17. Souvenirs

Tout les jours durant les vacances du printemps, James rendit visite à Julia, lui parlant, lui faisant la lecture, lui racontant des blagues ou partageant des souvenirs. Mais petit à petit, il perdait l'espoir qu'elle se réveille. Seulement, un jour avant qu'il ne doive prendre le Poudlard Express pour retourner à l'école, James lui partageait son souvenir du premier Noël passés ensemble. Quand il eut finit, il lui dit:

- Tu te souviens ?

Et là, une larme s'échappa des yeux clos de Julia. Elle roula le long de sa pommette pour finir sa course dans son oreille. Le garçon prit un mouchoir et essuya la traînée humide. C'était une toute petite avancée mais qui signifiait portant tellement pour lui. Fou de joie, il embrassa la joue de Julia en vitesse et couru dehors avertir Teddy et Albus qui parlaient dans le couloir. Ils entrèrent en courant voir si Julia avait encore montré un signe d'activité. Mais elle ne bougea plus pendant une bonne dizaine de minute puis, alors que les trois garçons s'en allaient, déçus, Teddy aperçu les doigts de Julia tapoter le drap. Il s'approcha.

- Julia ?

Elle ne bougea pas mais son index traça quelque chose sur le lit. Intrigué, Albus regarda les plis formés sur le drap. Il fronça les sourcils.

- Elle parle morse, déclara-t-il.

Son frère et le métamorphomage se tournèrent vers lui.

- Elle parle quoi ? dit James, stupéfait.

- Morse, répéta le petit garçon. Une espèce de code secret utilisé lors de la première ou deuxième guerre mondiale ou pendant la guerre froide, je ne sais plus. Bref, c'était un langage secret pour transférer des informations.

James fut impressionné par l'intelligence de son frère. Ce dernier attrapa une feuille de papier et demanda à Julia de répéter ses gestes. Il griffonna des trais qui ne parlaient ni à Teddy ni à l'aîné des Potter. Puis il se mit à traduire et se figea. James pris la feuille et la lut.

·− ·· −·· · −−·· −····− −− −−− ··

Aidez-moi

Il se tourna vers sa meilleure amie qui respirait difficilement. James, inquiet, s'approcha d'elle. Les moniteurs se mirent à biper de plus en plus rapidement. Les médicomages arrivèrent en courant. Une infirmière chassa les trois garçons de la chambre. Ils étaient très inquiets. Un infirmier sortit en soupirant. Il se tourna vers Teddy qui était le seul adulte présent.

- Qu'est-ce qu'elle a ? demanda-t-il, tendu.

- Un arrêt cardiaque, dit l'infirmier. Plus violent que les précédents, je ne sais pas combien de temps elle va tenir comme ça.

Comment ça, plus violent que les précédents ? se questionna James, interloqué. On ne lui avait pas dit que Julia avait fait des arrêts cardiaux. D'après les têtes d'Albus et Ted, c'était le cas pour eux aussi.

- Que... Quels arrêts cardiaux ? demanda le métamorphomage.

- Tous les deux ou trois jours, expliqua l'infirmier. C'est mineur, la plupart du temps mais là, ça a été très dur. Nous allons être dans l'obligation d'interdire les visites pendant un moment. Son état est tellement instable que nous ne pouvons jamais prévoir ses crises ou une possible rechute. Je suis désolé.

Il retourna dans la chambre, laissant derrière lui un James choqué et profondément brisé. Il vacilla et du s'asseoir sur une chaise. Albus, hésitant, le pris dans ses bras. C'est Harry qui brisa leur moment en arrivant avec Ginny. Cette dernière attira son fils ainé contre elle.

- Tout va bien se passer, mon chéri.

James se dégagea des bras de sa mère, le regard totalement hystérique.

- Non, tout ne va pas "bien se passer", Julia avait des arrêts cardiaux et vous ne nous avez rien dit et à cause de ça, elle ne va pas bien. Elle va peut-être ne jamais se réveiller ! Vous vous rendez compte ?

