la chambre des filles et éclatèrent de rire devant leurs têtes des Weasley et Ted. Rire qui, étant communicatif, entraîna les adolescents dans une crise de fou rire incontrôlable. James eut juste le temps de recouvrir les bouteilles de bièresaubeurre de sa cape d'invisibilité et la porte de la chambre s'ouvrit sur Harry, Ron, Georges, Bill et Charlie. Ils sourirent devant le spectacle des plus jeunes.

- Bon, fit Louis une fois les adultes partis. Au suivant !

La baguette tomba sur le présentateur qui blanchit d'un coup. Teddy piocha dans le tas d'action à faire.

- Bois cul-sec trois bouteilles de bièresaubeurre de suite.

- Mais il était pas dans le sac l'année dernière, celui-là! protesta Louis.

- T'as grandis Lou, fit Dominique, t'es plus un gosse, arrête de te défiler.

Le garçon déglutit mais décapsula la première bouteille. Pris de pitié, Fred en pris une à son tour et ils se mirent à boire le liquide. La première, ils restèrent debout, la deuxième, leur nez devint rosé et à la troisième, ils ne marchaient plus vraiment droit.

- Bon, dit Louis d'une voix rauque, au suivant!

- IL NEIGE!

Tous se tournèrent vers Rose qui regardait par la fenêtre et, effectivement, la neige tombait, et pas quelques flocons! Puis, alors que tous regardaient par la fenêtre, un bruit sourd leurs fit tourner la tête, c'était Fred qui s'était écroulé sur un lit. Roxanne se précipita vers son jumeau quand celui-ci ronfla. Les Weasley, Julia et Ted rirent. Ils arrêtèrent de jouer pour commencer à discuter. Les premiers à s'endormir furent Rose et Albus, puis Dominique, Victoire qui se coucha sur Ted, Roxanne, Lucy, Molly, puis Julia s'assoupit sur les jambes de James. Louis s'endormit comme une masse sur la jeune fille et il ne resta plus que le métamorphomage et l'aîné des Potter. Ce dernier regardait le profil endormi de sa meilleure amie. Ses cheveux, toujours attachés en chignon négligé, étaient défaits et quelques mèches tombaient sur son visage. Avec une douceur qui surpris Teddy, James les ramena derrière son oreille. Puis,cédant à la fatigue, le garçon se laissa tomber dans les bras de Morphée.

- Ma pauvre petite Julia, les deux plus cons de la famille, t'es pas sortie de l'auberge! marmonna Ted en s'endormant à son tour.

***
Le lendemain, deux petits personnages que James qualifia de "maléfiques" les réveillèrent. Le garçon avait bien dormit, contre toute attente. Bon, le fait que Julia dormait sur son ventre n'était pas inconnu à son bien-être, il en était carrément responsable enfaîte, mais les deux enfants qu'étaient Lily et Hugo décidèrent qu'ils devaient se lever. La jeune fille brune ouvrit ses yeux doucement. Elle était bien, là, son oreiller était confortable et tout chaud. Mais son oreiller bougea. Attendez, un oreiller qui bouge? Elle leva ses yeux couleur nuit pour rencontrer ceux noisette de son oreiller.

- Tu fais un très bon oreiller, Jamesie, articula-t-elle, faisant rire le concerné et Roxanne qui l'avait entendue.

Puis une masse derrière elle remua.

- La vache! J'ai mal à la tête!

- En même temps, vous avez bus comme des trous hier soir, répliqua Dominique à son frère.

- Langage Dom, la réprimande Victoire d'une voix ensommeillée en enfouissant son visage dans le tee-shirt de son petit-ami.

Au même moment, Fred se pris la tête entre les deux main.

- Aïe...

- Ça t'apprendra à être solidaire de cet imbécile, dit Roxanne sous le regard outré de Louis.

- Mais pourquoi tu crie? Pourquoi autant de violence envers ma pauvre petite personne?

Tout ceux qui étaient réveillés éclatèrent de rire, réveillant les autres. Ils descendirent en se chamaillant entre eux. Seuls Molly, Arthur, Charlie, Percy et Hermione étaient réveillés. La grand-mère Weasley se précipita près de Julia. Elle lui pris le poignet et la fit asseoir devant une assiette de bacon et d'ufs.

- Il faut que tu mange, jeune fille, regarde-toi! Tu es toute maigre!

La petite famille rigola et les adolescents se mirent à table. James et Hugo mangeaient comme quatre alors que Fred et Louis les regardaient d'un il mauvais.

- Comment vous pouvez manger autant? leur demanda le premier.

- J'ai faim, justifia le Potter.

- Et moi, je suis comme papa! répondit Hugo, tout fier.

La tablée éclata de rire. Hermione se leva pour partir au ministère.

- Harry sera absent une grande partie de la journée,informa-t-elle à Lily, Albus, James et Julia. Il y a eu un problème au département des aurors.

Et elle partit. À peine eut-elle passé le pas de la porte qu'un hibou entra par la fenêtre ouverte. C'était le même qui était venu lors de la fête après la victoire de Gryffondor contre Serdaigle. Soudain Julia se souvient du parchemin que le volatile lui avait apporté ce jour-là. Elle avait oublié de l'ouvrir! Elle reporta son attention sur le hibou. La lettre à sa patte intrigua la jeune sorcière. L'écriture était élégante et ronde, un peu comme la sienne. Alors qu'elle mettait le parchemin dans la poche de son jeans, plusieurs bruits de transplanages se firent entendre à l'extérieur. Harry arriva, sa baguette levée en direction de Julia.