Il avait tellement peur. Peur de perdre Julia à tout jamais. Il n'imaginait pas sa vie sans elle. Oh, il n'était pas amoureux, d'elle, ça non. D'ailleurs, une fille de Serdaigle lui tournait autour depuis le début de l'année, elle s'appelait Lizéa. Mais pour l'instant, sa priorité était Julia. Elle devait se réveiller, ne ce fut ce-que pour son futur petit frère ou petite sœur.

Alex avait reprit les cours avec Lise et James. Ces deux derniers semblaient abattus par les crises de Julia mais lui, il voyait ça autrement. Et si ces "crises" n'étaient pas réelles ? Et si c'était cette forme de magie étrangère que son amie utilisait pour simuler ? C'était ce que se demandait l'adolescent. Lui et Julia étaient proches, peut-être pas autant que Lise et James mais un minimum pour qu'il sache que ce qu'elle aimait faire, c'était créer des messages. D'après leur meilleur ami, elle aurait dit "aidez-moi" en morse, à Ste-Mangouste. James et Lise pensaient qu'elle était en danger ou quoique-ce-soit d'autre mais Alex avait une autre supposition. Et si Julia était bien éveillée ? Chez les moldus, on lui aurait diagnostiqué le syndrome locked-in, le syndrome de l'enfermement.  C'était le fait de rester coincé dans son corps sans pouvoir bouger ou parler. Mais avec la magie, Alex espérait pourvoir trouver quelque chose à donner à Julia pour la sortir de là. Mais il allait y arriver. Il n'était peut-être pas aussi intelligent que Lise ou aussi doué que James mais lui, il était volontaire et tenace. C'était grâce à ses trait de caractère qu'il était proche de Julia qui, elle aussi, était comme cela. L'adolescent se dirigea vers la bibliothèque et pris le plus de livre que ses bras pouvaient contenir, il en avait même deux sur le haut de son crâne. Et il se mit à chercher. Malheureusement pour lui, la bibliothèque n'était pas ouverte durant la nuit. 

Mais James avait une cape d'invisibilité. 

Alex se leva et partit sous les rappels de Mme Pince. Il se précipita dans les dortoirs des Gryffondor. Il chercha son ami mais celui-ci n'était pas là. Déduisant qu'il était probablement partit dîner, Alex mis son impatience dans sa poche et descendit manger, entendant enfin les appels de son estomac. Il prit place entre James et Cole et en face de Lise qui avait une place vide à sa droite. 

- J'ai peut-être une idée, glissa-t-il en se servant généreusement. Mais on va avoir besoin de ta cape, gros.

James releva sa tête vers lui, tout de suite intéressé. Alex lui chuchota ce qu'il avait derrière la tête et son meilleur ami le regard avec un espoir fou au fond de ses yeux.

- Alex, je t'aime, bro!

Et il partit en courant de la Grande Salle. Leurs amis regardaient le blondinet, dans l'attente d'une explication.

- J'ai trouvé un peut-être moyen pour sauver Julia. 

D'un seul coup, il eut l'attention de tout le monde. Il leur exposa son plan et tous hochèrent la tête. Lise avait le regard dans le vide. Alex posa sa main sur son épaule. Ils se levèrent tous, direction les dortoirs des Gryffondors. Ils s'organisèrent et James passa devant, sous sa cape avec Lise et Alex. Ils avançaient en éclaireurs jusqu'à la réserve. Après un long moment où Piper faillit les faire remarquer, il finirent par atteindre leur but. 

- Ok, on va se répartir deux groupes de trois et un groupe de deux, indiqua Alex. Trouvez des indices sur les enchanteurs ou comment entrer dans l'esprit de quelqu'un. 

James attrapa le bras de Lise et celui de son meilleur ami. April partit avec Adrian et Piper, Lara et Cole se dirigèrent vers les rayons "Psychologie magique". La nuit durant, ils cherchèrent, fouinèrent et lurent tellement que leurs paupières ne glissaient plus sur leurs yeux. Mais personne ne voulait abandonner. Adrian et Piper piquaient du nez quand Lise émit un petit cri de victoire.

- Venez voir, les gars.

Elle posa un énorme livre sur une table et se mit à lire le passage qui était intéressant.

  Chez les enchanteurs, si le parent sait son enfant en danger ou si quelqu'un use un sort d'enfermement mental, il peux introduire des souvenir lui appartenant pour faire revenir l'enfant à la surface. Cependant, il faut que le souvenir soit suffisant significatif pour que l'enfant puisse comprendre et refaire surface.

James sortit un morceau de parchemin de son sac à dos et sa plume. Piper lui passa l'encrier et il recopia le passage. Ils repartirent de la réserve et se précipitèrent dans la salle commune des Gryffondors. Seulement, ils avaient oublié Kris, le préfet-en-chef. Étonnamment, il leur sourit et passa son chemin sans rien dire. James sortit sa baguette et fouilla dans les plus grands tréfonds de son esprit le sort que Julia et lui avaient appris pour se passer des mots rapidement, en deuxième année. Il traça quelque chose sur le parchemin en murmurant quelque chose que les autres ne comprirent pas. D'un coup, le papier disparut comme si il n'avait jamais existé. 

- Il ne nous reste plus qu'à attendre, déclara-t-il. Aussi longtemps qu'il le faudra.

***

Il faisait très sombre. Julia se leva, sa tête lui tournant. Une voix raisonnait sur les murs. Elle était floue mais semblait familière à la jeune fille. Seulement, elle ne se rappelait pas de qui c'était. Elle ne se rappelait de quasiment rien. Elle se releva et se dirigea vers l'un des mur. Il y avait des tiroirs qui s'étalaient sur des mètres et des mètres de distance. Hésitante, elle ouvrit le premier. Dedans, il y avait une photo. Dessus, on y voyait un petit garçon qui souriait avec une glace au chocolat en main. Derrière le papier glacé, il y avait une inscription.

Rencontre James Potter chez Florent Fortarome. 27 août 2015.

Julia la remis dans le tiroir mais le laissa ouvert. Elle se mit à regarder dans chacun d'eux et petit à petit, les souvenirs revinrent. Les événements passés devenaient de plus en plus précis au point ou elle se sentit perdre pied et s'évanouir. Elle ne savait pas quand elle se réveillerait mais elle savait qu'elle le ferait. Elle allait se battre pour cela et quitte à repousser ses limites dans les plus grands tréfonds de ses possibilités. Pendant longtemps, elle chercha la sortie de cet enfer qu'était sont esprit. La voix de James lui revint en tête.

Tu vas avoir un petit frère ou une petite sœur.

Julia se força à mobiliser toutes ses forces. Elle voulait sortir et enfin tous les revoir, ses amis et sa famille. D'un coup les tiroirs sont disparus et un mur se dressa devant l'adolescente. Elle hurla de rage en frappant du pied. Julia porta la main a son crâne où se trouvais sa baguette dans son chignon. Mais à peine l'avait-elle attrapé qu'elle se volatilisa dans l'air comme de la brume. Julia commençais sérieusement à péter les plombs. Pour le moment, elle n'avait aucune idée de comment sortir. Elle sentit une sorte d'ondulation dans l'air autour d'elle. Julia ferma les yeux quelques secondes qui se transformèrent en minutes. Puis tout commença à changer. D'abord, ce fut la brise qui caressa son visage. Ensuite la sensation du sable entre ses orteils. Puis le bruit des vagues s'écrasants contre les rochers. Et pour finir l'eau qui courait sur ses pieds et ses chevilles. Doucement, Julia ouvrit ses yeux. Elle se trouvais sur une plage. Mais pas n'importe laquelle, celle de la cala de la Torrosa. Là où Olivia l'avait amenée et où elle avait rencontré ses parents. Il y avait du monde. Quelqu'un fonça en sa direction. S'attendant à être bousculée, Julia fut surprise de ne rien ressentir. Le garçon était passé en elle comme si elle n'existait pas. 

- Eh, Gus', on se met ici ? dit une voix dans son dos.