***

Une heure plus tôt, au département des aurors.

- Comment peuvent-ils nous glisser entre les doigts de cette façon? Nous leurs envoyons nos meilleurs éléments et ceux-ci reviennent sans aucun souvenir de leur mission!

Harry Potter était énervé, et pas qu'un peu, ces deux petits zigotos de Auguste et Maria Prince étaient impossibles à attraper. Ils n'utilisaient pas de sorts d'oubliette et c'était une tout autre magie. Soudain, la porte s'ouvrit Hermione Granger. Les aurors s'inclinèrent devant la ministre tandis que la sorcière s'approchait de son meilleur ami qui était penché au-dessus de tonnes de dossiers.

- Bonjour Mione, dit Harry.

- Salut, je crois que j'ai trouvé une piste.

Elle lui donna un dossier avec écrit: "ANIMAGIS".

- Auguste Prince en est un. Un hibou.

- James m'as parlé de...

Sans finir sa phrase, le chef des aurors sortit du bureau et se rendit au service de vérification du courrier et il appris ce qu'il voulait éviter. Sans plus attendre, il réunit deux, trois autres aurors et ils transplanèrent jusqu'au terrier. Il entra et le vis. Il leva sa baguette.

- Stupéfix!

Le hibou tomba au sol. Puis Harry fit un mouvement avec sa baguette et le volatile changea de forme. Il grandit pour devenir un homme aux cheveux blond et au yeux bleu, semblables à ceux de Julia. Un hoquet de stupéfaction parcourut ceux qui étaient présents. Harry se pencha et pris la baguette de l'homme au sol.

- Finite.

Auguste se releva et regarda autour de lui. La main de l'auror s'abattit sur sa gorge pour le soulever contre un mur.

- Pourquoi étiez-vous ici? demanda Harry.

- Pour voir si elle ressemblait à sa mère ou à son père.

- De qui parlez-vous?

Le séduisant visage de Mr Prince prit une teinte rouge. Il fis un signe de tête en direction de Julia.

- Julianna Mariara Prince.

Julia blanchit d'un coup. Personne ne connaissait son nom complet, à part James et Jenny. Elle s'approcha et sortit sa baguette. D'un signe de tête, Harry lâcha l'homme. Il tomba sur le sol.

- Je vous préviens, dit-elle d'une voix glaciale. Un seul geste suspect, et votre magnifique visage se verra couvert de choses indésirables.

- Tu ne manque pas de courage et d'aplomb, Julianna, comme ta mère.

- Vous êtes mon père, non?

Il hocha la tête.

- ALORS POURQUOI M'AVOIR ABANDONNÉ? hurla-t-elle faisait sursauter tout le monde.

Une main se posa sur son épaule.

- Nous allons discuter de tout ça plus loin, dit Harry.

Il les entraîna dehors sous l'il interrogatif de James. Le chef des aurors les fit transplaner au ministère où ils furent accueillis par Hermione. Celle-ci les conduits dans son bureau. Auguste, étant un prisonnier, se fit mettre des menottes par simple mesure de sécurité. Une fois dans le bureau de la ministre de la magie fermé à triple tour. Julia se permit une crise de colère.

- 10 ANS À VIVRE CHEZ SES TARÉS! JE SUIS ARRIVÉE LÀ-BAS SANS AUCUN SOUVENIR, SI CE N'EST QUE MON PRÉNOM ET MON NOM!

Ses yeux se remplirent de larmes et sa voix se brisa.

- Étais-je une si grosse erreur que ça pour mériter un sort pareil?

Harry et Hermione guettaient la réaction de l'homme. Il était hors de question qu'il brise Julia plus qu'elle ne l'était déjà. Auguste envoya un regard désolé à sa fille. Les deux autres adultes virent quelque chose se briser dans les yeux de l'adolescente. Elle refusa de pleurer, elle n'était pas comme ça. Mais c'était plus fort qu'elle. Une larmes échappa à son contrôle. Elle lança un discret "alohomora" et sortit en courant du bureau. Les aurors essayèrent de l'attraper mais elle leur glissa entre les doigts.

- C'est une enfant! cria l'un d'entre eux. Bande d'incapables!

- Levicorpus!

- Ted Lupin! Lâche-moi tout de suite!

Mais le jeune homme ne la lâcha pas. Derrière lui se trouvait James. Les pieds en haut et la tête en bas, celle-ci se trouvait à la hauteur de celle du garçon. Quand il vit les larmes de sa meilleure amie, il fit signe à Teddy de la lâcher. La jeune fille atterrit dans les bras de James. Celui-ci la remit sur ses pieds. Il la ramena au bureau de sa tante. Sur le chemin, Julia lui raconta ce qu'il s'était passé.

- Clarissa avait raison, je suis une erreur, conclut la brunette.

Devant la porte en bois, James posa ses deux mains sur les épaules de sa meilleure amie et l'attira contre lui. Il l'enlaça et elle fit de même. Elle pleura un peu et le garçon se pencha vers son oreille.

- Alors tu es la plus merveilleuse erreur existante sur cette terre.

NDA:
Bonjour toi!

Il est tard et on s'en fout.

Comment avez-vous trouvé ce chapitre?

Pour quel raison Auguste et Maria ont-ils abandonnés Julia en lui effaçant ses souvenirs?

Voilà,

À bientôt !

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top