Julia se retourna et eut un choc. Elle voyait son père et Olivier, une bonne quinzaine d'années plus jeunes. Ils étaient en bermudas et avaient chacun un sac sur leurs dos. Olivier tenait son tee-shirt dans ses mains et souriait grandement. Les femmes se tournaient vers lui et lui souriaient. Il semblait s'en amuser et il leurs faisait de petits signes.

- Comme tu veux, bro. 

Son père était beaucoup moins souriant. Il était plus mystérieux et énigmatique. Il regardais les gens d'un regard impénétrable. Ses cheveux blonds brillaient et ses yeux du même bleu que sa fille étaient peut-être un tantinet rieur malgré sa volonté de sembler être insensible au numéro qu'était son meilleur ami. Ils s'installèrent en face des pieds de Julia qui commençais à comprendre  que c'était un souvenir. Olivier frappa l'épaule d'Auguste. 

- Eh, gros, là-bas, sur le terrain de beach volley. 

Julia se tourna pour regarder elle aussi. Au départ elle ne vit pas correctement à cause du soleil. un ballon roula aux pieds de son père qui le ramassa et Julia pu enfin voir. C'était sa mère. Elle était encore plus belle que quand elle l'avait rencontrée. Ses boucles brunes lui tombaient sur ses hanches, ses yeux gris brillaient de malice et son sourire était le même que celui de Julia. Celle -ci ne put qu'être frappée de la ressemblance entre elle et cette jeune femme qui allait devenir sa mère, bien que Julia pensa être beaucoup moins belle. Auguste resta planté debout, en face de Maria, la bouche ouverte. Elle récupéra son ballon et lui sourit avec douceur.

-  Buenos días, Cómo está ?

- Nous ne parlons pas Espagnol, dit Olivier en détachant bien toutes les syllabes.

Julia avait envie de rire tellement il avait l'air débile.

- Oh, pardon, je ne savais pas, s'excusa-t-elle dans un anglais parfait. Je disais, bonjour, comment allez-vous ?

Auguste hocha la tête, toujours figé sur place.

- Vous êtes sur que votre amis parle anglais ? demanda la jeune femme. Non, mais parce que là j'ai un doute.

 - Il le parle, affirma Olivier. Il... est juste un peu idiot.

Il lui écrasa le pied et Auguste daigna décrocher son regard de Maria.

- Espèce de... 

Olivier lui sourit. Julia se fit la réflexion qu'il ressemblait à un lutin. Il se tourna vers Maria en souriant.

- Je m'appelle Olivier, et vous ?

- Maria. J'ai été heureuse de vous rencontrer.

Et elle repartit sur le terrain de volley. Olivier se tourna vers son meilleur ami.

- Bon, viens, on va draguer. Toi tu prend Maria et moi je prend l'autre, pigé ?

L'autre était en fait Olivia. Ses longs cheveux lisses étaient tressés et elle donnait l'impression d'être intouchable. Auguste inspira un grand coup avant de s'avancer aux cotés  d'Olivier.

- Peut-on se joindre à vous, mesdemoiselles ? demanda-t-il d'une voix joueuse.

Olivia haussa un sourcil, peu impressionnée. Olivier souffla un "J'adore les challenges !" tandis que Maria esquissait un sourire en hochant la tête. Le père de Julia était un très piètre joueur, contrairement à sa mère. Ils jouèrent jusqu'à que les gens se mettent à partir et qu'il ne restât qu'eux. Olivier et Olivia se charriaient alors que Maria et Auguste étaient plus timides. Julia voyait parfaitement deux sortes d'amour, celui explosif et passionné et celui discret et attentif. Elle assistait au souvenir de la rencontre. Durant ce qu'il lui semblait des heures, elle vit l'évolution des relations, les disputes puis l'annonce d'un bébé, elle. Si Auguste ne savait pas comment réagir, Maria, elle pleura de joie en caressant son ventre encore plat.

Hola pequeño humano.

Puis soudain, tout redevint noir. mais quelque chose avait changé. Julia remarqua qu'elle avait les paupières fermées. Prudemment, elle ouvrit doucement les yeux. La lumière était pratiquement inexistante. Un bip répétitif lui indiqua qu'elle se trouvait dans une chambre d'hôpital. La noirceur de la salle l'effraya. Et si la Grande Enchanteresse l'avait de nouveau kidnappée ? Elle arracha la perfusion de son bras et se releva. Sa tête lui tourna, la faisant tituber. Mais elle marcha avec pour but la porte. Ses jambes tremblaient et peinaient à la soutenir, surtout la droite qui ne l'aidait absolument pas. Julia baissa la clinche et sortit de la chambre. La lumière lui agressa les rétines. 

- Ju... Julia ? demanda une voix incrédule.

C'était Teddy. La jeune fille resta plantée là jusqu'à que, sortant  de sa torpeur, le jeune adulte s'approcha et serra Julia dans ses bras. Elle ne lui rendit pas son étreinte, trop secouée que pour faire quoique ce soit. Il se dégagea et appela un médecin. Ils raccompagnèrent l'adolescente dans sa chambre et l'aidèrent à s'asseoir. Julia était totalement désorientée. 

- Que... Quel jour sommes-nous ? demanda-t-elle d'une voix rauque.

- Le cinq juin 2017, miss Prince, répondit le docteur.

Julia ouvrit de grands yeux. Elle avait dormit autant? Le médecin fit un rapide examen en fronçant les sourcils. 

- Tout est en ordre mais j'aimerais vous garder en observation pendant une semaine pour vérifier que tout est OK. Vous nous avez fait peur, Miss. Heureux de vous voir réveillée.

Il lui sourit et sortit de la chambre. Julia se tourna vers Teddy. Ses yeux étaient vides d'émotion, chose rare chez elle. 

- Je voudrais voir ma mère et mon père.

Il hocha la tête et sortit. Julia se redressa et regarda le store de la fenêtre avec intensité. Elle fit un signe de levé avec sa main et le store se releva. Mais Julia voulait sa baguette. Faire de la magie enchanteresse ce n'était pas la même chose qu'avec une baguette magique. Elle trouvait un certain réconfort à tenir sa baguette contre elle. Mais elle devait attendre. Pour quelqu'un d'impatient, ce n'était pas une chose facile. Elle prit appui sur le lit et se mit debout. Elle rejoignit le fauteuil et s'y assit. Elle était face aux forêts qui entouraient Ste-Mangouste. Dehors, il y avait de gros nuages d'orage. Quelqu'un toqua à la porte. Julia ne répondit pas, trop plongée dans ses pensées. Une main se posa sur son épaule. C'était Auguste qui la regardait avec hésitation. Quand à Maria, elle s'agenouilla devant sa fille, l'inquiétude faisant briller ses prunelles anthracite. Julia se tourna vers elle et éclata en sanglots. Maria la pris dans ses bras avec tout l'amour qu'elle avait. Elle pleurait à chaudes larmes toutes les horreurs qu'elle avait vécu.

Yo se, Yo se mí angel, va a ir bien...

Julia finit par se calmer et remarqua que sa mère semblait plus... imposante que la dernière fois qu'elle l'avait vu. Son regard se posa sur le ventre proéminent de Maria qui lui sourit. D'un coup, ce fut comme si on lui avait redonné un grand verre de sirop plein d'espoir et de joie. Elle plaqua sa main contre sa bouche en soufflant de stupéfaction. Maria pris sa main et la posa sur son ventre. Ce simple petit miracle de la vie rendit son éclat aux yeux de Julia. 

Cela lui rendit son envie de vivre et de continuer d'avancer. Quoiqu'il arrive.

NDA ; Bonjour tout le monde !

Comment allez-vous ? Pour ma part, ça va plutôt bien. Je n'ai pas d'excuse pour poster un chapitre aussi court et de très piètre qualité mais le confinement m'a privé de ma créativité qui est revenue au galop je ne sais plus par quel moyen mais voilà, il est ici et c'est déjà bien !

Portez vous bien

Juliette :)

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